12 décembre — Notre-Dame de la Guadeloupe
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Il y a près de 500 ans, l’Empire aztèque arrosait encore le sol mexicain de ses sacrifices humains. Et aujourd’hui, le meurtre intentionnel d’humains se fait encore, non pas par les Aztèques barbares, mais dans nos hôpitaux et nos cliniques d’avortements par ceux qui soignent le corps, les médecins.
Le culte satanique des Aztèques fut écrasé par Notre-Dame de la Guadeloupe lorsqu’elle apparut en 1531 à un jeune indien au Mexique lui demandant de bâtir une église. Le résultat de cette conquête glorieuse fut la conversion de plus de huit millions d’habitants.
Aujourd’hui, 12 décembre, nous fêtons Notre-Dame de la Guadeloupe, patronne de l’enfant à naître, et conséquemment du mouvement pro-vie. Comme elle écrasa le culte aztèque, ce sera elle qui écrasera le culte de l’avortement, l’origine du mot nahuatl Guadeloupe étant coatllope, « celui qui écrase le serpent (Wikipédia). »
Le moyen que cette conquérante du ciel employa fut la construction physique d’une église, la construction du lieu sacré du Saint Sacrifice de la Messe. Ainsi, les sacrifices perfides de Satan seront renversés par le Sacrifice de la Rédemption renouvelé sur nos autels.
Demandons à Notre-Dame de la Guadeloupe, qui purifia le sol mexicain tâché de sang avec le Sacrifice par excellence, de purifier notre sol canadien et le monde entier du crime abominable de l’avortement avec le même Sacrifice de son fils sur la Croix. Cette Croix par laquelle les hommes furent rachetés sera l’arme avec laquelle Dieu triomphera sur Satan et ses œuvres maléfiques, et avec laquelle toute victoire sera gagnée comme l’affirme la vision de Constantin, In hoc signo vinces, « Par ce signe tu vaincras ».
Le cardinal Burke dénonce le « Great Reset », la grande réinitialisation sans Dieu imposée au nom du COVID-19
Cardinal Raymond Leo Burke.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Alpha News/YouTube
Le cardinal Raymond Burke était samedi dans son ancien diocèse de La Crosse, Wisconsin, pour la fête de Notre Dame de Guadalupe, qu’on honore outre-Atlantique sous le titre d’Impératrice des Amériques. C’est au sanctuaire de celle-ci qu’il a prononcé une homélie grave, centrée sur les graves dangers qui menacent les Etats-Unis et le monde.
Visiblement soucieux, il a dénoncé « la progression mondiale du matérialisme marxiste » à la faveur du COVID-19 : en effet, c’est bien un socialisme international qui se met en place, sans que l’Eglise ne semble réagir. C’est la progression du Great Reset que le cardinal Burke a nommément désigné, dénonçant plus loin « des forces séculières qui voudraient faire de nous les esclaves de leur projet meurtrier et impie » : sans Dieu.
En espagnol, le cardinal a longuement évoqué le message de Notre Dame de Guadalupe qui nous demande de ne pas avoir peur, puisque nous sommes entre ses bras.
Je vous propose ci-dessous ma traduction non officielle de la partie anglophone de ce sermon publiée par LifeSiteNews. — J.S.
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Nous venons à Notre-Dame de Guadalupe au jour de sa fête, le cœur lourd et troublé. Notre nation traverse une crise qui menace son avenir même en tant que nation libre et démocratique. La progression mondiale du matérialisme marxiste, qui a déjà entraîné mort et destruction dans la vie d’un si grand nombre de personnes, et qui a menacé les fondations de notre nation pendant des décennies, semble désormais s’emparer du pouvoir de gouvernement de notre nation.
Nous nous sommes autorisés en tant que nation, afin d’engranger des profits économiques, de nous rendre dépendants du Parti communiste chinois, une idéologie totalement opposée aux fondations chrétiennes sur lesquels les familles ainsi que notre nation s’appuient pour rester en sécurité et prospérer.
Je parle ici des États-Unis d’Amérique, mais il est évident que de nombreuses autres nations sont en proie à une crise similaire, tout aussi alarmante.
