Pas de piqûre, pas de nourriture, au Nouveau-Brunswick
Par David Cooke (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
« Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. » (2 Thessaloniciens 3:10)
L’apôtre Paul a écrit cette maxime pour s’adresser à ceux qui refusaient de travailler et de gagner leur vie. Contrairement à ceux qui ne pouvaient pas travailler en raison de leur âge ou de leur maladie, ceux qui ne voulaient pas travailler par paresse ne devaient s’attendre à aucun avantage particulier. L’apôtre dit qu’il n’y a pas de gratuité pour les flâneurs intentionnels.
Avance rapide de 2 000 ans jusqu’au 22e mois de la crise du COVID au Nouveau-Brunswick. D’une manière ou d’une autre, le principe inspiré par saint Paul a été perverti et complètement inversé. Nous entendons maintenant une nouvelle maxime de la part de nos dirigeants politiques, qui ressemble à ceci :
« Celui qui ne veut pas être vacciné, qu’il ne mange pas non plus. »
C’est ce que dit l’« évangile » du premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs. Le premier ministre a donné le feu vert aux épiceries de la province pour refuser l’entrée aux personnes non vaccinées. Pouvez-vous le croire ?
Peut-être que ce concept paraît vertueux aux yeux de nos politiciens. Ils pensent peut-être que cela « motivera » davantage de personnes à se faire piquer. Mais le fait est que : c’est absolument cruel et inhumain. Et c’est la chose la plus éloignée de l’Évangile du Christ !
Si une personne refuse de travailler, ne gagne pas d’argent et ne peut pas acheter de nourriture, il est vrai qu’elle a créé son propre dilemme.
Pourtant, même les personnes qui refusent délibérément de travailler sont souvent les bénéficiaires de la bonté des dons alimentaires ou des programmes gouvernementaux financés par les contribuables. Et même les grands criminels qui ont tué et violé reçoivent une allocation quotidienne de nourriture lorsqu’ils sont incarcérés dans les prisons gérées par le gouvernement.
Mais si une personne est heureuse de travailler, mais n’est pas autorisée à acheter de la nourriture en raison d’une politique gouvernementale contre les personnes non vaccinées, c’est le gouvernement qui crée son dilemme !
Lire la suiteUne province canadienne autorise les épiceries à interdire les personnes non vaccinées
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
6 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — La province canadienne du Nouveau-Brunswick permet maintenant aux épiceries d’interdire les personnes non vaccinées dans le cadre de son soi-disant « plan d’hiver » COVID.
Le samedi 4 décembre, la province canadienne du Nouveau-Brunswick a imposé les mesures les plus restrictives du pays envers les personnes non vaccinées contre le COVID-19. Le « plan hivernal » prévoit notamment que les épiceries, les centres commerciaux et les salons de beauté interdisent l’accès à leurs locaux aux personnes non vaccinées ou appliquent une « distanciation sociale ». Parallèlement, le gouvernement soumettra les citoyens non vaccinés à un isolement obligatoire de 10 jours lorsqu’ils entreront ou retourneront dans la province.
Citant des taux d’infection « très préoccupants », la ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard, a déclaré à ses concitoyens : « Avec l’hiver vient un temps plus froid, des journées plus courtes, plus de temps passé à l’intérieur et plus d’occasions pour le COVID-19 de se propager ».
« Il est important que nous ayons un plan en place qui garantisse que notre système de soins de santé ne soit pas débordé, mais qui tienne également compte de la santé mentale, physique et financière des Néo-Brunswickois. »
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques catholiques au sujet de leur appui aux mesures « sanitaires » et particulièrement aux vaccins
Par Mark Mallett (markmallett.com) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/AdobeStock
Lettre ouverte aux évêques catholiques
Les fidèles du Christ sont libres de faire connaître leurs besoins,
surtout leurs besoins spirituels, et leurs souhaits aux Pasteurs de
l’Église.
