L’OMS préconise l’éducation sexuelle dès la naissance et la « masturbation précoce » depuis 2010
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Guilhem Vellut/Wikimeida Commons
17 mai 2023 (LifeSiteNews) — Les directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière d’éducation sexuelle pour l’Europe ont provoqué un tollé au Royaume-Uni. Ces directives préconisent l’éducation sexuelle dès la naissance et conseillent aux éducateurs d’enseigner aux nourrissons et aux tout-petits la « masturbation précoce ».
Le document de 68 pages intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » indique qu’« il a été délibérément décidé de préconiser une approche dans laquelle l’éducation sexuelle commence dès la naissance ».
Le document de l’OMS comprend une « matrice d’éducation sexuelle » qui fournit des lignes directrices aux éducateurs sur la manière d’« éduquer » les enfants de différentes tranches d’âge. Voici quelques-unes des instructions qui ont suscité l’indignation :
- Les lignes directrices conseillent aux éducateurs d’informer les enfants âgés de zéro à quatre ans sur « la jouissance et le plaisir de toucher son propre corps » et « la masturbation chez les jeunes enfants ».
- Les enfants de quatre à six ans doivent « consolider leur identité sexuelle » et s’informer sur les relations entre personnes du même sexe.
- Les enfants âgés de six à neuf ans doivent recevoir un enseignement sur « la sexualité dans les médias (y compris l’internet) ».
- Pour les enfants de neuf à douze ans, l’OMS conseille aux éducateurs de permettre aux enfants de « prendre la décision consciente d’avoir ou non des expériences sexuelles », ce qui implique à tort que les enfants sont capables de consentir à des relations sexuelles à un si jeune âge.
Des élèves de la maternelle au Canada reçoivent un devoir promouvant la masturbation
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bernardbodo/Adobe Stock
16 mai 2022, Alert Bay, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — De jeunes enfants d’une école primaire de la Colombie-Britannique ont reçu un devoir qui pourrait les encourager à une activité sexuelle solitaire.
La feuille de travail leur dit que « certains enfants aiment toucher les parties intimes de leur corps » et leur demande quels sont les lieux « privés » à la maison où ils peuvent, eux aussi, se toucher.
Les Libs of TikTok, un compte de média social populaire qui surveille les activités de gauche, ont rapporté que le devoir scandaleux a été donné après qu’une image du devoir eût été publiée sur Facebook.
La page du devoir est tirée d’un livre intitulé Body Smart : Right from the Start et demande aux enfants : « faire un dessin des lieux privés où tu peux toucher ton pénis ou ta vulve si tu le veux ».
Sur la même page, il est également écrit : « Toutes les familles ont des règles différentes concernant la masturbation (toucher ses propres parties intimes). Parle avec les adultes en qui tu as confiance des règles de ta famille ».
Le livre pro-masturbation infantile serait écrit pour des enfants de 3 ans, selon un site internet de revue d’éducation sexuelle.
Selon Libs of TikTok, l’auteur du livre ─ Kerri Isham ─ soutient la promotion de la masturbation auprès des tout-petits sur Facebook.
Isham a défendu le livre en disant qu’il ne fait pas directement la promotion de l’activité sexuelle auprès des enfants.
La sexualisation des enfants a fait la une des journaux depuis qu’il a été révélé que Disney a un programme secret pour promouvoir des contenus LGBT auprès des enfants. En outre, les activistes politiques de gauche se sont mis en colère après l’adoption par la Floride d’une loi protégeant les enfants contre les contenus sexualisants dans les écoles primaires publiques.
L’impact des dangereux Objectifs de développement durable des Nations unies sur les enfants et la famille, et leur déplorable approbation par le Vatican
Par Matthew McCusker (Society for the Protection of Unborn Children) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Kostia/AdobeStock
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, approuvés par les États membres le 25 septembre 2015, comprennent des points précis qui appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » d’ici 2030. Ce terme est entendu par les organes de l’ONU, de nombreux gouvernements internationaux et des agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception. Ces objectifs favoriseront également l’imposition de « programmes complets d’éducation sexuelle » nuisibles. Dans ce document d’information, nous expliquerons comment l’approbation des ODD par le pape François en septembre 2016 et le soutien antérieur offert à ces derniers par d’autres organes du Saint-Siège ont intensifié la menace que représentent les ODD pour les membres les plus vulnérables de la famille humaine.
