Licenciée car pro-vie, une infirmière se voit attribuer 374 000 $ en dommages et intérêts, et frais d’avocat par le tribunal
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : makyzz/Adobe Stock
Une infirmière pro-vie de l’Illinois qui a été licenciée après avoir refusé d’orienter des mères vers l'avortement a gagné son procès cette semaine et s’est vu attribuer 374 000 dollars de dommages et intérêts et de frais d’avocat.
Un tribunal local de l’Illinois a jugé que Sandra Mendoza Rojas, de Rockford, n’aurait pas dû être renvoyée de la clinique de santé du Comté de Winnebago pour avoir mis en pratique ses convictions pro-vie.
Mme Rojas a travaillé comme infirmière en pédiatrie pendant 18 ans avant d’être licenciée en 2015, selon l’article [de CBN News]. Elle a déclaré avoir refusé de se conformer à une nouvelle exigence selon laquelle les infirmières doivent être formées pour aider les femmes à obtenir des médicaments abortifs et les orienter vers des établissements pratiquant l’avortement.
L’infirmière de l’Illinois est une fervente catholique qui estime que les bébés à naître méritent le droit à la vie.
« Les soins infirmiers sont plus qu’un simple travail, c’est une noble vocation de protéger la vie et de ne pas faire de mal », a-t-elle exposé précédemment. « Il y a quelque chose de terriblement mauvais lorsque vous êtes forcé de quitter votre emploi en raison de votre engagement à protéger la vie. »
Voici un extrait de l’article :
Lire la suiteUn tribunal de première instance de l’Illinois a statué mercredi que le comté de Winnebago devait payer plus de 374 000 $ en frais d’avocat pour avoir exigé d’une infirmière chrétienne qu’elle fournisse de la contraception et aiguille des patientes vers des services d’avortement.
Le juge Eugene Doherty du 17e Tribunal de circuit judiciaire a accordé 374 104 dollars d’honoraires d’avocat.
« Le ministère de la Santé a exercé une discrimination injustifiée à l’encontre de Mme Rojas en refusant de tenir compte de ses objections de conscience dans le cadre de son emploi actuel à la clinique », a écrit le tribunal dans son jugement. « La Cour a conclu que le département de la santé aurait pu raisonnablement tenir compte des objections de (Mme Rojas) sans lui retirer son emploi. »
Sterett espère que cette affaire enverra un avertissement clair aux employeurs sur l’importance d’honorer les croyances religieuses de quelqu’un.
Le député Kelly Block parraine le projet de loi C-230 qui protégerait les médecins qui refusent de pratiquer l’euthanasie
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Minerva Studio/Adobe Stock
Madame Kelly Block, députée de Carlton Trail — Eagle Creek, en Saskatchewan, a déposé le projet de loi C-230 sur la protection de la liberté de conscience.
Le projet de loi C-230 est semblable au projet de loi C-268 d’initiative parlementaire parrainé par Kelly Block lors de la législature précédente. En raison des élections, le projet de loi C-268 n’est jamais passé par le vote.
Le projet de loi C-230 protégerait les droits de conscience des professionnels de la santé en empêchant la coercition et l’intimidation pour les forcer à participer à l’aide médicale à mourir [euthanasie], et protège l’emploi des professionnels de la santé qui s’opposent en conscience à l’aide médicale à mourir.
Le projet de loi C-230 modifierait également l’article 241.5 (2) du Code criminel pour lui donner la forme suivante :
Quiconque, dans le dessein de forcer un médecin, un infirmier praticien, un pharmacien ou tout autre professionnel de la santé à prendre part, directement ou indirectement, à la prestation de l’aide médicale à mourir, use de contrainte ou de toute autre forme d’intimidation est coupable d’une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.
Le projet de loi C-230 modifie également l’article 241.5 (2) du Code criminel pour qu’il se lise comme suit :
Quiconque refuse d’employer ou congédie un médecin, un infirmier praticien, un pharmacien ou tout autre professionnel de la santé pour la seule raison qu’il refuse de prendre part, directement ou indirectement, à la prestation de l’aide médicale à mourir est coupable d’une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.
