Méfaits communistes au Canada
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : carac/Flickr
Le vandalisme qui sévit depuis quelques semaines aux États-Unis s’est répandu dans le monde entier, même au Canada où déjà des gens incultes ont dégradé un monument au héros canadien-français Dollard des Ormeaux (1625-1660). Dernièrement, des partisans du communisme ont vandalisé un monument inachevé, érigé à Ottawa en mémoire des victimes du communisme, acte que Derek Sloan dénonce dans un de ses courriels aux membres du Parti conservateur du Canada (PCC) :
Un cas particulièrement choquant est arrivé au début du mois à Ottawa.
Le Monument des victimes du communisme, qui n’était pas encore achevé, a été défiguré par des vandales qui ont promis que « le Communisme gagnera[it] » et l’ont orné du plus grand symbole d’oppression du siècle dernier, le marteau et la faucille.
Cet acte est une insulte aux victimes du communisme, aux membres de leur famille et à ceux qui ont payé pour ce monument, s’indigne Derek Sloan, candidat à direction du Parti conservateur.
On peut se demander si ces individus savent ce qu’était le communisme et ce qu’il est encore en Chine, par exemple. Ou alors regrettent-ils la dictature et les massacres qui se perpètrent sous ses augures ?
Derek Sloan évoque la croissance du marxisme culturel dans le gouvernement canadien, dans le domaine de l’instruction et autres institutions. Il souligne l’importance de rester vigilant devant la menace que représentent les promoteurs du communisme au sein du Canada :
Lire la suiteLa défiguration de ce monument est un rappel qu’il y’a des gens dans notre propre pays qui veulent apporter au Canada les souffrances endurées dans d’autres pays sous le communisme.
Les principes LGBT de Black Lives Matter
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Lorie Shaull/Flickr
Le monde ces temps-ci parle de manifestations et d’émeutes antiracistes, auxquelles participe entre autres le mouvement Black Lives Matter (BLM). Mon intention ici n’est pas de me prononcer sur la teneur de ces événements, sur le racisme, l’antiracisme, ou les moyens employés et les revendications des manifestants ou émeutiers. Certes, le meurtre doit être puni par l’État, quelle que soit la victime et quel que soit le meurtrier, que ce geste violent soit perpétré par racisme ou non, ou par « antiracisme »…
Savez-vous pourquoi vous ne devriez faire partie du mouvement BLM ou le soutenir, que vous soyez chrétien ou simplement opposé à la destruction de la famille et de la saine raison ? BLM prend pour principe, dans un esprit marxiste, la perturbation de la famille normale ainsi que l’encouragement du transgenrisme et de l’homosexualité. Jonathon Van Maren écrivait dans LifeSiteNews en 2016 :
C’est lorsque j’ai commencé à parcourir les « Principes directeurs » de Black Lives Matter que j’ai réalisé à quel point l’idéologie de ce mouvement était complètement incompatible avec les principes chrétiens. Voici quelques exemples :
« Nous sommes engagés dans la perturbation de l’exigence de structure familiale nucléaire prescrite par l’Occident en nous soutenant mutuellement en tant que familles plus larges et “villages”, qui s’occupent collectivement les uns des autres, et en particulier de “nos” enfants dans la mesure où les mères, les parents et les enfants sont à l’aise. »
Je ne suis pas sûr que de s'engager dans la « perturbation » de la « structure familiale nucléaire » aidera au fonctionnement des « villages » ou à la prise en charge collective de ceux qui se trouvent dans ces villages, surtout parce qu’une unité familiale stable est le principal moyen d’assurer que les mères, les parents et les enfants soient bien en premier lieu. Et comme environ deux tiers, des enfants noirs sont élevés sans la présence de leur père (du moins, depuis le début des années 1990), il semble évident que la « structure familiale nucléaire » a déjà été profondément perturbée, de toute façon. Il est stupéfiant de voir comment Black Lives Matter se penche sur les problèmes de la communauté africaine d’Amérique et décide qu’une nouvelle attaque contre la famille est la solution.
