Les gouverneurs pro-vie du Texas et du Mississippi lèvent le port obligatoire du masque !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le gouverneur Greg Abbott du Texas et le gouverneur Tate Reeves du Mississippi ont signé un décret levant le port obligatoire du masque.
Au Texas, selon le site de Guy Boulianne :
Le gouverneur Greg Abbott a publié aujourd’hui un décret (GA-34) levant le mandat du masque au Texas et augmentant la capacité de toutes les entreprises et installations de l’État à 100 %. Le gouverneur a fait cette annonce au restaurant mexicain de Montelongo à Lubbock dans une allocution à la chambre de commerce de Lubbock.
Au Mississippi, selon un autre article du site de Guy Boulianne :
Le gouverneur républicain du Mississippi, Tate Reeves, a annoncé mardi qu’il levait les mandats de masque pour tous les comtés (décret 1549). Reeves a déclaré que son bureau cessait de dire aux gens ce qu’ils pouvaient et ne pouvaient pas faire. « La raison pour laquelle le gouvernement ne vous dit plus cela, c’est à cause des mesures que nous avons prises au cours des 12 derniers mois, nous a amenés à un point où le total de nos hospitalisations aujourd’hui, le deuxième jour de mars 2021, est à peu près là où nous étions à la fin du mois de mai. », a déclaré le gouverneur.
Dans ce dernier cas, le masque restera malheureusement obligatoire dans certains établissements et dans certaines conditions (comme l’impossibilité d’observer la distanciation antisociale).
Lire la suiteLe Sénat du Mississippi vote une loi interdisant les compétitions féminines aux transgenres
Par Pour une école libre au Québec ― Photo (rognée) : Pxfuel
Le Sénat de l’État du Mississippi a approuvé une loi interdisant aux hommes biologiques* de participer à des événements sportifs féminins.
Le projet de loi, connu sous le nom de projet de loi 2536 du Sénat, a été adopté par la chambre contrôlée par les républicains par une marge de 34 voix contre 9 jeudi soir sans grande discussion, selon l’Associated Press.
Si la loi est signée, les athlètes transgenres ne pourront pas participer à des compétitions sportives féminines dans les écoles et universités du Mississippi.
Le projet de loi doit être approuvé par la Chambre de l’État. Elle est également contrôlée par les républicains.
« J’ai eu de nombreux entraîneurs à travers l’État qui m’ont appelé et je pense qu’ils estiment qu’il y a un besoin d’une politique au Mississippi, parce qu’ils commencent à avoir des inquiétudes d’avoir à faire face à cela », a déclaré la sénatrice républicaine Angela Hill, marraine du projet de loi.
Une législation similaire est à l’étude dans plusieurs États, notamment au Texas et en Utah.
Les hommes biologiques* qui concourent dans les sports féminins sont devenus un problème brûlant aux États-Unis depuis 2017, lorsque deux athlètes mâles du Connecticut qui se disent femmes ont affronté plusieurs femmes biologiques* et remporté 15 titres de championnes à eux deux.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Retour de bâton aux autorités qui ont interdit les offices religieux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Les autorités avaient cru avoir la partie belle en interdisant les rassemblements religieux au nom du confinement, ce qui au passage montre leur laïcisme viscéral. Cependant, maintenant que le mal a été fait ― Pâques ayant été interdit ― les poursuites pour violations injustifiables des droits (et devoirs) des citoyens en matière religieuse se profilent, tant au Canada qu’aux États-Unis. En Saskatchewan, selon LifeSiteNews :
Les autorités sanitaires d’une province du centre du Canada ont interdit un service en plein air qui eût eu lieu le dimanche de Pâques à une église canadienne d’une petite ville, affirmant que cela aurait constitué un « rassemblement de masse » contrevenant aux ordonnances sanitaires relatives au coronavirus.
Suite à cette interdiction, le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCFF), situé au Canada, a adressé hier un avertissement légal à l’autorité sanitaire de Saskatchewan, indiquant qu’elle violait les droits et libertés des fidèles de l’Église apostolique de Nipawin.
« Nous vous écrivons pour vous faire part de notre inquiétude face aux récentes mesures prises par l’autorité sanitaire de Saskatchewan, qui ont injustement violé les libertés de réunion pacifique, d’association et de religion inscrites dans la Charte », indique l’avertissement légal du JCFF.