1. Les Objectifs de développement durable des Nations unies appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive »
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies consistent en 17 objectifs et 169 points qui doivent être atteints d’ici 2030.
L’objectif 3 des ODD est d’« Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tout âge ».
Le point 7 de cet objectif appelle les États-nations à :
« assurer l’accès universel aux services de soins de santé sexuelle et reproductive, notamment pour la planification familiale, l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les stratégies et programmes nationaux ».
L’objectif 5 des ODD consiste à « Réaliser l’égalité des sexes et rendre autonomes toutes les femmes et les filles. »
Le point 6 de cet objectif indique que les nations doivent :
« Assurer l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits en matière de procréation, comme convenu conformément au Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Beijing, ainsi qu’aux documents issus de leurs conférences de révision. » [1]
2. L’expression « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » inclut l’accès universel à l’avortement et à la contraception.
L’expression ci-après, « santé sexuelle et reproductive et droits reproductifs » et d’autres formulations similaires sont couramment utilisées par les organes des Nations Unies et par de nombreux gouvernements nationaux et agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception, y compris la contraception dont le mode d’action peut être abortif. Les mouvements de contrôle de la population et de « droits reproductifs » ont toujours voulu que ces termes incluent l’avortement, ainsi que la contraception, et ils les utilisent systématiquement dans ce sens ; il est toutefois important de noter que ces mouvements n’ont jamais réussi à établir un « droit à l’avortement » en droit international. [2]
Lire la suiteUn projet de l’Unicef promouvant l’avortement, la contraception, la masturbation, l’idéologie LGBT, etc., auprès des enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : ludexvivorum/Wikimedia Commons
Dernièrement, on avait appris que l’Unicef avait publié un rapport où il déclarait implicitement que la pornographie n’était pas mauvaise en soi pour les enfants et les adolescents… Maintenant, enfourchant l’un de leurs dadas, les bureaucrates de l’Unicef ont présenté à leur conseil d’administration un projet où il est demandé que l’agence onusienne soit mandatée pour faire la promotion de l’avortement, de la contraception, de l’« éducation sexuelle » (dont la masturbation pour les enfants de cinq ans…), des « droits » LGBT, ainsi que de l’élimination du droit des parents à s’opposer au recours à l’avortement, etc., selon la FSSPX.News :
L’agence des Nations unies pour l’enfance demande à être mandatée pour promouvoir l’avortement, la contraception et les droits des LGBTI dans les Etats membres des Nations unies.
Le projet de l’Unicef prévoit la promotion de la « santé et des droits sexuels et reproductifs », un terme qui inclut l’avortement et les droits des LGBT, ainsi qu’une « éducation sexuelle complète ».
[…]
En plus d’engager l’agence à travailler sur « la santé et les droits sexuels et génésiques », le projet inclut la « santé sexuelle et génésique » comme un domaine de santé distinct de la santé maternelle et du SIDA. Ce qui implique que l’agence demande un mandat pour promouvoir l’avortement et la contraception.
Le plan stratégique engage également l’agence à donner la priorité à « l’éducation sexuelle complète », une forme d’éducation sexuelle très controversée qui apprend aux enfants à expérimenter leur sexualité, notamment en leur apprenant à chercher le plaisir solitaire dès l’âge de cinq ans, et qui promeut l’acceptation morale de la pratique de l’homosexualité.
Outre le fait que ce genre de propagande destinée aux enfants dès le plus tendre âge a été à maintes reprises rejetée par les États membres de l’ONU, ce plan stratégique devant s’étaler sur quatre ans propose donc l’« égalité des sexes », qui ne comprend pas uniquement que l’« égalité » homme-femme, considèrant que les adolescents ne devraient pas être empêchés, en l’occurrence par leurs parents, de recourir à l’avortement et à la contraception — le droit des parents de s’opposer à ce que leur progéniture adolescente recoure à ces procédés relevant de « préjugés sexistes » discriminatoires ! (Et après, sera-ce l’âge du consentement des enfants pour autre chose ?…) Ce plan vise par là les lois sur le consentement parental dans le monde entier, escompter bien sur les 5 milliards de budget de l'agence.