En outre :
« Nous sommes dédiés à l’accueil aux frères et sœurs transgenres afin qu’ils puissent prendre part [au mouvement] et diriger. Nous sommes attachés à l’autoréflexion et au travail nécessaire pour démanteler le privilège cisgenre et pour l’avancement des personnes trans noires, en particulier les femmes trans noires qui continuent d’être touchées de façon disproportionnée par la violence transantagoniste. »
Ainsi, en plus de démanteler la structure familiale, Black Lives Matter veut également démanteler le « privilège cisgenre », tout en travaillant à affermir l’étrange idéologie irréaliste du transgenrisme, qui trouve de nombreux opposants même dans le féminisme. Encore une fois, ce n’est pas quelque chose que les chrétiens peuvent soutenir.
« Nous sommes dédiés à la promotion d’un réseau de soutien aux homosexuels. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons dans l’intention de nous libérer de l’emprise de la pensée hétéronormative ou, plutôt, de la croyance que tous les gens dans le monde sont hétérosexuels, à moins qu’ielles [s/he] ou ils n’indiquassent autrement le contraire. »
En résumé, Black Lives Matter semble croire que le remède aux problèmes rencontrés par la communauté noire consiste, en premier lieu, en l’adoption du transgenrisme, l’attaque de la structure familiale déjà affaiblie (et donc l’élimination de l’endroit le plus sûr pour élever et aimer les enfants) et la « libération » de la communauté noire de l’emprise de la « pensée hétéronormative », qui a présumément installé la structure familiale oppressive et la cis-suprématie transphobe. Il est également paradoxal de constater que dans tous leurs principes directeurs, ils ne mentionnent même pas l’opposition à l’ordre public qui caractérise une grande partie de leurs manifestations et de leur discours public. Apparemment, la famille hétéronormative représente un danger encore plus grand pour les familles noires que le prétendu racisme institutionnalisé.
Les abolitionnistes de la famille voient une opportunité dans la crise du coronavirus
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : PxHere
27 mars 2020 (LifeSiteNews) — J’ai toujours été proche de ma famille, mais la pandémie de coronavirus et la distanciation sociale exigée m’ont rappelé de ne pas la tenir pour acquise. Plus jamais je ne « ferai qu’un saut » chez mes parents sans me rappeler que c’est une bénédiction de pouvoir le faire. Ma petite fille en a tellement marre de ne pas voir sa grande famille qu’elle demande fréquemment que nous communiquions avec ses grands-parents, tantes et oncles par vidéo. Comme tout le monde, je m’inquiète pour mes grands-parents âgés. Au milieu de la panique, beaucoup d’entre nous se sentent profondément reconnaissants pour les familles dont ils ont la chance de faire partie.
Mais si vous êtes un certain type de progressiste, ce bouleversement mondial représente une opportunité. l’Open Democracy, par exemple, a publié un essai cette semaine avec ce titre : « La crise du coronavirus nous montre qu’il est temps d’abolir la famille » (The coronavirus crisis shows it’s time to abolish the family).
La devise d’Open Democracy est « libre pensée pour le monde », et j’espère que personne ne paie pour cette ânerie. Mais l’essai du groupe nous rappelle que de nombreux progressistes voient dans cette crise une occasion de faire avancer leur programme politique, d’autant plus que de larges pans de la population sont à ce stade prêts à accepter une surveillance massive du gouvernement sur leur vie afin d’aplatir la courbe et de protéger les personnes âgées et les personnes vulnérables. Cette crise nous a appris que nos familles sont essentielles et que nos personnes âgées nous sont chères, et j’espère que nous nous souviendrons de ces leçons lorsque tout cela sera terminé.
