En hommage à Judith Reisman
Le Dr Judith Ann Reisman lors d'une conférence à Montréal en juin 2017.
Par Marion Sigaut (marionsigaut.com) ― Photo : Parents Premiers Educateurs/YouTube
En 1966 Judith Reisman, âgée de 32 ans, menait une vie heureuse d’épouse et de mère comblée, quand le ciel lui tomba sur la tête. Constatant que sa fille Jenny, âgée de dix ans, semblait perdre le goût à la vie, elle la pressa de questions et dut, pour qu’elle accepte de parler, lui jurer qu’elle ne dirait rien à la police. La petite lui avoua alors que le voisin du dessus l’avait violée de façon répétitive, en lui assurant qu’elle finirait par aimer ça. Le violeur avait 13 ans.
Là ne s’arrêta pas la série des mauvaises nouvelles. Judith voulut s’épancher auprès d’une vieille tante assez collet monté, et d’une ancienne copine de fac de son âge. Les deux femmes, de deux générations différentes et séparées géographiquement par des centaines des kilomètres, lui assurèrent toutes deux que, sans aucun doute, la petite l’avait cherché : Judith ignorait donc que les enfants sont sexuels dès leur naissance ?
La vie de Judith ne revint jamais à la normale : elle venait d’entrer dans le monde terrifiant de la réalité qui se cache derrière la façade. Elle découvrait le monde selon Kinsey. Kinsey l’imposteur, le père de la révolution sexuelle, l’auteur de rapports pseudo scientifiques qui firent le tour du monde et, en l’espace d’une génération, réussit à totalement renverser les valeurs. Dans le monde selon Kinsey, les enfants violent d’autres enfants et les parents qui s’en offusquent sont des ringards qu’il faut remettre dans le droit chemin puisque, Kinsey nous l’affirme, les enfants sont sexuels dès leur naissance.
Judith Reisman sillonna la planète, de colloques en congrès, de conférences en interviews pour dénoncer ce qu’elle avait découvert : les autorités (américaines et internationales, médicales, éducatives, politiques ou autres), cautionnaient, divulguaient et promouvaient les faux travaux d’un vrai pervers qui, après avoir fait violer des centaines de gosses par des prédateurs pédophiles, partit assurer à la face du monde que les évanouissements, les hurlements et convulsions des malheureux étaient des orgasmes.
Lire la suiteMario Sigaut : qui promeut la « sexualité » à l’école ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : shangarey/Freepik
Qui enseigne la « sexualité » ou en fait la promotion à l’école en France et plus généralement dans le monde ? Qu’est-ce que cette « sexualité », qui n’en est pas, a pour conséquence pour les particuliers et la société ? Qu’est-ce que les enfants se font enseigner et de quelle façon ?
Autant de questions auxquelles répond Marion Sigaut, historienne, sinon en tout du moins en partie, dans une nouvelle vidéo.
(Avertissement : les sujets abordés sont pour des oreilles adultes, bien que hélas beaucoup de jeunes soient visés dans les faits par les aberrations dont il est question.)
Soulignons quelques points :
- L’« éducation “sexuelle” » comme on l’entend dans les pays occidentaux et la « science » portant sur la « sexualité » ont pour origines l’étude d’Alfred Kinsey, entomologiste de formation et pervers (comme c’est pertinent…), financée par la Fondation Rockfeller (dans un projet de réduction et de soumission des populations), et protégée par la CIA (que Donald Trump à démantelée en 2020).
- Le rapport Kinsey, sur lequel repose la promotion de toutes les aberrations « sexuelles » possibles, a été bâti sur des expériences et des tortures exercées sur des enfants, des bébés, d’où le sinistre Kinsey a tiré sa « conclusion » comme quoi les enfants avaient une « sexualité ». Ses sondages sur la fidélité conjugale des femmes ont été menés auprès de prostituées, et ceux sur la sodomie et la masturbation auprès des détenus et de personnages évoluant dans les bars « gay ».
- Aucune enquête officielle ou vérification n’a été menée sur ces abominables expériences et ses conclusions aux conséquences désastreuses pour la civilisation occidentale.
- De là découlent la promotion et la légalisation des « sexualités » (il n’y en a qu’une seule, celle qui a trait aux relations entre homme et femme, naturellement procréatives), comprenez par-là a minima l’homosexualité, la séparation de la « sexualité » de la procréation, les « droits “sexuels” », etc.
L’OMS, le sexe et les enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Piqsels
Je vous avais déjà parlé du document du Bureau central de l’OMS pour l’Europe sur l’« éducation à la sexualité », qui recommandait l’enseignement de la masturbation aux enfants de quatre ans et moins… et autres horreurs de ce genre. Notons aussi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prône l’avortement dès un âge très tendre, par son approbation de la Déclaration des droits sexuels en 2015, déclaration produite par l’International Planned Parenthood Federation (IPPF).
Je vous propose ici une vidéo de l’historienne française Marion Sigaut, qui analyse en profondeur le contenu sulfureux en la même matière de diverses déclarations de l’OMS et autres organismes internationaux comme l’IPPF, grand fournisseur d’avortements.
Qui veut la mort de Vincent Lambert ?
