Vidéo choc : Une violente foule de féministes pro-avortement à moitié nues attaquent des hommes priants et tentent de brûler une cathédrale
Par Gualberto Garcia Jones, J.D. pour LifeSiteNews - Traduit par Campagne Québec Vie
MISE EN GARDE : La vidéo en lien avec l’article est choquante et comprend des scènes de violence et de nudité censurée. Le contenu de la vidéo s’adresse à un public averti.
Mar del Plata, le 13 octobre 2015 (LifeSiteNews) -- Une scène horrible et surréelle eut lieu lundi soir à l’extérieur de la Cathédrale de Mar del Plata en Argentine. Une horde de femmes, la plupart masquées et à moitié nues, attaquèrent violemment un groupe de jeunes hommes priants, qui veillaient à l’extérieur de la Cathédrale de Mar del Plata.
Ce type de violence est devenu normal lors de la Marche pour les Femmes, qui se déroule annuellement en Argentine, le pays d’origine du Pape François. Pourtant, cette année, la violence ressentie fut de loin la plus extrême, alors que les femmes se heurtèrent contre les policiers, et essayèrent même de mettre le feu à la Cathédrale.
Lire la suiteLe marxisme culturel est au coeur de notre désintégration morale
Par Austin Ruse pour Crisis Magazine - traduit par Campagne Québec-Vie
Je croyais que Jennifer Roback Morse était arrivée au véritable cœur de ce problème lorsqu’elle avait retourné la question de la désintégration morale en mettant l’accent sur les victimes de la Révolution sexuelle. Son opinion, sans aucun doute correcte, stipulait que le «mariage» prétendu gai n’aurait pas commencé avec les gais; la Révolution sexuelle aurait plutôt préparé le terrain au tout début des années 60.
Dans The Devil’s Pleasure Palace (publié par Encounter Books), Michael Walsh explique qu’il y a quelque chose d’encore plus fondamental au cœur de ce problème, et la Révolution sexuelle n’en fait seulement que partie. Ce qui se trouve au cœur du problème, c’est le marxisme culturel, la théorie critique et l’institut qui les a engendrés, l’institut de la recherche sociale, généralement connu sous le nom de l’école Frankfurt.
Lire la suiteArchevêque de San Francisco : « Les Etats-Unis peuvent endurer le mensonge du mariage homosexuel. Mais nous, nous n'y participerons pas, ni ne nous tairons »
Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Saint Louis, lundi 19 juin 2015. Si la Cour Suprême des Etats-Unis d'Amérique décide de redéfinir le mariage dans les prochains jours, rien n'empêche la conférence épiscopale américaine de proclamer la vérité, explique l'archevêque, qui fait le point sur la question.
« Quoiqu'il arrive à la fin du mois, rien de ce que la Cour Suprême dira ne peut changer ce qu'est le mariage. Aussi continuerons-nous à le promouvoir et à le défendre ». Ainsi s'est exprimé l'archevêque de San Francisco, son Em. Salvatore Cordileone, porte-parole du Comité pour la promotion et la défense du mariage (Subcommittee for the Promotion and Defense of Marriage) de la conférence épiscopale américaine (USCCB, United States Conference of Catholic Bishops).
Lire la suiteLe « mariage gai » : ce n'est pas gai, et ce n'est pas un mariage
Le penseur et écrivain G. K. Chesterton
Par Dale Alquist de Crisis Magazine -- traduit par Campagne Québec-Vie
L'une des questions pressantes à l'époque de Chesterton portait sur le « contrôle des naissances ». Non seulement Chesterton s'opposait-il à cette idée, mais aussi aux termes mêmes utilisés pour l'exprimer, puisque ces derniers signifiaient tout autre chose que ce qu'ils semblaient dire. Le « contrôle des naissances » veut en fait dire pas de naissances et pas de contrôle.
Je peux très bien imaginer Chesterton avoir aujourd'hui les mêmes objections face au « mariage gai ». L'idée en soi est mauvaise, mais aussi le nom. Ce n'est pas gai et ce n'est pas un mariage.