Mais si vous êtes l’un des clowns d’Open Democracy, la crise vous mène à des conclusions totalement différentes — comme penser que nous devons dépasser « la mystification du couple-forme ; cesser de romancer la parenté ; et atteindre l’assainissement de l’espace fondamentalement dangereux qu’est la propriété privée ». Et pourquoi devons-nous « dépasser » l’idée du mariage et cesser de « romancer la parenté », quoi que cela puisse signifier? À cause des « asymétries de pouvoir dans les tâches ménagères (le travail reproductif étant ainsi sexué)... de la gestion patriarcale de l’éducation et (souvent) de l’institution du mariage ». On se demande vraiment ce que l’auteur de ce charabia a dû souffrir pour produire une telle absurdité tordue.
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques de l’Église catholique au Canada français
Par Julien Bertrand — Photo : jcomp/freepik
[Les signataires de cette magnifique lettre ouverte sont des étudiants universitaires, un médecin et deux avocats. Vingt-neuf hommes en tout allant de 21 ans à 44 ans. Ils ont décidé pour le moment de garder l’anonymat, certains ayant conscience des conséquences qu’une telle lettre pourrait avoir sur leur emploi, ou leurs études. — A. H.]
Signez ici la pétition « Nous demandons la foi »
Octave de la Toussaint, 2019
Éminence, Excellences,
Nous vous adressons cette lettre pour trois raisons : d’abord, pour vous confier les nombreux maux dont souffrent les hommes canadiens-français, ensuite, pour vous témoigner des grâces innombrables que nous recevons à travers la Foi catholique sous sa forme traditionnelle et finalement, pour vous supplier de rendre accessible au plus grand nombre ce Trésor qui nourrit nos âmes et nous élève vers Dieu.
Une vie de souffrances
Tous les jours, nous sommes témoins des effets dévastateurs que produit sur nos compatriotes une société tournée vers l’Homme plutôt que vers Dieu. De sa conception jusqu’à sa mort, le Canadien français est mesuré à l’échelle de son utilité pour la société de consommation, plutôt qu’à l’aune brûlante d’Amour de son divin Créateur. Notre peuple vit au quotidien dans une culture de la mort qui lui enlève le goût de vivre et le désir de transmettre la vie. Nos frères et nos amis naissent dans des familles éclatées par le divorce. Ils grandissent sans modèles masculins.
On les gave de médicaments parce qu’ils sont trop turbulents à l’école. De dangereux idéologues leur lavent le cerveau dès le plus jeune âge avec des doctrines perverses et abjectes, qui nient la loi naturelle créée par Dieu et sèment ainsi le doute dans plusieurs esprits crédules. Dès l’adolescence, ils sont confrontés à une sexualité précoce et malsaine influencée par la pornographie. Puis viennent l’alcool, les drogues, les modes vestimentaires et musicales débilitantes, l’intimidation et le suicide de certains amis. Au Cégep, nos jeunes Canadiens français se font enseigner par leurs professeurs marxistes la haine de soi, de sa culture et de ses ancêtres ; ils sont encouragés à vénérer « l’Autre ».
Devenus adultes, ils se trouvent une compagne, mais perpétuent par leurs actions le schéma culturel qu’on leur propose, celui selon lequel la personne humaine est un bien de consommation comme un autre et qu’il est possible de simplement jeter une fois obsolète. Chaque jour, se répète l’infernal cycle matérialiste du « métro-boulot-dodo », afin de permettre aux Canadiens français de consommer le dernier produit inutile qui servira à combler momentanément le vide abyssal qui les habite. Une fois ce produit consommé et l’attrait de la nouveauté ayant disparu, le gouffre creusé par le nihilisme réapparaît et ils repartent à la recherche d’un nouveau produit, d’une nouvelle destination de vacances, ou d’une nouvelle femme à séduire.
