La DPJ retire deux filles à leurs parents sur fond d’instruction à la maison
Un couple lance un cri du cœur contre la DPJ, qui lui a retiré ses deux filles il y a plus de trois ans. Au centre du désaccord, la scolarisation et un diagnostic d’autisme.
Lorsque Sylvie et François (prénoms modifiés) vont voir leurs deux filles, âgées de 10 et 11 ans, ils ne peuvent même pas les toucher. Ni les consoler. Ils ont le droit de les voir une heure et demie par semaine, sous supervision, dans un endroit déterminé par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Sylvie et François se sont vu retirer leurs droits parentaux et tous les autres droits. Aussi bien dire qu’ils se sont fait retirer leurs enfants, point. Depuis plus de trois ans. L’histoire commence en région, leur première fille a huit mois, Sylvie et François font le choix de s’acheter une maison sur le bord d’un lac privé, dans les pays d’en haut, avec plein d’animaux, des poules, des canards, des lapins, des chèvres miniatures.
Ils ont un élevage de chiens de race.
Presque un an plus tard, ils ont eu une autre fille. « On est resté là pendant sept ans, les filles étaient libres, raconte Sylvie. C’est ce qu’on voulait, qu’elles grandissent dans la nature. Elles allaient se baigner dans le lac, avec une veste de sauvetage bien sûr, elles ont appris à faire du vélo, du quatre roues... »
Lisez le reste de l'article sur le journal Le Soleil.
Une pièce blasphématoire : « Les fées ont soif »
Par Paul-André Deschesnes
En 1978, le Québec vivait à plein régime la disparition de la « grande noirceur ». On pataugeait dans « l’ivresse » de la Révolution tranquille. On annonçait fièrement sur toutes les tribunes qu’on s’était débarrassé de Dieu. On entrait tête première dans l’ère de la liberté tous azimuts.
En 1978, le Théâtre du Nouveau Monde de Montréal présentait une populaire pièce très féministe intitulée « Les fées ont soif » durant plusieurs mois. Ce supposé chef-d’œuvre appelait haut et fort les mouvements de libération de la femme à accentuer la lutte et, en même temps, pourfendait violemment l’époque de la grande noirceur. Cette pièce ridiculisait en particulier et méprisait vicieusement en termes vulgaires la Vierge Marie, présentée comme un épouvantable symbole de la soumission féminine. Les spectateurs accouraient de partout pour venir gober le contenu blasphématoire de cette pièce qui se moquait allègrement et grossièrement de la virginité mariale, de la naissance du Christ grâce à l’opération du St-Esprit et de la chasteté dans une atmosphère toxique et athée. Alors, la Vierge Marie a été massacrée et violée pendant plusieurs semaines lors de la présentation de cette pièce à Montréal en 1978.
Lire la suiteGraduation LGBT+ à l'université McGill

Bâtiment de l'université McGill.
Par Campagne Québec-Vie — Source : Le Journal de Montréal — Photo : Paul Lowry/Wikimedia Commons
McGill sera la première université au Canada à organiser une remise de diplômes spéciale pour les personnes « LGBT+».
« Le but sera de souligner la réussite scolaire des étudiants non hétérosexuels et/ou non cisgenres qui terminent leurs études », précise le Journal de Montréal, car, d’après Michael David Miller de l’université McGill, il y aurait un plus grand pourcentage de décrochage chez les gens LGBT+, même à l’université. Beaucoup de ces étudiants seraient victimes de plus de harcèlement (vraiment?) ou d’agressions sexuelles (de la part de qui?). Le reste de l’article continue en parlant des malheurs de la gens LGBT+ et de l’espoir qu’une telle cérémonie les fera se sentir bienvenues à McGill.
Cette université ferait mieux de féliciter ces étudiants de leur succès en tant que personne et non comme individu appartenant à un groupuscule. De plus, faire un acte public pour féliciter des personnes en tant que membres du groupe LGBT+ laisse entendre que leurs comportements sont normaux et acceptables.
À quant des graduations pro-vie?
Pourquoi continuer le combat pour la foi, la famille et la vie ?