La masturbation universelle
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik
Un projet immense et insidieux
Récemment, tous les chefs d’état de la planète, avec l’appui explicite du capital mondial et des grandes religions ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre, à l’école et en dehors, à partir de l’âge de neuf ans, que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance.
On déniche cet objectif d’endoctrinement mondial, dans quelques phrases enfouies parmi des dizaines de paragraphes édifiants, parsemés de jolis logos et d’images d’enfants souriants. Malgré ces apparences trompeuses, il s’agit d’un projet immense et spécifique qui dispose de tous les moyens financiers, idéologiques et politiques nécessaires pour être réalisé. La masturbation, cette petite chose que tous connaissent et dont personne ne parle, révèle ainsi toute l’étendue, la perfidie et la radicalité de l’agenda mondialiste.
En lisant ce qui précède, certains lecteurs pensent peut-être que je divague (« tous les chefs d’État… vraiment ! ») et que seul un complotiste ahuri et sexuellement obsédé pourrait imaginer une chose pareille. Je répète donc :
Récemment, (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019) tous les chefs d’état de la planète (Ibid., endossée par 193 états) avec l’appui explicite du capital mondial (https://fr.weforum.org/communities/gfc-on-sdg-investment) et des grandes religions (https://www.rfp.org/priority-global-partnerships/) ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019, items 5 et 6 ; UNDP document, Parliament’s Role in implementing the sustainable development goals, 2017, page 12) à l’école et en dehors (UNESCO/UNSD- International technical guidance on sexuality education, 2018, page 30) à partir de l’âge de neuf ans (Ibid., page 71) que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence (Ibid., page 71, objectif 7.2) et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance (Ibid., page 91).
Mais, me dira-t-on, pourquoi s’énerver à propos de quelques mots dans un ou l’autre des documents de l’ONU ; tout ça ne nous concerne pas, ce sont des généralités sans importance. C’est, en effet, ce que je croyais moi aussi, avant le 11 mars 2020 quand le putsch planétaire a commencé. La dictature sanitaire qui s’amplifie sans cesse au Québec et ailleurs a maintenant révélé à quel point l’Agenda 2030 est imminent et à quel point nos dirigeants sont déterminés à imposer ce fascisme radical dans toute son étendue, ici même. Et ceci inclut les doctrines sexuelles qu’on veut inculquer aux enfants.
La masturbation serait sans conséquence, vraiment ? Un cycle de stimulation récompense, pratiqué à répétition, n’aurait aucun impact sur le comportement ni sur les questions identitaires. Vraiment ? Suis-je le seul adulte au monde qui a déjà eu quinze ans ?
Lire la suiteMe Jerzy Kwaśniewski : l’éducation sexuelle selon l’OMS — la masturbation pour les 0 à 4 ans…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixabay
Vous avez peut-être entendu parler des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe de l’OMS, peut-être que non, cet organisme de l’ONU y prône entre autres la masturbation, l’homosexualité et la théorie du genre dès l’entrée à la maternelle ; entre 4 et 6 ans on y apprend aux enfants à « s’explorer soi-même » et les autres par le biais de jeux sexuels du docteur et des défis ; entre 6 et 9 ans, on leur présente l’avortement et la contraception comme solutions à la grossesse et la parentalité, etc.
Dans le fond, c’est le concept fumeux de « consentement éclairé » pour les relations sexuelles qui forme la base de tout ce salmigondis — comme si le « consentement éclairé » suffisait pour justifier de telles relations, surtout quand il s’agit d’une fillette ou d’un petit garçon (les séducteurs n’existent pas ?).
Me Jerzy Kwaśniewski, président du groupe d’avocat polonais l’Institut Ordo Iuris, décrit en profondeur dans une vidéo les recommandations de l’OMS en matière d’éducation sexuelle, ses applications concrètes, ce qu’elles impliquent et ce qui les sous-tend.