À leur tour, ils divorcent, perdent leur emploi, tombent en dépression ; certains ne voient plus leurs enfants. Les médias nous racontent alors un énième cas de « drame familial » et l’homme y est toujours dépeint comme un salaud. Pour ceux qui arrivent à un âge plus avancé, certains vieillissent dans la solitude, abandonnés par leur famille.
D’autres sont retrouvés morts dans leur résidence, plusieurs jours après leur décès. Pour ceux qui n’ont pas eu la chance de s’éteindre naturellement, il reste toujours l’euthanasie. Évidemment et heureusement, nous ne vivons pas tous l’intégralité de ces souffrances, mais nous sommes quotidiennement les témoins d’un peuple qui se suicide.
Lire la suiteLa famille et la révolution
Roberto de Mattei.
Par le professeur Roberto de Mattei (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le discours ci-dessous a été prononcé lors de la conférence « Transmettre le dépôt de la foi — la mission de la famille catholique d’aujourd’hui », organisée par Voice of the Family et tenue du 6 au 8 septembre 2019 au Newman Hall de l'Aumônerie catholique universitaire, à Cardiff.
Les paroles de sœur Lucie de Fatima
Dans un discours prononcé en mai 2017 au Rome Life Forum, le cardinal Carlo Caffarra a confirmé avoir reçu une longue lettre manuscrite de sœur Lucie en 1983 ou 1984 qui se terminait ainsi :
Père, il viendra un moment où la bataille finale entre le Seigneur et le royaume de Satan portera sur le mariage et la famille, et ceux qui travaillent pour le bien de la famille connaîtront la persécution et les tribulations. Mais, il n’y a rien à craindre, parce que Notre Dame a déjà écrasé sa tête.*
Le Cardinal Caffarra est décédé quelques mois plus tard, en septembre 2017 alors qu’il se trouvait au centre de la bataille sur la famille qui est survenue au sein de l’Église après la publication de l’exhortation apostolique Amoris Lætitia du Pape François. Mais cette bataille, que nous continuons à vivre aujourd’hui, n’est qu’une bataille dans une guerre plus vaste entre deux villes qui ont combattu tout au long de l’histoire ; les deux villes desquelles saint Augustin d’Hippone a écrit : la Cité de Dieu et la Cité de Satan. La Cité de Dieu composée par l’Église de Jésus-Christ et l’autre par les disciples de Satan. Ces deux villes s’opposent comme deux armées : le but de chacune est d’annihiler l’autre et par conséquent leur conflit est continu et sans fin.
La famille constitue une image terrestre de la Cité de Dieu, qui est l’Église. Aussi, la destruction de la famille a toujours été un objectif permanent des ennemis de Celle-ci.
La famille base de l’État
L’Église enseigne que la famille n’est pas une simple union entre deux individus, mais une institution sociale. Et elle n’est pas une simple institution sociale comme tant d’autres, mais une institution sociale basée sur un sacrement : le sacrement du mariage, ce qui a de nombreuses conséquences.
Dans un discours prononcé en 1946, Pie XII a affirmé que les deux piliers de l’ordre civil conçus et voulus par Dieu sont la famille et l’État. [1]
Il y a un lien inséparable entre la famille et l’État. La prospérité des nations dépend de la prospérité des familles et vice versa. Le déclin des nations est donc lié au déclin de l’institution de la famille.
Lire la suiteUne députée lance «Vive le Christ Roi» dans un discours à la Chambre des représentants du Brésil !
Christine Nogueira do Reis Tonietto.
Par Matthew Cullinan Hoffman ― traduit par Campagne Québec-Vie
1er mai 2019 (LifeSiteNews) ― Une députée brésilienne de la Chambre des représentants a prononcé le discours d'ouverture déclarant son engagement en tant que catholique envers « Le Christ, roi de l'Univers » et a terminé son discours d'ouverture par le cri, « ¡Viva Cristo Rey ! » (Vive le Christ Roi !).
