Une femme déclarée sans activité cérébrale se réveille en entendant la voix de sa fille
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
23 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Une mère de 36 ans sans activité cérébrale s’est réveillée après avoir entendu la voix de sa fille d’un an. Cet incident, parmi tant d’autres, remet en question la conception médicale de longue date [plutôt récente, en fait]* de la « mort cérébrale ».
Le père Michael Orsi, qui a entendu le récit de cet événement remarquable raconté par l’une des infirmières anesthésistes impliquées, a déclaré à LifeSiteNews que la femme s’était récemment rendue à l’hôpital pour une double endoscopie. Alors que les patients se réveillent normalement dans les cinq à dix minutes suivant la fin de l’intervention, la mère ne s’est pas réveillée — le personnel hospitalier a constaté que son cœur s’était arrêté.
Elle a été soumise à une réanimation cardio-pulmonaire et son cœur s’est remis à battre de lui-même. Croyant qu’elle avait été victime d’un accident vasculaire cérébral, les médecins ont envoyé la mère passer une IRM qui a révélé l’absence d’ondes cérébrales. Elle a alors été transférée à l’unité de soins intensifs (USI) et mise sous respirateur pour l’aider à respirer.
Après deux jours aux soins intensifs, le mari a dit à l’infirmière de garde que si sa femme pouvait seulement entendre la voix de sa fille d’un an, tout irait bien. Étonnamment, lorsqu’il a demandé à sa fille de parler à sa mère par l’intermédiaire de son téléphone portable, celle-ci s’est réveillée. Elle était « en parfaite condition », selon le père Orsi.
Lire la suiteUne jeune femme déclarée « en état de mort cérébrale » meurt de faim et de négligence
Amber Ebanks.
Par Heidi Klessig, M.D. — Traduit par Campagne Québec-Vie – Photo : GoFundMe
14 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le 30 juillet 2024, Amber Ebanks, une étudiante en commerce de 23 ans, a subi un accident vasculaire cérébral peropératoire et une hémorragie sous-arachnoïdienne lors d’une tentative d’embolisation d’une malformation artérioveineuse (MAV) dans son cerveau. Les médecins de l’hôpital Montefiore dans le Bronx l’ont déclarée « en état de mort cérébrale » dix jours plus tard, alors qu’elle avait encore des fonctions cérébrales partielles.
Malgré le témoignage d’experts indiquant qu’avec un traitement approprié, Amber était susceptible de récupérer d’autres fonctions cérébrales, voire de reprendre connaissance, l’équipe soignante a refusé d’administrer ces traitements. L’hôpital a également refusé de nourrir Amber ou de lui fournir des soins d’hygiène de base, au point que sa sœur a dû retirer des asticots qui se trouvaient dans ses cheveux.
Lire la suiteUn médecin met en garde contre les liens effrayants entre la « mort cérébrale » et le prélèvement d’organes
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : moodboard/Adobe Stock
Note du traducteur : Les passages entre crochets sont des citations du Dr Byrne provenant de la vidéo de son entrevue. Ces passages ont paru essentiels à la bonne compréhension du sujet.
16 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Nous vivons tous dans une culture désormais saturée par le concept d’euthanasie. Or, nous en sommes arrivés là en partie à cause du concept de « mort cérébrale ». Le problème de ce concept, cependant, est que la « mort cérébrale » n’est pas vraiment la mort.
Le Dr Paul Byrne, néonatologiste à la retraite, m’accompagne dans cet épisode important du John-Henry Westen Show pour discuter des questions relatives à la « mort cérébrale » et de son lien avec le don d’organes.
Le Dr Byrne a commencé à s’intéresser à cette question en 1975, lorsque l’un de ses patients, Joseph, a cessé de réagir alors qu’il était sous respirateur.
Après qu’un test d’ondes cérébrales ait donné des résultats suggérant que Joseph souffrait de « mort cérébrale », ce qui a été confirmé par un second test, Byrne a continué à traiter son patient, objectant que Joseph n’était pas mort. [Éventuellement, Joseph n’a plus eu besoin du respirateur, il a été à l’école où il a obtenu des notes excellentes, il s’est marié et il est devenu père de trois enfants]. Lorsque Joseph a eu environ cinq mois, [constatant qu’il était toujours vivant], Byrne a commencé à étudier la question et a fini par découvrir que le concept de « mort cérébrale » n’avait pas de véritable fondement scientifique.
