Vivant avec le cancer, elle s’oppose à la légalisation de l’euthanasie en Nouvelle-Zélande
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 8photo/Freepik
À l’approche du référendum sur l’euthanasie, prévu pour 19 septembre lors des élections, la Nouvelle-Zélande tient un débat sur la légalisation de l’euthanasie. Le parlement néo-zélandais a adopté un projet de loi sur l’euthanasie en novembre 2019 par 69 voix contre 51. Le gouvernement a convenu d’organiser un référendum sur ce projet de loi afin d’obtenir les votes nécessaires.
Serena Jones raconte son histoire dans un article publié par Newsroom. Jones est mère et femme d’affaires néo-zélandaise qui ont combattu le cancer pendant plusieurs années. Elle redoute la légalisation de l’euthanasie, se basant sur son expérience personnelle. L’article rapporte :
Il y a sept ans, on me donnait 25 % de possibilité de vivre cinq ans sans le retour du cancer puis, il y a deux ans de cela, on ne m’estimait que douze mois à vivre. C’est pourquoi le prochain référendum sur la fin de vie me concerne, ainsi que d’autres personnes comme moi et tout le personnel qui nous prodigue des soins. Je viens de terminer ma consultation téléphonique et mes résultats sont excellents, je n’ai aucune trace d’une nouvelle maladie dans mon corps et la tumeur n’a pas évolué depuis mon dernier examen de scanographie (scan).
Je suis à nouveau suivie de près avec une consultation médicale toutes les six semaines et je passe un examen tous les trois mois. C’est un retour du balancier vers le haut, un autre sursis offert avec soin, grâce et attention.
… Deux ans plus tard, aussi inconcevable que cela puisse être, je fais encore face à la fin de vie et bientôt un référendum sur ce sujet va être tenu. Je voudrais ajouter quelque chose de personnel à la conversation.
Jones avait réagi à son diagnostic de cancer avec colère et incrédulité au prime abord, mais ensuite elle décida d’affronter sa maladie avec courage. Elle écrit :
Mon pronostic initial était de 12 mois et ce ne fut pas long que mon oncologue en fût rendu à « me conserver en vie jusqu’à Noël ». Depuis, j’ai pu passer deux Noëls avec ma famille. Le critère principal pour avoir accès à l’aide médicale à mourir est une profonde incertitude face à la maladie, ce qui est mon cas, aussi je pourrais demander une mort assistée.
Elle décrit les relations qu’elle a développées avec les médecins qui ont pris soin d’elle durant son combat contre la maladie, elle ajoute que la relation du médecin avec le patient est cruciale ; elle évoque l’avis des médecins néo-zélandais :
Des centaines de médecins néo-zélandais ne veulent pas participer au suicide assisté et ils croient que cette tâche est immorale et qu’elle nuit à la relation du médecin avec son patient, dans la mesure où cela dépasse une limite sociale. Personnellement, je crois que nous risquons beaucoup ici.
Jones décrit l’excellent travail du corps médical de son pays et son engagement auprès des patients. Elle conclut :
Il faut comprendre que la mort est une partie intégrante de la vie. Mettons le point sur les soins palliatifs qui sont les vrais soins de fin de vie en améliorant ce que nous avons déjà. Nous devons nous engager envers de tels soins. L’euthanasie est un contournement de cet engagement.
Merci, Serena, d’avoir préconisé les excellents soins au lieu de tuer.
Vivant avec le cancer, elle s’oppose à la légalisation de l’euthanasie en Nouvelle-Zélande
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 8photo/Freepik
À l’approche du référendum sur l’euthanasie, prévu pour 19 septembre lors des élections, la Nouvelle-Zélande tient un débat sur la légalisation de l’euthanasie. Le parlement néo-zélandais a adopté un projet de loi sur l’euthanasie en novembre 2019 par 69 voix contre 51. Le gouvernement a convenu d’organiser un référendum sur ce projet de loi afin d’obtenir les votes nécessaires.