Ils ont le droit, en effet parfois le devoir,
en fonction de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur
position,
de manifester aux pasteurs sacrés leurs vues sur les questions
qui concernent le bien de l’Église.
et de les faire connaître aux autres fidèles
mais ce faisant, ils doivent toujours respecter l’intégrité de la foi et de la
morale,
montrer le respect dû à leurs pasteurs,
et prendre en compte à la fois
le bien commun et la dignité des individus.
— Code de droit canonique, 212
CHERS évêques catholiques,
Après un an et demi de vie dans un climat de « pandémie », je suis contraint par les données scientifiques indéniables et les témoignages d’individus, de scientifiques et de médecins de supplier la hiérarchie de l’Église catholique de remettre en question son appui massif aux « mesures de santé publique » qui, en fait, mettent gravement en danger la santé publique. Alors que la société est divisée entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés » — ces derniers souffrant de tout, de l’exclusion de la société à la perte de revenus et de moyens de subsistance — il est choquant de voir certains bergers de l’Église catholique encourager ce nouvel apartheid médical.
Il y a sept prémisses que l’Église a apparemment acceptées comme des faits scientifiques mais qui ne sont, en fait, au mieux, que de la pseudoscience. Je vais aborder chacune d’entre elles ci-dessous. Bien que je sois actuellement un évangélisateur laïc au sein de l’Église, mon parcours professionnel est celui d’un ancien journaliste de télévision avec CTV Edmonton au Canada. En tant que tel, je suis revenu à mes racines journalistiques ces derniers temps dans l’espoir de percer la censure intense et la culture de l’annulation qui ont privé les fidèles et le monde en général d’informations critiques qui représentent une question de vie ou de mort — une question en effet de « bien commun ». Le romancier américain Upton Sinclair a dit un jour : « Il est insensé d’être convaincu sans preuve, mais il est tout aussi insensé de refuser d’être convaincu par des preuves réelles. »
Avant d’aborder ces sept prémisses, il y a un thème sous-jacent qui a été accepté par la société dans son ensemble et qui a causé d’énormes dégâts. Et c’est l’idée tout à fait nouvelle qu’une personne en parfaite santé est en quelque sorte une menace virale. Le Dr Peter McCullough, MD, MPH, FACC, FAHA, est probablement le plus grand expert au monde aujourd’hui sur la réponse à la pandémie et le médecin le plus cité de la National Library of Medicine. Il a déclaré récemment :
Lire la suite« Le virus ne se propage pas de manière asymptomatique. Seuls les malades le donnent à d’autres ». — 20 septembre 2021, entretien, Gab tv, 6:32
L’archevêque de Moncton fait marche arrière : le vaccin covid n’est plus nécessaire pour aller à la messe
Mgr Valéry Vienneau, archevêque de Moncton.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese Moncton/YouTube
Moncton, Nouveau-Brunswick, 27 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’archevêque de Moncton au Nouveau-Brunswick (Canada) a retiré un décret exigeant que les paroissiens se fassent doublement vacciner contre le COVID-19 pour assister à la messe dans son diocèse.
Le 24 septembre, l’archevêque de Moncton, Mgr Valéry Vienneau, a mis à jour les directives publiées quelques jours plus tôt, le 17 septembre, annulant la nécessité d’être « doublement vacciné » contre le nouveau coronavirus pour pouvoir assister « aux messes du dimanche ou de semaine, aux baptêmes et aux groupes de prière ».
Mis en œuvre le 22 septembre, le décret de vaccination, qui s’appliquait à toute personne âgée de plus de 12 ans, n’a duré que deux jours avant d’être annulé, apparemment en raison de « nouvelles directives de la ministre de la Santé » du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard.
Les nouvelles mesures, adoptées par les quatre évêques de la province, stipulent désormais qu’« aucune preuve de vaccination ne sera exigée » pour assister à la plupart des services religieux, y compris les messes et les baptêmes, mais que l’accès aux mariages et aux funérailles sera toujours limité aux personnes ayant reçu les injections expérimentales de vaccin COVID.