Lire la suiteLa contraception nous a donné le divorce et le «mariage» gay et elle va nous détruire : voici comment
Par David F. Prentis de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Bien que la contraception ait toujours existé, son acceptation et sa pratique par la société dans son ensemble est un phénomène relativement nouveau. Dans la première partie du 20e siècle, les méthodes de barrière sont devenues, grâce à la production massive d'articles de contraception, de plus en plus utilisées. Cependant, avec l'arrivée de la pilule contraceptive hormonale dans les années 60, l'ère de la contraception a véritablement pris son envol et elle a ouvert la voie à la révolution sexuelle.
Le terme «révolution» n'est nullement exagéré, car le résultat fut un changement fondamental dans la compréhension de la sexualité humaine dans la société. Avec la pilule, les gens ont pensé que rien ne peut arriver, c'est-à-dire qu'aucun enfant ne peut être conçu. Les inhibitions sont tombées, de sorte qu'il y a eu augmentation de l'adultère, du concubinage et de la vie ensemble sans penser au mariage. L'éducation sexuelle amorale fait la promotion de la promiscuité sexuelle dès la puberté avec le message « Vous pouvez faire ce que vous voulez en autant que votre partenaire est d'accord et que vous utilisez la contraception. Si vous avez un accident, avortez». L'activité sexuelle a été dégradée en une forme de divertissement.
Lire la suiteJe ne suis pas gay … je suis David
Par David Prosen (CUF.org) - traduit par Campagne Québec-Vie
Sommes-nous gay de naissance ou le sommes-nous par choix ? La réponse à ces deux questions est NON … bien que les débats qui portent sur ce sujet soient souvent passionnés et peu objectifs. De fait, ces questions cachent un autre problème beaucoup plus important qui se retrouve dans notre société notamment dans les secteurs politiques, religieux et médicaux : la notion que l’homosexualité est une identité !
Le Catéchisme de l’Église Catholique affirme que «Il revient à chacun, homme et femme, de reconnaître et d’accepter son identité sexuelle» (no. 2333), ce qui fait référence à «la différence et à la complémentarité physiques, morales et spirituelles» des deux sexes qui sont «orientés vers les biens du mariage et l’épanouissement de la vie familiale» (ibidem). Finalement, notre identité est enracinée dans le fait que nous sommes créés à l’image et à la ressemblance de Dieu - «Homme et femme il les créa» (Genèse 1,27).
J’ai toujours cru que j’étais une personne « gay ». En autant que je peux me rappeler, j’ai toujours été attiré par les personnes de mon sexe et comme cette attirance existait en moi sans que je l’aie choisie, j’en ai déduit qu’il devait en être ainsi depuis ma naissance. Conclusion logique, non ?
Lire la suiteMariage et famille
Plusieurs se sont de nouveau posé la question. Nous avions traduit un article de LifeSitenews qui expliquait notre position. Le voici reproduit ci-bas:
Texte tiré du site Lifesitenews du 27 Novembre 2012 (Traduction CQV)
Pourquoi les pro-vie refusent la redéfinition du mariage des lobbys gais?
On se demande souvent pourquoi beaucoup de gens impliqués dans le mouvement pro-vie sont également intéressés aux questions liées à l'homosexualité. Ils se demandent surtout si la défense du mariage traditionnel a vraiment quelque chose à voir avec être pro-vie.
La réponse à cette question est simple : être pro-vie est bien plus que sauver des bébés. Il s'agit aussi de lutter pour l'épanouissement de la personne humaine à chaque étape du chemin, depuis la conception jusqu'à la naissance, pendant l'enfance, l'âge adulte, jusqu'à la mort naturelle. Il s'agit de promouvoir une « culture de la vie. »
C'est pourquoi de nombreux pro-vie ne sont pas seulement préoccupés par l'avortement : ils abordent également l'euthanasie, le clonage, l'homosexualité et d'autres questions de la vie et de la famille, qui, après un deuxième coup d'œil, se trouvent être tous reliés entre eux. Si vous avez une vision d’ensemble, il est facile de voir que ce sont les éléments chauds à l’échelle internationale, ne laissant aucune nation ou localité indemne.
La raison pour laquelle le mouvement pro-vie met tellement de temps et d'énergie à mettre fin à l'avortement en particulier, est que nier le « droit à la vie » est la plus grave injustice. Le droit à la vie est le fondement de la jouissance de tous les autres droits. Lorsque ce droit est enlevé aux plus vulnérables d'entre nous, alors les droits de quiconque ne sont plus sécurisés. Il n'y a pas de vraie justice, simplement la domination du plus faible par le plus fort, la survie du plus apte. L'avortement est vraiment le genre d’intimidation le plus meurtrier.
