Les médecins ont dit que son bébé naîtrait en « état de mort cérébrale », mais maintenant il fait ses premiers pas
Isaiah Martin.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
En Australie, un garçon d’un an a étonné les médecins dès sa naissance prématurée à 23 semaines. Alors qu’on ne s’attendait pas à ce qu’il survive, Isaiah fait maintenant ses premiers pas et donne de l’espoir à d’autres familles.
La mère d’Isaiah, Jillian Martin, a perdu les eaux alors qu’elle n’était enceinte que de 20 semaines. Les médecins l’ont emmenée dans le service des mort-nés, rapporte ABC, car ils ne s’attendaient pas à ce que son bébé survive. « Ils ont dit que mon fils allait être mort-né, parce que vous avez environ 98 % de chances d’entrer en travail après avoir perdu les eaux », a-t-elle déclaré.
Elle et son partenaire Dan Rhodes ont été « dévastés » par cette nouvelle, mais Mme Martin n’a pas commencé le travail comme les médecins l’avaient prévu. Elle a pu porter Isaiah trois semaines de plus, ce qui a donné à celui-ci le temps nécessaire pour se renforcer. « Il me restait encore un peu de liquide [amniotique], mais dans la limite inférieure de la normale », explique-t-elle. « Alors qu’ils procédaient à d’autres contrôles, les battements de cœur du bébé étaient bons ».
Mme Martin a été transportée par avion à l’hôpital universitaire de Townsville pour accoucher, mais une fois sur place, les médecins lui ont dit qu’ils pensaient que son petit garçon naîtrait en état de mort cérébrale. « C’était dur », dit-elle. « Vous avez eu tout cet espoir et vous êtes restés si positifs tout ce temps et puis en un instant, tout cela est mis par terre. »
Mais lorsqu’Isaiah est né à un peu plus de 23 semaines, il était bien vivant. Il ne pesait que 700 grammes et a été transporté à l’unité de soins intensifs néonatals, où il est resté pendant quatre mois. « Après la naissance, j’étais debout dans l’unité de soins intensifs néonatals et je n’en revenais pas qu’il soit si petit », a déclaré Jillian Martin. Il y a tellement de doutes qui vous traversent l’esprit : « Comment quelque chose d’aussi petit va-t-il pouvoir survivre ? »
Lire la suiteUn jeune de 18 ans se réveille du coma alors que les médecins allaient prélever ses organes le jour même
Lewis Roberts.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : The Sun
L’adolescent britannique Lewis Roberts a échappé de justesse à la mort à deux reprises ce printemps.
La première fois, le 13 mars, Roberts a été renversé par une camionnette, rapporte The Sun. Puis, la seconde s’est produite quatre jours plus tard lorsque, après que les médecins l’aient déclaré en état de mort cérébrale* et que sa famille ait accepté de faire don de ses organes, l’adolescent a commencé à respirer par lui-même, raconte l’article.
« Un miracle que toute famille pourrait souhaiter après avoir appris qu’il n’avait aucune chance de s’en sortir », a exprimé sa famille dans un communiqué.
Roberts, 18 ans, originaire du Staffordshire, a subi des lésions cérébrales lorsqu’il a été percuté par une camionnette à Leek, en Angleterre, le 13 mars. Sa famille a déclaré que l’adolescent avait immédiatement été transporté par avion au Royal Stoke University Hospital pour y être soigné.
Peu de temps après, la famille a annoncé que les médecins donnaient au jeune homme de 18 ans « zéro chance » de survie. Les médecins ont officiellement constaté son décès* et l’ont signalé au coroner, raconte sa sœur, Jade Roberts, 28 ans.
Jade Roberts témoigne que la famille avait accepté de faire don de ses organes pour aider d’autres patients dans le besoin, mais qu’elle continuait également à espérer un miracle.