« Pour les funérailles et les mariages, il n’y a pas de distance à respecter, ce qui permet remplir l’église et il n’est pas nécessaire de tenir un registre des personnes présentes. Mais pour être admise, une personne doit avoir la preuve d’une vaccination complète », lit-on dans les nouvelles instructions de Mgr Vienneau.
Les personnes qui enseignent la catéchèse aux enfants doivent également avoir reçu la double piqûre, selon le communiqué, ainsi que les adultes qui souhaitent assister aux cours.
Les employés des paroisses ne sont pas tenus d’être « vaccinés », bien que l’archevêque ait déclaré qu’il soit « hautement souhaitable » qu’ils reçoivent les vaccins contaminés par l’avortement. Ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner seront toutefois soumis à des tests de dépistage du COVID « périodiquement, conformément à la politique gouvernementale », et devront porter un masque facial « en tout temps ».
Lire la suiteUn prêtre canadien refuse dans son église le « système de marquage » des passeports vaccinaux
Le Père Stefano Penna.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un prêtre catholique canadien a qualifié les passeports vaccinaux de « système de marquage » du gouvernement et a juré qu’un tel système ne sera « jamais » utilisé dans son église.
« Une chose que je sais, c’est que nous ne pouvons pas participer à la mise en œuvre par le gouvernement d’un système de marquage qui identifie les purs et les impurs, les lépreux et les non-lépreux, les vaccinés et les non-vaccinés, car cela reviendrait à céder aux pouvoirs de ce monde ce qui n’appartient qu’à Dieu », a déclaré le Père Stefano Penna, prêtre de la co-cathédrale catholique Saint-Paul à Saskatoon, en Saskatchewan, dans une homélie dimanche dernier.
« Ce passeport vaccinal permet de participer au culte de Dieu. Je ne demande pas aux gens quand ils viennent communier s’ils sont en état de grâce. Pourtant, frères et sœurs, en termes d’éternité, c’est beaucoup plus important que l’état de leur corps. Cela n’arrivera jamais dans cette église, jamais. »
L’homélie du Père Penna a été publiée sur le site internet The Countdown to the Kingdom, mais à ce jour, elle n’a pas encore été publiée sur sa chaîne YouTube ni sur le site de la co-cathédrale catholique Saint-Paul.
Dans son sermon, le Père Penna a laissé entendre que son message pourrait être « annulé » tout en remettant en question le récent mandat d’un archevêque canadien qui a interdit aux personnes n’ayant pas reçu le vaccin COVID d’assister à la messe.
« J’entends dire [par] certains, pour des raisons quelconques, [que] je ne peux pas juger les dirigeants de l’église [qui] ont acquiescé à ce passeport vaccinal et que cela ne sera jamais diffusé parce que ce sera annulé », a déclaré le Père Penna.
Il n’y a pas de « place au gouvernement pour l’amour »
Le Père Penna est bien connu dans l’Ouest canadien pour avoir prêché avec une ferme conviction pour défendre les enfants à naître. Dans le passé, il n’a pas hésité à dire les vérités morales traditionnelles enseignées par l’Église catholique ainsi que celles du Catéchisme de l’Église catholique.
Dans son sermon de dimanche, le Père Penna a déclaré qu’il n’y a pas de « place dans le gouvernement pour l’amour » et a dénoncé l’hypocrisie des mandats de vaccination du gouvernement alors que la société assassine les « non-nés ».
Lire la suiteLe diocèse de Saint John au Nouveau-Brunswick continuera à recevoir les fidèles non vaccinés au covid, contrairement aux autres diocèses
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
J’avais écrit au début de la semaine un article rapportant la décision des diocèses d’Edmundston et de Moncton au Nouveau-Brunswick de refuser l’accès à la messe à ceux n’ayant pas reçu deux doses de vaccin covid... Je rapportais également le communiqué du diocèse de Saint John, ne précisant pas si le diocèse se proposait à accueillir ou à rejeter les non-vaccinés à la messe, son communiqué n’étant pas clair sur ce point précis, mais rassurant les fidèles qu’ils auront toujours accès aux sacrements. Ce matin j’ai lu quelques précisions là dessus.