Serena Jones raconte son histoire dans un article publié par Newsroom. Jones est mère et femme d’affaires néo-zélandaise qui ont combattu le cancer pendant plusieurs années. Elle redoute la légalisation de l’euthanasie, se basant sur son expérience personnelle. L’article rapporte :
Il y a sept ans, on me donnait 25 % de possibilité de vivre cinq ans sans le retour du cancer puis, il y a deux ans de cela, on ne m’estimait que douze mois à vivre. C’est pourquoi le prochain référendum sur la fin de vie me concerne, ainsi que d’autres personnes comme moi et tout le personnel qui nous prodigue des soins. Je viens de terminer ma consultation téléphonique et mes résultats sont excellents, je n’ai aucune trace d’une nouvelle maladie dans mon corps et la tumeur n’a pas évolué depuis mon dernier examen de scanographie (scan).
Je suis à nouveau suivie de près avec une consultation médicale toutes les six semaines et je passe un examen tous les trois mois. C’est un retour du balancier vers le haut, un autre sursis offert avec soin, grâce et attention.
… Deux ans plus tard, aussi inconcevable que cela puisse être, je fais encore face à la fin de vie et bientôt un référendum sur ce sujet va être tenu. Je voudrais ajouter quelque chose de personnel à la conversation.
Jones avait réagi à son diagnostic de cancer avec colère et incrédulité au prime abord, mais ensuite elle décida d’affronter sa maladie avec courage. Elle écrit :
Mon pronostic initial était de 12 mois et ce ne fut pas long que mon oncologue en fût rendu à « me conserver en vie jusqu’à Noël ». Depuis, j’ai pu passer deux Noëls avec ma famille. Le critère principal pour avoir accès à l’aide médicale à mourir est une profonde incertitude face à la maladie, ce qui est mon cas, aussi je pourrais demander une mort assistée.
Elle décrit les relations qu’elle a développées avec les médecins qui ont pris soin d’elle durant son combat contre la maladie, elle ajoute que la relation du médecin avec le patient est cruciale ; elle évoque l’avis des médecins néo-zélandais :
Des centaines de médecins néo-zélandais ne veulent pas participer au suicide assisté et ils croient que cette tâche est immorale et qu’elle nuit à la relation du médecin avec son patient, dans la mesure où cela dépasse une limite sociale. Personnellement, je crois que nous risquons beaucoup ici.
Jones décrit l’excellent travail du corps médical de son pays et son engagement auprès des patients. Elle conclut :
Il faut comprendre que la mort est une partie intégrante de la vie. Mettons le point sur les soins palliatifs qui sont les vrais soins de fin de vie en améliorant ce que nous avons déjà. Nous devons nous engager envers de tels soins. L’euthanasie est un contournement de cet engagement.
Merci, Serena, d’avoir préconisé les excellents soins au lieu de tuer.
La Nouvelle-Zélande autorise les foules à retourner dans les cinémas, mais pas dans les églises
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere
Me direz-vous pourquoi le gouvernement néo-zélandais permet maintenant les rassemblements de cent personnes dans les cinémas et non dans les églises, où il n’autorise que dix personnes en temps ordinaire et cinquante pour les funérailles ? Considérerait-il les églises comme moins importantes que les cinémas ? Selon LifeSiteNews :
Dans le cadre d’un assouplissement progressif du confinement national, le gouvernement de la Nouvelle-Zélande a adopté une nouvelle loi qui permet à dix personnes seulement d’assister à un service religieux tout en autorisant cent personnes à se rassembler dans d’autres lieux publics tels que les restaurants, les centres commerciaux et les cinémas.
La législation a maintenant passé les trois lectures au Parlement et a reçu la sanction royale.
À la dernière minute, les funérailles ont bénéficié d’une petite dérogation permettant à un maximum de cinquante personnes de se réunir pendant deux heures au plus. Plus important encore, les mesures révisées qui étaient censées être pleinement en vigueur pendant deux ans seront désormais révisées tous les quatre-vingt-dix jours.