Le fondement de cet enseignement à la perversité se rapporte à la « Déclaration des droits sexuels » de l’International Planned Parenthood Federation (grand procureur d’avortements qui n’hésite pas à se créer une clientèle), citée dans les Standards : « la sexualité et le plaisir qui en découle sont un aspect central de tout être humain », faisant donc de l’homme un être essentiellement sexuellement jouisseur et créant un « droit » aux plaisirs charnels, même les plus dépravés.
Tout cela est à l’extrême opposé de la vision saine et chrétienne de la personne humaine : « l’homme est un être doué de raison, doté d’une âme immortelle », souligne Me Jerzy Kwaśniewski.
Incidemment, l'OMS vous semble-t-elle pertinemment désignée pour pérorer sur la santé de la planète entière, pour annoncer les « pandémies » ou pour en prescrire les remèdes ?
Je ne le pense pas pour ma part...
Parler de la masturbation à la maternelle ? « Mais enfin, c’est dans les programmes ! »
Par Olivier Bault (Présent) ― Photo : Freepik
Entendue sur France Info lundi matin, dans le bloc de 7 h 30 — 8 h, une enseignante de maternelle à Paris présente à la manifestation de solidarité avec le professeur de collège décapité par un réfugié tchétchène :
Le problème, c’est qu’on met parfois les enseignants à l’honneur en disant « voilà, ils font un métier extrêmement difficile, ils doivent apprendre des choses à des jeunes dans des endroits très difficiles », mais en même temps on met pas les moyens et à d’autres moments quand on manifeste pour qu’on soit plus valorisés on nous entend pas. Et ça c’est grave, parce que si aussi les parents d’élèves voyaient qu’on était plus valorisés et mieux considérés on nous considérerait mieux aussi dans le corps des parents d’élèves. […] Mais enfin, quand des parents viennent vous dire : « Mais pourquoi vous avez parlé de deux hommes ou de deux femmes qui s’aimaient dans un album. » Quand on vous dit : « Pourquoi vous parlez en SVT* du corps de la femme, de la masturbation ? » Mais parce que ça fait partie du programme, Monsieur. Parce que ça fait partie du programme, Madame. C’est incroyable qu’on doive se justifier du programme ! C’est parce qu’on parle de ces choses-là en toute transparence qu’on va faire des êtres éclairés pour faire une belle démocratie.
Pour en savoir plus sur le contenu des programmes en maternelle et pour la suite de la scolarité de vos enfants, voir l’explication sous-titrée en français de Me Jerzy Kwaśniewski, avocat et président de l’association polonaise d’avocats et juristes pro-famille et pro-vie, à propos des standards de l’éducation sexuelle voulus par l’OMS pour nos enfants. Des standards discrètement mis en œuvre dans plusieurs pays européens, dont la France…
*Sciences de la vie et de la terre
Mettre des masques pour s’embrasser… les conseils du Dr Tam pour les relations sexuelles avec un étranger
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le Dr Theresa Tam, administratrice de la santé publique du Canada, embarque à son tour dans la promotion de l’immoralité. Il faut, paraît-il, réduire les « risques » que les gens se passent covid-19 dans le cadre de relations sexuelles, et notamment extraconjugales, mais il serait bien sûr hors de question d’en interdire la pratique avec des étrangers (il faut empêcher la propagation du virus à tout prix, non ?), car il s’agit de l’imprescriptible « santé sexuelle » n’est-ce pas (comme si l’abstinence pouvait faire un tort quelconque…). La Presse rapporte :
La masturbation est l’activité sexuelle la moins risquée en temps de pandémie. Et si cela ne suffit plus, évitez les baisers ou faites en sorte que vos visages ne se touchent pas.
Voilà quelques-unes des recommandations publiées mercredi par les autorités canadiennes de santé publique sur les façons de veiller à sa santé sexuelle tout en limitant le risque d’infection et de propagation du coronavirus.