Le diocèse de Saint John, contrairement aux autres diocèses, continuera d’accueillir les fidèles non vaccinés au covid, déclarant que le gouvernement néo-brunswickois ne nommait pas spécifiquement les cérémonies religieuses (pourtant si, les mariages et funérailles, à moins qu’il ne s’agisse des banquets, repas ou autres sortes de réunions suivant la cérémonie proprement dite) dans son décret ordonnant la vaccination obligatoire pour certains rassemblements intérieurs, et que le diocèse ne peut priver les fidèles de la messe et des sacrements ! Selon CNA :
« Personne ne se verra refuser l’accès à la messe, ni à aucun autre sacrement », a déclaré à CNA Natasha Mazerolle, directrice des communications du diocèse de Saint John, le 22 septembre ... « [Le diocèse] reconnaît que les fidèles ne doivent pas être exclus des sacrements pour quelque raison que ce soit, et que l’Eucharistie est la source et le sommet de notre foi ... » Mme Mazerolle a déclaré que « les cérémonies (y compris la messe catholique) ne sont pas directement mentionnées dans le règlement gouvernemental. » Elle a ajouté que « le droit d’un individu à pratiquer sa religion est protégé par la Charte canadienne des droits et libertés. »
Mais alors, les autres diocèses pourraient aussi recevoir les fidèles non vaccinés... Ce qui me donne à penser qu’ils se font plus César que César.
Les diocèses du Nouveau-Brunswick annoncent que les non-vaccinés ne pourront pas aller à la messe
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/AdobeStock
Le diocèse de Saint John, contrairement aux autres diocèses, continuera d’accueillir les fidèles non vaccinés au covid, déclarant que le gouvernement néo-brunswickois ne nommait pas spécifiquement les cérémonies religieuses (pourtant si, les mariages et funérailles, à moins qu’il ne s’agisse des banquets, repas ou autres sortes de réunions suivant la cérémonie proprement dite) dans son décret ordonnant la vaccination obligatoire pour certains rassemblement intérieurs, et que le diocèse ne peut priver les fidèles de la messe et des sacrements ! Selon CNA :
« Personne ne se verra refuser l’accès à la messe, ni à aucun autre sacrement », a déclaré à CNA Natasha Mazerolle, directrice des communications du diocèse de Saint John, le 22 septembre ... « [Le diocèse] reconnaît que les fidèles ne doivent pas être exclus des sacrements pour quelque raison que ce soit, et que l’Eucharistie est la source et le sommet de notre foi ... » Mme Mazerolle a déclaré que « les cérémonies (y compris la messe catholique) ne sont pas directement mentionnées dans le règlement gouvernemental. » Elle a ajouté que « le droit d’un individu à pratiquer sa religion est protégé par la Charte canadienne des droits et libertés. »
Mais alors, les autres diocèses pourraient aussi recevoir les fidèles non vaccinés... Ce qui me donne à penser qu’ils se sont faits plus César que César. — Mise à jour : 24 septembre 2021
Suite à l’annonce publiée le 16 septembre par le gouvernement du Nouveau-Brunswick — déclarant que les personnes non-vaccinées au covid ne pourront plus accéder à certains événements et lieux comme les festivals, restaurants, bars, cinémas, gymnases, « rassemblements organisés à l’intérieur comme les mariages, les funérailles », ou visites dans les établissements de soins de longue durée (autrement dit : si vous n’êtes pas piqué, vous ne pourrez pas voir vos grands-parents…), et ce, dès 22 septembre 2020 — les diocèses d’Edmundston et de Moncton ont publié le 17 septembre un communiqué statuant froidement que les non-vaccinés ne pourraient pas se rendre dans les églises, même pour assister à la messe…
Les deux diocèses, respectivement dirigés par Mgr Claude Champagne pour Edmundston et Mgr Valéry Vienneau pour Moncton, ont essentiellement publié le même communiqué — c’est pourquoi je ne me rapporterai qu’à celui d’Edmundston — où ils disent s’être réunis avec le ministre de la santé néo-brunswickois, dans le cadre d’une réunion avec les dirigeants de diverses religions, et que le ministre en question avait « demandé » (« exigé » serait un mot plus juste) que seuls les fidèles pouvant faire preuve de leur double vaccination pourront participer aux rassemblements — sans exception — ayant lieu dans les bâtiments religieux. Cela signifie, selon le communiqué :
Pour tout rassemblement à l’intérieur de nos églises, de nos presbytères ou de centres communautaires sous notre supervision, les personnes présentes devront être doublement vaccinées.