Lire la suiteLe prélèvement d’organes se fera en Angleterre sur consentement présumé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : peoplecreations/Freepik
L’Angleterre a décidé que le prélèvement d’organes pourra s’effectuer sur la base du consentement présumé des personnes déclarées « mortes », c’est-à-dire les gens qui n’auront pas demandé au gouvernement de ne pas les considérer comme consentants. Précisons que le prélèvement d’organe s’opère sur des personnes dites en état de « mort cérébrale », concept fumeux expressément inventé pour prélever des organes sur des personnes mourantes, ou dans un coma irréversible (encore que les médecins puissent se tromper dans ce cas) ; on ne récolte pas d’organes vivants sur un cadavre. Mais le critère de « mort cérébrale » est plus moins libéral selon les pays, et l’est de plus en plus, comme en Australie où l’arrêt « permanent » de la fonction cardiaque (qui peut être restaurée) en est un. Selon LifeSiteNews :
La loi anglaise permettra désormais à l’État de présumer le consentement à fin de prélèvement d’organes des personnes déclarées « mortes ».
La nouvelle loi qui est entrée en vigueur la semaine dernière accorde au gouvernement l’autorité de prélever les organes des personnes déclarées mortes, à moins que la personne n’ait spécifiquement déclaré qu’elle ne voulait pas que ses organes fussent utilisés. Le gouvernement affirme que la loi a été modifiée « pour aider à sauver et améliorer plus de vies ».
Une loi similaire existe au Pays de Galles depuis 2015. En Écosse, une loi supposant le consentement au don d’organes entrera en vigueur en mars 2021.
« Des cadavres au cœur battant » :
« La prétendue “mort cérébrale” permet aux médecins de prélever des organes vitaux de patients qui sont très probablement encore en vie, bien qu’ils soient peut-être inconscients et proches de la mort », a expliqué le Dr McCarthy [de SPUC].
Les cœurs des donneurs, par exemple, sont en pratique prélevés sur des « cadavres au cœur battant ». La publicité incitant les gens à faire don de leurs organes ne révèle pas que les donneurs dont le cœur bat encore peuvent bouger lors du prélèvement, à moins qu’ils ne soient paralysés par des produits », a-t-il poursuivi.
« Les chirurgiens en transplantation le savent et ils savent aussi que la pression sanguine de la personne augmente lorsqu’une incision est faite. Certains anesthésistes recommandent que ledit “cadavre” soit anesthésié lors du prélèvement de ses organes ».
Le critère australien de perte « permanente » (c.-à.-d., qui demeure pendant une période de temps longue et indéterminée) :
« Un exemple d’évolution inquiétante est le passage en Australie du prélèvement d’organes ne devant être tenté qu’après une perte “irréversible” de la fonction cardiaque, au prélèvement d’organes pouvant être tenté dès la perte “permanente” de la fonction cardiaque, ce dernier cas peut inclure des situations où il a déjà été décidé que la réanimation ne serait pas tentée. Comme l’indique un rapport, “on ne peut prétendre à juste titre que la mort est survenue si la fonction cardiaque peut être rétablie, même si une décision a été prise de ne pas le faire”.
Un projet de loi en Allemagne pour faire de tous des « donneurs » d’organes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Un projet de loi, surnommé « solution d’objection » ferait de tous les Allemands des donneurs d’organes de facto, et pour ne pas l’être, ils devraient écrire leur opposition à l’étripage (si j’ose dire). Bien sûr, si le projet de loi était adopté, les gens sains ne se feraient pas ramasser dans la rue pour se faire arracher le cœur ou le foie, mais cela se passerait selon la méthode habituelle, non moins traîtresse ; c’est-à-dire que le prélèvement s’opère quand on est en état de « mort cérébrale », concept fallacieux de mort selon lequel une personne qui serait dans un coma « irréversible » n’est plus vivante. Ce serait donc des personnes accidentées qui seraient principalement ciblée par ce projet de loi. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteLes organisations pro-vie, ainsi que la Conférence épiscopale allemande, se sont prononcées fermement contre une proposition de loi qui ferait de toute personne vivant en Allemagne un donneur d’organes par défaut.
Actuellement, les gens en Allemagne peuvent s’inscrire pour être donneurs d’organes, et ce n’est qu’à ce moment-là que leurs organes seraient prélevés à un moment donné dans l’avenir. La nouvelle loi renverserait le processus : une personne devrait s’opposer explicitement et par écrit au fait d’être un donneur d’organes.
