L'agenda du Collège Maisonneuve prône la théorie du genre
Combinaison d'articles d'Eric Pilon (Le Peuple) n°1 et n°2 par Campagne Québec-Vie — Voici la ou les sources de ces articles : Agenda 2018-2019 de Maisonneuve n°1, n°2, n°3, n°4, n°5, n°6, n°7, n°8, n°9, n°10, n°11, n°12, n°13, n°14, n°15, n°16, n°17, n°18, n°19, n°20 et n°21, Facebook, ONU, Métro et La Presse / Voici les sources des photos : (Pascal Bergeron, Le Peuple, CC BY 4.0)
Collège de Maisonneuve : un agenda aux allures d'extrême gauche
Le Peuple a obtenu copie de l'agenda des étudiants du Collège de Maisonneuve. Son contenu est très édifiant...
L'agenda 2018-2019 du Collège de Maisonneuve nous en apprend beaucoup sur l'état d'esprit qui règne dans la boîte. À première vue, on a l'impression que le collège fait office de club-école pour l'UQAM tellement l'extrême gauche y a imprimé sa marque. Et en jetant un coup d'oeil sur la quatrième de couverture, notre pressentiment se confirme : on y voit l'image d'une femme voilée qui hurle dans un porte-voix. La symbolique n'échappe à personne.
L'agenda, appelé Guide de survie aux études collégiales, a été rédigé par la Société générale des étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), laquelle se considère davantage comme un syndicat. C'est du moins ce que l'on comprend quand on lit que son mode d'action s'appuie sur le « syndicalisme de combat ». C'est peut-être pourquoi sur la couverture de l'agenda apparaît l'image d'une jeune femme le poing en l'air.
Le Guide de survie aborde de nombreux sujets pour lesquels se passionne l'extrême gauche. Entre autres, la question des genres. Ici, on explique aux étudiants que même si la société impose « des catégories de genre binaires étroites et mutuellement exclusives [masculin et féminin] », elles ne correspondent pas nécessairement à l'identité des individus. Vous l'aurez compris, le genre est une construction sociale. Bienvenue au vingt et unième siècle.
Lire la suiteErreur sur la date de la prochaine Chaîne de la Vie de Montréal
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Je désire m'excuser auprès de vous chers lecteurs de l'erreur que j'ai commise au sujet de la date de la Chaîne de la Vie de Montréal. La vraie date est le 30 septembre et non le 7 octobre pour Montréal.
La date a aussi été rectifié dans l'article original
Toutes mes excuses encore.
Les prochaines Chaînes de la Vie de Québec et Montréal
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Suite à une erreur sur la date de la Chaîne de la Vie de Montréal, j'ai rectifié celle-ci.
Les Chaînes de la Vie sont des événements, d'une durée d'une heure, du même esprit que les 40 Jours pour la Vie (se tenir sur la place publique avec une pancarte et prier) qui ont pour but la protection de l'enfant à naître, l'aide aux femmes enceintes et la fin de l'avortement.
Les Chaînes de la Vie de cette année auront lieu les dimanches 30 septembre à Montréal et 7 octobre à Québec, de 2h à 3h.
Leur emplacement sera respectivement au coin du boulevard Décarie et de la rue Jean-Talon, à côté de la station de métro Namur à Montréal, et au coin de l'avenue du Chanoine Morel et du boulevard Laurier à Québec.
Nous vous y attendons nombreux pour prier pour l'enfant à naître!
Pour Justin Trudeau la tolérance de l'homosexualité ne suffit plus, il faut l'accepter
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
LifeSiteNews relève et commente une déclaration faite à la presse par le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, avant la parade de la Gay Pride de Montréal qui s’est déroulée le 19 août dernier. Revêtu d’une chemise rose, le chef du gouvernement a indiqué aux journalistes que la « tolérance » à l’égard de l’homosexualité ne suffit plus, il faudra désormais « l’acceptation » de tous les Canadiens.
« Pouvons-nous cesser de parler de tolérance ? Il nous faut parler d’acceptation », a-t-il insisté, fidèle à son militantisme LGBT et à sa propension à adopter des vêtements – quand ce ne sont pas des déguisements ! – de circonstance.