- Par rassemblements, nous entendons : les célébrations religieuses (messes dominicales et sur semaine, réunions de prières, baptêmes, mariages et funérailles, confirmation, premier pardon, première communion), les réunions paroissiales et pastorales, les réunions de catéchèse, les assemblées de gestion, les conférences, les ateliers, les réunions fraternelles et sociales, les bingos, les parties de cartes, etc.
- Par personnes présentes, nous entendons : les prêtres, les ministres laïcs, les membres des chorales, les bénévoles, les fidèles et autres participants. Ceci vaut aussi pour les membres des familles ou les amis proches à l’occasion des baptêmes, mariages ou funérailles. Les jeunes de moins de 12 ans sont naturellement exemptés par cette mesure, ne pouvant pas présentement être vaccinés.
On a des frissons quand on lit un texte pareil, ainsi, les fidèles catholiques non vaccinés ne pourront pas assister à la messe, même le dimanche ! Ils ne pourront pas assister aux baptêmes d’un des leurs ni aux funérailles ni à la première communion. Pourront-ils eux-mêmes communier ou se confesser, dans le cadre d’une rencontre privée avec un prêtre ? Ça ne risque pas d’arriver souvent… Et un doute horrible me titillait lors de la lecture de ce texte insensible : les candidats au baptême pourront-ils être baptisés s’ils ne sont pas vaccinés, s’ils sont majeurs, ou si ceux qui les présentent aux fonts baptismaux ne le sont pas ? Comme le texte ne mentionne pas les parents du bébé dans le cas du baptême, ou les fiancés dans le cas du mariage, je pense que les deux communiqués (semblables par ce qu’ils déclarent) n’interdisent pas le baptême ou le mariage aux non-vaccinés.
Lire la suiteJustin Trudeau, le dictateur pro-mort du Canada
Par Peter Borromeo (peterborromeo.com) — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec permission
Pour se préparer à prendre le contrôle absolu du peuple, les marxistes en Chine et en Russie, et les nazis en Allemagne ont créé des divisions parmi les citoyens, désignant des groupes distinctement identifiables à considérer comme des ennemis. Une fois les préjugés inculqués, les citoyens maltraitaient et attaquaient les groupes ciblés. Le gouvernement donnait son approbation tacite par son silence ou en encourageant la violence. C’était le cas pour les Juifs en Allemagne. Les nazis présentaient les Juifs comme la cause de tous les problèmes du pays. Ce préjugé instillé à l’égard des Juifs a conduit à des attaques violentes et à la persécution de ceux-ci par leurs concitoyens. En fin de compte, ce sont les nazis qui ont déclenché le génocide des Juifs, tandis que la population générale, pleine de préjugés, est restée les bras croisés pendant que l’holocauste se déroulait.
