Ces jumeaux nés à 22 semaines de grossesse rentrent maintenant chez eux
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les jumeaux Harley et Harry Crane sont sortis de l’hôpital ce printemps, des mois après que les médecins aient prédit qu’ils n’avaient « aucune chance » de survivre.
Le Mirror rapporte que les jumeaux sont nés prématurément à 22 semaines et cinq jours de grossesse et ont passé 140 jours à l’hôpital. Le 14 mars 2022, leurs parents, Jade et Steve Crane, ont amené leurs bébés à la maison pour la première fois.
« Je suis tellement fière de mes bébés. Ce sont de petits combattants. Ils se portent à merveille. Ils font toutes les choses qu’on nous avait dit qu’ils ne feraient pas. Ils pleurent, ils survivent », a déclaré leur mère.
Harley et Harry seraient les plus jeunes jumeaux prématurés à avoir survécu au Royaume-Uni, et leurs vies sont des miracles à plus d’un titre.
Pendant plus d’une décennie, les Crane ont lutté contre l’infertilité, et ils ont perdu trois bébés à naître à la suite de fausses couches avant que Jade ne devienne enceinte de Harley et Harry, selon le Liverpool Echo.
Jade Crane a déclaré qu’elle s’est inquiétée tout au long de sa grossesse de perdre également les jumeaux.
« J’avais tellement peur de faire une fausse couche ou que quelque chose se passe mal. J’étais encore incrédule lorsque nous sommes arrivés à 20 semaines... », se souvient-elle. « J’avais acheté quelques vêtements mais j’ai pensé que je ferais mieux de garder les étiquettes, au cas où. Je n’arrivais pas à y croire. »
Lire la suiteUne étudiante sage-femme suspendue 4 mois parce membre d’un organisme pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Être pro-vie peut vous occasionner des ennuis, dans le cas particulier d’une étudiante en dernier année du métier de sage-femme, en Grande-Bretagne, le simple fait d’être membre d’un organisme pro-vie lui a valu d’être suspendue pendant quatre mois, le temps d’une enquête sur ses aptitudes professionnelles… D’après Gènéthique :
Au Royaume-Uni, une étudiante en dernière année d’école de sage-femme qui était membre d’une association de défense de la vie a été suspendue pendant 4 mois, le temps qu’une enquête soit menée sur son aptitude à exercer la profession. Par une décision du 13 janvier 2020, le Comité d’Aptitude Professionnel a rejeté les allégations et l’étudiante a été réhabilitée. Toutefois, sa suspension l’a empêchée de passer ses examens, prolongeant ainsi la durée de ses études. L’étudiante vient de déposer une plainte auprès de l’Université et entend se défendre.
Un Britannique porteur de trisomie 21 fête ses 77 ans
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gillnisha/Pixabay
Nottingham, Royaume-Uni, 29 août, 2019 (LifeSiteNews) — On ne s’attendait pas à que Georgie Wildgust vive au-delà de l’âge de 10 ans, mais l’homme de Nottingham a fêté son 77e anniversaire le 24 août dernier, en bonne santé et accompagné par sa famille et ses amis.
Nottingham, la ville de Robin des Bois. — Photo : Max Pixel
Né avec la trisomie 21, Wildgust est un jardinier à la retraite, décrit comme « très indépendant » par sa nièce, Nikki, Wright, qui lui rend visite chaque semaine à Watcombe Circus, une maison de soins pour personnes handicapées à Carrington où il habite avec 11 autres résidents, selon le Nottingham Post.
« Il est si heureux en tout temps. Il est incroyable. À sa naissance, sa mère s’est fait dire qu’il ne vivrait pas au-delà de l’âge de 10, mais regardez-le maintenant ! » s’exclama Wright.
« Sa mère lui a toujours dit qu’il était capable de faire n’importe quoi et c’est pour ça qu’il a toujours été très indépendant. Il n’aime pas qu’on lui dise quoi faire, mais je pense que c’est pour ça qu’il a atteint 77 ans » confia-t-elle au Nottingham Post.
Wright attribue également la longévité de son oncle à sa « vie sociale active » au centre, où il a déménagé en 1993 après la mort de sa mère.
Wildgust aime danser et chanter le karaoké, et « avait l’habitude de suivre des cours de théâtre chaque semaine, ce qu’il aimait. Il le fait moins maintenant, mais il reste occupé, » dit-elle.
« Je pense que le fait d’être occupé et de socialiser l’a vraiment aidé. Le personnel est fantastique ; c’est comme une famille ici. »
L’assistant en soins infirmiers, Javine Lacey a déclaré au Nottingham Post que Wildgust passe des heures à dessiner et à colorier.
« Il adore ça. Il n’écoute que BBC1 à la télé. Il saurait tout de suite s’il n’est pas sur la bonne chaîne » expliqua-t-elle.
« Il est un miracle. Il a connu des problèmes médicaux cette année et il a été mis en soins de fin de vie, mais il a rebondi », a ajouté Lacey.
« À son retour de l’hôpital, il a juste dit “ça va bien, chère ?” comme si rien ne s’était passé. »
Lire la suiteLes médecins insistaient pour que Vanellope fût avortée parce que sont cœur serait hors de sa cage thoracique. Voyez comment elle va maintenant
Vanellope Hope Wilkins.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par François Volff
La petite Vanellope Hope Wilkins ne serait pas vivante aujourd'hui si sa mère avait écouté les demandes répétées de ses médecins de se faire avorter.
À seulement neuf semaines de grossesse, Vanellope a été diagnostiquée d'un cœur ectopique, un état où le cœur se développe en dehors de la poitrine, rapporte le Daily Mail . Les médecins ont conseillé à Naomi Findlay, de Nottingham, en Angleterre, d'avorter de sa fille à naître après avoir dit que Vanellope avait des chances de survie « presque nulles ».
Wilkins a refusé, malgré des pressions répétées pour accepter l'avortement, et aujourd'hui, le bébé Vanellope est vivant et s'améliore chaque jour.
« On nous a dit que notre meilleur pari était d'avorter, et tout mon univers est tombé en miettes », a déclaré Dean Wilkins, le père de Vanellope.
Findlay a décrit la pression qu'ils subissaient pour choisir l'avortement.
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