Les députés doivent débattre du projet de loi, ainsi que d’un autre [...] le jeudi 16 janvier 2020, à Berlin. Le vote aura probablement lieu avant midi (heure locale). Le programme officiel prévoit plus de deux heures et demie de débat.
Le projet de loi a été surnommé la « solution d’objection » (Widerspruchslösung), et est défendu par Jens Spahn, ministre de la Santé ouvertement homosexuel du gouvernement actuel. Tout comme le chancelier Angela Merkel, M. Spahn est membre de l’Union chrétienne-démocrate.
Une mère « en état de mort cérébrale » pendant 117 jours a donné naissance à un bébé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Charlie Davidson/Flickr
Il est admis par une certaine médecine décadente qu’une personne peut être morte bien qu’on puisse « maintenir en état de marche » ses organes vitaux, c’est ce qu’on appelle la « mort cérébrale ». Ce concept est tout à fait absurde, surtout si l’on considère qu’une femme enceinte, « en état de mort cérébrale » qu’on garde en vie (d’autres diraient qu’on maintient ses organes en fonction) peut poursuivre sa grossesse et donner le jour à un enfant bien vivant.
Dans le concret, il est assez hallucinant de constater que des gens considèrent cela comme normal, comme en Tchéquie. Extrait de Sud Ouest :
La maman d’Eliska, Eva Votavova, âgée de 27 ans, avait été diagnostiquée en 2016 comme souffrant d’une malformation artério-veineuse dans le cerveau. Le 21 avril, elle avait été retrouvée inconsciente chez elle, alors enceinte de 16 semaines. Après une importante hémorragie dans le cerveau, "elle a cessé de respirer dans la soirée puis (…) a été déclarée en état de mort cérébrale", selon M. Gal.
Les médecins ont maintenu ses organes en fonction, en particulier son cœur, ses poumons et ses reins, tout en surveillant la croissance du fœtus. Durant toute la grossesse, les infirmières ont parlé au fœtus, sa grand-mère lui a lu des histoires et un thérapeute bougeait les jambes de la maman pour simuler la marche, a expliqué Roman Gal.
Le système de maintien artificiel des fonctions vitales a été débranché après la naissance. Eliska…
La petite Eliska a été mise au monde par césarienne.
La Haute Cour du Royaume-Uni entendra la demande des parents de Tafida Raqeeb
Tafida Raqeeb.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Famille de Tafida Raqeeb
La Haute Cour du Royaume-Uni a décidé d’entendre la plainte des parents de Tafida Raqeeb, petite fille de cinq ans en état comateux depuis une rupture d'un vaisseau sanguin dans le cerveau survenue le 9 février, que le King’s College Hospital de Londres veut débrancher, car la considérant comme incapable de sortir de son état actuel, alors que l’hôpital spécialisé pour enfants Gaslini de Gênes se propose de la soigner. L’affaire, comme elle débute, est semblable à celles de Charlie Gard et d’Alfie Evans. Extrait de CNA :
La Haute Cour a accepté d’entendre en septembre la demande des parents de Tafida Raqeeb requérant de l’emmener en Italie pour la faire soigner. La fillette de cinq ans est dans le coma depuis février, et les médecins britanniques veulent lui retirer son aide respiratoire.
Les médecins britanniques ont interdit aux parents de Raqeeb de l’emmener à l’étranger pour un traitement.
Deux médecins de l’hôpital pour enfants Gaslini de Gênes ont examiné Raqeeb par le biais d’une vidéo au début du mois, et ont accepté de la soigner en Italie. Ils ont dit qu’ils ne la croyaient pas en état de mort cérébrale [ce principe absurde qui ne signifie nullement que la personne soit morte].
[...]
Les parents de Raqeeb, Mohammed Raqeeb et Shelina Begum, ont demandé à la Haute Cour de Londres, le 16 juillet, de lui permettre de quitter le pays ; sa décision d’entendre l’affaire a été prise le 22 juillet.
Le tribunal tiendra une audience d’une semaine sur l’affaire Raqeeb. Ils examineront également le refus du Royal London Hospital de l’autoriser à être renvoyée puis emmenée en Italie.