Les évêques de Nouvelle-Zélande, au moins, demandent au gouvernement d’étendre le nombre de personnes pouvant être présent dans une église.
La date du référendum néo-zélandais sur l’euthanasie est fixée
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik
L’euthanasie se pointe en Nouvelle-Zélande, le Premier ministre de ce pays a fixé la date du référendum par lequel la population ratifiera ou rejettera la loi légalisant l'euthanasie, qui a été adoptée par l'unique chambre législative. Selon LifeSiteNews :
Les électeurs décideront s’il faut autoriser les médecins à tuer les patients malades, faisant de la Nouvelle-Zélande le premier pays au monde à décider de l’euthanasie par référendum.
Mardi, le Premier ministre Jacinda Ardern a annoncé la tenue du référendum, qui aura lieu le 19 septembre. Le même jour, les électeurs décideront s’ils veulent remettre Mme Ardern au pouvoir.
Si le référendum sur l’euthanasie est adopté, avec plus de 50 % des voix, l’End of Life Choice Act de 2019 entrera en vigueur exactement un an après la finalisation des résultats du référendum. Actuellement, le concours et l’encouragement au suicide sont illégaux, selon le Code pénal néo-zélandais.
Si la nouvelle loi sur l’euthanasie était adoptée, elle permettrait aux médecins de prescrire une dose mortelle de substances aux patients qui demandent la mort et qu’on estime ne pouvoir vivre encore six mois.
Il y a bien sûr quelques barrières supplémentaires à l’euthanasie dans cette loi, comme le fait que la personne doit être apte à prendre la décision euthanasique, mais ça n’enlèvera rien à l’horreur de l’euthanasie ni au fait que ces barrières tomberont les unes après les autres, comme au Canada par exemple, si le peuple néo-zélandais est assez aveugle pour confirmer cette loi.
Les 100 « genres » seront-ils, ou non, adoptés à l’ONU ?
Cent « genres » ç'en fait plus que deux...
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam) ― Photo : pixel2013/Pixabay
New York, le 8 novembre (C-Fam). La semaine dernière, au quartier général de l’ONU, les nations se sont opposées [les unes aux autres] sur une proposition de traité relative aux crimes contre l’humanité. S’il est adopté, le nouveau traité changera la définition du genre dans le droit international pour y inclure plus de cent genres.
« Alors que le mot “sexe” est employé pour désigner les attributs biologiques, “genre” est maintenant utilisé plus largement pour reconnaître la diversité des identités et des expressions de genre ― homme, femme, les deux ou aucun ―, qui peuvent ou non s’aligner avec le genre typiquement ou socialement associé avec le sexe d’une personne » a dit le délégué du Canada en exprimant sa gratitude devant la décision de la Commission du Droit international de supprimer la définition du “genre” telle qu’elle apparaît dans le Statut de Rome de 1998 de la Cour Pénale Internationale.
La Commission du Droit international a proposé un projet de traité sur l’enquête […] des crimes contre l’humanité [et leur poursuite en justice], qui élimine la définition du genre du Statut de Rome. Le traité de 1998 définit le genre comme « homme ou femme dans le contexte de la société ». L’Assemblée générale doit maintenant décider si elle veut adopter ce projet, et le modifier ou non.
Les pays du nord ont salué la décision de supprimer la définition du genre comme homme et femme dans le droit international. D’autres [pays], principalement d’Afrique, s’opposent à cette modification et certains sont catégoriques sur le fait qu’abandonner cette définition du genre les empêcherait d’adhérer au traité.
[S’exprimant …] par la voix de la Norvège, les pays du nord ont dit que la modification reflétait « les réalités actuelles et le contenu du droit international » et « la construction sociale du genre, avec les rôles, conduites, activités et attributs qui en découlent pour les hommes et les femmes, les garçons et les filles ».
