Pour un professeur, les parents sont une gêne lors des cours virtuels « sur le genre et la sexualité »…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Il s’agit pour le moins d’un professeur qui n’a cure des droits parentaux et n’a de repos que les élèves se fassent assener l’idéologie LGBT. Le professeur Matthew R. Kay, qui travaille pour l’Académie de gestion des sciences de Philadelphie, trouve peu à son goût que les parents puissent éventuellement être présents lors des cours virtuels — confinement oblige — qui traitent, notamment, de « genre » ou de « sexualité ». Selon LifeSiteNews :
« Je suis très intrigué par les dégâts que les parents “hélicoptère ou chasse-neige” pourraient faire dans des conversations honnêtes sur le genre et la sexualité », se lamente l’enseignant.
[...]
Bien que ses tweets soient privés, un usager de Twitter a publié une capture d’écran de son cortège de plaintes.
« Ainsi, cet automne, les discussions de classe virtuelle auront de nombreux spectateurs potentiels — parents, frères et sœurs, etc. — dans la même pièce », commence Kay. « Nous ne serons jamais tout à fait sûrs de savoir qui entend le discours. Qu’est-ce que cela change pour notre travail d’équité et d’inclusion ? »
« Dans quelle mesure les élèves ont-ils dépendu des barrières (quelque peu) sécurisées de nos salles de classe physiques pour l’encouragement à la vulnérabilité ? Combien d’entre nous ont installé une version de “ce qui se passe ici reste ici” pour y parvenir ? »
Kay mentionne ensuite les « conversations honnêtes sur le genre et la sexualité » comme une question dans laquelle les parents qui s’impliquent dans l’éducation de leurs enfants ne seraient d’aucune aide.
Kay l’admet : « les parents “conservateurs” sont ma principale préoccupation », mais déclare : « les dégâts peuvent venir de la gauche aussi ». Si nous sommes engagés dans le sale travail de déstabilisation du racisme, de l’homophobie ou de la transphobie d’un enfant [sic] — à quel point voulons-nous que les parents de leurs camarades de classe grossissent les rangs ? »
C’est donc un travail de sape conscient qui était en œuvre depuis un certain temps que le professeur craint de voir déranger.
Des parents rejettent l’« éducation sexuelle » de Planned Parenthood
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Shutterstock
Planned Parenthood ne s’occupe pas seulement d’exécuter des avortements, de distribuer de la contraception ou des bloqueurs de puberté (eh oui ! PP verse dans le transgenrisme aussi), mais de rédiger des cours d’« éducation sexuelle ». Mais vu ce qui y est mis et ce qui en résulte, on peut avoir quelques doutes sur les bonnes intentions de Planned Parenthood. Extrait de Church Militant :
Planned Parenthood redéfinit l’« abstinence » pour y inclure l’activité sexuelle explicite.
Worcester, la deuxième plus grande ville du Massachusetts, profondément bleu (démocrate), a été le théâtre d’une épreuve de force entre Planned Parenthood et les parents et chefs religieux sur la question de l’éducation sexuelle. En février dernier, plus de 75 de ces parents et dirigeants d’église se sont levés aux côtés du Massachusetts Family Institute, surpassant en nombre les voix en faveur de Planned Parenthood lors d’une réunion d’un comité scolaire local.
Les parents, les dirigeants d’églises et les représentants du Massachusetts Family Institute étaient là pour poser une question : que gagnerait Planned Parenthood à enseigner aux élèves des pratiques sexuelles sans risque qui réduiraient à la fois le nombre de grossesses et le nombre d’avortements ? En quoi cela profiterait-il à une entreprise qui dépend beaucoup des revenus tirés de l’avortement ?
Planned Parenthood ne voulait pas seulement redéfinir l’abstinence, il voulait introduire [dans les cours] une éducation sexuelle complète, dont un programme sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre.