Christine Nogueira do Reis Tonietto, communément appelée « Chris Tonietto », est une avocate de 27 ans, membre du Centre Dom Bosco, un mouvement qui cherche à enseigner aux catholiques la connaissance de la doctrine catholique et la pratique de la piété catholique, particulièrement en ce qui concerne la réception régulière des sacrements. Elle a été élue à la Chambre des représentants brésilienne l'année dernière en tant que membre du conservateur Parti social libéral, qui a également nommé l'actuel président du Brésil, Jair Bolsonaro.
« Je veux consacrer ce mandat, notre mandat, au Christ, Roi de l'univers, à Notre-Dame d'Aparecida, Patronne du Brésil, pays qui fut à l'origine nommé Terre de la Sainte Croix, » proclamait Mme do Reis Tonietto à ses collègues députés. « Je veux réaffirmer ici mon engagement moral à la défense de la vie depuis la conception, à la défense de la famille et des valeurs chrétiennes, à la lutte contre l'avortement, l'idéologie du genre, la corruption et le crime. »
Lire la suiteAnalyse : quelques réflexions à propos du texte de Benoît XVI sur les abus sexuels
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Max Pixel
Le texte du pape émérite, Benoît XVI, sur la crise des abus sexuels, suscite des critiques à « droite » comme à « gauche ». Il me semble que ni à droite, ni à gauche, on n’en a perçu la véritable portée qui va bien au-delà des abus sexuels du clergé, point de focalisation d’une désagrégation sociétale qui dépasse l’entendement.
A gauche, on reproche à Benoît de prendre le contre-pied du pape François. Comment, il ose accuser l’idéologie de Mai 68 ? Le tweet d’Isabelle de Gaulmyn de La Croix est emblématique : « Abus sexuels, un texte troublant de Benoît XVI : au final, le P. Marie-Dominique Philippe serait un dangereux soixante-huitard. »
A droite, on lui reproche plutôt de ne pas en faire assez, de se borner à des réflexions théologiques qui ne vont pas au cœur du sujet, et de ne pas s’opposer assez frontalement à la confusion semée par le pape François – même si l’explication de celui-ci sur les agressions sexuelles, le « cléricalisme », est remarquablement absente du texte du pape émérite.
D’autres, plus iréniques, jugent qu’il y a une complémentarité entre l’un et l’autre : si François aborde l’affaire des agressions de la part des prêtres depuis l’angle du pouvoir, Benoît le fait depuis la perspective théologique.
A moins que son texte n’ait été dans une certaine mesure manipulée par d’autres — c’est ce que semble croire Louis Daufresne à propos de la dénonciation de « cliques homosexuelles dans différents séminaires » (en fait Benoît XVI a évoqué des « clubs homosexuels » dans le texte d’origine), qui écrit : « Benoît XVI emploie un vocabulaire inhabituel qui pourrait laisser penser que ce texte n’est pas de lui, même si on ne peut pas le prouver. »
Lire la suiteÉcole à la maison et suppression du marxisme dans l’enseignement supérieur au Brésil
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : mohammed hassan/PxHere
Le président brésilien, Jair Bolsonaro, écrivait le 31 décembre dernier qu’il avait un plan « agressif » pour éradiquer le marxisme (plaie du Brésil) de l’enseignement supérieur, plan auquel il compte s’appliquer avec le concours du ministre de l’Éducation, Ricardo Vélez Rodriguez. Extrait de Breitbart :
Le président brésilien Jair Messias Bolsonaro a appelé à combattre les « inepties marxistes » dans les universités, affirmant que l’enseignement supérieur devrait « former des citoyens et non des militants politiques ».
Le président brésilien récemment élu, Jair Bolsonaro, a un plan ambitieux pour réformer l’enseignement supérieur dans tout son pays. Selon Bolsonaro, ce plan pourrait inclure la suppression de la doctrine marxiste dans les établissements d’enseignement supérieur de tout le Brésil.
