La Cour suprême du Canada refuse d’entendre Mary Wagner qui conteste la loi niant l’humanité de l’enfant à naître
Mary Wagner.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La Cour suprême du Canada a refusé d’entendre la requête de Mary Wagner, héroïne pro-vie qui a passé plusieurs années en prison pour avoir tenté de sauver des enfants à naître en parlant pacifiquement à leur mère dans l’avortoir, contestant l’Article 223 du Code criminel canadien qui nie l’humanité de l’enfant à naître au sens de la loi. Ce rejet s’est fait comme de coutume, sans donner de raison. Selon LifeSiteNews :
L’avocat de Wagner, le Dr Charles Lugosi, a déclaré que, bien qu’il soutînt que leur demande au tribunal avait « de grands mérites et répondait amplement au critère juridique de la demande d’autorisation », il pourrait y avoir quelques raisons pour lesquelles la requête a été refusée.
« Le Parlement conserve le pouvoir de décider qui est et qui n’est pas un être humain », disait-il dans un courriel adressé aux sympathisants de sa cause [...]
Une contestation de l’Article 223 du Code criminel du Canada, d’après LifeSiteNews :
Lire la suiteWagner, qui a passé près de six ans en prison pour ses tentatives pacifiques de sauver les mères et leurs enfants à naître de la violence de l’avortement — inspirant le mouvement américain Red Rose Rescue qui est en plein essor — contestait l’Article 223 (1) du Code criminel du Canada. Le code stipule qu’« Un enfant devient un être humain au sens de la présente loi lorsqu’il est complètement sorti, vivant, du sein de sa mère ».
Lugosi voulait faire valoir que cet article enfreint l’Article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés, qui garantit le « droit à la vie, à la liberté et la sécurité de la personne », ainsi que la garantie de l’Article 15 de la Charte, selon laquelle : « La loi ne fait acception de personne et s’applique également à tous, et tous ont droit à la même protection et au même bénéfice de la loi... »
L’avocat a également demandé à la Cour suprême d’annuler une décision d’un tribunal inférieur qui, en 2013, avait annulé la contestation constitutionnelle de Wagner et sa défense juridique. Il avait soumis sa demande de 155 pages à la Cour suprême en novembre.
Mary Wagner dépose une requête auprès de la Cour suprême du Canada pour contester la loi niant l’humanité de l’enfant à naître
Mary Wagner.
Par Lianne Laurence — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 novembre 2020 (LifeSiteNews) — La Cour suprême du Canada a été saisie d’une requête, qui fera date dans l’histoire, contestant la loi canadienne qui nie l’humanité de l’enfant dans le ventre de sa mère.
Mary Wagner, militante pro-vie bien connue et inspiratrice du mouvement croissant Red Rose Rescue aux États-Unis, a déposé cette contestation se réclamant de la Charte au cours de son procès en 2013.
Elle avait été arrêtée le 15 août 2012 alors qu’elle tentait d’intervenir pacifiquement pour sauver des enfants à naître et leurs mères de la violence de l’avortement, dans un établissement en avortements de Toronto.
Le 11 novembre 2020, son avocat, le Dr Charles Lugosi, a soumis à la Cour suprême une requête de 155 pages exposant ses arguments, pour obtenir l’autorisation de faire appel des décisions des tribunaux inférieurs, qui ont rejeté la contestation constitutionnelle de Wagner et sa défense juridique.
L’importance de l’affaire ne peut être surestimée, selon John Bulsza, le vétéran pro-vie vivant à London [Ontario] qui a collecté des fonds durant les huit années de ce parcours jusqu’à la Cour suprême.
« Cette affaire est notre affaire. Elle signifiera la fin de l’avortement au Canada », déclare-t-il à LifeSiteNews lors d’une entrevue.
« C’était l’objectif depuis le début, si nécessaire, de parvenir jusqu’à la Cour suprême du Canada. Maintenant, cet objectif est devenu une réalité pour Mary et pour nous tous », déclare M. Bulsza.
