Une province canadienne autorise les épiceries à interdire les personnes non vaccinées
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
6 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — La province canadienne du Nouveau-Brunswick permet maintenant aux épiceries d’interdire les personnes non vaccinées dans le cadre de son soi-disant « plan d’hiver » COVID.
Le samedi 4 décembre, la province canadienne du Nouveau-Brunswick a imposé les mesures les plus restrictives du pays envers les personnes non vaccinées contre le COVID-19. Le « plan hivernal » prévoit notamment que les épiceries, les centres commerciaux et les salons de beauté interdisent l’accès à leurs locaux aux personnes non vaccinées ou appliquent une « distanciation sociale ». Parallèlement, le gouvernement soumettra les citoyens non vaccinés à un isolement obligatoire de 10 jours lorsqu’ils entreront ou retourneront dans la province.
Citant des taux d’infection « très préoccupants », la ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard, a déclaré à ses concitoyens : « Avec l’hiver vient un temps plus froid, des journées plus courtes, plus de temps passé à l’intérieur et plus d’occasions pour le COVID-19 de se propager ».
« Il est important que nous ayons un plan en place qui garantisse que notre système de soins de santé ne soit pas débordé, mais qui tienne également compte de la santé mentale, physique et financière des Néo-Brunswickois. »
Lire la suiteEn rupture avec le Noël traditionnel
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawf8/Adobe Stock
Notre société touche-t-elle encore du doigt la réalité de Noël ?
Du moins en apparence, le concept du Noël traditionnel est de plus en plus étouffé. Le mot lui-même a été menacé, sans succès, par un document de la Commission européenne qui « recommandait de supprimer les références à Noël et de parler plutôt de “vacances” (Breizh Info) ».
Puisque Noël fête la venue du Sauveur et conséquemment la conquête de la vie de grâce sur la mort du péché, sommes-nous surpris que Noël s’éclipse parallèlement avec la culture de vie ?
Se souvient-on encore de l’origine du sapin de Noël : l’arbre de Vie ?
Cet arbre de vie, auquel on accrochait des pommes, représentait l’arbre du Paradis terrestre duquel Adam et Ève prirent le fruit défendu. Ainsi, les sapins que nous avons aujourd’hui sont enracinés dans une tradition directement liée à la fête de Noël puisqu’ils évoquent la raison pour laquelle Jésus s’est incarné : le péché de nos premiers parents.
Mais même cette tradition se déracine, du moins à Bordeaux.
The Epoch Times rapporte que le maire EELV Pierre Hurmic avait déclaré lors d’une conférence de presse en septembre 2020 qu’il ne voulait pas « d’arbre mort sur les places de la ville ».
Le sapin traditionnel, baptisé de façon divergente par Hurmic « arbre mort », sera alors remplacé cette année par un sapin fait, « de verre et d’acier recyclés et recyclables ». Ce sapin en matières non vivantes évoquera-t-il vraiment l’arbre de vie ? À voir...
La crèche traditionnelle, qui évoque la réalité de Noël plus que toutes les autres coutumes, souffre aussi de cet étouffement du Noël traditionnel, comme le reflètent la crèche 2020 du Vatican, qui a fait tant de vagues, ou encore celle de l’Église Saint Eustache.
La Commission européenne fait marche arrière sur la communication inclusive — Noël et prénoms chrétiens sauvés
Helena Dalli, commissaire européen.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : European Parliament/Flickr
Face au tollé instantané suscité par ses « lignes directrices pour une communication inclusive », la Commission européenne, ce repère de technocrates non élus, mais tout puissants, fait marche arrière. Cette véritable folie qui a engendré l’indignation de milliers de citoyens à travers l’Europe et fait rebondir l’actualité sur les principaux médias européens, provoquant l’intervention de dizaines d’eurodéputés et de dirigeants politiques, de l’Italien Matteo Salvini, à la candidate à l’élection présidentielle Marine Le Pen, est remisée dans le tiroir… jusqu’à une occasion plus propice de l’imposer.
Au moins pour cette année, Noël est donc en sécurité des folies linguistiques de la Commission européenne. Dans ce document interne, il était demandé de ne pas utiliser le mot Noël ou les noms Marie et Jean en raison de leur origine chrétienne afin de ne pas offenser les minorités, de ne pas entamer une conférence avec l’habituelle formule « mesdames et messieurs », et de ne pas utiliser l’expression « coloniser Mars » mais « envoyer des humains sur Mars » compte tenu de la connotation négative du mot colonisation.
Cette préciosité inclusive s’en prenait aussi aux mots « vulgaires » comme mère, père, famille sans oublier gay, homosexuels et lesbiennes qu’il faut absolument combiner avec des expressions plus légitimes comme personnes gay, personnes homosexuelles, personnes lesbiennes.