La Coalition pour la prévention de l’euthanasie appuie le projet de loi C-230 et nous vous tiendrons au courant de l’évolution du projet de loi.
Veuillez signer la pétition adressée à la députée Kelly Block en faveur du projet de loi C-230.
Une cour statue en faveur d’une infirmière pro-vie de l’Illinois qui a été licenciée pour son objection à l’avortement
Par Amanda Vicinanzo (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Minerva Studio/Adobe Stock
C’est une grande victoire pro-vie : un tribunal a déterminé qu’une infirmière de l’Illinois avait été licenciée à tort après avoir été forcée de participer à des avortements et d’orienter des femmes vers des centres d’avortement, en violation de sa foi catholique.
La semaine dernière, la 17e Cour de circuit judiciaire du comté de Winnebago a statué en faveur de Sandra Mendoza Rojas, qui a intenté un procès en 2016 contre le Département de la santé du comté de Winnebago pour avoir violé ses croyances religieuses et sa conscience.
Rojas a été embauchée par le Département de la santé en tant qu’infirmière pédiatrique à temps partiel en 1996. Au cours de son emploi, la clinique de santé des femmes et la clinique pédiatrique ont été regroupées ; par conséquent, son poste concernait les questions de santé des femmes dans la clinique regroupée. L’une après l’autre, trois infirmières, dont Rojas, ont refusé de participer à l’orientation des patientes vers l’avortement et la contraception.
Le Directeur de la santé a écrit une lettre dans laquelle il acceptait de tenir compte temporairement des objections de Mme Rojas et lui donnait 14 jours pour « examiner ses options ». Dans sa lettre, le Directeur de la santé a déclaré qu’ils ne pouvaient plus accueillir Rojas dans la clinique regroupée, mais qu’elle pouvait travailler comme inspectrice des aliments à temps partiel ou comme infirmière dans une maison de retraite. En réponse, en juillet 2015, Rojas a présenté une lettre de démission, ce qui lui a coûté 18 000 $ de salaire et 213 000 $ de prestations de retraite.
En 2016, elle a intenté une action en justice en affirmant que le ministère avait violé la loi sur les droits de conscience en matière de soins de santé de l’Illinois, qui protège les travailleurs médicaux qui s’opposent à l’avortement. Les avocats d’Alliance Defending Freedom ont été les avocats associés de Rojas aux côtés de l’avocat principal Noel Sterett de Dalton & Tomich.
Lire la suiteLa Haute Cour de Nouvelle-Zélande entérine la restriction à l’objection de conscience des médecins face à l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : orelphoto/AdobeStock
La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a confirmé une assez récente loi, qui enjoint aux soignants de rediriger une femme désirant un avortement vers un collègue disposer à le pratiquer, s’ils ne veulent l’exécuter eux-mêmes, déclarant en la matière que cela ne viole pas leur liberté de conscience — ce qui est évidemment faux, puisque cela les rendrait complices de l’avortement. Selon Gènéthique :
La Haute Cour de Wellington vient de trancher : l’obligation de donner aux femmes cherchant à avorter les coordonnées d’un service d’avortement ne viole pas les droits des objecteurs de conscience.
En Nouvelle-Zélande, les membres de l’Alliance des professionnels de la santé refusent en conscience de pratiquer des avortements. En mars 2020, la loi néo-zélandaise a été modifiée, les obligeant à donner à une femme cherchant à avorter les informations nécessaires pour trouver un service d’avortement. Ils estiment que ce changement les rend « complices » du processus d’avortement, enfreint leur liberté de pensée, de conscience, de religion, et d’expression.
La Cour suprême du Mexique rabaisse l’objection de conscience à l’avortement et élargit l’accès à la GPA
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sensay/AdobeStock
La Cour suprême du Mexique a déclaré « invalide » par huit voix sur onze un article de la loi sur la santé portant sur l’objection de conscience, jugeant la portée de celui-ci trop large, notamment en ce qui concerne l’avortement, selon Gènéthique :
La Cour suprême du Mexique a déclaré « invalide » un article de la loi générale sur la santé qui consacre l’objection de conscience, au motif qu’il était « vague » et portait « atteinte aux droits des patients, en particulier des femmes et des femmes enceintes ».