Le concept lui-même, me dit-il, a été « inventé » après l’échec d’une transplantation cardiaque illégale entre deux bébés à Brooklyn, dans l’État de New York. Un comité de Harvard a publié un rapport intitulé « A Definition of Irreversible Coma » dans lequel il identifie le « coma irréversible » à la mort, sans aucune donnée sur le patient ni aucun test de laboratoire. [« Or, vous ne pouvez pas être dans le coma si vous êtes mort. »]
Lire la suiteLa « mort cérébrale » est un sophisme utilisé pour soutenir l’industrie du prélèvement d’organes
Par Heidi Klessig, M.D. — Traduit par Campagne Québec-Vie – Photo : Freepik
16 avril 2024 (LifeSiteNews) — En 1968, sans aucun test, étude ou preuve, les médecins ont commencé à déclarer certaines personnes comateuses « en état de mort cérébrale ». Ce diagnostic a toujours été controversé, car depuis sa création, le concept de mort cérébrale ne repose sur aucune base factuelle claire. En 2023, « en raison du manque de preuves de haute qualité sur le sujet », l’American Academy of Neurology (AAN) a en fait eu recours à un vote à la majorité, et non à la méthode scientifique, pour déterminer sa nouvelle directive sur le diagnostic de mort cérébrale.
Le Dr D. Alan Shewmon, neurologue de renommée mondiale et ancien partisan de la mort cérébrale en tant que mort, n’a pas été invité à voter. Il s’oppose désormais au dogme de la mort cérébrale pour des raisons scientifiques et a récemment publié un article sur le fait que la nouvelle directive de l’AAN a été rédigée sans aucun débat sur le concept fondamental qui sous-tend la mort cérébrale :
Lire la suiteNous, les cliniciens, ne sommes généralement pas très au fait de la philosophie. Nous nous contentons généralement de cocher les éléments d’un algorithme de diagnostic promulgué par un comité de consensus et de passer au patient suivant. Que la vie humaine soit mieux comprise en termes de thermodynamique et d’émergence biologique, ou en termes d’esprit cartésien, ou en termes de travail vital — c’est une question sur laquelle les neurologues n’ont pas le monopole de l’expertise.
Plus de 150 clercs et laïcs catholiques signent une déclaration appelant à revoir les critères de « mort cérébrale »
Par Stephen Cox — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Kawee/Adobe Stock
5 mars 2024 (LifeSiteNews) — Plus de 150 membres éminents du clergé et des laïcs catholiques ont ajouté leurs noms à un document exhortant à agir contre les normes actuelles de la « mort cérébrale » parce qu’elles entraînent le prélèvement d’organes sur des personnes encore en vie.
Le document intitulé « Catholics United on Brain Death and Organ Donation : A Call to Action » (Catholiques unis sur la mort cérébrale et le don d’organes : un appel à l’action) a été publié le 27 février. Cette déclaration a été rédigée conjointement par le Dr Joseph M. Eble, le Dr John Di Camillo et le professeur Peter Colosi.
Le Dr Eble est président de la Guilde de Tulsa de l’Association médicale catholique. Di Camillo est un bioéthicien qui travaille pour le National Catholic Center for Bioethics depuis plus de 12 ans. Colosi enseigne la philosophie à l’université Salve Regina du Rhode Island.
Certains des universitaires, militants pro-vie et personnalités les plus connues de l’Église catholique ont signé la déclaration, notamment Mgr Athanasius Schneider, Mgr Joseph Strickland évêque émérite, Sœur Dede Byrne, le père Shenan Boquet (Human Life International), le docteur Josef Seifert (anciennement de l’Académie pontificale pour la vie), Judy Brown (American Life League), le docteur Peter Kwasniewski, et bien d’autres encore.
Lire la suiteL’homme possède une âme éternelle
Par Roberto de Mattei (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tonodiaz/Freepik
Le monde s’émeut des enfants tués par les bombardements en Palestine mais ne verse pas de larmes pour la petite Indi, condamnée à mort en Grande-Bretagne par les autorités de l’État, contre la volonté de ses parents.¹ Comment cela peut-il arriver ? Parce que la vie n’est considérée que sous l’angle matériel et utilitaire. Nous oublions que tout homme, même atteint d’une lésion cérébrale, vit parce qu’il a une âme et que, pour cette raison, il possède une dignité inaliénable qui implique le droit à la vie.
L’une des raisons pour lesquelles un être humain innocent peut être condamné à mort aujourd’hui est le concept de mort cérébrale, introduit en 1968, lorsqu’une véritable révolution anthropologique a été proposée à l’université de Harvard.
Jusqu’à cette date, les médecins étaient chargés de constater la mort, d’en identifier les causes, mais pas d’en définir le moment exact. Ce constat se faisait en vérifiant l’arrêt définitif des fonctions vitales : respiration, circulation, activité du système nerveux.