Dans le nouveau vocabulaire de cette novlangue que tout membre du personnel du Parlement européen et de la Commission européenne aurait dû apprendre par cœur pour être de plus en plus « politiquement correct », la collaboration avec la cancel culture semble de plus en plus évidente : il ne sera plus possible de dire et d’écrire « mariage homosexuel » ce qui déjà en soi est une fausseté linguistique, mais il sera remplacé par « mariage égalitaire ». Et les « droits des homosexuels » laissent la place à « un traitement juste et égal ». Evidemment, il faut aussi oublier le « sexe biologique »* remplacer par le « sexe assigné à la naissance » et ne plus dire « changement de sexe », afin de lui préférer le terme plus correct de « transition de genre ».
Lire la suiteL’historicité des Rois Mages
Châsse des Rois Mages, dans la cathédrale de Cologne en Bavière.
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Beckstet/Wikimedia Commons
Depuis des décennies, le Prions en Église nous a habitués à des commentaires privilégiant le doute sur les textes bibliques. Manière supposée de paraître intelligent ou véritable ignorance, personne ne le sait. Par contre, dans le dernier Prions en Église, nous avons droit à une affirmation péremptoire fondée sur du vent. Voici cet exemple dans le Prions en Église du 3 janvier contenant les textes liturgiques célébrant la grande fête de l’épiphanie, visite des mages à l’enfant Roi :
Matthieu est le seul évangéliste à rapporter la visite des mages. Il ne s’agit pas d’un reportage historique. Au cours des âges, on s’est permis d’ajouter bien des données au texte évangélique. On a imaginé que les mages étaient trois rois, nommés Melchior, Gaspar et Balthasar, que le premier avait la peau blanche, le deuxième, jaune, et le troisième, noir. La légende a peut-être voulu donner aux mages un nombre parfait, les rendre plus réels en leur trouvant un nom et en faire des gens importants venus d’ailleurs pour honorer le nouveau-né de Bethléem. (P. 30.)
En lisant ce paragraphe, on peut penser tout de suite à une paraphrase de la célèbre citation de Louis Pasteur. « Un peu de théologie éloigne de l’historicité des évangiles. Beaucoup en rapproche. »
Plutôt que la vulgarisation bébête que l’on retrouve dans le Prions, regardons ce que nous disent les experts de la question.
D’abord René Laurentin, dans l’œuvre magistrale et de référence Les Évangiles de l’enfance du Christ, Vérité de Noël au-delà des mythes. Rappelons que le père Laurentin « a fait partie d’une Commission établie à Rome, par la Congrégation de la foi, pour élucider l’historicité des Évangiles de l’enfance. »
Lire la suiteL’Humilité incarnée en Jésus
Par l’Abbé J.-Réal Bleau (pour le dimanche dans l’Octave de Noël) — Photo : Wikimedia Commons
Je reconnais en vous, petit Jésus de la crèche, le Dieu tout-puissant du ciel, le Verbe éternel par lequel tout a été créé, et je suis couvert de confusion devant votre si prodigieux abaissement, devant votre humilité sans bornes qui vous fait venir à nous dans un tel état d’anéantissement. O divin Jésus, je vous adore de toute mon âme, c’est de tout mon être que je me soumets entièrement à votre très doux empire. En prenant notre nature humaine, vous vous anéantissez, vous rapetissez votre immensité divine, vous voilez votre suprême majesté à nos yeux, afin de nous prouver votre excessif amour de la façon la plus évidente qui soit. Comment se fait-il que toute la terre ne s’émeuve pas de votre humilité, ne s’agenouille pas devant vous et ne vous adore pas ? Je voudrais parcourir le monde et convier tous les hommes à venir se prosterner à vos pieds, divin Jésus de la crèche, et en vous contemplant si petit, vous, le Seigneur, le Dieu du ciel, le Roi des rois, à fouler aux pieds tout orgueil et à abandonner toutes vaines prétentions.
Je reconnais en vous, infiniment humble Jésus, le Souverain Seigneur et le Maître absolu de toutes choses. Quelle merveille votre bonté infinie ne vous pousse-t-elle pas à accomplir pour nous ! « Un enfant nous est né, et un fils nous a été donné ; il portera sur son épaule la marque de sa principauté et il sera appelé Ange du grand conseil », chante le prophète Isaïe (9, 6). Vous, la lumière éternelle, Vous descendez de votre trône de gloire pour illuminer nos ténèbres. Qu’elles sont belles et profondes ces paroles sacrées par lesquelles la sainte liturgie salue votre venue en ce monde : « Tandis que le monde entier était enseveli dans le silence et que la nuit était au milieu de sa course, votre Verbe tout-puissant, Seigneur, est descendu de son trône royal du ciel » (Sa. 18, 14-15). Votre naissance, petit Jésus, annonce la joie au monde entier. Car vous êtes venu sur la terre pour sauver toute la race humaine. Heureux l’homme qui ressent vivement en lui le besoin du salut que vous lui apportez ! En cette fête de votre nativité, comme je voudrais dire à tous les pécheurs de la terre, surtout à ceux qui s’estiment perdus à tout jamais, de sortir de leur abattement et de leur tristesse, de relever la tête, d’espérer leur pardon de Jésus et d’autant plus qu’ils sont davantage pécheurs, puisqu’il a déclaré lui-même : « Le Fils de l’homme est venu sauver ce qui était perdu » (Mt. 18, 11) et encore : « Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin mais les malades » (Mt.9, 12).