Vincent Lambert.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la Pétition : Monsieur le Président, protégez Vincent Lambert
Vincent Lambert, handicapé tétraplégique, en état pauci-relationnel, incapable de parler bien que pouvant émettre des sons, dans cet état après un accident en 2008, encourt depuis 2013 les tentatives, de le faire mourir par déshydratation et de dénutrition (ou seulement le second), d'une partie de sa famille et de l'hôpital qui l'a en charge, et ce, avec l'appui de la presse et de divers niveaux de l'État français, dont le ministère de la Santé et le feu vert de la Cour européenne des droits de l'homme, à trois reprises données.
Vincent Lambert est pour ainsi dire séquestré dans l'unité de soins palliatifs du CHU de Reims, où il ne reçoit pas des soins appropriés vu qu'il n'est pas en fin de vie et qu'il devrait être dans une unité de soins spécialisée dans les cas comme le sien.
Considérons enfin que M. Lambert souffre de sa détention dans un lieu inapproprié dont il ne pourra pas s'échapper de sitôt, étant donné que le Dr Sanchez à qui il a été confié, et duquel son sort dépend en partie, veut le faire mourir « dans la dignité », ne laissant pas sa victime s'en aller dans une autre unité de soins de peur de perdre tout pouvoir sur elle. Notons au passage que Vincent Lambert a déjà survécu à 31 jours de privation de nutriments lors d'une tentative pour le faire mourir.
Dans les derniers développements de l'affaire Vincent Lambert, le ministère de la Santé s'est pourvu en cassation pour faire juger la décision de la Cour d'appel de Paris qui avait ordonné la reprise de l'alimentation et de l'hydratation de M. Lambert, celles-ci venant alors de lui être retirées. La Cour de cassation jugera-t-elle le 26 juin en faveur de l'exécution de M. Lambert, ou de remettre son sort au Comité international des droits des personnes handicapées de l'ONU qui avait demandé à examiner son cas ?
Dans une vidéo ci-dessous,émise le 1er juin date à laquelle le ministère de la Santé s'est pourvu en cassation, Marion Sigaut, historienne, écrivaine et conférencière française résume la situation où se trouve M. Lambert et expose les divers intérêts et groupes qui tiennent à sa mort :
Marion Sigaut : Le nouvel ordre sexuel des barbares
Marion Sigaut est historienne et auteure française. Sa mission des dernières années : débusquer les réseaux pédophiles et les agences nationales et internationales qui sexualisent les enfants. Ses vidéos sont d’une grande utilité pour les Québécois, qui se verront imposer un cours d’éducation sexuelle dans le réseau scolaire dès cet automne. Le mouvement de sexualisation des enfants est international, et le Québec, malheureusement, n’y échappe pas. Informez-vous, avant qu’il ne soit trop tard pour vos enfants.
– Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
p.s. Je reproduis ci-dessous (sous la première vidéo), une lettre que je viens de recevoir de Marion Sigaut. Une nouvelle législation en France, qui sera certainement imitée sous peu au Canada, a conduit Mme Sigaut à relancer son cri d’alerte. Attention, cette vidéo n'est pas pour les enfants.
Chers tous,
La plupart d’entre vous savent que depuis mon arrivée en Bourgogne, au début des années 1990, j’ai découvert la terrifiante réalité des crimes contre les enfants, et que je me consacre depuis lors à lutter contre ce fléau.
La reprise de mes études d’Histoire fait partie de ce plan, et la publication de « La Marche rouge » et de « Mourir à l’ombre des Lumières, l’énigme Damiens » également.
Jamais les médias n’ont relayé mon travail.
Après une traversée du désert qui a duré des années, j’ai commencé à pouvoir atteindre mon public à partir de 2011, date à laquelle j’ai rencontré Alain Soral qui a relayé mes travaux sur son site.
Depuis 2017 j’ai mon site personnel, http://marionsigaut.com/
un site d’Histoire : http://re-histoire-pourtous.com/
et enfin une chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UClXP1NPWj6uJE2cS8BbeX_A
Or depuis quelques semaines, YouTube bloque mon compteur de vues plusieurs heures par jour, interdisant la propagation automatique de mes vidéos.
Depuis le passage de la loi Schiappa, début août, il semble que les gens se réveillent et commencent à comprendre qu’on en veut à leurs gosses.
C’est l’autorité parentale qu’on est en train de supprimer, en même temps qu’on sexualise la jeunesse dès le berceau.
J’ai fait une nouvelle vidéo de quatorze minutes pour dénoncer le danger gravissime qui attend les familles à la rentrée scolaire.
Je vous remercie d’en prendre connaissance, et surtout de la diffuser à vos contacts, seul moyen de contrer la censure qui se met en place sur la Toile.
Je vous recommande, si vous pensez que ce combat en vaut la peine et que vous sachiez le faire, de télécharger vous-même cette vidéo et de la diffuser à votre tour.
Sinon, dans tous les cas de figure, j’espère que vous la partagerez et l’enverrez à vos contacts.
Je vous remercie.
--Marion Sigaut
Vous entendez un grondement ?
...c'est le tsunami des "droits sexuels" qui s'approche ...
"Mariage gai", théorie du genre, vous n'avez encore rien vu ! Le droit à la pédophilie pointe à l'horizon.
À voir absolument, une vidéo qui démontre que les enfants sont la cible numéro un des instances mondiales qui comptent approfondir et amplifier la révolution sexuelle, pour ainsi chasser toute innocence et pureté de la face de la Terre.