La distinction est de taille, puisque la tolérance peut s’exercer à l’égard du mal objectif [...] alors que l’acceptation implique une adhésion, voire une justification. Qui s’appliqueraient en l’occurrence à des comportements « intrinsèquement désordonnés », qu’on ne pourrait donc plus dénoncer comme tels.
Lire la suiteLettre d'un lecteur à la mairesse de Montréal : Pourquoi dépenser pour les «festivités gaies»?
Hôtel de ville de Montréal.
Lettre d'un lecteur de Campagne Québec-Vie — Photo : Jeangagnon/Wikimedia Commons
Bonjour madame Valérie Plante,
Il me semble que Montréal est certes doté d’une mairesse très dévouée à sa ville. Tant mieux pour les Montréalais. Même si je suis de Laval, je tiens à donner mon opinion sur une nouvelle que je viens d’apprendre. La ville de Montréal a donné $120 000 pour promouvoir ce qu’on appelle « La parade gaie ».
Tout d’abord, je tiens à affirmer que je n’accuse nullement une personne avec tendances homosexuelles. Des raisons, parfois obscures, parfois évidentes, peuvent pousser un humain à être attiré par le même sexe. C’est la chose même (non pas l’individu), l’homosexualité que je trouve anormal. Dieu (la nature) a fait que l’homme a une attirance vers la femme et vice-versa. Bien normal si on pense à la procréation. Comme le cancer n’est pas chose naturelle mais que le cancéreux doit être aidé à en sortir, l’homosexualité n’est pas plus chose naturelle et l’homosexuel doit être aidé lui aussi.
Votre contribution à La parade gaie risque fort de donner un assentiment et d’encourager l’homosexualité plutôt que de venir en aide aux victimes.
Dommage que Montréal ne subventionne pas pourtant des organismes qui eux tentent de sauver la vie d’êtres humains. Ces groupes, qui avec des moyens financiers extrêmement faibles, font tout pour promouvoir la vie par opposition à l’avortement.
Merci pour avoir lu – j’apprécierais vos commentaires.
Un drag-queen de neuf ans... pauvre garçon
Blog D’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
J’ai aussi lu dans cet article du Journal Metro qu’en plus, d’après sa mère, il se dirait « genderfluid ». Le fait de se déguiser d’une façon féminine (et encore, plutôt déformant la féminité qu’autre chose) ne doit sûrement pas l’aider.
Il est triste de penser que ce jeune de Montréal, qui se donne le nom de Lactatia lorsqu'il est déguisé, est plongé dans l’univers vulgaire des groupes LGBT+, portant parfois des vêtements que des parents normaux ne voudraient pas voir leur fille porter
Montréal donne 120 000 $ des contribuables à Fierté Montréal
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Ville de Montréal
La communauté LGBT+ reçoit de plus en plus d’argent des trois paliers de gouvernement.
Le 12e festival de Fierté Montréal, qui débute jeudi [9 août], pourra compter sur un coup de pouce des contribuables montréalais. Christine Gosselin, responsable de la culture, du patrimoine et du design au comité exécutif de la Ville de Montréal, a en effet annoncé qu’elle allait accorder 120 000 $ à l’organisme Fierté Montréal.
« Lorsque je vois le drapeau multicolore flotter aux quatre coins de la métropole, quand j’entends que les jeunes de la communauté LGBTQ+ peuvent vivre sans être contraints par qui ou quoi que ce soit, je réalise que Montréal est rendue là où elle se doit d’être, soit une ville ouverte, diversifiée, évoluée où tous et toutes ont leur place », a déclaré Mme Gosselin.
La communauté LGBT+ ne peut nier qu’elle a le vent dans les voiles depuis un certain temps. En mars, Québec avait octroyé 550 000 $ à 24 organismes communautaires LGBT+ dans le cadre du Plan d’action gouvernemental de lutte contre l’homophobie et la transphobie 2017-2022. Un mois plus tard, le gouvernement Couillard allouait la somme de 65 000 $ à un organisme LGBT+, la Coalition d’aide à la diversité sexuelle de l’Abitibi-Témiscamingue.
