Pourquoi continuer le combat pour la foi, la famille et la vie ?
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Certains me demandent, étant donné l’état des choses dans notre pays, pourquoi ne pas simplement attendre que tout s’effondre de lui-même. Pourquoi ne pas se retirer hors de cette culture de mort et mener une vie digne à l’écart, en attendant que s’effondre sous le poids de ses incohérences la tour de Babel promort et anti-Dieu que Justin Trudeau et ses amis mondialistes veulent ériger ?
Voici une lettre que j’ai reçue dernièrement qui exprime cette même pensée :
Bonjour Monsieur Buscemi,
Voici que j’ai une question à vous poser au sujet de la pilule abortive qui a fait son apparition début janvier au Québec et qui est légale. Maintenant les femmes n’iront plus se faire avorter à l’hôpital, ou ailleurs, car elles le feront chez elles et même pas leur ami, ou mari, ne le sauront. Personne n’en saura rien. Donc, comment allez-vous faire ?
Maintenant je vois aussi que vous vous impliquez dans la politique, et là je ne peux pas vous suivre, car la politique est une affaire humaine, et ne vient pas de Dieu.
Nous avons un gouvernement mauvais, et il tombera de lui-même. Ça c’est garanti. [...] En plus le pouvoir que Satan a sur eux est sans borne pour le moment, cela aussi ne durera pas [...]
Donc, donnez-moi de bonnes raisons pour continuer à faire une part, pour Québec-Vie !
Sincères salutations---
Lire la suiteLe printemps fleurit tôt avec Campagne Québec-Vie !
La photo n'est pas celle de la mère ou de l'enfant dont il est question dans le présent article.
Par Jeunesse Québec-Vie — Photo : PublicDomainPictures/Pixabay
Nous avons récemment contacté Joanie, la mère d’Isabelle (les noms ont été modifiés par respect à l’anonymat). Il y a un an, Isabelle était enceinte et envisageait un avortement. Étant encore étudiante, elle pensait qu’une grossesse surprise serait la fin de ses projets pour une vie heureuse.
Cependant, avec le soutien de Campagne Québec Vie, Isabelle a pris la décision courageuse de donner une chance à sa vie et de sauver son bébé Emilien. Ce 6 février, nous avons célébré une année de la vie de ce petit garçon, une année de nouvelles opportunités, de nouvelles joies et de nouvelles façons d’aimer!
Nous n’avons pas pu parler à Isabelle elle-même, car elle était à son université. Vous voyez, avec notre soutien et celui de sa mère, Isabelle a pu poursuivre ses études. Joanie nous a raconté comment le travail de CQV a donné à sa fille l’occasion de faire le meilleur choix et de donner à elle-même et à son bébé une chance dans la vie. En fait, ce soutien a fourni les nécessités de base pour élever un bébé. Cela a également permis à Isabelle d’embaucher une nounou pour qu’elle puisse étudier et travailler.
Lire la suiteConférence médicale contre l’euthanasie
Par John Chrobak (Collectif des médecins contre l’euthanasie)
Le Collectif des médecins contre l’euthanasie a le plaisir d’annoncer sa première conférence médicale contre l’euthanasie, qui aura lieu à Montréal, samedi le 24 mars 2018.
La conférence s’adresse particulièrement aux médecins et autres praticiens du domaine de la santé qui sont confrontés aux changements radicaux du secteur médical entraînés par les lois sur l’euthanasie récemment adoptées.
Les personnes intéressées, mais ne travaillant pas dans le secteur médical, sont aussi les bienvenues.
Préparez-vous à soigner consciencieusement les patients qui pourraient demander l’euthanasie, y compris les patients des unités de soins palliatifs et des hospices et les patients ambulatoires atteints de maladies chroniques.
Lire la suiteTable ronde organisée par L’Entraide : « Le cours d’éducation sexuelle dans les écoles du Québec »
Entraide Bois-de-Boulogne
et le Rassemblement des chrétiens du Moyen-Orient vous invitent assister à une table ronde sur
« Le cours d’éducation sexuelle dans les écoles du Québec »
Le Ministère de l’Éducation du Québec implantera en septembre 2018 un nouveau cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles au Québec à partir de la maternelle. Le but avoué est de réduire les grossesses non désirées, les maladies transmises sexuellement, le refus de l’homosexualité et des familles alternatives, la lutte contre la transphobie.