La cour va établir les nouvelles lignes de l’objection de conscience du personnel médical (on parie combien que les juges vont obliger les médecins refusant de pratiquer l’avortement à rediriger les femmes vers un collègue consentant ?).
La Cour suprême du Mexique a aussi rendu une décision portant sur la « gestation pour autrui » ou GPA, autorisant la prestation de ce « service » à des étrangers, selon International Family News :
La Cour Suprême de justice de la nation (SCJN) a récemment décidé de donner le feu vert à la gestation pour autrui pour les étrangers à Tabasco (Mexique). Toutefois, sa décision s’étend à l’ensemble du Mexique. Le président de la SCJN, Arturo Zaldívar, prévient que ce jugement devrait servir de référence à la législation et aux tribunaux de tout le Mexique […]
Qu’ont-ils approuvé exactement ? La maternité de substitution est un service marchand pour lequel des frais peuvent être facturés. Dans le même ordre d’idées, les agences intermédiaires peuvent également facturer les services qui sont sur le marché […]
En outre, le service est ouvert aux étrangers ; c’est la nouveauté. Et bien sûr, les « parents » contractants pourront inscrire leur « enfant-produit » à l’état civil.
En bref, il n’y a pas de limites à la soi-disant « gestation pour autrui », qui, dans la pratique, transformera les Mexicaines en « fermes » pour les étrangers, pour les nombreux homosexuels à qui la nature interdit de se reproduire, et pour d’autres, comme des femmes riches qui ne souhaitent pas voir leur corps gâché par la procréation.
La République de Saint-Marin légalise l’avortement par referendum
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : chika milan/AdobeStock
A Saint-Marin, le Oui à l’avortement remporte le referendum avec 77 % des voix. Avec 59 % d’abstentionnistes, dans un Etat où 98 % de la population se déclare catholique et grâce à une question qui peut être étendue à tous les cas, la République sérénissime de Saint-Marin a décidé qu’il sera possible d’avorter même jusqu’au neuvième mois, créant les conditions d’un « tourisme eugéniste » depuis l’Italie. Pour le moment, l’objection de conscience est exclue.
Dimanche 26 septembre avait lieu un referendum sur l’avortement à Saint-Marin. Le résultat annoncé à la télévision d’État est très clair : 59 % des citoyens vivant à Saint-Marin n’ont pas participé au vote ; le Oui à la dépénalisation et à la libéralisation de l’avortement a obtenu plus de 77 % du consensus, le Non un peu plus de 22 %. Une part importante des électeurs catholiques, 98 % des citoyens se déclarant comme tels, ont choisi de ne pas participer au vote.
La victoire du Oui oblige le Conseil général (parlement) et le Conseil des régents (gouvernement) dans les six prochains mois à suivre la volonté des citoyens et à approuver une loi qui la mettra en œuvre. Le texte de la question était très clair :
« Voulez-vous que la femme soit autorisée à interrompre volontairement la grossesse dans la douzième semaine de gestation, et aussi par la suite s’il y a danger pour la vie de la femme ou s’il y a des anomalies et des malformations du fœtus qui comportent un risque grave pour la santé physique ou psychologique de la femme ? ».
Le texte de la question ne laisse planer aucun doute : l’avortement libre toujours (bien au-delà de 12 semaines) y compris l’avortement eugénique. En effet : le « risque grave pour la santé psychologique d’une femme », pour un médecin favorable à l’avortement, est toujours diagnostiquable même lorsque l’enfant qu’elle porte est diagnostiqué avec une simple fente labiale, un spina-bifida, une trisomie 21… Tout cela sans considérer que le referendum reposait sur un mensonge : « l’avortement pour une mère en danger de mort était déjà possible » en République de Saint-Marin, comme l’indique le site Internet du comité « Uno di Noi » (L’Un de Nous).