« Les activités sexuelles les moins risquées pendant que sévit la COVID-19 sont celles où vous êtes seul », rappelle la Dre Theresa Tam […]
La masturbation… cela ne fait-il pas non plus la promotion de la pornographie, puisqu’il s’agit de pratique solitaire ?... Le Dr Tam met en garde doctement, selon La Presse :
Il est également recommandé de limiter la consommation d’alcool et de toutes autres substances qui pourraient altérer le jugement des partenaires afin que ceux-ci puissent « prendre de sages décisions ».
Au moment de passer à l’acte, « évitez de vous donner des baisers et faites en sorte que vos visages ne se touchent pas ou ne soient pas près l’un de l’autre ». Pour faciliter la tâche, les partenaires pourraient envisager de porter un masque couvrant le nez et la bouche.
La tempérance, ou modération, est certes une vertu à maintenir en tout temps en ce qui concerne l’alcool, mais pensez-vous vraiment que les gens vont penser aux détails (comme le port du masque) énoncés par le Dr Tam dans le feu de la passion ? Pas de baisés ou le masque ? Allons donc !
Pour finir, le Dr Tam recommande évidemment le port du condom pour éviter les maladies sexuellement transmissibles. Voilà un vieux sapin que l’on tente encore de nous passer, car le condom n’est pas redoutablement efficace pour empêcher la transmission des maladies vénériennes. C’est une chose, comme l’avortement et maintenant le masque, que les disciples d’Esculape ayant une fonction dans le gouvernement veulent nous faire avaler. Ce n’est pas d’hier que les autorités sanitaires mentent ou se trompent en matière de santé, surtout quand il s’agit d’un enjeu politique. Franchement, à croire que le préservatif est sécuritaire, les gens s’adonnent tout simplement à plus de relations, donc augmentent davantage les risques, alors qu’il serait bien plus simple d’éviter la cause des maux, ou le libertinage, et de s’en tenir au simple mariage.
Après l’arrestation en Pologne d’un militant LGBT pour des faits de violence, la gauche s’enflamme
Par Olivier Bault (Visegrád Post) — Photo : asier_relampagoestudio/Freepik
L’agression a eu lieu le 27 juin dernier rue Wilcza à Varsovie. Un groupe de militants LGBT a alors encerclé une fourgonnette de l’organisation pro-vie Pro-Prawo do Życia. Parmi eux, Michał Sz., qui semblait entraîner les autres. Le conducteur de la fourgonnette a filmé l’incident, tandis que le passager est descendu et a cherché à calmer les esprits, les pneus du véhicule ayant de toute façon été crevés par les agresseurs. Un des militants LGBT a cherché à le renverser sans y parvenir, mais il a rapidement été aidé par Michał Sz. qui l’a fait tomber à terre avant de lui assener quelques coups puis de le laisser, repartant accompagné de ses acolytes.
Aujourd’hui, sur la base des vidéos en possession du parquet, Michał Sz. est aussi accusé d’être un des auteurs des dommages causés à la fourgonnette (pneus et bâche de la remorque lacérés au couteau, rétroviseur cassé, plaques d’immatriculation arrachées…), et il a en outre appelé ultérieurement, sur les réseaux sociaux, à commettre d’autres agressions physiques du même type contre la fourgonnette de Pro-Prawo do Życia.
Comme nous l’expliquions en mai dernier sur le Visegrád Post à propos des agressions qu’ont à subir régulièrement les militants de Pro-Prawo do Życia :
« Ce qui a énervé les agresseurs, ce sont les inscriptions sur la fourgonnette dans le cadre d’une campagne contre la pédophilie et contre l’imposition dans certaines grandes villes dirigées par les libéraux de la Plateforme civique (PO), dont Varsovie, des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe de l’OMS, avec notamment sur le côté du camion les mots suivants, écrits en lettres majuscules :
Qu’est-ce que le lobby LGBT veut enseigner aux enfants ?
