Nouvelles pressions sur le Nouveau-Brunswick pour qu’il subventionne les avortoirs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : ptra/Pixabay
La province canadienne du Nouveau-Brunswick fait l’objet d’une énième tentative de pression pour l’obliger à financer l’avortement en dehors du cadre hospitalier. Selon Gènéthique :
La province du Nouveau-Brunswick […] ne « couvre pas les frais liés à l’avortement qui seraient engagés en dehors du cadre hospitalier ». Ceux-ci sont estimés entre 700 et 850 dollars canadiens. Dans cette province de 780 000 habitants, trois hôpitaux publics pratiquent des avortements. L’Association canadienne des libertés civiles (ACLC) a porté plainte le 6 janvier, considérant que le « refus de financer les avortements dans les cliniques privées » est contraire à la Charte des droits et libertés de la personne […]
Le gouvernement Trudeau commande des millions de seringues en vue du vaccin COVID-19
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
On voit que le gouvernement Trudeau ne démord pas de l’idée d’un vaccin contre le coronavirus, malgré le fait qu’il s’agisse d’un virus qui mute rapidement. Comme si ce n’était pas assez, le Canada avait annoncé il y a quelques semaines le projet de faire tester au Canada un vaccin fabriqué en Chine, cultivé sur une lignée de cellules de bébé avorté.
37 millions de seringues, selon LifeSiteNews :
Le gouvernement canadien a commandé 37 millions de seringues pour l’administration d’un éventuel d’un vaccin contre le COVID-19 à chaque Canadien, annonçait mardi le ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand.
« Nous continuons également à travailler pour nous procurer les autres fournitures nécessaires à d’éventuelles vaccinations de masse systématiques », déclarait Anand, rapporte CTV. « Nous nous assurons que lorsqu’un vaccin viable sera découvert, le Canada sera prêt à l’administrer ».
Aucun calendrier n’a été fixé pour la livraison des seringues, qui sont produites par Becton Dickinson Canada. La quantité serait presque suffisante pour toute la population du pays.
« Nous tenons compte du nombre maximum de Canadiens qui pourraient souhaiter être vaccinés », affirmait le Dr Theresa Tam, administratrice en chef de l’Agence de la santé publique du Canada.
Mais 40 % de la population ne veut pas d’un vaccin obligatoire, le gouvernement devrait donc plutôt baisser la quantité de sa commande d’environ autant, si ses intentions sont vraiment de ne piquer que les gens volontaires. Car justement, il est à craindre que l’admirateur de la dictature communiste chinoise, Justin Trudeau, veuille en venir là, laissant dans le vague cette question :
La nouvelle fait craindre que l’éventuel vaccin ne soit obligatoire, d’autant plus que le Premier ministre Justin Trudeau refusa à plusieurs reprises d’exclure cette possibilité. « En ce qui concerne les types de protocoles de vaccination qui seront mis en place, nous avons encore pas mal de temps pour y réfléchir afin de bien faire les choses », déclara-t-il en avril.
Les vaccins ne sont pas obligatoires pour la plupart des gens au Canada, ce qui, selon les experts, est pour le mieux, à la fois en termes de praticabilité (en particulier s’il n’y a pas une quantité suffisante pour chaque citoyen) et de mise en vigueur. Le ministre de l’Éducation du Nouveau-Brunswick, Dominic Cardy, fait pression afin qu’un projet de loi, mettant fin aux exemptions pour raisons philosophiques, religieuses et autres exemptions non médicales à la vaccination des écoliers, soit adopté.
Ceci est assez curieux quand on pense que le Nouveau-Brunswick n’a eu pratiquement aucune mort attribuée au coronavirus.
Le gouvernement néo-brunswickois tient bon et ne finance pas un avortoir privé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : katemangostar/Freepik
Le gouvernement de Justin Trudeau tient absolument à ce que l’avortement soit accessible à toute femme qui pourrait être susceptible d’y recourir au Canada ― et ailleurs dans le monde. (Combien de femmes n'auraient peut-être jamais songer à l’avortement du seul fait de son impossibilité et n’auraient pas conçu le désir d’y recourir ? Bien sûr, il y a sans doute des femmes qui voudraient se faire avorter même si cela ne semble pas possible, mais le seul fait de la disponibilité engendre des désirs qui n’existeraient autrement pas. Créer des situations crée des désirs…) C’est pourquoi il faisait pression jusqu’à récemment sur le gouvernement du Nouveau-Brunswick afin que celui-ci finançât la clinique privée d’avortement 554 de Fredericton pour qu’elle restât ouverte ; elle serait prétendument sur le point de fermer, bien que cela fasse quatre mois qu’elle le clame. Selon Campaign Life Coalition (CLC) :
Vous avez peut-être récemment entendu parler de la fermeture imminente de la Clinique 554 — un abattoir à enfant à naître de Fredericton au Nouveau-Brunswick. Cette usine d’avortement privée et à but lucratif a connu des difficultés financières tout au long de ses 25 ans d’existence. Elle a déjà fermé une fois (en 2014) pour instabilité financière, et elle a menacé de fermer à nouveau.