Il y a aussi le mystérieux virus de Wuhan, à propos duquel les médias nous donnent quotidiennement des informations contradictoires, tant quant à sa nature qu’aux moyens de s’en préserver. Ce qui est clair, cependant, c’est qu’il a été utilisé par certaines forces, hostiles aux familles et à la liberté des nations, pour faire avancer leur programme maléfique. Ces forces nous disent que nous sommes maintenant les sujets de ce qu’on appelle le Great Reset, la « grande réinitialisation », cette « nouvelle normalité » qui nous est imposée par leur manipulation des citoyens et des nations au moyen de l’ignorance et de la peur.
Lire la suiteNotre-Dame de Guadalupe
Image miraculeuse de Notre-Dame de Guadalupe.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée, côtés flous rajoutés) : Wikimedia Commons
Aujourd’hui, samedi 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadalupe, proclamée « patronne des Amériques » par Jean-Paul II en l’an 2000.
À l’époque où la Vierge apparut à saint Juan Diego, en 1531, les indigènes du Mexique restaient attachés à leur culte païen, à l’adoration des démons, avec tout ce que comprend une telle pratique : les sacrifices humains. Pourtant, depuis 1521, les Espagnols avaient conquis Mexico, libérant les indigènes du lourd tribut humain que demandait le culte officiel aux idoles, le contact avec les missionnaires de l’Ancien Monde n’avait apporté alors que peu de conversion.
Peu après les apparitions de la Sainte Vierge sur la colline de Tepeyac, près de 8 millions d’Indiens demandèrent le baptême. Ce fut donc Elle qui mit définitivement fin aux sacrifices sanglants qui souillaient cette terre.
Notre-Dame de Guadalupe, sur l’image miraculeuse qu’elle nous a laissée, porte une ceinture noire qui indiquait la grossesse chez les Aztèques. La seule image miraculeuse où la Vierge montre aussi évidemment sa maternité divine !
C’est pour ce signe de la maternité divine et la fin des sacrifices humains que le mouvement pro-vie a pris pour protectrice la Très Sainte Vierge, sous le vocable de Notre-Dame de Guadalupe.
Notre-Dame de Guadalupe, priez pour les enfants à naître et pour nous !
Le prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Par Bree A. Dail (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Notre-Dame de Guadalupe est la patronne des pro-vie, aussi ne saurions-nous rester indifférents aux actes d’idolâtrie rendus aux statuettes de Pachamama, parodies de N.-D. de Guadalupe selon un exorciste mexicain, actes qui, outre leur sens idolâtre, blasphèment contre la Sainte Vierge par le culte qu’ils rendent à une caricature diabolique de l’Auguste Mère de Dieu.
Si nous parlons de cette affaire, c’est également parce que l’un des buts de notre organisme est de promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun. Et un autre, de promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes.
Pour promouvoir la foi chrétienne il faut donc la défendre de toutes atteintes qui lui sont portées. — A. H.
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Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l’on peut voir ici sur le blog d’Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l’archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d’idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.
La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l’Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.
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Qu’est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie. De nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ; ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetions l’idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J’ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Avez-vous parlé à des exorcistes d’Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
Oui, j’ai parlé à un exorciste de Mexico qui m’a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l’Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n’est rien de moins qu’une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s’achever — cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l’Église (romaine).
Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l’image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux — où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c’est important ?
Bien sûr, c’est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
Lire la suiteL’affaire de la peinture de Notre-Dame de Guadalupe continue
Millie Francis et sa fresque de Notre-Dame de Guadalupe.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il y en a décidément qui n’aiment pas la peinture ou la religion catholique, ou les deux. Toujours est-il qu’une dame de 85 ans habitant dans un parc de maisons mobiles à Bradenton en Floride s’était fait ordonner de retirer une image de Notre-Dame de Guadalupe qu'elle avait peinte sur sa devanture, elle s'est aussi vue menacer de poursuite par la direction du parc parce qu’elle désirait garder cette image sur le devant de sa maison.
Maintenant, les avocats de la direction du parc de maison mobile en sont rendus à demander une arbitration entre la direction et Mme Millie Francis.
Ce qui est à remarquer est que c’est très probablement parce que l’image en question dérange d’une façon ou d’une autre la direction du Bradenton Tropical Palms que celle-ci elle importune ainsi une femme âgée. Extraits du Bradenton Herald :
Lire la suiteL’affaire de Mme Francis fut rendue publique au début du mois de novembre lorsque la direction de la propriété lui a demandé d’enlever la peinture, représentant Notre-Dame de Guadalupe [...]
Une semaine plus tard, des avocats représentant le parc de maisons mobiles l’ont menacée d’intenter un procès si elle n’enlevait pas la fresque dans les 30 jours. Mme Francis ne l’a pas fait et maintenant les avocats tentent de forcer l’enlèvement du tableau.