Lire la suiteLettre de médecins du monde entier ne voulant pas participer à l’euthanasie et au « suicide assisté »
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : senivpetro/Freepik
Lettre ouverte de médecins du monde entier, adressée aux éthiciens médicaux et aux législateurs.
Lien permettant aux médecins de signer la lettre ouverte.
Les médecins ne veulent pas participer à l’euthanasie et au suicide assisté
L’euthanasie et le suicide assisté ne font pas partie de la médecine.
En tant que médecins, nous nous engageons à aider les gens à vivre et à mourir dans la dignité et le confort.
Nous sommes déterminés à ce que des soins de pointe soient disponibles pour les personnes en fin de vie ainsi que pour les personnes souffrant de maladies chroniques, de handicaps ou de maladies mentales.
Nous pensons que l’accès universel et équitable à une gestion efficace de la douleur et des symptômes, y compris les soins de santé mentale et les soins palliatifs, est un droit humain fondamental.
Nous soutenons pleinement le droit d’une personne ayant une capacité de décision de refuser un traitement qui lui est proposé.
Nous soutenons les cliniciens et les patients qui acceptent de retirer ou de suspendre un traitement pénible et inefficace au profit de soins de soutien et palliatifs.
Nous pensons que les médecins ont la formation et les compétences nécessaires pour promouvoir et maintenir une relation médecin-patient bienveillante.
Nous pensons qu’une gestion habile et efficace de la douleur ne nécessite ni n’utilise de dose létale de médicament.
Nous pensons que ni le suicide assisté ni l’euthanasie ne sont des procédures médicales. Les médecins ne devraient jouer aucun rôle dans la réglementation ou la pratique de l’euthanasie et du suicide assisté.
Nous sommes particulièrement soucieux de protéger les personnes vulnérables qui peuvent avoir le sentiment d’être devenues un fardeau pour les autres, et nous nous engageons à soutenir ceux qui trouvent que leur propre situation de vie est un lourd fardeau.
Nous partageons le point de vue des associations médicales du monde entier qui estiment que le suicide assisté et l’euthanasie sont contraires à l’éthique, même s’ils sont légalisés.
« Laissez les médecins se concentrer sur la défense des patients — pour guérir parfois, pour soulager souvent et pour réconforter toujours. »
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États-Unis : le Centre national catholique de bioéthique fournit un guide sur l’exemption religieuse aux vaccins covid-19
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Drazen/AdobeStock
18 août 2021, Philadelphie, Pennsylvanie (LifeSiteNews) — Le National Catholic Bioethics Center (NCBC) a produit un modèle de lettre pour ceux qui cherchent une exemption religieuse aux exigences en matière de vaccins, expliquant « la base religieuse de principe sur laquelle un catholique peut déterminer qu’il ou elle doit refuser certains vaccins ».
Le 21 juillet, le NCBC a publié un document intitulé Vaccine Exemption Resource for Individuals, destiné à guider les catholiques dont la « conscience éclairée » est arrivée au « jugement sûr » que les vaccins expérimentaux COVID-19 sont moralement, médicalement ou légalement inadmissibles.
Le NCBC a fondé sa détermination que la liberté de conscience doit être respectée sur la documentation et l’enseignement de l’Église catholique, y compris les travaux de la Congrégation pour la doctrine de la foi, de l’Académie pontificale pour la vie et le Catéchisme de l’Église catholique (CEC).
Le NCBC a énoncé quatre principes clés selon lesquels chaque fidèle peut déterminer sa responsabilité d’accepter ou de refuser des interventions médicales :
- La vaccination n’est pas moralement obligatoire en principe et doit donc être volontaire.
- Il existe un devoir moral général de refuser l’utilisation de produits médicaux, y compris certains vaccins, qui sont produits à partir de lignées de cellules humaines provenant d’avortements directs. Il n’est permis d’utiliser ces vaccins que dans certaines conditions spécifiques, sur la base d’un jugement de conscience.