Puis il y a quelques jours, le gouvernement fédéral annonçait qu’il s’engageait à investir jusqu’à 1 million de dollars, dans le cadre du Programme pour la stabilisation et les opérations de paix, « afin de répondre aux défis liés aux droits des personnes LGBTQ2 et intersexuées durant les conflits violents ».
La DPJ retire deux filles à leurs parents sur fond d’instruction à la maison
Un couple lance un cri du cœur contre la DPJ, qui lui a retiré ses deux filles il y a plus de trois ans. Au centre du désaccord, la scolarisation et un diagnostic d’autisme.
Lorsque Sylvie et François (prénoms modifiés) vont voir leurs deux filles, âgées de 10 et 11 ans, ils ne peuvent même pas les toucher. Ni les consoler. Ils ont le droit de les voir une heure et demie par semaine, sous supervision, dans un endroit déterminé par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Sylvie et François se sont vu retirer leurs droits parentaux et tous les autres droits. Aussi bien dire qu’ils se sont fait retirer leurs enfants, point. Depuis plus de trois ans. L’histoire commence en région, leur première fille a huit mois, Sylvie et François font le choix de s’acheter une maison sur le bord d’un lac privé, dans les pays d’en haut, avec plein d’animaux, des poules, des canards, des lapins, des chèvres miniatures.
Ils ont un élevage de chiens de race.
Presque un an plus tard, ils ont eu une autre fille. « On est resté là pendant sept ans, les filles étaient libres, raconte Sylvie. C’est ce qu’on voulait, qu’elles grandissent dans la nature. Elles allaient se baigner dans le lac, avec une veste de sauvetage bien sûr, elles ont appris à faire du vélo, du quatre roues... »
Lisez le reste de l'article sur le journal Le Soleil.
Une pièce blasphématoire : « Les fées ont soif »
Par Paul-André Deschesnes
En 1978, le Québec vivait à plein régime la disparition de la « grande noirceur ». On pataugeait dans « l’ivresse » de la Révolution tranquille. On annonçait fièrement sur toutes les tribunes qu’on s’était débarrassé de Dieu. On entrait tête première dans l’ère de la liberté tous azimuts.
En 1978, le Théâtre du Nouveau Monde de Montréal présentait une populaire pièce très féministe intitulée « Les fées ont soif » durant plusieurs mois. Ce supposé chef-d’œuvre appelait haut et fort les mouvements de libération de la femme à accentuer la lutte et, en même temps, pourfendait violemment l’époque de la grande noirceur. Cette pièce ridiculisait en particulier et méprisait vicieusement en termes vulgaires la Vierge Marie, présentée comme un épouvantable symbole de la soumission féminine. Les spectateurs accouraient de partout pour venir gober le contenu blasphématoire de cette pièce qui se moquait allègrement et grossièrement de la virginité mariale, de la naissance du Christ grâce à l’opération du St-Esprit et de la chasteté dans une atmosphère toxique et athée. Alors, la Vierge Marie a été massacrée et violée pendant plusieurs semaines lors de la présentation de cette pièce à Montréal en 1978.
Lire la suiteGraduation LGBT+ à l'université McGill
Bâtiment de l'université McGill.
Par Campagne Québec-Vie — Source : Le Journal de Montréal — Photo : Paul Lowry/Wikimedia Commons
McGill sera la première université au Canada à organiser une remise de diplômes spéciale pour les personnes « LGBT+».
« Le but sera de souligner la réussite scolaire des étudiants non hétérosexuels et/ou non cisgenres qui terminent leurs études », précise le Journal de Montréal, car, d’après Michael David Miller de l’université McGill, il y aurait un plus grand pourcentage de décrochage chez les gens LGBT+, même à l’université. Beaucoup de ces étudiants seraient victimes de plus de harcèlement (vraiment?) ou d’agressions sexuelles (de la part de qui?). Le reste de l’article continue en parlant des malheurs de la gens LGBT+ et de l’espoir qu’une telle cérémonie les fera se sentir bienvenues à McGill.
Cette université ferait mieux de féliciter ces étudiants de leur succès en tant que personne et non comme individu appartenant à un groupuscule. De plus, faire un acte public pour féliciter des personnes en tant que membres du groupe LGBT+ laisse entendre que leurs comportements sont normaux et acceptables.
À quant des graduations pro-vie?