Les défenseurs de Planned Parenthood ont fait valoir que leur programme d’études était adapté à l’âge, médicalement pertinent et fondé sur des données probantes. Mais lorsqu’il est lu à haute voix, comme je le fis lors de la réunion, le contenu du programme d’études paraît clairement ni adapté à l’âge ni médicalement exact.
La ville de San Francisco interdit à ses fonctionnaires de faire affaire avec 22 États pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le conseil de municipal de San Francisco a tant à cœur la défense de l’avortement, qu’il pousse son soutien à cette répugnante pratique jusqu’à mettre en place une « liste noire » de 22 États américains ayant passé des lois pro-vie, et qu’il interdit à ses fonctionnaires d’avoir des relations d’affaires avec les États en question. On fait difficilement plus ridicule que ça… extrait de LifeSiteNew :
Dans sa dernière déclaration de soutien à l’avortement -sur-demande, et de mépris pour ses opposants, la ville de San Francisco, solidement gauchiste, a annoncé une liste noire pour les fonctionnaires qui font affaire avec un des États ayant des lois « restrictives » pro-vie, ou qui s’y rendent pour des raisons professionnelles ; ce geste, qui s’élève contre près de la moitié du pays, proteste contre lesdites lois.
« Tout comme nous avons limité nos dépenses dans les États qui ont des lois discriminatoires à l’égard des personnes LGBTQ, nous nous dressons contre les États qui mettent la santé des femmes en danger et qui s’efforcent activement de limiter les libertés en matière de reproduction », a déclaré le maire de San Francisco, London Breed, selon Fox News. « En limitant les voyages et les contrats avec certains États, nous envoyons un message clair aux États qui ne respectent pas le droit à l’avortement. »
À compter du 1er janvier 2020, la liste noire s’appliquera à l’Alabama, à l’Arkansas, à la Floride, à la Géorgie, à l’Indiana, à l’Iowa, au Kansas, au Kentucky, à la Louisiane, au Massachusetts, au Mississippi, au Nebraska, au Nevada, au Dakota du Nord, à l’Ohio, à l’Oklahoma, à la Pennsylvanie, à la Caroline du Sud, au Dakota du Nord, au Texas, à la Virginie-Occidentale et au Wisconsin, qui, selon les dirigeants de la ville, ont tous « des politiques anti-choix sévères » dans les registres.
Une femme atteinte d’un cancer en phase terminale : « Le suicide assisté n’est pas la réponse »
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) — traduction par Campagne Québec-Vie
Le Massachusetts étudie actuellement un projet de loi intitulé « An Act Relative to End of Life Options », qui légaliserait le suicide assisté dans certaines circonstances. Dans une lettre, Pauline Morris, résidente du Massachusetts, offre un point de vue souvent négligé dans le débat : celui des personnes qui ont vécu le suicide d’un être cher. Mme Morris écrit ayant examiné la législation, « je ne peux m’empêcher de penser à mon expérience du suicide. »
Il y a près de cinq décennies, le mari de Mme Morris s’est suicidé à l’âge de 31 ans, la laissant elle et leurs quatre jeunes enfants en profondément choqués. Elle reconnaît que les motivations du suicide de son mari peuvent sembler différentes de celles sanctionnées par le projet de loi proposé, mais elle affirme que « le suicide assisté demeure un suicide ». Faisant référence à des études portant sur les raisons pour lesquelles les patients recherchent le suicide assisté, Mme Morris note que les patients le désirent non pas à cause de la douleur physique, mais à cause de la souffrance existentielle, les mêmes souffrances qui ont poussé son mari à s’enlever la vie.
Alors que les défenseurs du suicide assisté considèrent cette pratique comme une « solution » à la souffrance, elle met fin à la vie d’une personne, et la souffrance ne s’arrête pas pour les proches d’un patient [euthanasié]. Mme Morris écrit : « Il y a toujours cet endroit vide où l’être aimé devrait être. Le temps ne guérit pas les blessures du suicide. Les [effets] de l’acte ne sont jamais finis pour les êtres chers laissés derrière. La douleur est permanente et a un effet de répercussion sur les générations futures. » D’autres ont exprimé des sentiments similaires.