De nos jours les parents qui veulent élever leurs enfants selon leurs principes religieux dérangent. Même nos écoles ont perdu leur autonomie aux mains des idéologues de la pédagogie. Le programme que nous propose le Ministère traite le sexe d’une façon souvent mécanique alors que nos enfants ont besoin pour s’épanouir d’une intégration de l’amour et de la sexualité. Pour en débattre :
M. Émile Robichaud : Éducateur, historien et ex-directeur d’école.
Mme Solange Lefebvre-Pageau : Infirmière, fondatrice du Centre de recherche d’éducation à la vie familiale.
M. Raymond Ayas : Homme d’affaires et père de 3 jeunes enfants.
Soyez nombreux à participer à ce débat qui nous concerne tous. Invitez vos enfants, vos petits — enfants, leurs professeurs.
Mercredi 21 mars 2018
Centre des loisirs de Saint-Laurent
1375, rue Grenet, salle 225
19 h 30 Rafraîchissements
20 h Débat
21 h Discussion ouverte
Ce carême, prions pour la fin de l'avortement
Aujourd’hui, le mercredi des Cendres, débutent à Montréal (et dans 354 communautés partout au monde) les 40 jours pour la Vie.
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Les 40 Jours pour la Vie sont des vigiles internationales ayant lieu deux fois par année pendant 40 jours, 12 heures ou 24 heures par jour, devant un centre d’avortement. L’événement se tient au printemps et en automne.
3 éléments : la prière et le jeûne, la vigile pacifique, la sensibilisation publique
1. La prière et le jeûne
La prière et le jeûne pour la fin de l’avortement sont au centre des 40 jours pour la vie. Tous les participants aux 40 jours, qu’ils soient à la vigile ou dans leurs foyers ou églises prient et jeûnent pour la fin de l’avortement. Les personnes âgées, les communautés religieuses, et plusieurs autres individus sont invités de façon spéciale à prier durant ces 40 jours.
Lire la suiteUn professeur de cégep suspendu pour prétendue « homophobie », la haine est peut-être ailleurs
Cégep du Vieux Montréal
Par pouruneécolelibre — Photo : Jeangagnon/Wikimedia Commons
Le professeur de philosophie Jean Laberge a été suspendu du Cégep du Vieux Montréal en attente d’éventuelles sanctions, a appris Radio-Canada. La direction lui reproche des propos homophobes tenus en dehors de l’établissement, notamment sur sa page Facebook. Le professeur compte plaider le droit à la liberté d’expression.
Jean Laberge est un professeur « controversé » selon Radio-Canada. Fervent catholique, de droite, il se qualifie lui-même de « mouton noir » du Cégep du Vieux Montréal.
Depuis plusieurs mois, ses publications indisposent des étudiants et des collègues. Que ce soit sur sa page Facebook, publique, ou sur le site web du Huffington Post, où il tient un blogue. C’est un texte publié le 17 janvier sur son compte Facebook qui a provoqué la réaction de la direction du cégep.
Jean Laberge y exprime son « aversion » pour l’homosexualité. Il parle de sa « peur » et son incompréhension de l’homosexualité, même s’il précise qu’il la « respecte ».
Lire la suiteBlasphémer l’amour
Montréal.
Par Paul-André Deschesnes — Photo : abdallahh/Flickr
Chers lecteurs, trouvez-vous mon titre trop provocateur ? Pourtant, c’est la triste réalité !
En janvier 2018, tous les médias du Québec nous ont invités à nous rendre à la grande salle de la place Bonaventure de Montréal, afin d’admirer le « Salon de l’amour et de la séduction », un événement « jouissif et instructif », un incontournable rendez-vous dans notre Métropole hyper décadente qui s’est tenu les 19, 20 et 21 janvier 2018.
Annuellement, tous les commerçants du sexe se ruent en très grand nombre pour annoncer leur « bonne nouvelle », pour exposer leur cochonnerie et pour faire des affaires d’or devant la foule en délire qui en redemande toujours plus.
Cette année, on nous a annoncé que l’on peut satisfaire tous les groupes d’âge (bientôt les enfants, pourquoi pas ?) en quête de jouissances sexuelles tous azimuts. Il paraît que les aînés sont maintenant présents en très grand nombre à ce salon de l’ordure, car ils s’autoproclament très actifs et très performants sur le plan sexuel.
Lire la suiteLe nouveau Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille voit le jour
Katerine Perrault et Ellen Roderick directrices du Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille
Par diocesemontreal
L’archidiocèse de Montréal annonce la création d’un organisme pour renforcer la vie de famille : le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille.