- La masturbation à 4 ans,
- Le consentement au sexe à 6 ans,
- Les premières expériences sexuelles et l’orgasme à 9 ans »
Des inscriptions que la justice polonaise a refusé d’interdire au motif que « les informations présentées sur ce panneau et concernant l’éducation sexuelle ne sont pas fausses puisqu’elles proviennent de la matrice de l’éducation sexuelle élaborée par le bureau régional de l’OMS pour l’Europe et le BZgA » et qu’« il est de notoriété publique que le mouvement LGBT est favorable à l’éducation sexuelle selon les standards de l’OMS » (jugement du tribunal de Gdańsk prononcé en 2019, quand le juge a ordonné le retrait provisoire de plusieurs banderoles en attente d’un jugement définitif face à une plainte déposée par des organisations LGBT, tout en autorisant la Fondation Pro-Prawo do Życia à continuer de déployer les banderoles portant l’inscription ci-dessus).
Lire la suiteNous sommes en plein combat contre l’imposition d’une dictature sanitaire
Photo : vperemencom/Pixabay
Je vous écris aujourd’hui au sujet du Covid 19, parfaitement conscient de la possibilité que vous soyez ébranlé par mes propos, mais d’autant plus convaincu qu’il est de mon devoir de chrétien, de père de famille, de citoyen, et de président d’un organisme voué à la défense de la Vie dans sa plénitude, de vous partager mes réflexions sur ce sujet controversé.
C’est que j’ai la conviction que nous sommes aujourd’hui, dans le monde entier, en plein combat contre l’imposition d’une dictature sanitaire, alimentée par la peur d’un virus dont le taux de mortalité avoisine celui de la grippe saisonnière.i
Peur diffuse et étouffante, attisée par l’exagération du nombre de décès dus au covid, une majoration fondée sur la confusion entre les décès directement attribuables au covid 19 et ceux seulement associés de loin ou de proche au covid 19.ii
Peur assommante, propagée par la publication, surtout dans les grands médias de masse, de statistiques données hors contexte et mal interprétées, tels ces « cas » d’infection par le coronavirus qui sont supposés augmenter de façon alarmante mais qui, en réalité, sont susceptibles d’une interprétation positive, puisque nous avons de bonnes raisons pour croire que ce coronavirus se comportera comme la plupart des autres virus, et qu’après avoir été transmis à une portion importante de la population sans qu’elle ne ressente le moindre symptôme, une bienfaisante immunisation de masse s’en suivra.iii
Peur, finalement, perpétuelle, renforcée par d’arbitraires mesures tel le port obligatoire du masque. L’utilisation de ce dernier, qui avait été précédemment découragée lorsque le virus était à son plus fort en mars et avril, est rendue maintenant obligatoire au moment où il est à son plus faible.iv
Certains se demanderont peut-être si c’est le rôle du président d’un organisme qui défend la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, de commenter un tel sujet. Ma réponse ne peut être qu’un emphatique oui.
Oui, car nos droits et libertés, acquis précieux qui nous permettent de partager en société les vérités salvatrices sur la foi, la famille et la vie, sont maintenant en péril : à l’occasion de cette « pandémie » artificiellement gonflée, la censure dans les médias et sur les réseaux sociaux se fait de plus en plus étouffante. Des vidéos et des articles se font effacer pour la simple raison qu’ils contredisent les diktats des instances onusiennes telles l’OMS (grand promoteur, par ailleurs, de la masturbation pour les 0 à 4 ans). Et cela, au nom de la « santé », bien sûr ! Or, l’OMS affirme sans ambages sur son site Web que l’accès à l’avortement légal et « sécuritaire » (certainement pas pour l’enfant à naître) est essentiel pour la réalisation du droit à la santé des femmes. Combien de temps avant qu’on nous fasse taire à notre tour, dans l’intérêt de « la santé » ?
Il y a également notre liberté religieuse qui est en péril : outre les restrictions démesurées sur nos lieux de culte, restrictions déplorées par nul autre que le cardinal Lacroix lors d’une récente allocution le jour de la fête de sainte Anne, la fixation sur le prolongement de la vie biologique, au détriment des autres éléments qui constituent une vie bien vécue, est la preuve que notre État n’accepte aucun point de vue contredisant celui où prime la longévité d’une vie sans principe directeur sur la plénitude d’une vie dans le Christ.
