Trump prêt à châtier les vandales s’attaquant aux statues et aux églises catholiques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Donald Trump, président des États-Unis promet de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » les iconoclastes s’attaquant aux monuments ou aux églises catholiques aux États-Unis, affirme un haut responsable de la Maison-Blanche. Le président a par ailleurs signé un décret le 26 juin sanctionnant quiconque s’en prendrait aux monuments ; Trump avait déclaré, « ils s’en prennent également à Jésus-Christ, mais tant que je serai là, cela n’arrivera pas ». Selon Sputnik News :
Donald Trump a promis de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » ceux qui attaquent des monuments ou églises catholiques aux États-Unis, relate le journal Daily Caller qui cite des propos d’un haut représentant de la Maison-Blanche.
« Le Président Trump se joint à la communauté catholique et exprime sa solidarité en ces temps difficiles. Rassurez-vous, le Président Trump exigera toujours le respect de la loi et de l’ordre dans les communautés américaines et veillera à ce que les criminels à l’origine de ces actes sacrilèges soient poursuivis avec toute la rigueur qu’impose la loi », a informé le responsable.
Et le responsable de rappeler le vandalisme mené contre les monuments catholiques comme cette statue de Jésus décapitée à Miami et celle de Marie brûlée à Boston.
Lire la suiteUn prêtre et des catholiques protègent la statue de saint Louis assiégée par les Black Lives Matter
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) — Photo : Joel Currier/Twitter
Etats-Unis – Un prêtre catholique du Missouri s’est adressé à des centaines de manifestants Black Lives Matter alors qu’il défendait une statue de Saint-Louis dans la ville américaine nommée d’après le saint roi français, entouré de catholiques priant autour de la statue et la protégeant du vandalisme des manifestants.
Le père Stephen Schumacher, prêtre de l’archidiocèse de Saint-Louis, a rejoint samedi les catholiques qui se sont placés entre la statue déjà vandalisée et des militants Black Lives Matter appelant à sa démolition.
Tentant d’informer les manifestants Black Lives Matter du caractère et de la vertu de Saint-Louis, le Père Schumacher a déclaré : « Saint Louis était un homme qui voulait utiliser sa royauté pour faire du bien à son peuple. »
Umar Lee, l’un des organisateurs des manifestations Black Lives Matter, avait annoncé plus tôt dans la journée que la statue « allait tomber », comme l’a rapporté Joel Currier du St. Louis Post-Dispatch.
Cet agitateur inculte avait prétendu que Saint Louis « représente la haine et nous essayons de créer une ville d’amour ».
« Nous essayons de créer une ville où la vie des Noirs compte », avait-il poursuivi. « Nous essayons de créer une ville où il n’y a ni antisémitisme ni islamophobie… ce n’est pas un symbole de notre ville en 2020. »
« C’est une révolution », avait ajouté un autre manifestant bien conscient de son acte, Moji Sidiqi du Regional Muslim Action Network, au journal local.
Ce révolutionnaire musulman revendiquait également que la ville de Saint-Louis soit renommée « pour célébrer la diversité raciale, ethnique et religieuse de la ville. »
Jusqu’à présent, les manifestants n’ont pas été en mesure de démolir la statue et les catholiques du groupe de la Coalition du chapelet pour Saint Louis ont nettoyé les graffitis qui recouvraient son socle et organisé des veillées de prière quotidiennes sur le site.
L’Assemblée législative d’Arkansas adopte une période d’attente de 72 heures pour l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
L’utilité de cette période d’attente, entre une consultation pour un avortement et son exécution, est que la femme peut mieux y réfléchir, loin de la pression de proches ou même d’employés de l’avortoir. En effet, les périodes d’attente sauvent la vie à bien des enfants à naître. Extrait de LiveActionNews :
La semaine dernière, l’Assemblée législative d’Arkansas a adopté un projet de loi visant à porter à 72 heures la période d’attente de 48 heures entre la consultation en matière d’avortement et la procédure d’avortement. Le projet de loi a été approuvé par le Sénat par un vote de 29 à 5, et le gouverneur Asa Hutchinson a déclaré qu’il prévoyait de le signer. Selon l’Associated Press, ce projet de loi est considéré comme « l’un des plus stricts » du pays. Seuls six autres États ont une période d’attente de 72 heures : le Missouri, la Caroline du Nord, l’Oklahoma, le Dakota du Sud et l’Utah.
En mars, l’Arkansas a également adopté une interdiction d’avorter à partir de 18 semaines, qui était aussi, à l’époque, appelée « la plus stricte du pays ». Mais la plupart des Américains préféreraient limiter l’avortement au premier trimestre ou aux trois premiers mois (12 semaines).