Ils ont aussi blâmé Mme Francis pour la publicité négative dont la direction du parc a fait l’objet.
Notre-Dame de Guadalupe, celle qui mit fin aux sacrifice humains
Notre-Dame de Guadalupe, Reine du Mexique et Impératrice des Amériques.
Billet de blogue d’Augustin (Campagne Québec-Vie) — Photos : angelofsweetbitter2009/Flicr, Missa Tridentina em Brasília/Wikimedia Commons et Nueva Basílica de Nuestra Señora de Guadalupe/Wikimedia Commons
L’image Notre-Dame de Guadalupe est, entre autres, un symbole de l’Apocalypse : la femme enveloppée de soleil, la lune sous les pieds, couronnée d’étoiles. La nature miraculeuse de l’image et tous les signes qui y sont présents ont fortement touché les Indiens. Extrait de Vers demain :
Lorsque les Indiens eurent appris la nouvelle des apparitions de Notre-Dame, un enthousiasme et une joie jamais connus se répandirent parmi eux. Renonçant à leurs idoles, à leurs superstitions, à leurs sacrifices humains et à la polygamie, beaucoup demandèrent le Baptême. Neuf ans après les apparitions, neuf millions d’entre eux se sont convertis à la foi chrétienne, soit presque 3000 par jour! Les détails de l’Image de Marie touchent profondément ces Indiens : cette femme est plus grande que le dieu-soleil puisqu’elle apparaît debout devant le soleil; elle surpasse le dieu-lune puisqu’elle tient la lune sous ses pieds; elle n’est plus de ce monde puisqu’elle est entourée de nuages et tenue au-dessus du monde par un ange; ses mains jointes la montrent en prière, ce qui signifie qu’il y a quelqu’un de plus grand qu’elle.
Au passage, pour ceux qui pourraient craindre que les Indiens ne se soient portés à quelques idolâtries envers Notre-Dame de Guadalupe, ils peuvent se rassurer, car l’Église ne les aurait sûrement pas baptisés sans leur avoir bien enseigné le catéchisme.
Juan Diego, dévoilant à toutes les personnes
présente et à lui-même l’image de Notre-Dame
de Guadalupe, le 12 décembre 1531.
L’image de Notre-Dame de Guadalupe
Une femme de 85 ans menacée de poursuite pour avoir peint la Vierge Marie
Millie Francis et sa peinture de Notre-Dame de Guadalupe.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il y a vraiment un peu partout dans le monde occidental des gens qui détestent les images catholiques. Cette femme de 85 ans habite dans un parc de maison mobile à Bradenton en Floride, et, pour avoir peint une image de Notre-Dame de Guadalupe sur sa devanture, elle se voit menacer de poursuite par la direction du parc parce qu'elle désire garder cette image sur le devant de sa maison. Extrait de LifeSiteNews :
Un parc de maisons mobiles menace d'intenter une action en justice contre une femme de 85 ans de Floride pour avoir peint l'image de la Sainte Mère sur le devant de sa maison.
Les avocats de Bradenton Tropical Palms ont envoyé un avis à Millie Francis le 9 novembre qu'elle avait 30 jours pour enlever une image de Notre-Dame de Guadalupe ou faire face à une poursuite, a déclaré le Bradenton Herald.
« Ils devront d'abord me tuer », avait dit Francis quelques jours avant de recevoir l'avis émanant de la gestion du parc qui lui enjoignait d'enlever l'image.
La date limite approchant, elle a dit au Herald mardi : « Ça ne s'en ira nulle part. »
La peinture de Notre Dame est située sur un morceau de contreplaqué où se trouvait autrefois la fenêtre avant de Francis.
En avril, elle a demandé et obtenu la permission de faire enlever la fenêtre parce que le personnel de sécurité du parc patrouillaient avec leurs lampes de poche pendant la nuit. Elle avait aussi une voisin qui pouvait voir dans sa maison par la fenêtre.
Francis, une pieuse catholique, a peint l'image récemment dans l'espoir d'encourager tous ceux qui la voyaient à prier.
« Parce que je pense qu'il est important de rappeler aux gens de prier tous les jours, pas seulement une fois par mois ou d'aller à l'église une seul fois par mois », a-t-elle dit au Bradenton Herald. « Et priez tous les jours parce que nous en avons terriblement besoin. »