L’automne dernier, la clinique 554 avait annoncé qu’elle fermerait son horrible entreprise et mettrait son bâtiment en vente d’ici la fin de l’année 2019. Ses propriétaires exigèrent alors que le gouvernement provincial intervînt et les finançât, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. Les partisans de l’avortement de tout le pays commencèrent alors à se plaindre, et même les libéraux de Trudeau menacèrent le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs.
Ce n’est d’ailleurs pas la seule province qui ait subi les pressions du gouvernement fédéral en ce sens. CLC poursuit plus loin :
Le 31 décembre arriva et repartit. Aucun renflouement n’avait été proposé. Le premier ministre tenait bon. Cependant, d’une manière ou d’une autre, la clinique 554 continuait de fonctionner — elle continua à tuer — et son bâtiment ne fut pas mis en vente.
La pression que les libéraux de Trudeau exerçaient ne fit qu’augmenter au cours de la nouvelle année, retenant quelque 140 216 dollars de financement fédéral destinés aux soins de santé des Néo-Brunswickois, à cause de l’affaire de la clinique 554. Le premier ministre Trudeau, abusant de toute évidence de son pouvoir, a cherché à forcer le premier ministre Higgs à renflouer cette entreprise d’avortement à but lucratif qui avait échoué, et il était prêt à faire souffrir tous les Néo-Brunswickois en conséquence.
Mais, peut-être à cause des pressions de groupes pro-vie, dont CLC, qui soutenaient la décision néo-brunswickoise ou encore plus certainement du bête fait de réactions gouvernementales au coronavirus, le fédéral a décidé de verser quand même à la province les 140 216 dollars qu’il retenait. CLC continue :
Aujourd’hui, une fois de plus, nous voyons de nouveaux articles dans les médias décrivant la « fermeture imminente » de la clinique 554 [...]
Cependant, ce dernier article sur la clinique 554 (qui, je vous le rappelle, était censée avoir fermé il y a quatre mois), n’est peut-être qu’une tentative éhontée de plus de faire de la propagande et maintenir la pression sur le gouvernement Higgs.
Trudeau s’engage à veiller à ce que le Nouveau-Brunswick finance les avortements dans les cliniques privées
Justin Trudeau, Premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joshua RM Dewberry/US Air Force, domaine public
Justin Trudeau veut que son parti paraisse plus pro-avortement que tous les autres partis politiques engagés dans les présentes élections fédérales, aussi s’engage-t-il à forcer, s’il le faut, le Nouveau-Brunswick à financer les avortements commis dans les « cliniques » destinées à cette pratique barbare. La CBC rapporte :
Le chef libéral Justin Trudeau s’est lancé dans le débat sur l’accès à l’avortement au Nouveau-Brunswick mardi, s’engageant à forcer le gouvernement provincial à financer la procédure dans une clinique privée de Fredericton, sur le point de fermer.
Tentant de faire contraste avec son rival conservateur, Trudeau a certifié que s’il gagnait les élections de cette semaine prochaine, il « s’assurerait » que les avortements ayant lieu à la clinique 554 soient financés par le gouvernement progressiste-conservateur du Nouveau-Brunswick.
« Nous veillerons à ce que le gouvernement du Nouveau-Brunswick permette l’accès, l’accès payé, aux cliniques qui offrent des services d’avortement à l’extérieur des hôpitaux », proclamait-il, en choisissant ses mots avec soin lors d’une escale de campagne électorale dans une maison privée non loin de la clinique.
« Je vais m’asseoir avec le Premier ministre Higgs, si réélu, et lui faire savoir que nous utiliserons tous les outils à notre disposition, y compris ceux existant en vertu de la Loi canadienne sur la santé. »
C’est-à-dire la suspension de l’apport financier du fédéral au système de santé de la province, méthode qui avait marché avec l'Île du Prince Édouard, sous le même Trudeau.
Lire la suiteLa ministre fédérale de la Santé demande aux provinces de financer entièrement les frais de l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Nouveau-Brunswick/Flickr
La ministre fédérale de la Santé exige des provinces, dans une lettre destinée aux législateurs, qu’elles payent rubis sur l’ongle les frais liés à l’avortement. L’Ontario et le Nouveau-Brunswick se rebifferaient. Extrait du The Globe and Mail :
La ministre fédérale de la Santé, Ginette Petitpas Taylor, demande à toutes les provinces d'éliminer les obstacles à l'accès à l'avortement, se disant préoccupée par les politiques et les frais qui sont « en décalage » avec la loi fédérale.