Lire la suiteLes tentatives du gouvernement canadien pour étendre l’euthanasie aux malades mentaux se heurtent à divers obstacles
Justin Trudeau.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lovers Lounge/Flickr
14 juin 2023 — Dans l’épisode de cette semaine du Van Maren Show, Jonathon est à nouveau rejoint par Alex Schadenberg de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie (EPC), qui discute des mises à jour concernant le programme canadien d’aide médicale à mourir (AMM) et d’un projet de loi conservateur au sujet de son application aux malades mentaux.
Le projet de loi C-314, qui a été débattu pour la première fois le mois dernier au Parlement canadien, a été présenté par l’honorable Ed Fast, un ancien ministre conservateur. Il vise à empêcher l’extension de l’AMM aux malades mentaux. Réagissant à la possibilité d’appliquer l’AMM aux malades mentaux et potentiellement aux « mineurs matures », M. Fast a déclaré que cela montrait que le Canada était sur une « pente glissante ». EPC a lancé une pétition en faveur du projet de loi de M. Fast, qui a recueilli plus de 4 500 signatures.
M. Schadenberg a déclaré que « c’est un très bon projet de loi parce qu’il va droit au but ».
« Il ne traite que de cette question et il est très clairement formulé... ce n’est pas ce que l’on appelle un très long projet de loi », a-t-il poursuivi. « Il ne traite que de la question de l’euthanasie en cas de maladie mentale ».
M. Schadenberg a également noté que l’élargissement de l’AMM aux malades mentaux pose plusieurs « problèmes », notamment le fait que les malades mentaux ne pourraient pas avoir « le même niveau de capacité à prendre des décisions pour eux-mêmes ou concernant la maladie mentale », et que la question de la maladie irrémédiable n’est pas définie, demandant « comment pourrait-on dire qu’une personne atteinte d’une maladie mentale est dans un état mental irrémédiable... ? » Schadenberg a également noté que la question de la maladie mentale est elle-même une « question variable » et que le traitement de la maladie mentale est subjectivement basé sur les besoins individuels du patient.
Lire la suiteJe suis médecin. Accepterais-je une greffe d’organe pour moi-même ?
Par Heidi Klessig, docteur en médecine (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : peoplecreations/Adobe Stock
24 mai 2023 (American Thinker) — On m’a récemment demandé si j’accepterais une greffe pour moi-même. J’ai souvent abordé cette question dans mes conférences et mes vidéos sur l’éthique du prélèvement et de la transplantation d’organes.
Comme la plupart des questions, la réponse à cette question est : « Cela dépend ! ». Il existe de nombreux types de transplantations, dont certaines sont éthiques et d’autres non. Et comme les questions éthiques nécessitent un cadre moral, mes réponses sont basées sur la loi morale que l’on trouve dans les dix commandements contre le meurtre, le mensonge et le vol.
Recevrais-je une greffe de tissu ? Absolument ! Les tissus sont des éléments tels que la peau, les os, les valves cardiaques et les cornées. Les tissus sont des structures simples qui tolèrent très bien l’absence de circulation sanguine. Ils peuvent être prélevés sur un cadavre (un donneur biologiquement mort et dont l’esprit est parti) et sont tout à fait éthiques.
Le don de tissus comporte toutefois une mise en garde d’ordre éthique. Un article du LA Times a révélé que des organisations de collecte d’organes prélevaient des tissus sur les cadavres de donneurs d’organes enregistrés avant que le médecin légiste n’ait eu la possibilité de déterminer la cause du décès. Cet article fait part de la tristesse dévastatrice des familles qui n’ont pas pu tourner la page parce que leurs proches avaient signé de manière désintéressée une carte de donneur. Malheureusement, lors de l’autopsie, les corps de ces victimes sont tellement mutilés par le prélèvement de tissus que les pathologistes du laboratoire criminel sont parfois incapables de déterminer si les blessures seraient liées à de la violence domestique ayant entraîné un meurtre. Je recommande donc que personne ne soit enregistré comme donneur d’organes ou de tissus. Si vous souhaitez faire don de vos tissus, il vous suffit d’informer votre famille qu’elle peut libérer votre corps pour le don de tissus après que l’on ait répondu à toutes ses questions concernant votre décès.
Lire la suiteUne « éthicienne » norvégienne propose d’utiliser des femmes en état de « mort cérébrale » comme mères porteuses
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
On peut constater là la rencontre frontale entre deux idéologies, celle de la « mort cérébrale » — qui considère que lorsque la l’être humain n’est plus capable de conscience, il n’est plus vivant ou n’est plus une personne — et celle de la « gestation pour autrui » — qui ne considère pas encore comme personne l’être humain qui n’est pas encore capable de conscience, ou vivant, l’enfant à naître. Ainsi, ces deux idéologies, issues de la même pensée se réunissent pour proposer une nouvelle monstruosité : l’emploi des femmes dites par commodité en « état de mort cérébrale » pour procréer des enfants — sans leur consentement, bien entendu, même si elles avaient donné leur corps par avance pour ce type de pratique en cas de « décès ». La preuve même que les femmes dites en « état de mort cérébrale », mais réutilisables pour la GPA, ne sont pas morte, c’est qu’elles sont capables de porter un enfant jusqu’à terme, ce que ne peuvent faire des mortes. La femme était déjà considérée comme une marchandise avec la GPA, mais avec cette nouvelle idée, la marchandisation est poussée à son comble. — A.H.
