La Nouvelle-Écosse cède aux transgenres et financera des implants mammaires pour les hommes
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gcasasola/PxHere
Le 8 juillet 2019 (LifeSiteNews) — Si vous êtes un contribuable canadien, votre gouvernement utilise votre argent durement gagné pour toutes sortes de choses. Par exemple, nous finançons 100 000 avortements dans le pays par année. Grâce à Justin Trudeau, nous payons 700 millions de dollars par année pour les avortements dans les pays en développement, peut-être même dans les pays où l’avortement est illégal. Les Canadiens paient également pour le radiodiffuseur d’État largement non surveillé, la CBC, qui a récemment décidé de commencer à promouvoir les enfants drag queens. Et maintenant, il s’avère que les contribuables financeront également la procuration de seins pour les hommes biologiques* souffrant de confusion de genre.
Serina Slaunwhite, un homme biologique* s’identifiant comme femme, s’est vu refuser des implants mammaires en 2017 au motif que l’opération n’était pas considérée comme médicalement nécessaire, selon la CBC. Par « refusé », bien sûr, ils veulent dire que la province de la Nouvelle-Écosse a refusé de payer pour la chirurgie esthétique, que Slaunwhite était parfaitement capable de payer. Cependant, Slaunwhite a déclaré qu’il était « injuste que la province couvre les opérations d’ablation du sein et de masculinisation pour les hommes transgenres, mais pas celles de féminisation pour les femmes transgenres ». Ce qui est bon pour l’oie est bon pour le jars, et tout ce qui s’en suit.
Étant donné que les femmes biologiques* s’identifiant comme étant de sexe masculin se font enlever les seins aux frais du gouvernement provincial, Slaunwhite a déposé l’an dernier une plainte pour violation des droits de la personne contre le ministère de la Santé, exigeant que la province paie également la procuration et la transplantation de nouveaux seins. Comme on pouvait s’y attendre, la province a cédé et a maintenant décidé de commencer à payer pour de telles procédures à compter de ce mois-ci, la Nouvelle-Écosse suivant les traces de l’Alberta, de la Colombie-Britannique et de l’Ontario. Un professionnel de la santé établira les critères d’admissibilité et évaluera les candidats. Si l’on se fie au passé, cela signifie simplement faire toutes leurs volontés.
Dans un communiqué de presse envoyé par le [parti] NPD de Nouvelle-Écosse, Slaunwhite a a regretté qu’« En Nouvelle-Écosse, deux fois plus de procédures sont financées pour les personnes qui passent de femme à homme, que celles qui passent d’homme à femme. Je sais que je suis une femme, mais c’est un défi quotidien face à la façon dont les autres réagissent envers moi et devant mon apparence. L’augmentation mammaire est un moyen vital et final d’aligner mon corps sur mon identité. » L’augmentation mammaire coûte également plusieurs milliers de dollars, et le contribuable devra donc maintenant payer pour que des hommes biologiques* comme Slaunwhite puissent « passer » pour une femme.
Lire la suiteLa Nouvelle-Écosse cède à la pression LGBT : permis de conduire neutre
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Globe and Mail/Voici la source de la photo : PxHere
Les Néo-Écossais n’ont plus à indiquer leur sexe sur leur permis de conduire et leur carte d’identité avec photo.
Le gouvernement de la Nouvelle-Écosse vient d’annoncer que ses résidents qui refusent de s’identifier comme homme ou femme auront dorénavant la possibilité d’apposer un « X » ou de taire leur sexe sur leur permis de conduire et leur carte d’identité avec photo. Cette province maritime rejoint donc dans cette démarche l’Ontario, la Saskatchewan, l’Alberta, Terre-Neuve-Labrador, le Nouveau-Brunswick, le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest.
Cette politique n’est que la seconde étape dans le processus de reconnaissance des transgenres en Nouvelle-Écosse, car depuis septembre, les Néo-Écossais peuvent apposer un « X » sur leur certificat de naissance plutôt que d’indiquer « homme » ou « femme ».
Notons également que ces derniers auront maintenant le loisir de retirer la mention de leur sexe sur leur carte d’assurance maladie, tandis que les résidents nés à l’extérieur de la Nouvelle-Écosse ont maintenant accès à des services leur permettant de supprimer cette information.
D’après la ministre provinciale des Services internes, Patricia Arab, ces mesures visent à refléter la « diversité » de la population, ajoutant que le gouvernement avait été influencé par des personnes qui soutenaient que les vieux documents ne reflétaient pas leur « identité ».
« L’une des priorités de notre gouvernement est de s’assurer que nous sommes aussi inclusifs et diversifiés que possible, et de faire en sorte que les résidents se sentent en sécurité et qu’ils ont une place ici », a lancé Mme Arab avant d’ajouter « qu’il ne s’agissait pas de la dernière étape de la discussion ».
La Nouvelle-Écosse impose le don d’organe présumé à toute la province
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Donc à moins qu’un Néo-Écossais n'ait précisé qu'il ne veut pas qu’on prélève ses organes, ou qu’il ait moins de 19 ans et que ses parents désapprouvent l’acte, la chose sera faite s’il rencontre les critères requis. Et un certain Dr Beed, responsable du plan de transplantation des organes en Nouvelle-Écosse a laissé entendre que dans les cinq prochaines années il s’attendait à une augmentation de 30 à 50 % des « dons » d’organes.