La Chambre des représentants du Missouri adopte le projet de loi pro-vie le plus ambitieux du pays
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore un État américain qui est en train de passer un projet de loi qui protégerait grandement l’enfant à naître si le jugement Roe c. Wade était annulé. Extrait de LiveActionNews :
Cette semaine, les législateurs du Missouri House ont approuvé un projet de loi que certains ont qualifié de « projet de loi pro-vie le plus solide du pays ». Le House Bill 126 a été adopté par 117 voix contre 39, et passe maintenant au Sénat. Le Kansas City Star a rapporté que « les républicains ont utilisé le projet de loi “Heartbeat” (battement de cœur), qui interdit l’avortement dès que le battement de cœur fœtal peut être entendu, comme véhicule d’une série de restrictions supplémentaires qui ont chacune attiré des objections vigoureuses des démocrates ». Le président de la Chambre, Elijah Haahr, a résumé les dispositions du projet de loi dans un tweet qui se lit comme suit : « Si le battement cardiaque fœtal est détecté, l’avortement est interdit... L’avortement est interdit si le bébé a atteint l’âge où il peut ressentir de la douleur... Interdis les avortements sélectifs en raison du sexe, de la race ou de trisomie 21 [du bébé]. »
En outre, le Kansas City Star note que le projet de loi « établit un “trigger clause” (clause à déclenchement) qui interdirait complètement l’avortement, sauf en cas d’urgence médicale, [au] Missouri si l’arrêt Roe c. Wade est infirmé par la Cour suprême ».
Jamie Schmidt, martyre de la chasteté ? Cette femme est morte pour avoir refusé de céder à son violeur, « au nom de Dieu »
Jamie Schmidt : plutôt la mort que la souillure
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : LifeSiteNews
L’histoire que je vais vous raconter est terrifiante et magnifique — et surtout, elle est vraie. C’est celle d’une femme ordinaire, la cinquantaine, mariée, trois enfants. Elle s’appelle Jamie Schmidt. S’appelait, plutôt. Car elle est morte assassinée, pour avoir préféré la pudeur, la chasteté et la fidélité conjugale à la souillure. Il y a quelque chose de sainte Maria Goretti dans cette histoire, quelque chose de saint Charles Lwanga et ses compagnons ; peut-être bien la foi et le sang d’une martyre… La première sainte martyre née sur le sol des Etats-Unis ? Déjà, un prêtre plaide sa cause…
Tout s’est déroulé très vite, le 19 novembre dernier à Saint-Louis, Missouri. Jamie Schmidt, 53 ans, paroissienne zélée, aimable et pieuse, mais aussi discrète et modeste, allait faire ses courses au Catholic Supply local de la Manchester Road où elle s’apprêtait à acheter des fournitures pour fabriquer des chapelets – son apostolat à elle. Sur place, deux employées, l’une d’une vingtaine d’années, l’autre, la cinquantaine aussi. En ce milieu d’après-midi, le magasin était calme. Il n’y avait personne d’autre.
Voici pourtant qu’entre un homme trapu, d’âge moyen. Il jette un coup d’œil, constate la présence des trois femmes, puis annonce qu’il a laissé sa carte de crédit dans la voiture. Il dit qu’il va la chercher parce qu’il voudrait faire quelques achats. Mais ce n’est pas une carte bancaire qu’il rapporte : il revient dans le magasin, revolver au poing.
Lire la suiteUne femme ne se rend pas à l’avortoir après avoir appris que le cœur de son bébé battait
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere (photo rognée)
Une nouvelle vidéo de Created Equal montre une femme enceinte se rendant à un centre d’avortement considéré par beaucoup de pro-vie comme étant le « plus dangereux » du pays — et reconsidérant sa décision d’avorter son bébé.
L’équipe d’Equal’s Road Trip for Life était sur le site de Planned Parenthood de la région de Saint-Louis, qui est actuellement le seul fournisseur d’avortement du Missouri. Cet établissement a envoyé un grand nombre de patientes à l’hôpital — plus de 67 depuis 2009. (Un commentateur de la vidéo YouTube de Created Equal affirme que le 2 novembre 2018, l’établissement a envoyé sa 70e patiente à l’hôpital en ambulance.) Ils y ont rencontré une mère enceinte qui avait quatre autres enfants à la maison et craignait qu’elle n’ait pas les ressources nécessaires pour s’occuper d’un autre bébé. Mais lorsque Sam, le bénévole de Created Equal, s’est calmement et respectueusement adressé à la femme et lui a exposé des faits sur le développement de son bébé, elle s’est arrêtée, choquée par ce qu’on lui disait.
Sam lui a dit : « Beaucoup de gens ne savent pas... que ceux-ci [les enfants à naître] ont un cœur qui bat à 16 jours. Ils ont des mains, des membres, des pieds, des yeux comme les vôtres, et un nez comme le vôtre... »
« Vous dites à 16 jours. Redites-le-moi encore une fois, » répondit-elle.
« À 16 jours, ils ont un cœur qui bat », répéta-t-il.
Lire la suiteUne mère montre les photos émouvantes de son enfant mort-né à 14 semaines de grossesse
La minuscule main est celle du petit Miran.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran d'une photo du site Incroyable
L'humanité de l'enfant à naître saute au yeux à cet âge-là, même s'il ne peut pas encore survivre par lui-même en-dehors du ventre de sa mère. Et dire que tant d'entre eux sont avortés... Extrait du site Incroyable:
Devenir mère est une expérience merveilleuse. Il y a beaucoup de rêves, d'espoirs et d'attentes d'un parent pendant la grossesse. Le pire cauchemar de chaque mère est de perdre son bébé. Malheureusement, cela arrive trop souvent.