3 février 2023 (LifeSiteNews) — Une universitaire norvégienne a suggéré d’utiliser le corps de femmes déclarées « en état de mort cérébrale » pour faire grandir des bébés à naître.
« Le don du corps entier à fin gestationnelle offre un moyen alternatif de gestation pour les futurs parents qui souhaitent avoir des enfants, mais ne peuvent pas, ou préfèrent ne pas, mener à bien de grossesse », a écrit Anna Smajdor, professeur de philosophie et d’éthique à l’Université d’Oslo.
Son article, intitulé « Whole body gestational donation », a été publié dans la revue Theoretical Medicine and Bioethics à la fin de l’année dernière.
Mme Smajdor soutient que l’utilisation de femmes déclarées « mortes du tronc cérébral » comme hôtes pour porter un enfant à terme pourrait être une option viable et éthique à l’avenir.
« Nous savons déjà que des grossesses peuvent être menées à terme avec succès chez des femmes en état de mort cérébrale », a déclaré le professeur norvégien.
« Il n’y a pas de raison médicale évidente pour laquelle le déclenchement de telles grossesses ne serait pas possible ».
Lire la suiteUn hôpital britannique ignore l’appel des parents à maintenir en vie leur fils qui s’est rétabli d’une « mort cérébrale »
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
26 août 2022, Londres (LifeSiteNews) — Un hôpital londonien tente de retirer le maintien de vie d’un bébé de 4 mois contre la volonté de ses parents, bien que le nouveau-né ait montré des signes de vie plusieurs semaines après que les médecins l’aient déclaré en « mort du tronc cérébral ».
Le nourrisson, dont le nom a été caché par les tribunaux et qui est appelé « Bébé A », se trouve actuellement dans un hôpital londonien géré par le Guy’s and St. Thomas' NHS Foundation Trust, un établissement public, où les médecins affirment qu’il est dans « l’intérêt supérieur » du garçon d’être débranché de la ventilation mécanique, un acte qui pourrait entraîner directement sa mort.
Les parents de Bébé A, en revanche, contestent l’avis des médecins, qui mettent sa vie en danger, et sont actuellement engagés dans une bataille juridique avec l’hôpital pour maintenir leur fils sous ventilation, tout en espérant un rétablissement plus substantiel. Cependant, les médecins ont demandé à la High Court of Justice Family Division de retirer le respirateur artificiel de Bébé A, apparemment pour servir son « intérêt supérieur ».
Le 13 juillet, le juge Anthony Hayden, le même juge qui s’était prononcé contre le maintien en vie d’Archie Battersbee, 12 ans, deux jours auparavant, et qui avait supervisé l’affaire Alfie Evans en 2017, a rendu une décision exigeant que des preuves d’experts soient fournies pour étayer le refus de réanimation de Bébé A en cas d’arrêt cardiaque, comme le demandent les médecins en charge de ses soins.
Les parents n’ont pas encore de représentation juridique pour leur affaire et demandent de l’aide pour trouver un avocat et couvrir les coûts associés.
Bébé A est né heureux et en bonne santé, a déclaré son père à LifeSiteNews lors d’une entrevue mercredi. Ce n’est que huit semaines plus tard que la santé de Bébé A s’est détériorée, son père ayant d’abord remarqué que quelque chose n’allait pas dans la façon dont il dormait.
« J’ai posé ma main sur sa poitrine et j’ai constaté qu’il ne répondait pas », a déclaré le père à LifeSite, ajoutant que le corps de l’enfant était « devenu froid au toucher » et « un peu mou », moment où il s’est inquiété et a appelé une ambulance.
Selon le tribunal, Bébé A a fait un arrêt cardiaque avant d’arriver au service des urgences de l’hôpital Queen Elizabeth (QEH) où il a retrouvé sa fonction circulatoire environ 30 minutes plus tard.
Le père a expliqué qu’au cours des trois jours suivants, de nombreux tests ont été entrepris pour déterminer la cause de la maladie de Bébé A, découvrant des lésions à la tête et à la poitrine. Le 17 juin, un examen du tronc cérébral n’a révélé aucune réponse du celui-ci, mais le lendemain, un test similaire a été entrepris, qui a provoqué un « hoquet », explique le père de Bébé A.
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