Ce nouveau centre résulte de la fusion de l'Office de la famille et de son équivalent anglophone, le Family Life Office, et perpétuera les valeurs et les efforts mis en place par ses deux directeurs Serge et Sylvie Vallée, nouvellement retraités.
Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille répond aux besoins exprimés depuis deux ans par les communautés montréalaises. Le Centre est sous la direction de Mesdames Katerine Perrault et Ellen Roderick, toutes deux diplômées de l'Institut pontifical Jean-Paul II d'études sur le mariage et la famille, basé à Rome* avec une filiale à Washington D.C.
La mission du Centre consiste à redynamiser les efforts diocésains d'évangélisation dédiés au mariage, à la vie et à la famille, grâce à la formation, l'accompagnement et l'engagement culturel [...] Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille concrétise ainsi le désir de l'Église catholique à Montréal de partager avec les personnes de bonne volonté les richesses et les promesses de bonheur que comporte le plan divin sur l'amour humain.
Lire la suiteLa chrétienté est la solution - Retour sur un colloque mémorable
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Georges Buscemi. |
Le colloque du 4 novembre fut grandement apprécié des participants de cette journée mémorable. Tenu au centre-ville de Montréal à l’Hôtel Europa, il a rassemblé la famille Campagne Québec-Vie par des conférences sur la famille, la religion, la politique et les moyens de protéger l’enfant à naître. J’ai débuté la session sur le thème « Partir d’Omelas : savons-nous où nous allons ? »
Omelas, c’est une cité utopique décrite dans un récit de science-fiction d’Ursula K. Le Guin intitulé « Ceux qui partent d’Omelas ». Mais cette cité des délices cache un terrible secret : son bon fonctionnement, le bonheur de ses citoyens, dépend directement des atroces peines qu’on inflige à un seul enfant de cette ville, enfant que l’on garde enfermé dans un cachot humide. Les parallèles entre cette ville fictive et notre situation contemporaine sont évidents lorsque nous constatons que la soi-disant « liberté » des Québécoises et des Québécois existe aux dépens des vies broyées de plus de 30 000 enfants à naître par année. Cependant, si nous voulons « partir d’Omelas », c’est-à-dire laisser derrière nous cette situation d’injustice et de meurtre, où devons-nous aller, quelle sorte de cité meilleure cherchons-nous? Et ma réponse, qui est venue au terme d’un argumentaire que je ne peux reproduire ici : au sacrifice sanglant qui fonde notre cité injuste, nous devons substituer le sacrifice suprême du Christ. En d’autres mots, seule une cité chrétienne peut durablement et convenablement remplacer la cité injuste d’aujourd’hui.
Le second conférencier, l’historien Jean-Claude Dupuis, a abordé la question très controversée d’une supposée politique nataliste chez le clergé d’avant la Révolution tranquille. Intitulée « La légende noire du clérico-natalisme », sa présentation a effectivement réfuté, avec maintes preuves, le mythe selon lequel le clergé québécois refusait aux femmes l’absolution comme conséquence de ne pas avoir fait assez d’enfants.
Cette présentation est maintenant en ligne:
Anne-Marie Genest. |
Pour sa part, notre dernière conférencière, Anne-Marie Genest, a souligné l’importance de la chasteté et de la pudeur, arguant que l’avortement n’est qu’un symptôme tragique d’un dérèglement au niveau des mœurs sexuelles qui a frappé l’Occident au courant des années 60, et même bien avant.
Finalement, certains d’entre nous sommes restés pour discuter, lors d’une réunion en soirée, des moyens de tirer profit des élections provinciales de 2018 et fédérales de 2019 pour faire avancer notre projet d’un Québec de nouveau chrétien et pro-vie.
Toutes les conférences seront publiées prochainement sur YouTube, à l’adresse : www.youtube.com/campagnequebecvie — Merci de votre soutien !
L’école des jeunes mères
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Elvis Kennedy/Flickr
L’école Rosalie-Jetté n’est pas une école ordinaire. Un article du Devoir rapporte qu'elle permet aux jeunes mères enceintes ou ayant un enfant de poursuivre leurs études secondaires. Leur âge va de 15 à 21 ans et elles sont de tous niveaux d’études, elles peuvent laisser leur enfant à la pouponnière de l’école avant de prendre leurs cours. L’école donne en plus du cursus ordinaire des cours de cuisine, des cours prénataux, postnataux et autres. Cette école est très flexible dans ses horaires pour accommoder les jeunes mères, par exemple, quand elles doivent s’absenter pour la naissance de leur enfant.
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