Lorsque les régimes communistes ont pris le contrôle de certains pays, ils ont mis la main sur les médias afin de maîtriser et de subvertir la population. Ils ont également reconnu que l’Église catholique est une religion universelle (mondiale) qui enseigne que toute vie humaine est sacrée pour Dieu et que la famille nucléaire est fondamentale pour établir une société juste. L’Église condamne formellement le communisme comme un mal et, par conséquent, les communistes interdisent la pratique de la foi catholique. En introduisant le divorce sans faute et en légalisant la contraception, l’avortement et l’euthanasie, les communistes tentent de détruire l’Église et la famille nucléaire. Cependant, ils savent qu’être humain, c’est être religieux et ils ne peuvent donc pas se contenter de laisser un vide, mais ils veulent plutôt introduire une nouvelle religion où les gens vénéreront l’État.
Le contrôle des médias grand public est essentiel pour exercer le contrôle souhaité par les marxistes sur la population. La Société Radio-Canada (SRC), qui a un passé de partialité anti-chrétienne, est financée par les contribuables à hauteur d’un milliard de dollars par an. Selon le journaliste Derek Fildebrandt, Trudeau a progressivement influencé le contenu de divers médias et magazines par un long processus de réglementation, d’octroi de licences et de subventions. Écrivant dans le journal Western Standard le 10 octobre 2020, il a révélé comment l’infiltration marxiste a permis à Trudeau de mener à bien son plan visant à placer l’ensemble des médias canadiens sous la supervision du gouvernement.
« Dans son budget 2019, le gouvernement Trudeau a déployé près de 600 millions de dollars de subventions pour les médias sélectionnés qui obtiennent l’approbation du gouvernement fédéral. Désormais, l’écrasante majorité des médias canadiens est achetée et payée par le gouvernement fédéral. En particulier, par le Parti libéral, qui a accordé de généreuses subventions des contribuables aux médias qui se conforment à ses diktats. »
La « presse libre », qui est essentielle à la protection de la démocratie canadienne, a été achetée par Trudeau et, comme telle, n’existe plus.
Ayant réussi sur ce front, Trudeau a présenté au Parlement un projet de loi qui donnerait à son gouvernement le contrôle du contenu des médias sociaux. Il n’a pas été en mesure de mener à bien cette facette de son plan avant que le Sénat n’aille en vacances d’été. Si des élections sont déclenchées entre-temps [ce qui est le cas*], le projet de loi mourra, mais s’il est réélu, il peut et veut réessayer. Les libéraux ont déjà rédigé une proposition de ce qu’ils aimeraient voir figurer dans cette nouvelle législation. La majeure partie de cette proposition est remplie de sujets tels que les discours haineux et l’incitation à la violence, qui sont déjà couverts par la législation existante. La répétition de ces questions a pour but de dépeindre les opposants au projet comme étant en faveur de ces crimes, tout en dissimulant ce qu’ils cherchent réellement à accomplir. C’est-à-dire censurer ce qu’ils considèrent comme un discours nuisible dirigé contre eux-mêmes. En cas de succès, critiquer Trudeau et d’autres politiciens sur les médias sociaux pourrait devenir une infraction.
Lire la suiteLe premier ministre canadien Justin Trudeau va dépenser 366 000 $ pour la propagande pro-avortement au Nouveau-Brunswick
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les responsables de la santé du Nouveau-Brunswick affirment que le nombre d’avortements a diminué de 20 % au cours des cinq dernières années. La « demande » pour l’avortement est inexistante, a déclaré un responsable de la santé de la province à CBC News.
Cela devrait être une raison de se réjouir. Mais le premier ministre canadien Justin Trudeau, un politicien radicalement pro-avortement, tente de contraindre la province à augmenter le nombre d’avortements.
Mardi, son administration a annoncé un nouveau projet à l’Université du Nouveau-Brunswick pour étudier l’accès à l’avortement dans la province, selon l’article. Le ministre de la Santé, Patty Hajdu, a déclaré qu’elle avait alloué 366 000 $ à cette recherche.
Il semble que l’objectif de l’étude sera de soutenir l’industrie privée de l’avortement au Nouveau-Brunswick ─ qui consiste actuellement en un seul établissement d’avortement, la Clinique 554 à Fredericton.