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Certains me demandent, étant donné l’état des choses dans notre pays, pourquoi ne pas simplement attendre que tout s’effondre de lui-même. Pourquoi ne pas se retirer hors de cette culture de mort et mener une vie digne à l’écart, en attendant que s’effondre sous le poids de ses incohérences la tour de Babel promort et anti-Dieu que Justin Trudeau et ses amis mondialistes veulent ériger ?
Voici une lettre que j’ai reçue dernièrement qui exprime cette même pensée :
Bonjour Monsieur Buscemi,
Voici que j’ai une question à vous poser au sujet de la pilule abortive qui a fait son apparition début janvier au Québec et qui est légale. Maintenant les femmes n’iront plus se faire avorter à l’hôpital, ou ailleurs, car elles le feront chez elles et même pas leur ami, ou mari, ne le sauront. Personne n’en saura rien. Donc, comment allez-vous faire ?
Maintenant je vois aussi que vous vous impliquez dans la politique, et là je ne peux pas vous suivre, car la politique est une affaire humaine, et ne vient pas de Dieu.
Nous avons un gouvernement mauvais, et il tombera de lui-même. Ça c’est garanti. [...] En plus le pouvoir que Satan a sur eux est sans borne pour le moment, cela aussi ne durera pas [...]
Donc, donnez-moi de bonnes raisons pour continuer à faire une part, pour Québec-Vie !
Sincères salutations---
Lire la suiteLe printemps fleurit tôt avec Campagne Québec-Vie !

La photo n'est pas celle de la mère ou de l'enfant dont il est question dans le présent article.
Par Jeunesse Québec-Vie — Photo : PublicDomainPictures/Pixabay
Nous avons récemment contacté Joanie, la mère d’Isabelle (les noms ont été modifiés par respect à l’anonymat). Il y a un an, Isabelle était enceinte et envisageait un avortement. Étant encore étudiante, elle pensait qu’une grossesse surprise serait la fin de ses projets pour une vie heureuse.
Cependant, avec le soutien de Campagne Québec Vie, Isabelle a pris la décision courageuse de donner une chance à sa vie et de sauver son bébé Emilien. Ce 6 février, nous avons célébré une année de la vie de ce petit garçon, une année de nouvelles opportunités, de nouvelles joies et de nouvelles façons d’aimer!
Nous n’avons pas pu parler à Isabelle elle-même, car elle était à son université. Vous voyez, avec notre soutien et celui de sa mère, Isabelle a pu poursuivre ses études. Joanie nous a raconté comment le travail de CQV a donné à sa fille l’occasion de faire le meilleur choix et de donner à elle-même et à son bébé une chance dans la vie. En fait, ce soutien a fourni les nécessités de base pour élever un bébé. Cela a également permis à Isabelle d’embaucher une nounou pour qu’elle puisse étudier et travailler.
Lire la suiteConférence médicale contre l’euthanasie
Par John Chrobak (Collectif des médecins contre l’euthanasie)
Le Collectif des médecins contre l’euthanasie a le plaisir d’annoncer sa première conférence médicale contre l’euthanasie, qui aura lieu à Montréal, samedi le 24 mars 2018.
La conférence s’adresse particulièrement aux médecins et autres praticiens du domaine de la santé qui sont confrontés aux changements radicaux du secteur médical entraînés par les lois sur l’euthanasie récemment adoptées.
Les personnes intéressées, mais ne travaillant pas dans le secteur médical, sont aussi les bienvenues.
Préparez-vous à soigner consciencieusement les patients qui pourraient demander l’euthanasie, y compris les patients des unités de soins palliatifs et des hospices et les patients ambulatoires atteints de maladies chroniques.
Lire la suiteTable ronde organisée par L’Entraide : « Le cours d’éducation sexuelle dans les écoles du Québec »
Entraide Bois-de-Boulogne
et le Rassemblement des chrétiens du Moyen-Orient vous invitent assister à une table ronde sur
« Le cours d’éducation sexuelle dans les écoles du Québec »
Le Ministère de l’Éducation du Québec implantera en septembre 2018 un nouveau cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles au Québec à partir de la maternelle. Le but avoué est de réduire les grossesses non désirées, les maladies transmises sexuellement, le refus de l’homosexualité et des familles alternatives, la lutte contre la transphobie.