Le don d’organe n’est pas une mauvaise chose en soi, le prélèvement de certains organes ne causant pas la mort. J’entends déjà protester ceux pour qui le prélèvement d’organes vitaux se fait sur des personnes mortes… Cependant, ce n’est pas sur n’importe quels « morts » que l’on prélève, mais sur ceux dits en état de « mort cérébrale ». Or la « mort cérébrale » est un concept inventé plutôt récemment selon lequel quelqu’un ne donnant plus de signe d’activité cérébrale, et cet état devant être « irréversible », serait décédée. Les critères varient d’un pays à l’autre. Pourtant des gens se sont réveillés de cet état, une femme a mis au monde son enfant dans cet état… Si on peut s’en réveiller et donner la vie, c’est qu’on est vivant ! Extrait de Gènéthique :
L’Assemblée législative de la Nouvelle-Ecosse a adopté vendredi à l’unanimité une loi supposant le consentement au don d’organes, afin de « s’assurer qu’il y ait plus de donneurs d’organes potentiels », selon les mots du Premier ministre Stephen McNeil. C’est la première juridiction nord-américaine à adopter une telle mesure.
Le gouvernement Trudeau donne 88 000$ à des organismes en lien avec l'avortement
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C'est au début de l'année que le gouvernement fédéral a mis en place cette attestation à signer garantissant que l'organisme qui se présente pour la subvention d'Emplois d'été Canada « respecte » l'avortement, entre autres. Extrait de LifeSiteNews :
Ottawa a injecté des dizaines de milliers de dollars de l'argent des contribuables dans des organismes affiliés à Planned Parenthood par le biais du programme Emplois d'été Canada cette année, révèle un document obtenu par LifeSiteNews dans le cadre d'une demande d'Accès à l'information.
[...]
Au cours de l'été dernier, de nombreux organismes confessionnels et pro-vie n'ont pas pu obtenir de subventions d'Emplois d'été Canada pour couvrir une partie du coût des salaires des étudiants d'été. Cette année, les employeurs devaient signer une attestation indiquant qu'ils appuyaient l'avortement et les « droits » des transgenres pour obtenir des subventions pour les emplois d'été au Canada.
[...]
Bien que seulement 126 demandes d'emploi d'été Canada aient été rejetées par Service Canada en 2016, ce nombre aurait grimpé en flèche à 1 561 cette année. Parmi les plus durement touchés, mentionnons un camp biblique d'été en Alberta, une ferme ontarienne qui offre des vacances aux familles pauvres et urbaines, une entreprise familiale d'irrigation en Alberta et un musée historique rural en Nouvelle-Écosse.
Les résultats des pro-vie au congrès 2018 du Parti conservateur
Délégués votant pour une résolution lors du congrès de 2018 du Parti conservateur du Canada à Halifax.
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Sources complémentaires : Campaign Life Coalition, Parti conservateur du Canada
Un rassemblement de pro-vie A mari usque ad mare
Dans la belle ville d'Halifax, maint conservateurs de toutes les régions du Canada, dont de nombreux pro-vie, se sont rendus au congrès de 2018 du Parti conservateur du Canada, débutant le 23 août et finissant le 25 du même mois, jour décisif. Au cours du congrès, les résolutions modifiant les politiques du parti allaient être votés.
Ces résolutions, préalablement voté en atelier avant d'arriver à la plénière, définissent théoriquement la position du parti sur diverses questions. Les résolutions sont principalement votés par les délégués des circonscriptions.
Plusieurs groupes pro-vie, dont Campagne Québec-Vie et particulièrement Campaign Life Coalition (CLC), ont participer au congrès, tentant d'appuyer les résolutions positives et de rejeter les négatives.
Lire la suiteLes pro-vie seront là au congrès du Parti conservateur
Blog D’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
J’ai lu aujourd’hui dans le journal LeDevoir, qu’au congrès bisannuel du Parti conservateur seront abordés trois sujets qui nous tiennent à cœur, dont celui de la protection de l’enfant à naître. Avant de continuer plus loin, prenez garde comme d’habitude, que le mot « avortement » est souvent remplacé par l’euphémisme « interruptions volontaires de grossesse », l’« euthanasie », constamment par « aide médicale à mourir ». Ainsi donc, 72 résolutions seront débattues du 23 au 25 août lors du congrès, et :
« Deux d’entre elles proposent de biffer du programme du parti l’engagement de ne pas présenter de loi sur l’avortement et de remplacer ce passage par la reconnaissance que “la protection de la vie d’un enfant à naître est un objectif législatif tout à fait valable”.
Une troisième résolution propose que l’avortement soit “explicitement exclu” de l’aide internationale du Canada. En 2010, le gouvernement de Stephen Harper, hôte du Sommet du G8, avait créé la controverse en décidant que son initiative phare sur la santé maternelle exclurait les interruptions volontaires de grossesse.
Des militants de la Saskatchewan demanderont que le PC s’oppose à l’élargissement de l’aide médicale à mourir aux mineurs, aux personnes atteintes d’une maladie mentale et aux personnes ayant signifié leur désir de mourir mais devenues inaptes par la suite.
[…]
Une autre résolution propose d’abroger la loi ayant ajouté “l’identité ou l’expression de genre” aux motifs interdits de discrimination. Les militants ontariens à l’origine de cette résolution estiment que cette mesure législative, adoptée l’an dernier, “oblige les Canadiens à utiliser les pronoms [inventés] iel et ille”. »
Le Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.