Au petit-déjeuner national de prière, en 1994, à Washington, Mère Teresa a appelé l'avortement le « le plus grand destructeur de la paix aujourd'hui ». Elle a dit que l'avortement était une « guerre contre l'enfant — une mise à mort directe de l'enfant innocent —. assassiné par la mère elle-même ». Elle fait astucieusement remarquer que « si nous acceptons qu'une mère puisse tuer son propre enfant, comment pouvons-nous dire à d'autres gens de ne pas s'entre-tuer? »
Oui, nous pro-vie, devons nous battre pour les enfants à naître et pour garantir leur droit à la vie. Mais nous devons aussi lutter pour que les enfants soient nés et élevés dans des conditions qui leur permettront de s'épanouir en tant que personnes humaines.
L'environnement qui est le plus propice à l'épanouissement de la personne humaine — sans exception — est la famille humaine composée d'un homme et d'une femme unis dans une union à vie appelée mariage. Les nombreuses études successives nous ont démontré cela à plusieurs reprises. (Cliquez ici et ici et ici pour voir un compte-rendu de ces études.)
La guerre contre le mariage et la famille
Mais il y a une guerre sans précédent contre la famille aujourd'hui qui semble vouloir éteindre cette unité sociale la plus fondamentale. La guerre a été menée plus intensément au cours des 100 dernières années.
Les destructeurs de la famille ont commencé par le fractionnement du lien entre maris et femmes. Ils ont fait cela en introduisant la contraception dans l'acte sexuel, sous le couvert de la « liberté sexuelle ». Avec la contraception, les conjoints prennent le trésor intime de la fertilité et le sacrifient sur l'autel de la liberté sexuelle de manière à accroître leur disponibilité sexuelle « sans conséquence ».
Mais en faisant abstraction de la « personne entière » par l’exclusion de la fertilité, la contraception amène les maris et les femmes à regarder l’autre simplement comme une occasion de stimulations pour atteindre l’orgasme. Leur respect et leur amour pour l'autre a souffert puisque personne n'aime être dévalué et personne n'aime être utilisé comme un outil pour le plaisir de quelqu'un d'autre.
Le mouvement pour la contraception a commencé à gagner du terrain dans la première partie du 20e siècle et a atteint son apogée à la fin des années 1960. Le mariage a été affaibli et les retombées destructrices du mouvement de la contraception sont toujours actuelles.
L'utilisation généralisée de la contraception conduit à la nécessité d'une légalisation de l'avortement comme une solution à l’échec de la contraception. Les couples qui s'étaient fermés au don de la vie exigent un moyen rapide et facile de s’exonérer de responsabilités « indésirables ». Avec le fait que les enfants ne sont plus considérés comme étant le couronnement du mariage, le mariage a été encore affaibli.
Tôt après le mouvement de la contraception est venu le mouvement du « divorce sans faute » dans le milieu des années 1950. Les couples utilisant les contraceptifs qui avaient goûté le mauvais fruit d'utiliser l'autre pour son plaisir égoïste avaient besoin d'un moyen rapide et facile de sortir de ce qui était censé être une relation permanente, mais qui avait horriblement mal tourné. Avec la fidélité mise hors mariage, le mariage a été encore plus affaibli.
Brisés, broyés, enfants meurtris
Les « innovations sociales » mentionnées ci-dessus ont toujours donné lieu à la souffrance des enfants innocents. La contraception fait du tort aux enfants en ce qu'elle ferme le cœur et l’esprit d'un adulte au don d’une vie nouvelle. L'avortement blesse les enfants en les tuant par les moyens les plus brutaux et les plus horribles qu'on puisse imaginer. Et bien sûr, le divorce ravage la formation physique, psychologique et morale de l'enfant.
Ces « innovations sociales » entraînent la faillite du mariage, en le dépouillant pratiquement de sa fonction naturelle de nourrir une nouvelle vie humaine.