Me Lugosi avait fait valoir au nom de Wagner en 2013 que l’Article 223 du Code criminel canadien était inconstitutionnel.
Lire la suiteMary Wagner dépose une requête auprès de la Cour suprême du Canada pour contester la loi niant l’humanité de l’enfant à naître
Mary Wagner.
Par Lianne Laurence — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 novembre 2020 (LifeSiteNews) — La Cour suprême du Canada a été saisie d’une requête, qui fera date dans l’histoire, contestant la loi canadienne qui nie l’humanité de l’enfant dans le ventre de sa mère.
Mary Wagner, militante pro-vie bien connue et inspiratrice du mouvement croissant Red Rose Rescue aux États-Unis, a déposé cette contestation se réclamant de la Charte au cours de son procès en 2013.
Elle avait été arrêtée le 15 août 2012 alors qu’elle tentait d’intervenir pacifiquement pour sauver des enfants à naître et leurs mères de la violence de l’avortement, dans un établissement en avortements de Toronto.
Le 11 novembre 2020, son avocat, le Dr Charles Lugosi, a soumis à la Cour suprême une requête de 155 pages exposant ses arguments, pour obtenir l’autorisation de faire appel des décisions des tribunaux inférieurs, qui ont rejeté la contestation constitutionnelle de Wagner et sa défense juridique.
L’importance de l’affaire ne peut être surestimée, selon John Bulsza, le vétéran pro-vie vivant à London [Ontario] qui a collecté des fonds durant les huit années de ce parcours jusqu’à la Cour suprême.
« Cette affaire est notre affaire. Elle signifiera la fin de l’avortement au Canada », déclare-t-il à LifeSiteNews lors d’une entrevue.
« C’était l’objectif depuis le début, si nécessaire, de parvenir jusqu’à la Cour suprême du Canada. Maintenant, cet objectif est devenu une réalité pour Mary et pour nous tous », déclare M. Bulsza.
Me Lugosi avait fait valoir au nom de Wagner en 2013 que l’Article 223 du Code criminel canadien était inconstitutionnel.
Lire la suiteLe courage de témoigner à la vérité au milieu des catholiques collabos
Mary Wagner.
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie)
Dernièrement, deux films ont retenu mon attention qui dans les deux cas mettaient en scène des jeunes qui portent un combat immense sur leurs épaules. Sophie Sholl, son frère et leurs amis, jeunes universitaires, seront condamnés à mort pour avoir distribué des tracts dénonçant le régime d’Hitler. Francesco, Jacinthe et François jeunes enfants, devront subir la prison et les menaces de mort pour avoir dit la vérité et caché les secrets qu’ils devaient cacher. Ces enfants et ces jeunes portent le combat d’adultes en suivant leur conscience. Dans l’un des cas, une mission donnée par la Vierge Marie en personne qui leur vaudra de très grandes souffrances. Le film Fatima, sorti en 2020, en ce moment en vente dans nos librairies, décrit, je crois, comme peu l’on fait auparavant le combat contre tous qu’ils ont vécu. Or cet état de combat contre tous est un peu l’état normal du chrétien, puisque leur ennemi, spirituel, ne prend aucune pause et n’a pas l’intention de démordre de sa haine.
Dans le combat des chrétiens, il y a pire que les ennemis, il y a les collabos. Tous ceux qui ont peur de parler, de déplaire, de se faire couper des subventions, qui préfèrent vivre dans le déni ou au contraire, attaquer ceux qui disent une vérité qu’ils ne peuvent supporter, car elle implique nécessairement, logiquement, des changements dans leurs attitudes et leur comportement. Laisser une place à la vérité leur demanderait de prendre des risques, de vivre avec courage.