- Les jugements éclairés d’une personne sur la proportionnalité des interventions médicales doivent être respectés, sauf s’ils contredisent les enseignements moraux catholiques faisant autorité.
- Une personne est moralement tenue d’obéir à sa conscience sûre, même si elle se trompe.
Conformément aux principes énoncés, la NCBC affirme qu’« il n’existe pas d’enseignement de l’Église faisant autorité et obligeant universellement les catholiques à recevoir un quelconque vaccin », déterminant ainsi qu’aucun mandat civil contraignant ne peut légitimement exister.
Lire la suiteUne musicienne pro-vie licenciée d’un orchestre symphonique parce qu’elle refuse le vaccin covid
Martha Dippold.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une musicienne de Caroline du Nord s’est vu interdire de jouer avec l’orchestre symphonique de Wilmington cet automne parce qu’elle ne peut pas, en toute conscience, prendre un vaccin COVID-19 qui a des liens avec l'avortement de bébés.
Le Greensboro News & Record rapporte que Martha Dippold, clarinettiste de l’orchestre depuis environ cinq ans, a déclaré qu’on lui avait dit qu’elle ne serait pas autorisée à participer au concert du 50e anniversaire de l’orchestre en octobre si elle ne se faisait pas vacciner.
Mme Dippold a déclaré qu’elle ne prévoyait pas se faire vacciner pour plusieurs raisons : premièrement, parce qu’elle est pro-vie et s’oppose à l’utilisation de lignées cellulaires créées à partir de bébés avortés dans le développement des vaccins, et deuxièmement, parce qu’elle a déjà eu le COVID-19 et possède une immunité naturelle, selon l’article.
Les opinions sur l’éthique des nouveaux vaccins COVID-19 varient même parmi de nombreux chrétiens et défenseurs de la vie. Aucun des vaccins de Johnson & Johnson, AstraZeneca, Moderna ou Pfizer ne contient de cellules de bébés avortés, mais ils sont tous liés à l’avortement, certains plus que d’autres.
L’orchestre a récemment annoncé à tous les artistes qu’ils devaient se faire vacciner s’ils voulaient jouer ; il a toutefois promis d’examiner les exemptions médicales et religieuses.
Mme Dippold a demandé une exemption, soulignant que « les vaccins COVID sont associés à des tissus de fœtus avortés. Je suis opposée à cela. Je ne pourrais en toute conscience recevoir un vaccin, quelles que soient les circonstances », peut-on lire dans l’article.
Lire la suiteLe Sénat adopte un amendement budgétaire non contraignant visant à rétablir l’Amendement Hyde
Par Laura Nicole (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Peter Griffin/PublicDomainPictures
Un amendement budgétaire du Sénat visant à préserver l’amendement Hyde et à protéger également les droits de conscience des prestataires de soins de santé a été adopté de justesse par le Sénat par une marge de 50 contre 49 mercredi soir.
L’amendement à la résolution budgétaire du Sénat pour l’exercice 2022 proposé par le sénateur James Lankford (républicain-Oklahoma.) comprend l’interdiction de financer l’avortement sur demande avec des fonds fédéraux (amendement Hyde). L’amendement du sénateur Lankford inclut également des protections de conscience pour les prestataires de soins de santé et les compagnies d’assurance qui refusent de commettre ou de financer des avortements, protégés depuis 2004 par l’amendement Weldon. Le sénateur Joe Manchin (démocrate-Virginie-Occidentale) a rompu avec son parti pour constituer la voix décisive en faveur de l’amendement de Lankford.
« Nous remercions les champions pro-vie du Sénat pour leur travail inlassable en vue de protéger les enfants à naître et leurs mères », a déclaré Carol Tobias, présidente de National Right to Life, selon un communiqué de presse.
Bien que l’amendement Lankford au budget du Sénat ne soit pas contraignant, il signale néanmoins le soutien majoritaire de la chambre à l’interdiction du financement fédéral de l’avortement et à la protection de la conscience des médecins.
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