Lire la suiteLa Nouvelle-Zélande est en passe de légaliser l’euthanasie
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : freepik
Un pays de plus est en train de tomber dans l’escarcelle des marchants de la mort douce : après un long débat, le Parlement néo-zélandais s’est prononcé pour la légalisation de l’euthanasie. Le projet de loi End of life choice appuyé par la Première ministre Jacinda Ardern, a été adopté par 69 voix contre 51.
Cependant, pour entrer en vigueur, la loi devra être approuvée par référendum lors des prochaines élections législatives en 2020. Elle prévoit l’accessibilité au suicide assisté à tous les adultes qui en font la demande, sous réserve de deux conditions : avoir une espérance de vie inférieure à six mois et disposer du consentement de deux médecins.
Jacinda Arden, qu’un ancien membre du Parti travailliste néo-zélandais a qualifié de « presque communiste » est cette ministre qui s’est illustrée, après l’attaque de la mosquée de Christchurch par un Australien, en arborant un hidjab noir ainsi que le veut la loi coranique pour témoigner de sa proximité envers la communauté musulmane. Comme on peut le constater, elle est de tous les combats menés par la gauche et la bien-pensance mondiales au nom du progrès, destinés à déconstruire et à désintégrer les sociétés occidentales, par le Grand Remplacement par voie d’immigration et par le Grand Remplacement par procuration de la mort douce !
Un ancien avorteur néo-zélandais : J’étais exactement comme les nazis
Norman MacLean, ancien avorteur.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
Alors que la Nouvelle-Zélande s’apprête à dépénaliser l’avortement, deux vidéos d’un ancien avorteur attirent de plus en plus l’attention. Dans l’une des vidéos, il explique l’avortement chirurgical du deuxième trimestre connu sous le nom de D&E. Dans l’autre, il raconte son histoire de conversion pro-vie, lors de laquelle il a pris conscience de l’Holocauste et de l’avortement.
Le Dr Norman MacLean, de Nouvelle-Zélande, est obstétricien et gynécologue en exercice depuis près de 40 ans. Il a aidé la mise au monde de 8 000 bébés, dont 2 000 par césarienne. C’est alors qu’il était au National Specialist Service à Dundee, en Écosse, qu’il a commencé à pratiquer des avortements sans avoir beaucoup réfléchi à la question. À Dundee la pratique de l’avortement était très libérale. Par contre, en Nouvelle-Zélande, très peu d’avortements étaient pratiqués.
Dès mon premier jour à Dundee, je suis en salle d’opération [... on] me dit alors : « Pouvez-vous faire des D&Cs ? Dilatation et curetages ». Je lui dis, « Oui, pas de problème. J’en ai fait beaucoup pour des fausses couches incomplètes — une procédure courante pour les spécialistes en formation. Il a dit : “Tu peux faire le reste de la liste. J’ai dit : ‘Pas de problème. Alors, je me prépare.
L’infirmière entre et je lui demande : ‘S’il vous plaît, dites-moi quelle est l’indication pour la première opération nécessitant le D&C.’ Elle répond : ‘C’est juste comme d’habitude’. Je lui rétorque : ‘Eh bien, c’est mon premier jour de travail. Qu’est-ce qui est usuel à Dundee ?’ Elle dit : ‘Interruption de grossesse’. J’étais un peu mal à l’aise parce que je n’avais jamais interrompu une grossesse auparavant. Je savais qu’il y avait des problèmes d’éthique là-dessus, mais je n’y avais pas réfléchi sérieusement. Et puis je me dis, si je dis non, je ne suis pas à l’aise, quelqu’un d’autre va devoir venir et le faire.
Sachant que la femme était déjà sur la table avec les jambes en position, MacLean fit le D&C et procéda aux cinq suivants prévus pour ce jour. Il a continué pendant un an, effectuant environ 200 avortements en tout. Puis il a eu une révélation.