S’il y a une caractéristique qui est disparue dans l’Église au Québec, c’est bien celle-là… le courage. Plutôt que de parler, les catholiques au Québec ont choisi de faire uniquement le bien que la société leur laisserait faire, le bien ayant reçu le « nihil obstat », « rien n’empêche », de l’esprit du monde. Dans nos paroisses, nous avons donc pu continuer de faire des campagnes de carême pour aider les pauvres à travers le monde, pour les aider à construire une société plus humaine selon les conceptions onusiennes. On les nourrit, on leur apprend à revendiquer leurs droits, on leur apprend la contraception et l’avortement. Aider les pauvres, diminuer le nombre de pauvres, et éliminer les potentiels futurs pauvres.
À l’inverse des églises américaines, il est très rare de trouver dans les portiques de nos églises la documentation sur les centres d’aide aux femmes enceintes en difficultés, ou les tracts sur les prochains rassemblements pro-vie. Pas politiquement correct. Donc, cela ne nous concerne pas. Nous avons simplement le droit de faire des déclarations pour la forme, servant à orner des bibliothèques en documents ecclésiaux, avant de tenter de les vendre en solde dans toutes les librairies religieuses de livres usagées, sans trouver preneur pour ces documents insignifiants.
Lire la suiteLa championne canadienne de la Vie Mary Wagner encore condamnée pour avoir défendu les enfants à naître
Par Martin M. Barillas — traduit par Campagne Québec-Vie
Vancouver, Colombie-Britannique, 11 septembre 2019 (LifeSiteNews) — La célèbre sentinelle canadienne des droits de la personne Mary Wagner a été reconnue coupable d'intrusion et de perturbation dans le fonctionnement d'une entreprise, après avoir passé plusieurs mois en prison après être entrée dans un centre d'avortement de Vancouver, afin d'informer les femmes enceintes des alternatives à l'avortement.
Dans une déclaration sur Facebook, Wagner a affirmé : « Cette condamnation n'est pas une honte pour moi. Au contraire, je suis heureuse que le tribunal ait trouvé qu'il y avait suffisamment de preuves pour conclure que j'ai entravé l'entreprise de destruction d'enfants à naître sans défense, qui demeurent non protégés et abandonnés par les tribunaux ».
Selon le compte Facebook, Wagner devait être libérer le onze septembre, mais reste sous la garde de la cour.
Mary Wagner (troisième à partir de la droite) avec ses partisans après sa libération,
11 septembre 2019, à Vancouver dans la province de Colombie-Britannique, au Canada.
Lors d'une conversation téléphonique avec LifeSiteNews, l'avocat de la défense Peter Boushy a informé le journal que le tribunal de Vancouver avait déclaré Mme Wagner coupable de méfait en vertu de l'article 430 du Code criminel, mais l'avait condamnée à une peine de prison. Elle était en prison depuis son arrestation du 17 avril. Selon Me Boushy, elle a fait 148 jours de prison. Le droit canadien compte chaque jour passé en prison avant le procès à un taux de 1,5 contre un, ce qui signifie que Wagner a déjà purgé plus que la peine maximale permise pour l'infraction qui lui a été imputée. Bien que la Couronne ait demandé trois ans de probation, le tribunal n'a accordé que deux ans de probation.
Lors de la prononciation de la sentence, le juge Mark Jette a dit directement à Wagner : « J'apprécie que vous veniez d'une famille forte et bonne et que vous soyez une bonne personne », a rapporte Me Boushy. Alors que la Couronne eût demandé 30 jours de service communautaire dans le cadre de la peine, le juge a déclaré : « Je suis convaincu que vous redonnez à la collectivité sur une base quotidienne. C'est dans votre ADN. » Me Boushy a dit qu'il n'avait jamais entendu un tel compliment de la part des juges. Il a noté que le juge avait qualifié Wagner de « guerrier » dans ses propos. Wagner n'aura pas à faire de service communautaire dans le cadre de sa peine.