L’église de Nipawin, située dans le nord de la Saskatchewan, avait prévu organiser un service du dimanche de Pâques en plein air pour permettre à ses fidèles de se rassembler tout en suivant les directives de santé publique mises en place en raison de la pandémie de coronavirus.
Précisons qu’il s’agit là d’un service religieux protestant, mais si eux réussissaient à obtenir le droit de procéder en paix, je ne vois pas pourquoi les catholiques ne feraient pas de même avec la messe.
Tandis qu’aux États-Unis, selon un deuxième article de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn représentant du département de la Justice des États-Unis s’est engagé à prendre des « mesures » concernant les violations de la liberté de religion des Américains qui ont eu lieu cette semaine.
« Pendant cette semaine sacrée pour de nombreux Américains, A. G. Barr surveille la réglementation gouvernementale des services religieux. Si les politiques de distanciation sociale sont appropriées dans cette situation d’urgence, elles doivent être appliquées de manière équitable et non cibler les organismes religieux. Attendez-vous à une intervention du département de la Justice la semaine prochaine ! » écrivait dans un tweet Kerri Kupec le 12 avril.
Kupec est directeur des communications et des affaires publiques du département de la Justice depuis décembre 2018.
La ville de San Francisco interdit à ses fonctionnaires de faire affaire avec 22 États pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le conseil de municipal de San Francisco a tant à cœur la défense de l’avortement, qu’il pousse son soutien à cette répugnante pratique jusqu’à mettre en place une « liste noire » de 22 États américains ayant passé des lois pro-vie, et qu’il interdit à ses fonctionnaires d’avoir des relations d’affaires avec les États en question. On fait difficilement plus ridicule que ça… extrait de LifeSiteNew :
Dans sa dernière déclaration de soutien à l’avortement -sur-demande, et de mépris pour ses opposants, la ville de San Francisco, solidement gauchiste, a annoncé une liste noire pour les fonctionnaires qui font affaire avec un des États ayant des lois « restrictives » pro-vie, ou qui s’y rendent pour des raisons professionnelles ; ce geste, qui s’élève contre près de la moitié du pays, proteste contre lesdites lois.
« Tout comme nous avons limité nos dépenses dans les États qui ont des lois discriminatoires à l’égard des personnes LGBTQ, nous nous dressons contre les États qui mettent la santé des femmes en danger et qui s’efforcent activement de limiter les libertés en matière de reproduction », a déclaré le maire de San Francisco, London Breed, selon Fox News. « En limitant les voyages et les contrats avec certains États, nous envoyons un message clair aux États qui ne respectent pas le droit à l’avortement. »
À compter du 1er janvier 2020, la liste noire s’appliquera à l’Alabama, à l’Arkansas, à la Floride, à la Géorgie, à l’Indiana, à l’Iowa, au Kansas, au Kentucky, à la Louisiane, au Massachusetts, au Mississippi, au Nebraska, au Nevada, au Dakota du Nord, à l’Ohio, à l’Oklahoma, à la Pennsylvanie, à la Caroline du Sud, au Dakota du Nord, au Texas, à la Virginie-Occidentale et au Wisconsin, qui, selon les dirigeants de la ville, ont tous « des politiques anti-choix sévères » dans les registres.
Des adultes ayant été élevés dans des familles « gaies » craignent de révéler leur triste expérience
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
C’est l’affligeante réalité qui se cache derrière la propagande LGBT qui veut faire paraître les « familles » « gaies » comme normales. Quatre adultes, élevés dans des familles « gaies », ont donné leur témoignage à la Cour du 5e circuit en Nouvelle-Orléans, qui doit statuer sur le maintien du statut du mariage comme étant entre un homme et une femme, au Texas, en Louisiane et au Mississippi. Extraits de CNS.News :
Lire la suiteDans son mémoire, Dawn Stefanowicz a décrit son expérience de vie dans un « ménage »* homosexuel.