Puis vint l'innovation sociale la plus extrémiste. Le mariage serait maintenant dépouillé de ses aspects biologiques, des qualificatifs d’« homme et femme ». La logique conduisant à ce remaniement était imparable. Une fois que le mariage n'était plus considéré comme une union ayant pour but de créer et d'entretenir une nouvelle vie humaine, il n'y avait plus de raison de maintenir cette union exclusive entre un homme et une femme. À l'heure actuelle, le cadre culturel du mariage traditionnel est tellement ravagé par la contraception, le divorce, l'avortement qu'il est incapable de résister à l'assaut soigneusement planifié par les militants homosexuels.
Le cri de guerre des militants homosexuels pour « l'égalité » nous a amenés là où nous sommes aujourd'hui, le Canada ayant changé la définition du mariage en 2005, avec un grand nombre d'États américains qui ont récemment emboîté le pas. Et ils étaient en mesure d’atteindre cet objectif en raison de l'affaiblissement du mariage traditionnel.
Les activistes homosexuels ont réussi à tromper le monde occidental en leur faisant croire que leur absolument stérile activité homosexuelle est aussi bénéfique pour la société que l'acte fructueux entre un mari et sa femme qui produit naturellement des enfants. Avec la poussée sociale pour changer la définition du mariage est venu un état d'esprit correspondant consistant à dire que la masculinité et la féminité, la paternité et la maternité, sont totalement sans importance pour la formation d'un enfant.
Maintenant, avec le mariage traditionnel pratiquement défini hors de la réalité, les enfants vont souffrir plus que jamais. Ils vont souffrir parce que l'établissement où ils se développent le mieux est devenu socialement une faillite. Les hommes et les femmes, en abandonnant le mariage comme une “base sociale signifiante”, auront encore des enfants ensemble, mais pas dans l'environnement qui favorise le mieux l'épanouissement d’un nouvel être humain. Les enfants vont souffrir encore plus alors que les couples gais et lesbiens, marchant fièrement sous la bannière juridique nouvellement redéfinie du “mariage”, tenteront, et l’ont déjà fait, d’élever et former les enfants.
Une étude publiée cette année indique cependant que l'expérience sociale du “mariage” homosexuel ne fera rien d'autre que des dommages graves aux enfants. Les enfants élevés par des parents gais et lesbiens ont beaucoup plus de problèmes sociaux et de santé mentale par rapport aux enfants issus d'une famille biologique intacte. La recherche a montré non seulement qu'il y avait une différence majeure entre les enfants des deux groupes, mais a souligné que l'instabilité familiale est une “marque caractéristique” des relations homosexuelles.
Les erreurs sociales que nous faisons en tant que société, et que nous faisons en ce moment, pèsent lourdement sur les épaules des enfants. Ils sont les victimes innocentes de l'expérimentation sociale et sont devenus moralement et même physiquement écrasés et brisés. Ce sont eux qui sont devenus pulvérisés au nom des soi-disant “liberté, égalité et progrès”.
Être pro-vie à la base
Ces faits surprenants éclairent pourquoi tant de militants pro-vie soulignent constamment la recherche qui soutient le mariage traditionnel. C'est pourquoi ils prennent tellement au sérieux les questions liées à l'homosexualité, attirant l'attention sur les attaques qui sévissent contre le mariage traditionnel.
Les dirigeants de la guerre culturelle savent que l'éducation sur cette question est la première étape nécessaire à la construction d'une campagne massive pour protéger les enfants contre le refus délibéré de leur accorder un papa et maman dans un mariage stable. Ils savent que le bien-être des enfants dépend d’un renversement de la tendance culturelle pour favoriser un vrai mariage. Un environnement instable, moralement désordonné n'a pas de place pour enseigner aux enfants comment vivre, comment devenir tout ce qu'il ou elle est censé être, comment apprendre à être un être humain libre et responsable.
C'est pourquoi les pro-vie doivent se battre pour le mariage traditionnel, sans jamais compromettre la croyance que le mariage doit être librement conclu par un homme et une femme, que les époux doivent se donner d'eux-mêmes totalement, sans rien retenir, que la relation doit être fidèle jusqu'à la mort, et qu'elle doit être féconde en suscitant de nouvelles vies. C'est tout simplement la meilleure situation pour le moral de l'enfant, pour son épanouissement physique et mental.