Lire la suite2 prêtres, 7 pro-vie prennent le risque d’être arrêtés en entrant dans deux avortoirs ce matin
Lauren Handy, l'une des pro-vie participant au Red Rose Rescue, une tentative pacifiquement de faire découvrir aux femmes, songeant à avorter, la vie qu'elles portent.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Suivant l’exemple de Mary Wagner, des catholiques menés par des prêtres entrent dans deux avortoirs de Washington, pour porter pacifiquement témoignage auprès des femmes pensant à avorter leur enfant, afin qu'elles considèrent l’humanité de leur bébé et la grâce de Dieu ; la conversion des avorteurs fait aussi partie des buts de cette opération. Extrait de LifeSiteNews :
Ce matin, des prêtres catholiques menaient des militants pro-vie, entrant dans deux centres d’avortement de la capitale nationale, où ils risquent l’arrestation en offrant pacifiquement des roses rouges et des conseils aux femmes qui sont résolues à avorter et refusent de partir quand on le leur demande.
Appelée « Red Rose Rescue » et inspirée par la militante canadienne Mary Wagner, cette méthode d’activisme est en quelque sorte un renouveau du mouvement « Rescue » des débuts [...]
Le père Stephen Imbarrato de LifeMinistriesUS et quatre autres sont entrés à la Washington Surgi-Clinic, un centre d’avortement tardif situé dans un quartier chic de Washington. Le Dr Cesare Santangelo, avorteur à ce cabinet, a été attrapé en 2013 étant d’accord pour refuser les soins médicaux à un enfant viable qui survit à un avortement. Le Père Imbarrato a mené un « sauvetage » dans ce centre d’avortement le 20 décembre ; un tribunal fédéral a ensuite abandonné les accusations d’intrusion portées contre lui et deux autres personnes.
Un autre groupe de pro-vie s’est chargé d’un autre avortoir :
Lire la suiteLe Père Fidelis Moscinski des Frères franciscains du Renouveau, accompagné de quatre pro-vie, conduit l’autre sauvetage de DC ce matin […]
Les Polonais fêtent son anniversaire à l’héroïne pro-vie Mary Wagner, actuellement en prison, en manifestant pacifiquement devant l’ambassade du Canada
Des Polonais protestent contre l'emprisonnement de Mary Wagner, à Varsovie, le 12 février 2018.
Par Dorothy Cummings McLean et Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Przemysław SYCZ/Facebook
Varsovie, le 12 février 2018 (LifeSiteNews) – Que Mary Wagner, héroïne pro-vie, fête son anniversaire, enfermée en prison au Canada, n’empêche pas que l’on pense à elle.
Les amis et sympathisants de Mme Wagner en Pologne ont profité de son 44e anniversaire pour manifester devant l’ambassade du Canada à Varsovie de midi à 14 h aujourd’hui. Prières et discours ont rythmé l’événement lors duquel les participants lui ont aussi écrit des cartes d’anniversaire.
Przemysław Sycz, membre de la Fondation polonaise du Droit à la vie, a déclaré à LifeSiteNews qu’« environ 50 » personnes ont pris part à la manifestation pacifique. Elles portaient des pancartes en anglais et en polonais.
Une grande affiche arborait la photo de Mme Wagner priant, avec la légende « Mary Wagner, prisonnière de conscience, persécutée parce qu’elle sauve des enfants ; n’as-tu pas honte, Canada ? »
Lire la suiteMary Wagner condamnée mais libre
La militante catholique pro-vie Mary Wagner.
Par Olivier Bault (Présent)
CONDAMNÉE, mais libre, en tout cas pour le moment. La militante catholique pro-vie Mary Wagner a été condamnée le 12 septembre par un juge de Toronto à neuf mois de prison (le procureur en demandait dix-huit). Mary Wagner a néanmoins recouvré la liberté à la sortie du tribunal en raison du temps qu’elle avait déjà passé en détension provisoire. Une quarantaine de personnes étaient présentes à l’audience où a été lue la lettre d’une maman qui, désespérée par sa situation, allait avorter à la septième semaine de sa grossesse. Sa rencontre avec Mary Wagner dans la clinique-avortoir où elle se trouvait (et que la militante pro-vie avait interdiction d’approcher sous peine de retourner en prison) l’a convaincue de renoncer à son morbide projet. Elle a donné naissance à un garçon il y a neuf semaines de cela, et elle s’en félicite. « Si j’avais obéi à la loi, cet enfant ne serait pas là aujourd’hui », s’est défendue Mary Wagner devant le juge.
