Affaire Covington : The Washigton Post s'arrange à l'amiable
Par Jean Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Tels sont pris qui croyaient prendre…
Nos lecteurs studieux se souviennent peut-être de l’affaire de Covington en Amérique. Le 18 Janvier 2019, à la fin de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) était en train de se disperser. Un Indien « natif » […] du nom de Nathan Phillips s’enfonça parmi eux en battant du tambourin sous le nez d’un jeune catholique du nom de Nicholas Sandmann. Le garçon sourit aimablement.
Or Phillips prétendit que ce dernier avait tenu des propos racistes à son endroit. Aussitôt se répandit la nouvelle que ce garçon est raciste.
Toute la bienséance médiatique se déchaîne. La médiacratie a trouvé son mouton noir. Il s’est même créé pour la circonstance un nouveau concept, celui de « sourire raciste ». Les médias stigmatisent le garçon, lequel se fait virer de son école qui ferme en raison des menaces de mort qui affluent. Même des évêques en ajoutent une louche contre Nicholas.
Lire la suiteUn gamin seul face à la lie médiatique
Nicholas Sandmann face au « vétéran » amerindien Nathan Phillips et son tambourin.
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
C’était il y a un an, le 18 Janvier 2019 à la fin de la Marche pour la Vie. Un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) est en train de se disperser. Un indien « natif » […] du nom de Nathan Phillips s’approche d’eux en battant du tambourin. Il se met sous le nez d’un jeune du nom de Nicholas Sandman. Le garçon sourit aimablement.
Or Phillips prétend alors qu’il a tenu des propos racistes à son endroit. Aussitôt se répand la nouvelle que ce garçon est raciste. Toute la bienséance se déchaîne. Il est même créé pour la circonstance un nouveau concept, celui de « sourire raciste ». Les médias stigmatisent le garçon, lequel se fait virer de son école. Les menaces de mort arrivent de tous côtés si bien que l’école de Covington est obligée de fermer. Des évêques condamnent les propos de Sandmann. Les parents n’osent plus sortir de chez eux. Leur maison est taguée. Les médias télévisés et écrits rajoutent couches sur couches pour insulter le garçon. L’association des étudiants pour la Vie est mise en cause ainsi que la Marche pour la Vie. Pourtant, Nicholas lui-même avait protesté immédiatement en disant qu’il était catholique et que ses convictions étaient opposées à tout racisme, et qu’il « mettait ses actes en conformité avec sa foi ». Peine perdue, au point que ses parents craignaient pour sa vie. Unanime, tout le monde médiatique cria « haro sur le baudet ». En réalité il fallait s’en prendre à tous ceux qui défendent la vie : l’occasion était trop belle. CNN la chaîne gauchiste la plus connue aux Etats-Unis porta plainte contre lui. Mal lui en a pris...
Lire la suiteNick Sandmann, un adolescent de Covington, obtient un arrangement avec CNN dans un procès de 250 millions de dollars
Nick Sandmann face à Nathan Phillips et son tambourin.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 janvier 2020 (LifeSiteNews) — Voici en tout cas une des poursuites en diffamation, intentées contre plusieurs médias par l’adolescent pro-vie Nick Sandmann, qui ne sera pas jugée, car CNN a accepté mardi un arrangement dans cette affaire.
Immédiatement après la Marche pour la Vie de l’an dernier à Washington, la presse se répandit en articles, affirmant qu’une vidéo montrait les garçons d’une école catholique du Kentucky harcelant Nathan Phillips, activiste amérindien, devant le Lincoln Memorial.
Mais d’autres vidéos et témoignages ont vite révélé que c’était Phillips qui s’était avancé dans le groupe attendant son bus et qui avait décidé de frapper un tambourin à quelques pouces du visage de Sandmann, alors que les garçons, eux, n’avaient fait que lancer les acclamations de l’école [encouragements aux sportifs] dans l’espoir d’enterrer les insultes racistes que leur jetaient les membres de l’obscur groupe des Black Hebrew Israelites.
Lorsque d’autres vidéos furent diffusées, de nombreux journalistes et autres personnalités publiques ont rapidement effacé leurs condamnations spontanées des élèves, tandis que certains ont soit essayé de maintenir leur réquisitoire, soit refusé de se rétracter sans équivoque ou de présenter des excuses pour leurs affirmations initiales, ce qui a conduit à diverses poursuites judiciaires au nom des garçons.
Parmi les recours, on peut citer un procès de 250 millions de dollars contre CNN pour diffusion dans des « millions de foyers » de l’« idée que [Sandmann] faisait partie d’une bande... criant des insultes racistes », selon l’avocat L. Lin Wood. Mais la poursuite a été close mardi pour une somme encore non divulguée, rapporte Fox 19.
De plus amples détails n’ont pas été immédiatement disponibles, bien que les médias sociaux aient rapidement réagi.
Les poursuites de Sandmann contre des individus et des géants médiatiques restent en suspens, dont une poursuite de 275 millions de dollars contre NBCUniversal et une poursuite de 250 millions de dollars contre le Washington Post. « Ce cas ne sera pas jugé une minute plus tôt ou plus tard, mais quand elle sera prête », a déclaré M. Wood, tandis que l’équipe juridique de Sandmann souligne que les sommes de dollars ne sont pas demandées pour le compte de l’adolescent, mais pour dissuader la presse de salir d’autres personnes à l’avenir.
Les avocats Robert Barnes et Kevin Murphy ont également intenté des poursuites en diffamation au nom de huit autres étudiants de Covington, ciblant la sénatrice démocrate Elizabeth Warren et la républicaine Deb Haaland, Ana Navarro de CNN, Maggie Haberman du New York Times, Matthew Dowd d’ABC News, Kathy Griffin et Reza Aslan, ex-personnalités de CNN, Adam Edelen, entrepreneur du Kentucky, Kevin Kruse de l’université de Princeton, Shaun King, militant de gauche, Clara Jeffery, rédactrice en chef de Mother Jones et Jodi Jacobson, rédactrice en chef de Rewire.