Cet effet d’entraînement se traduit par une plus grande probabilité chez les personnes touchées par la perte [de quelqu’un s’étant suicidé] qu’elles se suicident elles-mêmes, car le suicide est contagieux. Alors que certains groupes affirment que le suicide assisté n’influence pas le taux global de suicide, d’autres ont tiré la sonnette d’alarme en affirmant que le taux de suicide chez les adolescents a doublé en Oregon, où le suicide assisté est légal et a reçu une couverture médiatique importante.
Mme Morris, qui a maintenant un cancer et dont le mari a souffert de démence, réclame des soins pour traiter la dépression des patients, au lieu de présenter le suicide assisté comme soin médical. Elle écrit : « L’expérience de chaque personne atteinte d’une maladie en phase terminale est unique, mais d’après mon expérience avec mon mari, le suicide n’est pas la solution. La légalisation du suicide assisté par surdose légale létale envoie un message : certaines vies ne valent pas la peine d’être vécues, à savoir la vie des personnes handicapées ou en phase terminale d’une maladie. »
« Arrière Satan » (Luc 4, 1-13)
Par Paul-André Deschesnes — Photo (rognée) : Wikimédia Commons
L’Amérique vient de faire un très grand pas en avant dans l’abîme de l’abomination.
Pour la première fois de son histoire, une Église satanique a officiellement pignon sur rue aux États-Unis. Reconnue comme une véritable Église, « Satanic Temple » se voit accorder tous les privilèges, comme pour toutes les autres religions.
Situé à Salem, dans l’état du Massachusetts, ce temple démoniaque invite la population à venir sur place pour participer à des cérémonies diaboliques, dites religieuses.
Nous savons très bien que le démon et les forces du Mal sont déchaînés partout sur la terre. Nos sociétés neutres, laïques et athées ont vendu leur âme au diable. Notre monde hyper corrompu nage dans le satanisme.
Devons-nous rester les bras croisés ? Absolument pas, il faut lutter contre les démons, même si grâce à la Croix, Jésus-Christ a « vaincu le prince de ce monde » (Jean 12, 31).
Lire la suiteUne grand-mère au cœur brisé de voir son petit-fils «transitionner» en «fille»
Par Lianne Laurence ― traduit par Campagne Québec-Vie
10 avril 2019 (LifeSiteNews) — Une grand-mère du Massachusetts dit qu’elle s'endort épuisée d'avoir pleuré chaque soir parce que sa fille lesbienne est déterminée à faire « transitionner »* son petit-fils de 10 ans en « fille », disait-elle au Christian Post le mois dernier.
Cette grand-mère de 57 ans, qui a raconté son histoire sous le couvert de l’anonymat, s'était brouillée avec sa fille pendant deux ans après que celle-ci ait insisté pour qu’elle accepte la « transition »* et de traiter son petit-fils Jack en tant que Jacquelyn.
« Je n'accepterai jamais cette idée », a dit la grand-mère au Christian Post.
« Rien ne me fera changer d’avis… Et cela ne m’empêche pas de les aimer. J’aime ma fille. J’aime mon petit-fils. Mais le mal est mal. Je ne peux pas et je n’essaierai pas de me convaincre de quelque chose qui n’est pas vrai. »
La situation a provoqué la résurgence du traumatisme de l'agression sexuelle qu'elle a subie elle-même étant enfant, racontait cette grand-mère, parce que ce qui arrive à son petit-fils, qui devait subir un régime de bloqueurs de puberté à l’âge de neuf ans, est similaire.
Elle croit également que son petit-fils ne serait pas aussi perturbé s’il n’avait pas « passé ses années formatrices » à voir l’« épouse » lesbienne de sa mère faire sa « transition »* en « homme »*.
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