Considérant que vous êtes non seulement bon et miséricordieux mais que vous êtes la bonté et la miséricorde même, je ne dirai plus jamais : je viens à vous, Seigneur Jésus, malgré mes misères, mais plutôt : je viens à vous avec la plus totale confiance et une joie profonde, parce que je ne suis que misère et que vous n’êtes qu’amour et miséricorde. Personne ne sera jamais digne d’aller à vous ; cependant le pécheur, fût-il le plus grand criminel que la terre ait porté, qui vient à vous avec une bonne volonté est déjà inondé, dès son premier pas, par la joyeuse et ferme espérance du pardon. Le jour de votre naissance est donc un jour de grande joie pour tous les pécheurs que nous sommes. Pécheurs, ne craignez point, nous dit aujourd’hui un ange du ciel : « Ne craignez point ; car voici que je vous annonce une grande joie qui sera pour tout le peuple : c’est qu’il vous est né aujourd’hui, dans la ville de David, un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur » (Luc 2,10-11).
J.-R.B.
Joyeux Noël 2020 !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Joyeux Noël en l’an de grâce 2020 ! Car le temps et la vie viennent de Dieu et ses dons sont gratuits ; nous devons donc lui rendre grâce pour ses bienfaits, malgré les temps obscurs que nous traversons.
Je vous souhaite la joie de Noël qui est celle de la venue du Sauveur du monde… et celle de la naissance d’un petit enfant, qui a été porté neuf mois dans le ventre de Sa Mère, comme tant de bébés.
Puisse l’Enfant Jésus, dans les bras de Sa Mère Très Pure, nous bénir, nous et les petits enfants à naître.
P.-S. : L’équipe de Campagne Québec-Vie sera en vacances depuis le 24 décembre jusqu’au 4 janvier. Nous reprendrons le travail le 5 janvier.
Noël, les saints Innocents et l’avortement
Le massacre des saints Innocents par Léon Cogniet.
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Wikigallery
Noël est le grand moment de joie au début de l’hiver. Normalement, les retrouvailles et le partage de la famille. Mais, comme aimait à répéter le père Michel Verret, fondateur des petits frères de la Croix, nous ne devons pas oublier que « le paradis n’est pas sur terre »…
Dans la vie de la Sainte Famille, de même. Les temps de bonheur ne durent pas longtemps et bientôt, Joseph doit quitter cet endroit précaire pour la précarité plus grande encore de la route, alors que son fils est menacé par la folie meurtrière du gouvernement hérodien…
Les saints Innocents sont le résultat d’une manifestation de rage devant la naissance de l’Enfant-roi. Et cette violence appréhendant la défaite future est toujours présente aujourd’hui. L’avortement est devenu le sacrement du mal.
Aujourd’hui, des dizaines de millions d’enfants sont torturés et tués par avortement chaque année de par le monde. Dans l’indifférence généralisée des gouvernements et des peuples désirant protéger un mode de vie contre nature, la liberté sexuelle, qui, pour pouvoir subsister, a besoin de la mort de ses enfants par démembrement comme moyen de contraception ultime.
L’aveuglement volontaire des masses est compréhensible, elles ne doivent pas entacher leur plaisir par des remords ou de la culpabilité devant la réalité.
Celui des croyants l’est beaucoup moins.
Lire la suiteQuébec : François Legault révoque la permission des rassemblements de 10 personnes pour Noël…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Hirschsprung Collection/Wikimedia Commons
Sous prétexte qu’on ne réussira pas à ralentir suffisamment la propagation du covid-19, et que le nombre de « cas » ne cesse d’augmenter (ce qui ne signifie rien), le premier ministre du Québec François Legault retire la permission qu’il avait accordé aux Québécois de se réunir jusqu’à dix personnes à deux occasions autour de Noël (de quoi se mêle-t-il !), en zone dite rouge, ce qui comprend la majorité de la population de la province. Selon Radio-Canada :
Les plans de Noël en famille vont devoir changer. Le gouvernement du Québec a confirmé l’annulation des rassemblements de 10 personnes qu’il avait initialement permis entre le 24 et le 27 décembre.