Nous ne pouvons rester silencieux face à cette transformation radicale, pour le pire, de nos sociétés, sous prétexte d’un virus dont le taux de mortalité avoisine, rappelons-le, celui de la grippe saisonnière. Nous qui défendons la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, voulons par nos actions former une population responsable et libre de faire le bien et d’éviter le mal, sous le regard bienveillant du Bon Dieu. Or, on est en voie de créer une dis-société d’automates surmédicamentés et surveillés, isolés les uns des autres et évoluant dans un monde virtuel aseptisé et sans foi. Ce n’est pas ça une Culture de Vie !
Je vous invite donc à refuser la peur artificielle, par un Oui inconditionnel à cette Vie de liberté des enfants de Dieu.
Si le cœur vous en dit, ce « oui » à la Vie pourrait se traduire en une participation — avec ou sans masque, dans le respect de toutes les consignes gouvernementales légitimes — à notre prochaine épluchette de blé d’Inde ce dimanche 23 août à 12 h à l’extérieur de nos locaux !
Vous êtes également invité à vous joindre à nous pour un pèlerinage pro-vie le samedi 19 septembre à 8 h, débutant au 505 Sainte-Catherine Est. Pour réserver votre place, appelez-nous au 1-855-996-2686 et demandez Brian.
Pour la foi, la famille et la Vie,
Georges Buscemi, Président
Post-scriptum — Si vous n'avez pas d'exemple concret de la dictature sanitaire qui s'installe sous nos yeux, pensez à la censure, exécutée au nom de la santé, que YouTube, Facebook et compagnie exercent contre les vidéos et publications critiquant l’OMS et sa politique sur le coronavirus, ou promouvant l’hydroxychloroquine comme remède à ce virus ; d’autre part, l’avortement étant classé comme « soin de santé » par ses partisans (dont l'OMS), c’est donc sans doute pour défendre le « droit » à la santé des femmes que YouTube a censuré une célèbre vidéo qui menaçait ce « droit », au nom de la santé bien sûr… pourtant, elle ne faisait strictement que décrire des méthodes d’avortement. La dictature sanitaire et sa censure sont sur nous. — A. H.
[i] Le taux de mortalité du coronavirus se situe entre 1 et 6 décès par 1000 personnes infectées. En d’autres termes, sur 1000 personnes qui attrapent le virus, 997 en moyenne, ou 99,7 %, en survivent). La plupart des références pour toutes les affirmations contenues ci-dessus et dans les notes suivantes peuvent être trouvées sur ce site.
[ii] Le Dr Arruda a lui-même affirmé lors d’une conférence de presse que le décès d’un patient du covid dans une institution peut justifier à lui seul que tous les autres décès dans cette même institution soient attribués au covid, sans qu’il soit nécessaire de vérifier, par autopsie par exemple, la véritable cause des décès subséquents. C’est la même manipulation statistique ailleurs : en Italie, une étude démontra que seulement 12% des décès officiels par covid n’étaient pas accompagnés de cancers, de problèmes cardiaques, de diabète sévère, etc., sans parler que la moyenne d’âge des décès tourne autour de 80 ans, ce qui est en effet l’âge moyen des décès en général, en Occident.
[iii] Si suffisamment de personnes bien portantes (selon des études effectuées en Chine, jusqu’à 80% des porteurs du virus ne présentent aucun symptôme) sont exposées au virus, elles développent au contact de celui-ci des anti-corps pour y résister. La pandémie se termine lorsqu’il n’y a plus suffisamment de personnes sans contact préalable avec le virus.
[iv] L’objectif est-il actuellement de maintenir la peur en ce temps d’été où la « pandémie » au Québec tire à sa fin, en attendant la prochaine saison de grippe annuelle, où la mortalité recommencera, fournissant aux médias de nouveaux décès pour réalimenter leurs usines de fabrication de la peur ? Et cette peur ainsi maintenue, n’incitera-t-elle pas, entre autres, la population à s’arracher un prochain vaccin (obligatoire ?), ce qui renflouera de sommes faramineuses les coffres des pharmaceutiques, et cela en dépit du fait que maintes études démontrent que l’hydroxychloroquine, médicament bien connu et surtout bon marché, éradique merveilleusement le covid 19?