De nos jours les parents qui veulent élever leurs enfants selon leurs principes religieux dérangent. Même nos écoles ont perdu leur autonomie aux mains des idéologues de la pédagogie. Le programme que nous propose le Ministère traite le sexe d’une façon souvent mécanique alors que nos enfants ont besoin pour s’épanouir d’une intégration de l’amour et de la sexualité. Pour en débattre :
M. Émile Robichaud : Éducateur, historien et ex-directeur d’école.
Mme Solange Lefebvre-Pageau : Infirmière, fondatrice du Centre de recherche d’éducation à la vie familiale.
M. Raymond Ayas : Homme d’affaires et père de 3 jeunes enfants.
Soyez nombreux à participer à ce débat qui nous concerne tous. Invitez vos enfants, vos petits — enfants, leurs professeurs.
Mercredi 21 mars 2018
Centre des loisirs de Saint-Laurent
1375, rue Grenet, salle 225
19 h 30 Rafraîchissements
20 h Débat
21 h Discussion ouverte
Ce carême, prions pour la fin de l'avortement
Aujourd’hui, le mercredi des Cendres, débutent à Montréal (et dans 354 communautés partout au monde) les 40 jours pour la Vie.
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Les 40 Jours pour la Vie sont des vigiles internationales ayant lieu deux fois par année pendant 40 jours, 12 heures ou 24 heures par jour, devant un centre d’avortement. L’événement se tient au printemps et en automne.
3 éléments : la prière et le jeûne, la vigile pacifique, la sensibilisation publique
1. La prière et le jeûne
La prière et le jeûne pour la fin de l’avortement sont au centre des 40 jours pour la vie. Tous les participants aux 40 jours, qu’ils soient à la vigile ou dans leurs foyers ou églises prient et jeûnent pour la fin de l’avortement. Les personnes âgées, les communautés religieuses, et plusieurs autres individus sont invités de façon spéciale à prier durant ces 40 jours.
Lire la suiteUn professeur de cégep suspendu pour prétendue « homophobie », la haine est peut-être ailleurs
Cégep du Vieux Montréal
Par pouruneécolelibre — Photo : Jeangagnon/Wikimedia Commons
Le professeur de philosophie Jean Laberge a été suspendu du Cégep du Vieux Montréal en attente d’éventuelles sanctions, a appris Radio-Canada. La direction lui reproche des propos homophobes tenus en dehors de l’établissement, notamment sur sa page Facebook. Le professeur compte plaider le droit à la liberté d’expression.
Jean Laberge est un professeur « controversé » selon Radio-Canada. Fervent catholique, de droite, il se qualifie lui-même de « mouton noir » du Cégep du Vieux Montréal.
Depuis plusieurs mois, ses publications indisposent des étudiants et des collègues. Que ce soit sur sa page Facebook, publique, ou sur le site web du Huffington Post, où il tient un blogue. C’est un texte publié le 17 janvier sur son compte Facebook qui a provoqué la réaction de la direction du cégep.
Jean Laberge y exprime son « aversion » pour l’homosexualité. Il parle de sa « peur » et son incompréhension de l’homosexualité, même s’il précise qu’il la « respecte ».
Lire la suiteBlasphémer l’amour
Montréal.
Par Paul-André Deschesnes — Photo : abdallahh/Flickr
Chers lecteurs, trouvez-vous mon titre trop provocateur ? Pourtant, c’est la triste réalité !
En janvier 2018, tous les médias du Québec nous ont invités à nous rendre à la grande salle de la place Bonaventure de Montréal, afin d’admirer le « Salon de l’amour et de la séduction », un événement « jouissif et instructif », un incontournable rendez-vous dans notre Métropole hyper décadente qui s’est tenu les 19, 20 et 21 janvier 2018.
Annuellement, tous les commerçants du sexe se ruent en très grand nombre pour annoncer leur « bonne nouvelle », pour exposer leur cochonnerie et pour faire des affaires d’or devant la foule en délire qui en redemande toujours plus.
Cette année, on nous a annoncé que l’on peut satisfaire tous les groupes d’âge (bientôt les enfants, pourquoi pas ?) en quête de jouissances sexuelles tous azimuts. Il paraît que les aînés sont maintenant présents en très grand nombre à ce salon de l’ordure, car ils s’autoproclament très actifs et très performants sur le plan sexuel.
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