« Quand on regarde la situation, on est obligés de se rendre à l’évidence que ce n’est pas réaliste de penser qu’on va réussir à réduire la progression du virus de façon satisfaisante d’ici Noël », a expliqué le premier ministre François Legault en point de presse.
Donc, pour une grosse grippe, nous devrons célébrer Noël sans voir les autres membres de la famille, combien devront réveillonner en solitaire ? Ebenezer Scrooge n’eût pas fait mieux, le Grinch en fût laissé en reste et la Sorcière Blanche en eût verdi de jalousie.
Lire la suiteLa Commission européenne veut limiter les messes publiques à Noël et y interdire le chant : nouvelle folie COVID-19 !
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Duncancourt/Wikimedia Commons
La Commission européenne a publié, le 2 décembre, une « communication » appelant tous les États membres de l’Union européenne à travailler ensemble sur les restrictions COVID-19 dans la perspective des prochaines « fêtes de fin d’année ». Sous le titre « Rester à l’abri de la COVID-19 pendant l’hiver », elle décrit une situation désastreuse où — selon le document — « toutes les 17 secondes, une personne meurt dans l’UE à cause de COVID-19 ». Sans donner de statistiques comparatives sur la mortalité habituelle à cette saison. La peur ayant ainsi été instillée, la communication suggère un certain nombre de mesures à prendre dans toute l’UE, notamment des restrictions sévères aux « cérémonies » et une interdiction du « chant choral ».
Le mot « Noël » est totalement absent de la communication de la Commission européenne, mais la mention des « cérémonies » renvoie évidemment à la fête de la Naissance de Notre Seigneur. Malgré l’immigration massive, la majorité des citoyens vivant dans les anciennes nations chrétiennes d’Europe partagent au moins un minimum de culture catholique ou chrétienne. Les « cérémonies » pendant les « fêtes de fin d’année » — décidément l’UE est fâchée des racines chrétiennes de l’Europe — ne peuvent guère signifier autre chose que la messe, et en particulier la Messe de minuit, ou dans les pays protestants, les offices marquant la célébration de Noël.
Voici comment ce document sans signature évoque ces rassemblements religieux, accusés de pouvoir « se transformer en événements “superpropagateurs” aux conséquences lourdes pour les participants et la société au sens large » :
« En cas de cérémonies, envisager d’éviter les assistances nombreuses ou de recourir à la diffusion en ligne, en télévision ou en radio, d’attribuer des places spécifiques où les membres d’une même famille (les “bulles domestiques”) peuvent s’asseoir ensemble, et d’interdire le chant choral. L’utilisation du masque est particulièrement pertinente pendant les rassemblements de ce type. »
Lire la suiteLe Grinch qui vola Pâques menace de voler Noël : Trudeau
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Presidencia de la Republica Mexicana/Attribution 2.0 Generique (CC BY 2.0)/Wikimedia Commons
Évidemment, il est impossible d’abolir Pâques ou Noël, mais il est faisable d’empêcher les gens de célébrer ces grandes fêtes en famille ou à l’église, c’est qui est arrivé pour Pâques et pourrait advenir pour Noël. Justin Trudeau, Premier Grinch du Canada (enfin… ministre — n’oublions pas que les Premiers Grinchs de province ont aussi leur part de responsabilité), sous prétexte d’une « pandémie » qui a plutôt l’allure d’une grippe saisonnière, laisse entendre « que si nous ne faisons pas vraiment, vraiment attention » les Canadiens ne pourraient pas célébrer Noël. Que l’on dise ce que l’on voudra, mais ces paroles de croquemitaine bienveillant sonnent comme une menace. Selon LifeSiteNews :
« Nous sommes dans une pandémie mondiale sans précédent. Cela est vraiment difficile, c’est dur de passer par la deuxième vague, c’est frustrant d’avoir arrêté notre vie pendant le printemps et d’être maintenant obligé de faire des choix plus difficiles et de savoir qu’il y aura aussi un hiver difficile à venir », déclarait Trudeau la semaine dernière lors d’une conférence de presse.
« Et c’est frustrant de savoir que si nous ne faisons pas vraiment, vraiment attention, il n’y aura peut-être pas le genre de réunions familiales que nous voulons avoir à Noël, mais nous allons nous en sortir ; les vaccins sont à l’horizon ».
Bien sûr, la panacée sera un vaccin, qui sera rendu sans doute obligatoire — car sinon, comment sortirons-nous de la fameuse « pandémie » ? — ce qui est absurde. Ce vaccin, si obligatoire, et les mesures dites sanitaires actuelles représentent des moyens extraordinaires qui ne doivent être imposés. N’oublions pas en outre que ce vaccin pourra avoir été cultivé sur une lignée cellulaire de bébé avorté.