Cependant, ses homologues provinciaux de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick, où certaines patientes doivent payer pour avoir accès à des services d'avortement […] ont promptement rejeté la demande de Mme Petitpas Taylor.
Devant la réaction de certaines provinces, le gouvernement fédéral ne dédaignerait pas de les obliger à suivre ses désirs en les menaçant de retenues fiscales dans le domaine de la santé (comme il l’a déjà fait pour l’Île-du-Prince-Édouard, pour l’obliger à fournir des avortements), d’après The Globe and Mail :
Le cabinet de Mme Petitpas Taylor a dit qu'il était trop tôt pour préciser les mesures qu'il prendrait si les provinces continuaient de faire fi de la loi fédérale sur la santé. Par le passé, le gouvernement fédéral a eu recours à la retenue des paiements de transfert en matière de santé pour réagir aux infractions à la Loi canadienne sur la santé.
Le Nouveau-Brunswick semble décidé à ne pas céder, d’après The Globe and Mail :
Lire la suiteDans une déclaration, un porte-parole du ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick a rejeté la demande de Mme Petitpas Taylor de modifier la politique.
"Il n'y a aucune intention de notre part de changer le statu quo, a écrit Bruce Macfarlane.
Justin Trudeau a encore dû répondre à une question sur sa religion
Justin Trudeau, Premier ministre du Canada.
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : CPAC (7 h 30 à 18 h 50)/Voici la source de la photo : Mohammad Jangda, Flickr/Wikimedia Commons/CC BY-SA 2.0
Ce qui est sûr et certain, c'est que Justin Trudeau n'agit pas en catholique et qu'il a plutôt du culot de se réclamer du catholicisme. — A. H.
Pour la énième fois, Justin Trudeau a assuré qu’il était catholique.
Justin Trudeau a continué sa tournée des grands-ducs en s’arrêtant cette fois à Miramichi, au Nouveau-Brunswick, où s’est tenue une assemblée populaire le 24 janvier dernier, année électorale oblige.
Or, comme il l’a fait à quelques reprises depuis qu’il est Premier ministre, M. Trudeau a dû répondre à une question sur ses allégeances religieuses. « Je suis catholique ; j’ai été élevé de façon catholique », a-t-il répondu tout de go en précisant que, durant sa jeunesse, la famille Trudeau allait à l’église le dimanche matin et lisait la Bible le dimanche soir.
Compte tenu de sa grande proximité avec la communauté musulmane, M. Trudeau alimente la confusion chez certains quant à ses croyances en matière de religion. L’an dernier, un animateur de la station radiophonique FM93 lui avait dit qu’en raison de son parti pris pour l’islam, plusieurs pensaient qu’il avait adopté cette confession, ce que le Premier ministre avait évidemment nié.
À Miramichi, ce dernier a également dû s’expliquer sur le programme Emplois d’été Canada*. Fait connu, Emplois d’été Canada bloque tout financement aux entreprises qui n’adhèrent pas à la position libérale sur l’avortement, le mariage homosexuel et les transgenres. Un pasteur a donc voulu obtenir des éclaircissements à ce sujet, mais le PM s’est contenté de dire que s’il ne s’opposait pas aux croyances de ces groupes, il était néanmoins contre l’idée de leur allouer des fonds publics.
*Le gouvernement canadien aurait récemment changé les conditions d’admission au financement d’Emploi d’été Canada :
La nouvelle attestation demandera toujours à l’employeur ou au groupe sans but lucratif d’attester que « l’emploi » pour lequel l’étudiant est embauché « ne sera pas utilisé pour miner ou restreindre l’exercice des droits légalement protégés au Canada ». Plus précisément, elle rend inéligibles tous les activités ou projets de travail qui « s’efforcent activement d’entraver ou de restreindre l’accès des femmes aux services de santé sexuelle et reproductive ».
La nouvelle attestation reste donc inacceptable, car en la signant l’employeur reconnaît indirectement que l’Avortement est un droit.
Le ressac antifrançais
Par l’historien Jean-Claude Dupuis Ph. D. — Photo : RogerMosley/Pixabay
Si les Canadiens-français avaient continué d’avoir leur natalité d’antan, s’ils n’étaient pas tombés dans les divorces religieux et matrimonial et s’ils ne s’étaient pas adonnés à la contraception et à l’avortement, ils seraient un peuple florissant et le gouvernement (qui serait alors sans doute tout autre) n’aurait pu faire entrer autant d’immigrants. — CQV
Les coupures budgétaires du gouvernement de l’Ontario dans les services en français et les préjugés francophobes qui animent le nouveau gouvernement du Nouveau-Brunswick soulèvent la question de la place du bilinguisme au Canada. Le discours méprisant, voire raciste, de certains anglophones envers la minorité française nous rappelle les sombres heures de l’abolition des écoles bilingues de l’Ontario par le Règlement 17 (1912) ou des écoles franco-catholiques par les Common School Act au Nouveau-Brunswick (1871) et au Manitoba (1890).