Mary Wagner a aussi été condamnée à verser trois cents dollars à trois employées de la clinique d’avortement au titre de leur préjudice moral, car elles ont mal supportées psychologiquement la venue de cette chrétienne quadragénaire distribuant des roses à leurs « patientes » et leur parlant avec douceur de leur enfant, de l’amour de Jésus et de l'aide qu’elles pourraient obtenir si elles renonçaient à avorter. Au Canada, il n’y a même pas de délai légal pour l’avortement sur simple demande, qui reste possible jusqu’au dernier jour de la grossesse. Une pétition sur la plateforme CitizenGo a recueilli plus de 52 000 signatures en faveur de Mary Wagner. Son dernier procès, qui a débouché sur sa condamnation le 12 septembre, avait débuté le 13 juin dernier. Elle avait été à nouveau arrêtée le 12 décembre (Présent du 4 janvier 2017).
Lire la suiteLettre de la fondatrice de Canada Silent No More à l'honorable Eric (Rick) N. Libman, juge : Justice pour les enfants à naître et pour ceux qui tentent de les protéger
Denise Mountenay
Par Denise Mountenay traduit par Campagne Québec-Vie
24 août 2017
L'honorable Eric (Rick) N. Libman : [Objet] RE : Mary Wagner
En tant qu'ancienne patiente ayant subi un avortement, fondatrice et présidente du mouvement Canada Silent No More, je voudrais amener certaines informations urgentes et cruciales à votre attention, en ce qui concerne ce qui se déroule derrière les portes des cliniques d'avortement.
Comme c'est le cas pour la plupart des patientes des cliniques d'avortement, les fournisseurs de services d'avortement m'ont menti et m'ont trompée. On m'a dit que mon bébé n'était qu'un "amas de cellules" à 9 semaines de grossesse, et on m'a aussi dit que c'était une procédure "sécuritaire". Tragiquement, l'avortement est rarement une nécessité médicale, mais il s'agit plutôt d'une forme violente et sanglante de contraception. La plupart des femmes enceintes subissent de la pression pour se faire avorter, comme celle que j'ai subie de la part de mes parents et de mon copain, et simplement de par la peur de l'inconnu.
Malheureusement, les fournisseurs d'avortements ont un énorme conflit d'intérêt, puisque c'est ainsi qu'ils gagnent des millions de dollars sur le dos de naïves femmes enceintes.
Lire la suiteAvortement : la dissidente canadienne Mary Wagner de retour en prison
Photo: LifeSiteNews
Par Olivier Bault (Journal Présent)
Nous avons déjà parlé dans Présent de Mary Wagner, cette Canadienne catholique de 42 ans qui totalise désormais quatre ans et demi de sa vie en prison, mais qui peut se targuer d’avoir contribué à sauver plus de cent vies humaines. La dernière fois, c’était le 12 décembre dernier, pour la fête de Notre-Dame de Guadalupe, patronne des enfants à naître, dans un avortoir de Toronto où elle cherchait à convaincre les femmes venues se faire avorter de garder leur enfant. Mais cela lui a valu d’être arrêtée et de passer son troisième Noël de suite en prison puisqu’elle avait l’interdiction de s’approcher de tout lieu où l’on avorte après sa libération de prison le 26 avril dernier. Elle avait alors purgé une peine de quatre mois et demi de privation de liberté pour la même raison, comme toutes les fois précédentes. Sa méthode, totalement non violente, consiste à s’approcher de chaque femme, l’une après l’autre, en lui demandant avec douceur pourquoi elle veut tuer son enfant et en lui assurant qu’elle peut obtenir de l’aide et que Jésus l’aime.
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