Sharren et Michael, du Missouri, aux États-Unis, étaient aux anges quand ils ont découvert qu'ils attendaient leur deuxième enfant. Malheureusement, Sharren, 40 ans, a perdu son bébé à la 14 ͤ semaine.
En Amérique, un enfant ne peut être considéré comme tel qu'après la 20e semaine de gestation, écrit The Sun. Pour les médecins, le petit Miran, décédé à 14 semaines, n'était qu'un « déchet médical ».
Sharren a décidé de partager les photos de son fils décédé qui mesurait de 10 cm et ne pesait que 26 grammes, pour montrer à tout le monde qu’à 14 semaines, le fœtus était déjà parfaitement formé.
Les images du petit Miran nous montrent un nouveau-né parfaitement formé. Miran avait déjà un visage, des mains, des pieds et des ongles bien formés.
Dans certains États américains, les enfants sont considérés comme des êtres humains formés seulement après la 20e semaine de grossesse. Si ses parents n'étaient pas intervenus, Miran aurait été jeté comme un vulgaire déchet médical…
États-Unis — Le « Temple satanique » perd son procès réclamant la légalisation totale de l’avortement au Missouri
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)
Etats-Unis – Différentes sectes sataniques sont très actives aux Etats-Unis et usent du concept de liberté religieuse pour obtenir une forme de reconnaissance et une plus grande visibilité.
Parmi ces sectes sataniques, le « Temple Satanique » s’est fait l’allié de Planned Parenthood (l’équivalent du planning familial aux USA) et mène différentes actions en faveur de l’avortement.
Les militants satanistes viennent notamment fréquemment perturber des rassemblements pro-vie.
Mais le « Temple Satanique » avait également saisi la justice pour contester la législation sur l’avortement en vigueur dans le Missouri. L’action en justice avait permis aux satanistes d’obtenir une couverture médiatique dans les journaux télévisés.
Le 22 septembre, la cour a heureusement rejeter le recours des satanistes contre les lois du Missouri
Les satanistes prétendaient que les lois sur l’avortement du Missouri constituaient une atteinte à leur liberté religieuse garantie par la Constitution.
Le « Temple Satanique » attend encore les décisions des juges dans deux autres procès similaires, l’un au tribunal de l’Etat et l’autre devant un tribunal fédéral.
À la fin du mois de janvier, l’une de ces affaires a été entendue par la Cour suprême du Missouri, mais aucun jugement n’a encore été rendu.
Une 68e ambulance arrive à la clinique RHS Planned Parenthood… mais la ville donne la priorité à interdire le discours pro-vie
Le 24 février 2018 : une ambulance vient pour répondre à une urgence médicale à la clinique RHS Planned Parenthood.
Par LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie
26 février 2018, Saint-Louis, Missouri (Operation Rescue) — Les samedis sont généralement des jours très occupés dans les centres d’avortement comme dans celui du Reproductive Health Services Planned Parenthood (Services de Santé Reproductive Planned Parenthood) à Saint-Louis au Missouri, et le samedi 24 février 2018, n’a été pas différent des autres en cette mesure.
Ce qui l’a différencié des autres jours est que cette journée-là, alors que des jeunes militants pro-vie faisant partie du groupe de Students for Life priaient sur le trottoir à l’extérieur du centre d’avortements, une ambulance est arrivée et a emporté un patient de Planned Parenthood à l’hôpital.
Ce qui est si important à propos de cette ambulance est qu’elle est la soixante-huitième qui ait emporté une patiente de cette clinique depuis la mi-2009. Cela met le RHS Planned Parenthood au rang des pires cliniques du pays pour la sécurité des patientes demandant l’avortement.
Lire la suiteLes questionnaires des écoles et le genre : on demande à des enfants de 10 ans s’ils veulent changer de sexe
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Les écoles publiques aux États-Unis sont coutumières de ce genre d’enquêtes-questionnaires qui fournissent une quantité incroyable de données de tout acabit. Mais le bouchon est poussé de plus en plus loin – et pas dans le bon sens. Dans le Missouri, des élèves âgés de 10 et 11 ans se sont vus remettre une série de questions extrêmement intrusives, parmi lesquelles : « Etes-vous transgenre ou pensez-vous à changer de sexe ? » Et il fallait qu’ils répondent.
Déjà aux prises avec une promotion sans précédent du genre, ces enfants se voient forcés de réfléchir et donc de mettre en doute la réalité biologique qui est la leur. Une énième façon de répandre la confusion dans ces personnalités pré-adolescentes en pleine élaboration.
Ces questionnaires qui déroutent les enfants
Comme nous le rapporte le journaliste Alex Newman, les documents controversés demandaient également à ces élèves de 6e année, s’ils pensaient au suicide, à la consommation de drogues, aux actes homosexuels, etc…
Sur le papier, ils n’étaient pas obligés de répondre, mais les parents cités dans les media ont déclaré qu’on avait dit aux enfants, à l’école, qu’ils auraient des « ennuis » s’ils refusaient.
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