Être pro-vie, c’est être de garde contre tout ce qui menace cette institution sociale la plus précieuse, nécessaire à l'épanouissement humain. En luttant pour le vrai mariage, nous nous battons au nom des enfants. Nous nous battons pour eux, pour qu’ils aient une vie pleinement vécue. Dans notre lutte pour eux, nous assurons l'avenir même de l'humanité.
Défendre le mariage authentique a tout à voir avec être pro-vie. C'est d'être pro-vie, jusqu’au coeur. Allons donc maintenant nous retrousser les manches, aller au travail, et faire ce que les pro-vie font de mieux : la lutte en faveur des enfants.
Peter Baklinski détient une maîtrise en théologie avec une spécialisation sur le mariage et la famille (STM). Il poursuit un doctorat à l'Institut Jean-Paul II en Australie.
Le Danemark veut obliger les communautés chrétiennes luthériennes à célébrer des « mariages » gays
Sur le site de Pour une école Libre du 30 juin 2014 :
(Photo : Tedeytan sur flickr.com, licence creative commons)
Le Parlement danois a approuvé une nouvelle loi qui oblige les églises luthériennes du pays à célébrer des mariages homosexuels plutôt que de courtes cérémonies de bénédiction.
En vertu de la nouvelle loi, les prêtres conservent le droit de refuser d'officier la cérémonie, mais l'évêque local doit s'assurer qu'il y ait alors un prêtre remplaçant qui officiera. La loi est entrée en vigueur le 15 juin.
(...)
Obliger les chrétiens à participer à cette comédie est une grave atteinte à la liberté de conscience.
L'Église presbytérienne américaine vote pour les « mariages » gay à l'église... alors que le mouvement contre prend de l'ampleur
Sur le site du journal Le Monde du 20 juin 2014 :
(Plus que jamais, il faut parler car même des chrétiens peuvent tomber dans la confusion...)
Dans les Etats américains autorisant le mariage homosexuel, les pasteurs presbytériens pourront – s'ils le souhaitent – présider à des unions entre personnes de même sexe. En assemblée générale, l'Eglise presbytérienne a choisi à 61 % d'autoriser ses pasteurs à unir des couples homosexuels.
C'est ce qui peut arriver quand l'on croit que la doctrine du Christ est sujette à un vote démocratique...
Pendant ce temps, une manifestation de 2000 personnes contre le « mariage » gay à Washington. Sur le site Le Salon Beige du 20 juin 2014 :
Les manifestants ont défilé jusqu'à la Cour suprême des Etats-Unis pour la deuxième "Marche pour le mariage", organisée par l'association non partisane National Organization for Marriage. "Un homme et une femme sont unis pour la vie", "chaque enfant mérite un père et une mère" ou encore "protéger le mariage, c'est essentiel pour construire la vie", pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants. Brian Brown, président de l'association, a déclaré :
"Nous n'accepterons aucun jugement qui redéfinit ce qui est évident, à savoir qu'un mariage, c'est un homme et une femme". "Nous voulons un amendement qui inscrive dans la Constitution que le mariage est l'union d'un homme et d'une femme". "Ce n'est qu'un début, nous serons là chaque année".
Un reportage (en anglais) de l'événement
//www.youtube.com/embed/gKqhClu0sHE
L’Organisation des Etats Américains (OAS) «n’imposera pas» de norme ou de recommandation sur la question du «mariage» homosexuel
Sur le site de C-Fam du 13 juin 2014 :
(photo : DFATD | MAECD sur flickr.com, licence creative commons)
L’Organisation des Etats Américains (OAS) « n’imposera pas » de norme ou de recommandation sur la question du mariage homosexuel, a déclaré son Secrétaire général José Manuel Insulza Salinas lors d’une conférence de presse après la conclusion de la 44ème Assemblée Générale, qui s’est déroulée à Asunción vendredi dernier. Inzulsa a déclaré que les Etats devraient prendre de décision sur la question du mariage homosexuel ou de l’avortement sans pressions extérieures, mais en fonction de leurs propres valeurs et de leur culture.
(...)
Les Etats qui ont reconnu le mariage homosexuel restent une minorité. Ils ne sont la norme ni en Amérique du Nord, ni en Amérique du Sud. Parmi les 35 Etats membres de l’OAS, seuls le Canada, l’Uruguay, l’Argentine et le Brésil reconnaissent le mariage homosexuel dans tout le pays. (...)