André Laurendeau, le coprésident de la Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme (1963-1968) qui a recommandé l’adoption de la loi fédérale sur les langues officielles (1969), a dit un jour qu’il avait été surpris de découvrir le poids politique disproportionné de la communauté anglo-québécoise dans la fédération canadienne. Les Anglo-Québécois, disait-il, se sentaient menacés par la montée du nationalisme canadien-français. Ils voulaient donc imposer le bilinguisme à tout le Canada pour empêcher l’unilinguisme français de triompher au Québec. L’histoire a confirmé la prédiction d’André Laurendeau. Pierre Elliott Trudeau aura été essentiellement le défenseur des Anglais de Montréal. Sa Charte des Droits et Libertés (1982) visait d’abord à contrer la Loi 101.
Lire la suiteDifficile d'être un fier partisan du mariage traditionnel en terre acadienne
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Huffington Post / Voici la source de la photo : Pixabay
Une municipalité située au Nouveau-Brunswick s'est fait rabrouer pour avoir hissé un drapeau célébrant l'hétérosexualité*.
La municipalité de Chipman, un village du Nouveau-Brunswick composé d'un peu plus de 1100 habitants, a causé tout un coup d'éclat, dimanche dernier, en hissant un drapeau célébrant la fierté hétérosexuelle. Après avoir reçu de nombreuses plaintes, le conseil de ville a finalement décidé, une journée après avoir érigé le drapeau, de concéder la victoire aux contestataires et de retirer l'étendard hétérosexuel.
Une « manifestation de haine »
Bien que le conseil municipal ait déjà voté en faveur d'arborer les couleurs de l'arc-en-ciel pour soutenir la communauté LGBTQ en juin dernier, des personnes ont considéré que célébrer ouvertement l'hétérosexualité pouvait être préjudiciable pour les individus homosexuels.
Lire la suiteLe Canada réduit les restrictions pour la prescription de pilules abortives dangereuses
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, le 7 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien étend l’accès à la pilule abortive, permettant son utilisation pour avorter des enfants à naître jusqu’à 9 semaines après la fécondation. De plus, il sera dorénavant possible aux pharmaciens de la distribuer directement, sans l’avis d’un médecin.
La décision de Santé Canada était basée sur de l’information fournie par Linepharma, commanditaire du médicament, selon une information du département, mise à jour et publiée jeudi [7 novembre].
Linepharma est représentée au Canada par la compagnie Celopharma.
Santé Canada a dit avoir effectué « une étude approfondie des publications scientifiques nouvelles et actuelles sur l’innocuité et l’efficacité de Mifegymiso. »
Elle a donc autorisé ce qui suit :
- Mifegymiso peut maintenant être administré jusqu’à la 9e semaine (63 jours) de grossesse, au lieu de la limite précédente allant jusqu’à la 7e semaine (49 jours).
- Mifegymiso peut maintenant être distribué directement aux patients par le pharmacien, ou par tout professionnel de la santé pouvant prescrire des médicaments.
- Les professionnels n’ont plus besoin de compléter un programme d’éducation avant de prescrire Mifegymiso.
- L’obligation du consentement écrit du patient pour l’utilisation de Mifegymiso a été retirée.
- Les professionnels de la santé n’ont plus besoin de s’enregistrer chez Celopharma pour pouvoir prescrire ou distribuer Mifegymiso.
Le Parti Libéral du Nouveau-Brunswick veut gaspiller près de 700 000 $ de plus pour les avortements...
Sur le site de Radio-Canada du 20 décembre 2014 :
(Photo du centre hospitalier Dr-Georges-L.-Dumont où 500 avortements ont lieu chaque année par Stu_pendousmat sur wikimédia.org, licence creative commons)
Selon les informations obtenues par La Presse canadienne, faciliter l'accès à l'avortement coûtera à la province entre 500 000 $ et 700 000 $ de plus par année.
Le ministre de la Santé, Victor Boudreau, estime de 900 à 1100 le nombre d'avortements pratiqués annuellement au Nouveau-Brunswick.
Avec 700 000 dollars et plus, ce sont de nombreux centres d'aide aux femmes enceintes en difficulté que l'on pourrait soutenir, ainsi qu'un réseau qui faciliterait l'adoption.