La famille et les médecins d’un patient en état de « mort cérébrale » en désaccord sur le prélèvement d’organes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les médecins sont pour le prélèvement d’organe, la famille est contre. Le Californien Anthony Vallejo est père de famille, il a 30 ans et est en état de « mort cérébrale » depuis le 7 juillet suite à une crise d’asthme, d’après Gènéthique :
Puisqu’il est inscrit au registre des donneurs d’organes, les médecins ont annoncé que les prélèvements auront lieu aujourd’hui mercredi. Actuellement, il respire à l’aide d’une assistance et son cœur bat encore. Sa femme demande un sursis d’une semaine « pour voir s’il se remet », « parce que son cœur bat encore ».
Médecins et organisations de « don » d’organes s’opposent à la demande. Car pour Cathy Koubek, directrice de la communication de Donor Network West, la famille ne peut décider la date du prélèvement, selon Gènéthique :
… les familles n’ont pas le droit de décider de la date du don d’organes, car « il s’agit d’un engagement juridique pour cette personne ». Elle ajoute également que de toute façon, dès que deux médecins ont diagnostiqué la mort cérébrale, « cette personne est morte, peu importe le bon fonctionnement des autres organes ».
D’après un autre organisme, la National Kidney Foundation, le cœur battra aussi longtemps qu’il recevra de l’oxygène. Cathy Koubek en a rajouté une couche en disant que c’était même une obligation pour elle d’accélérer la mise en œuvre du prélèvement pour respecter la volonté du « défunt ».
Voilà la famille évincée en ce qui regarde la vie et la mort d’un de leurs membres. De la vie en effet, car il est absurde de dire qu’une personne, dont le cœur bat encore et dont une bonne partie des organes fonctionne, qu’elle est morte. La « mort cérébrale » est une invention, nullement basée sur des arguments scientifiques valables pour pouvoir faire partie de la définition de la mort véritable.
Canada : 30 euthanasies avec prélèvement d’organes depuis 2016
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voilà un intérêt de plus pour le médecin à tuer son patient et de l’influencer en l’incitant à un soi-disant altruisme. Et les préleveurs d’organes seront d’autant plus contant que leurs clients (ceux sur lesquels ils prélèvent les organes et non ceux sur lesquels ils les installent) seront en meilleur état que s’ils attendaient qu’ils fussent à l’agonie avant de les charcuter.
Bien sûr, les lignes directrices, qui sont supposées réguler cette pratique, prescrivent de faire la distinction entre la décision du patient à se faire euthanasier et celle à « donner » ses organes. En outre, les « médecins » sont supposés également attendre que la personne soit bien euthanasiée, qu’elle soit « morte ». Or maintenant, dans le monde de la médecine, le concept de mort inclut la notion de « mort cérébrale » (qui n'est pas la vraie mort), notamment utilisée dans le cas de prélèvement d’organes pour déterminer l’état de la victime, ce qui fait que le patient n’est pas encore décédé au moment de l’extraction.
Évidemment, il faudra s'attendre à ce que l'accès à l'euthanasie soit de plus en plus large et que cette pratique néfaste soit accompagnée de plus en plus d'intérêts financiers, si celui-ci n'est pas radicalement interdit, car ceux qui le promeuvent ne s'arrêteront à si peu. Extrait de LifeSiteNews :
Des organes sont prélevés sur des personnes qui ont été euthanasiées au Canada, ce qui crée une situation éthique qui, selon certains critiques, constitue un conflit d’intérêts.
Le 18 juin, le Wall Street Journal a publié un article du professeur de droit Frank Buckley révélant qu’« une trentaine de candidats à l’euthanasie au Canada ont donné leurs organes après leur décès depuis 2016 ».
M. Buckley a fait remarquer que l’Association médicale canadienne (AMC) a publié des lignes directrices sur la façon dont le prélèvement d’organes chez les personnes qui choisissent d’être tuées par des médecins devrait fonctionner. En dépit d’une certaine agitation autour de l’éthique, le document du 3 juin permet aux médecins de solliciter leurs patients vulnérables et suicidaires pour leurs organes.
[...]
« Il [le document] précise également que le prélèvement d’organes ne doit pas commencer tant que le patient n’est pas médicalement décédé (sic) et que le cœur n’a pas cessé de battre. »
Un expert : « La victime est toujours en vie et respire » : prélèvement d’organes en Chine
Steven Mosher, fondateur et président du Population Research Institute.