Lire la suiteDépénalisation de l’avortement adoptée en première lecture au Parlement de Nouvelle-Zélande
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Alexander Efimov/Wikimedia Commons
La Nouvelle-Zélande n’a pourtant pas intérêt à laisser sa natalité descendre encore plus bas, déjà qu’elle n’a que 1,87 enfant par femme, ce qui est déjà en dessous du seul seuil de renouvellement situé à 2,1. Extraits de la FSSPX.News :
Le Parlement de Nouvelle-Zélande a approuvé le 8 août 2019, en première lecture, un projet de loi présenté par le gouvernement visant à dépénaliser l’avortement. Si le texte franchit toutes les étapes du processus législatif, une femme pourra se faire avorter jusqu’au cinquième mois de grossesse, et même au-delà, sur simple avis médical.
[…] Jusqu’à présent, l’avortement est considéré comme un délit sur l’archipel, bien qu’un dispositif juridique permette à une femme d’avorter. Elle a besoin pour cela de la prescription de deux médecins attestant de l’existence d’un danger physique ou mental pour la mère de mener la grossesse à son terme.
Interdire les pro-vie d’autour des avortoirs :
De plus, le projet prévoit la création de zones d’exclusion de 150 mètres autour des avortoirs, dont l’accès serait interdit aux militants pro-vie […]
13 000 avortements en 2018 :
Selon des chiffres officiels, environ 13 000 avortements auraient été pratiqués en 2018 dans le pays, dont 57 après la vingtième semaine de grossesse […]
Forte opposition à la légalisation de l’euthanasie en Nouvelle-Zélande
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Des dizaines de soumissions, requêtes et propositions ont été faites dernièrement sur le site du Parlement de Nouvelle-Zélande et la grande majorité d’entre elles s’opposent à l’euthanasie. Espérons que le gouvernement néo-zélandais écoutera son peuple. Extrait de Scoop Independent News :
Selon Peter Thirkell, secrétaire de l’organisme Care Alliance, l’opposition à la légalisation de l’euthanasie s’est considérablement accrue.
« Sur les 21 277 requêtes soumises à l’enquête du Comité spécial de la santé sur les questions de fin de vie, 77 pour cent étaient opposées à la légalisation », a déclaré le Dr Thirkell. « En revanche, plus de 36 000 requêtes ont été soumises au Comité spécial de la justice au sujet du projet de loi sur les choix de fin de vie, et l’analyse préliminaire montre que l’opposition s’élève à 92 pour cent. »
Les parents de ces trois beaux enfants ont rejeté l’avortement qui leur était recommandé… et regardez-les maintenant
Olivier Hinckley
Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
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Catherine Harper et son fils Jackson |
En janvier, Live Action News a produit un article, se penchant sur Catherine Harper, une Néo-Zélandaise qui était allée en Australie afin de recevoir une chirurgie pour son fils prématuré, ayant été diagnostiqué avec le spina bifida. Le bébé avait supposément « une forme sévère de spina bifida – myéloméningocèle – de même qu’une malformation de Chiari au cervelet, cette partie du cerveau contrôlant l’équilibre. »
Catherine et son mari, Paul, se firent dire que leur enfant ne marcherait probablement jamais, et pourrait naître avec une tête considérablement grande. Catherine et Paul décidèrent de rejeter les conseils qui les dirigeaient vers l'avortement, optant plutôt pour une chirurgie, leur bébé devenant alors le premier Néo-Zélandais à subir cette chirurgie alors qu’il était encore dans l’utérus.
Depuis ce temps, les rapports indiquent que la chirurgie fut un succès. D’après MercatorNet, « Le premier scan [de Catherine] à Auckland épata les docteurs puisqu’il montrait que la formation de Chiari s’était inversée. La fermeture de l’ouverture sur la colonne vertébrale du bébé avait également empêché que les dommages des nerfs spinaux ne continuent, et les docteurs furent impressionnés par la netteté de la réparation, puisque cela avait été effectué à l’intérieur de l’utérus. »
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