« Je n’étais pas entourée de couples hétérosexuels moyens », dit-elle dans son mémoire. « Les partenaires de papa dormaient et mangeaient dans notre maison, et ils m’ont emmenée dans des lieux de rencontre des communautés LGBT. J’ai été exposée à des activités sexuelles ouvertes comme la sodomie, la nudité, la pornographie, le sexe en groupe, le sadomasochisme et de tout acabit. »
« Il n’y avait aucune garantie que les partenaires de mon père resteraient là pour longtemps, et pourtant j’ai souvent dû leur obéir, » dit-elle. « Mes droits et mon innocence ont été violés. »
« En tant qu’enfants, nous ne sommes pas autorisés à exprimer notre désaccord, notre douleur et notre confusion », explique Stefanowicz. « La plupart des enfants [devenus]** adultes issus de foyers homosexuels ne se sentent pas en sécurité ou libres d’exprimer publiquement leurs histoires et les défis de leur vie ; ils craignent de perdre leur permis professionnel, de ne pas obtenir de l’emploi dans le domaine de leurs préférences, d’être coupés de certains des membres de leur famille ou de perdre quelques relations qu’ils avaient avec leurs parent(s) “gais”*. Certains parents “gais”* ont menacé de ne laisser aucun héritage si leurs enfants n’acceptaient pas le partenaire du jour de leur parent. »
Le gouverneur du Mississippi signe un projet de loi interdisant l'avortement des bébés dont le cœur bat
Phil Bryant, gouverneur du Mississippi.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
L’État du Mississippi rejoint le cortège d’États américains qui promulguent des lois protégeant l’enfant à naître à divers stades de son développement, se basant en général sur le battement cardiaque qui est détectable lors de la 6e semaine. Bien qu’acceptant des exceptions et ne protégeant pas l’enfant à naître dès sa conception, cette loi est plutôt un progrès par rapport à l’état actuel des choses dans ce domaine. Cette loi sera sans doute contestée devant les tribunaux comme d’innombrables lois pro-vie qui ont été annulées de cette manière. La Cour suprême des États-Unis, récemment recomposée, sera-t-elle favorable à la Vie? Extrait de LifeSiteNews :
Le Mississippi s'est joint jeudi à une liste croissante d'États, qui interdisent l'avortement dès que le battement de cardiaque fœtal peut être détecté, son gouverneur républicain Phil Bryant signant la mesure en loi.
Les sénateurs de l'État ont approuvé le texte final du projet de loi mardi, qui ne prévoit des exceptions que pour sauver la vie d'une femme ou pour prévenir des dommages à une « fonction corporelle majeure ». Les contrevenants pourraient voir leur permis médical suspendu ou révoqué. M. Bryant, qui a fait de nombreuses déclarations en faveur du projet de loi, l'a signé en loi le 21 mars, rapporte l'Associated Press. Elle entrera en vigueur le 1er juillet.
Il ne serait pas « nécessaire » de tuer un enfant à naître pour sauver la vie de sa mère, ce qui serait de toute façon justifier les moyens par la fin, mais bien au contraire, selon de nombreux obstétriciens-gynécologues. LifeSiteNews continue plus loin :
« Le projet de loi Heartbeat est populaire parce que tout le monde sait que le battement du cœur est un signe de vie », a déclaré le Dr Jameson Taylor, vice-président des politiques du groupe [Mississippi Center for Public Policy]. « L'honnêteté intellectuelle et scientifique exige une remise en question de Roe, une décision vieille de 50 ans fondée sur une science ancienne. Les ultrasons 3-D et 4-D montrent aux femmes que leur enfant à naître est vivant. À six semaines, l'enfant a un cœur qui bat. Peu de temps après, il peut percevoir la lumière, bouger, entendre et goûter. »
Le Mississippi adopte des lois interdisant l'avortement quand le battement cardiaque est détectable
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il reste à voir si l'État du Mississippi réussira à faire valoir ses lois devant les tribunaux. Extrait de LiveActionNews :
La Chambre et le Sénat du Mississippi ont tous deux adopté mercredi des « projets de loi sur les battements de cœur », des projets de loi qui interdiraient l'avortement quand le battement de cœur est détecté chez un enfant à naître, et ce à environ six semaines. Le projet de loi ne contiendrait aucune exception pour les cas de viol, d'inceste, etc. Selon l'Associated Press, d'autres États envisagent d'adopter des lois semblables, notamment la Floride, le Kentucky, l'Ohio, la Caroline du Sud et le Tennessee.