Par Diane Montagna — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews
Rome, le 23 mai 2019 (LifeSiteNews) — Le gouvernement chinois prélève les organes de prisonniers vivants pour approvisionner son industrie lucrative de transplantation d’organes, a déclaré à LifeSiteNews un expert de premier plan sur la Chine.
Il appelle donc le Vatican à s’exprimer sur la question.
Steven Mosher, fondateur et président du Population Research Institute (Institut de recherche sur la population), s’est entretenu cette semaine à Rome avec John-Henry Westen, rédacteur en chef de LifeSiteNews (voir vidéo complète ici).
M. Westen s’est entretenu avec M. Mosher lors de la conférence de la John Paul II Academy for Human Life and the Family (Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille), les 20 et 21 mai, sur « La mort cérébrale : Une construction médico-légale : Preuves scientifiques et philosophiques ».
M. Mosher a déclaré que la Chine — grand premier mondial dans le domaine de la transplantation d’organes — est passée à une version « plus avancée » de sa pratique qui dure depuis des décennies et qui consistait en l’exécution des prisonniers pour leurs organes, et « actuellement à paralyser les victimes » afin d’extraire leurs organes alors qu’ils sont encore vivants.
La politique chinoise d’exécution de prisonniers pour leurs organes « a commencé sérieusement dans les années 1990, lorsque la secte bouddhiste connue sous le nom de Falun Gong a été arrêtée par centaines de milliers », précisa-t-il. « Nous avons commencé à recevoir d’horribles témoignages, racontés à la première personne, sur la façon dont certains prisonniers étaient pris et exécutés, spécialement pour leurs organes. »
« Au début, c’était assez grossier », explique Mosher. « Ils forçaient le prisonnier à s’agenouiller, lui tirait une balle dans la tête, puis ils avaient un véhicule d’urgence juste là avec une table d’opération, et ils prélevaient les organes — le cœur, la cornée, tous les organes précieux qui pouvaient être vendus pour des dizaines de milliers de dollars. »
« Les organes étaient ensuite placés dans des chambres froides et transportés dans des salles d’opération où ils pouvaient être transplantés », a-t-il dit.
Lire la suiteMédecins et universitaires réfutent la « mort cérébrale » comme critère légitime de la mort réelle
Stephen Kokx ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : marionbrun/Pixabay
Rome, Italie, 22 mai 2019 (LifeSiteNews) ― Un groupe international d'éminents médecins et universitaires a réfuté la « mort cérébrale » comme critère légitime pour déterminer la mort réelle, lors d'une conférence de deux jours à Rome.
Cet événement du 20 au 22 mai, intitulé « A Medicolegal Construct: Scientific & Philosophical Evidence » (Un construit médicolégal : Témoignages scientifiques et philosophiques) a été organisé par la John Paul II Academy for Human Life and the Family (Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille), dirigée par des laïcs, à l'Hôtel Massimo d'Azeglio, quelques jours seulement après le Rome Life Forum (Forum de Rome sur la Vie) de 2019 et la Marche italienne pour la Vie.
Certains des titres d’allocutions données lors de la conférence comprenaient « “La mort cérébrale” n'est pas la mort : Évidences philosophiques et scientifiques en résumé », « “La mort cérébrale” n'est pas la mort : Expérience clinique » et « Erreurs philosophiques fondamentales et caractère non-thomique du raisonnement pro-“mort cérébrale” de Lee et Grisez. »
De nombreux participants et conférenciers, incluant le philosophe catholique autrichien Dr Josef Seifert, étaient d'anciens membres de l'Académie pontificale pour la Vie, fondée par Jean-Paul II en 1994 pour combattre la « culture de la mort ». Le pape François a remanié l'Académie en 2017 en remplaçant ses membres conservateurs et en émettant un nouveau mandat qui exige un soutien à l'immigration et à l'environnement. Un engagement qui exigeait auparavant que les membres soutiennent les enseignements pro-vie de l'Église a également été supprimé. Les actions de François ont influé sur la décision de Seifert de fonder l'Académie Jean-Paul II pour la vie humaine et la famille en 2017.
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