Hajdu a fait cette annonce devant la Clinic 554 mardi, selon CBC News.
Voici un extrait de l’article :
Lire la suiteLa recherche portera principalement sur le travail effectué à la Clinique 554 entre 2015 et 2020 et identifiera les lacunes et les obstacles, comme les coûts, le transport, la stigmatisation et la discrimination.
Le gouvernement fédéral sortirait de ses compétences s’il finançait directement le service de santé, a déclaré Mme Hajdu.
Mais Ottawa peut aider à fournir aux défenseurs [de l’avortement] des données pour démontrer le besoin de cliniques et « faire en sorte qu’il soit impossible pour les électeurs néo-brunswickois d’ignorer ces histoires », a-t-elle dit.
Justin Trudeau fait pression sur le Nouveau-Brunswick afin qu’il finance l’avortement en clinique privée
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau punit la province du Nouveau-Brunswick pour avoir limité le financement des avortements sur les deniers publics.
Mardi, le premier ministre pro-avortement a déclaré que son administration cesserait d’accorder des fonds fédéraux pour les soins de santé à la province parce qu’elle limite l’accès aux avortements, rapporte la presse canadienne. M. Trudeau a également affirmé que la province enfreignait la Loi canadienne sur la santé.
La loi du Nouveau-Brunswick est loin d’être extrême. La province couvre les avortements électifs avec l’argent des contribuables dans trois hôpitaux publics. Sa loi n’interdit que le financement provincial des avortements électifs dans les centres d’avortement privés.
Selon la presse canadienne, un porte-parole de l’administration Trudeau a déclaré que le Nouveau-Brunswick sera privé d’un financement d’environ 140 216 $. [Un geste symbolique, un grain d’encens lancé à son électorat pro-avortement !]¹
Cependant, Tabitha Ewert, conseillère juridique de We Need a Law, une organisation nationale qui milite en faveur de restrictions légales² sur l’avortement au Canada, a déclaré que l’administration Trudeau avait mal interprété la Loi canadienne sur la santé.
« La Loi canadienne sur la santé a été adoptée dans les années 1980 pour permettre au gouvernement fédéral d’aider les provinces à assumer les coûts des soins de santé », a déclaré Ewert. « Elle n’a jamais été conçue pour usurper la capacité des gouvernements provinciaux à administrer les soins de santé, car cela serait inconstitutionnel. Elle énonce plutôt les principes de base qui guident le financement tout en respectant le fait que les gouvernements provinciaux sont les mieux placés pour répondre aux besoins de leurs administrés en matière de soins de santé et qu’ils ont la capacité de personnaliser leurs plans de soins de santé en conséquence. »
Elle souligne que de nombreux services médicalement nécessaires ne sont pas couverts par le financement public, notamment les soins dentaires, la psychiatrie et l’optométrie.
« Il n’y a aucune raison pour que les avortements pratiqués dans une clinique privée bénéficient d’une considération particulière »³, a déclaré Ewert.
Au Nouveau-Brunswick, le seul centre d’avortement indépendant est la Clinique 554 [constamment sur le point de fermer, si l’on en croit les pro-avortement, mais qui s'arrange pour fonctionner]¹ à Fredericton, qui propose des avortements jusqu’à 16 semaines de grossesse. Elle facture 700 à 850 dollars par avortement, selon son site Internet.
Selon le rapport, l’Union canadienne des libertés civiles conteste également la loi du Nouveau-Brunswick devant les tribunaux.
¹Commentaire d’A. H.
²Le problème est que les restrictions à l’avortement proposées par ce groupe sont gestationnelles, c’est-à-dire portant sur l’âge de l’enfant à naître, ce qui n’a jamais été la bonne voie à suivre. — A. H.
³De plus, l’avortement, étant le meurtre d’un enfant à naître, ne saurait bénéficier d’aucune reconnaissance légale ou publique. — A. H.