De son côté, le ministre de la Femme, de la Famille et des Droits de l’Homme, Damares Alves, écrivait le 18 février sur son compte Twitter :
Je dois remercier le ministère de l’Éducation pour sa collaboration dans le dossier de l’enseignement à la maison, dirigé par le ministre Ricardo Vélez [Rodriguez]. Nous travaillons ensemble pour élaborer un projet complet qui apportera une sécurité juridique à cette importante politique publique.
Mme Damares Alves aurait pour projet de régulariser l’école à la maison dans le pays, d’après R7. « J'ai accordé une interview à TV Record pour parler de l'enseignement à domicile, une demande de milliers de familles brésiliennes, » toujours selon le compte Twitter de Mme Damares Alves.
Doug Ford ébranle les rangs des syndicats étudiants
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Le Soleil et The Nectarine / Voici la source de la photo : Andrew Scheer/Flickr
Selon le Premier ministre de l’Ontario, les groupes d’étudiants pratiquent des « absurdités marxistes insensées ».
Doug Ford, Premier ministre ontarien, n’a pas froid aux yeux quand vient le temps de s’attaquer à la gauche radicale. Alors qu’il rappelait que son gouvernement avait modifié certaines obligations en matière de frais de scolarité, M. Ford n’a pas hésité à déclarer que les syndicats étudiants pratiquent des « absurdités marxistes insensées ». C’est dans un courriel destiné à recueillir des dons pour le Parti progressiste-conservateur qu’il a fait ce commentaire.
Dans sa missive intitulée « À quel point le système d’éducation était-il brisé ? », le Premier ministre ontarien a déploré que les étudiants eussent été contraints « de se syndiquer et de payer pour ces syndicats ». Ce faisant, il estime qu’il est tout à fait légitime de laisser le choix aux principaux intéressés d’effectuer des contributions à ces groupes étudiants plutôt que de les forcer à payer une cotisation.
Sans surprise, cette sortie a fait réagir des groupes d’étudiants et des politiciens de l’opposition, lesquels ont accusé M. Ford de réformer le système d’éducation pour des raisons politiques.
Le gouvernement de l’Ontario a entre autres diminué les frais de scolarité de 10 % tout en annulant un programme donnant accès à une « éducation gratuite » aux personnes disposant de peu de moyens.
Le dossier noir de Québec solidaire : Marx, le maître à penser
Karl Marx.
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : L’Encyclopédie canadienne, DossierQS, Facebook, Point de bascule n° 1, n° 2, n° 3 et n° 4, Presse gauche, Youtube, Wikipédia et Marxists Internet Archive/Voici la source de la photo : Domaine public
Faut-il le rappeler ? C’est en URSS qu’a été légalisé pour la première fois dans l’époque moderne en 1920 l’avortement. C’est le marxisme culturel qui a répandu la théorie du genre dans bien des pays dont le Brésil. — CQV
Saviez-vous qu’un ex-coordonnateur d’Amir Khadir était une connaissance de Pol Pot ? Première partie de ce dossier.
Québec solidaire (QS) n’a plus besoin de présentation. Au départ populaire principalement à l’est du boulevard Saint-Laurent, l’organisation a réussi à soutirer 10 sièges aux dernières élections provinciales, dont un à Sherbrooke, un ancien fief de l’ex-Premier ministre libéral, Jean Charest.
Dépeint par plusieurs comme appartenant à l’extrême gauche, le parti de Manon Massé a déjà dû se défendre d’être associé aux antifas. Car si QS fait figure de modèle politique pour les maximalistes québécois, c’est parce qu’il a été bâti en grande partie sur le socle du communisme.
L’alliance des rouges
Québec solidaire est né en 2006 d’une fusion entre l’Union des forces progressistes et Option citoyenne. Dès le début, le parti accepta dans ses rangs des « collectifs » aux noms évocateurs : Gauche socialiste, Socialisme international, Masse critique, Parti communiste du Québec (PCQ), pour ne nommer que ceux-là.
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