Le Mississippi avait déjà interdit l'avortement à partir de la 15e semaine, ce qu'un juge a invalidé à la fin de l'année dernière. L'État prévoit faire appel de cette décision devant le Fifth Circuit (Cinquième circuit).
Le Mississippi envisage l’interdiction de l’avortement quand le cœur du fœtus bat
Parlement du Mississippi.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : watkinswd/Pixabay
Si l’État du Mississippi réussissait à interdire l’avortement des enfants à naître dont le cœur bat, la Cour suprême se décidera-t-elle à légiférer ? Extrait du National Post :
Les législateurs du Mississippi envisagent ce qui pourrait devenir l’une des lois les plus strictes du pays en matière d’avortement. Les projets de loi qui ont été adoptés par les comités législatifs mardi interdiraient l’avortement dès que le battement de cœur fœtal est détecté, et ce, dès la sixième semaine de grossesse.
Le gouverneur républicain Phil Bryant a déclaré qu’il signera le projet de loi 732 de la Chambre ou le projet de loi 2116 du Sénat, qui seront soumis à l’ensemble de la Chambre et du Sénat pour un travail plus approfondi. Les partisans et les opposants s’attendent à un procès.
Un juge de l’Iowa a annulé une loi similaire le mois dernier.
Plusieurs États pourraient envisager de mettre en place des restrictions plus strictes en matière d’avortement pour que la Cour suprême des États-Unis, plus conservatrice, conteste la décision de 1973, qui a légalisé l’avortement à l’échelle nationale, et tente de casser ce jugement.
Le Mississippi a l’une des législations les plus strictes sur l’avortement aux États-Unis, comprenant une période d’attente de 24 heures et le consentement parental pour les mineurs. L’année dernière, l’État a promulgué une loi interdisant l’avortement après 15 semaines, et un juge fédéral l’a déclarée inconstitutionnelle.
[...] Le projet de loi permettrait toujours l’avortement si une grossesse met en danger la vie d’une femme ou l’une de ses principales fonctions corporelles.
Une ville menacée de poursuites pour avoir refusé la tenue d’une Gay Pride
Par Reinformation.tv
Le conseil municipal [de Starkville] a démocratiquement rejeté le 20 février dernier la demande des organisateurs qui lui demandait d’accueillir et de subventionner l’événement.
Plusieurs citoyens avaient assisté aux débats et demandé un vote négatif, acquis par 4 voix contre 3.
La ville de 28 000 âmes, sollicitée par les activistes gays pour organiser un événement qui, disaient-ils, allait « souder la communauté », est désormais profondément divisée.
Après le rejet de la demande, Starkville Pride a contacté l’association de défense des libertés civiles (très à gauche) ACLU, Human Rights Campaign et the Southern Poverty Law Center pour engager des poursuites contre la municipalité.
La municipalité est désormais accusée de « violer la constitution » et une affaire judiciaire pourrait s’ensuivre.
Bonne nouvelle : 145 établissements d’avortement ont fermé au cours des cinq dernières années
Par Mark Hodges (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(LifeSiteNews) — L’Abortion Care Network (Réseau de soins d’avortement) (ACN), un groupement d’entreprises en avortement indépendantes, a publié un rapport sur la baisse du nombre de centres d’avortement. Au cours des cinq dernières années, 145 « cliniques » indépendantes ont fermé.
L’ACN soutient les entreprises d’avortement qui ne sont pas affiliées à Planned Parenthood ou à une chaîne d’hôpitaux. Le nombre de ces dernières est passé de 510 installations en 2012 à 365 aujourd'hui, sans compter les centaines de centres du Planning Familial.
Sur une page d’accueil intitulée « les communautés ont besoin de cliniques », ACN a écrit que les entreprises d’avortement, ferment à un « rythme alarmant », en particulier les indépendantes, qui pratiquent souvent des avortements tardifs.
Significativement, ACN a reconnu l’efficacité des lois pro-vie qui diminuent le nombre d’avortements et de centres d’avortement à travers le pays. Ils ont cité aussi d’autres facteurs ayant une incidence sur les fermetures, incluant l’activisme de trottoir des pro-vies et les États qui refusent que la taxe de l’aide médicale soit utilisée pour payer des avortements.
Lire la suite