Poutine en défense du mariage : il ne peut être qu’entre un homme et une femme

Vladimir Poutine, président de la Russie.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) ― Photo : www.kremlin.ru/Wikimedia Commons
Vladimir Poutine démontre son engagement en faveur des valeurs traditionnelles et naturelles et résiste par la même à la pression mondiale arc-en-ciel : dans le cadre d’une réforme constitutionnelle, il souhaite fixer le principe qu’un mariage ne peut être qu’entre « un homme et une femme. »
Lors d’une rencontre avec le groupe de travail mis en place par le Kremlin pour plancher sur la réforme constitutionnelle proposée en janvier par le chef d’État russe, la députée conservatrice Olga Batalina a demandé que soit écrit dans la Constitution que le gouvernement doit soutenir « les valeurs familiales traditionnelles ». « C’est une bonne idée et elle doit être soutenue. Il nous faut juste réfléchir de quelle manière la formuler et où », a estimé le président russe, avant de déclarer qu’« un mariage, c’est une union entre un homme et une femme ».
Pour Olga Batalina, la notion de famille est actuellement en danger en raison des tentatives d’introduire de nouveaux termes comme « parent numéro un » et « parent numéro deux ». « Ce n’est pas une fantaisie, c’est une réalité dans plusieurs pays », s’est alarmée la députée qui représente le parti au pouvoir Russie unie à la Douma d’État (chambre basse du Parlement) et qui a activement soutenu dans le passé la loi interdisant la « propagande homosexuelle » dans le pays.
Mais Vladimir Poutine l’assure :
« En ce qui concerne “parent numéro un”, “parent numéro deux” [...] tant que je serai président, nous ne l’aurons pas. Nous aurons “papa” et “maman” ».
Wilson Gavin, fervent défenseur du mariage, décédé en Australie
Par Paul Smeaton — Traduit par Campagne Québec-Vie
Brisbane, Australie, 15 janvier 2020 (LifeSiteNews) — Les amis et la famille de Wilson Gavin continuent de pleurer la perte de cet étudiant de 21 ans qui a été retrouvé mort moins de 24 heures après avoir dirigé une manifestation contre une lecture de drag queen à la bibliothèque de Brisbane Square dimanche après-midi [12 janvier].
La police ne considère pas la mort de Wilson comme suspecte. Pour autant que LifeSiteNews pût le vérifier, au moment où nous écrivons ces lignes, les seuls détails concernant la mort de Wilson qui sont actuellement disponibles auprès des autorités publiques ou dans les médias grand public sont les suivants, tels que rapportés par le Daily Mail Australia :
La police et les services d’ambulance du Queensland ont été appelés pour un incident à Chelmer vers 7 h 7.
Un porte-parole des ambulances de l’État a déclaré que le patient avait été retrouvé avec des blessures graves. M. Gavin avait 21 ans.
Caroline Overington du The Australian a affirmé que Wilson « s’est jeté devant un train ». Elle ne dit pas d’où elle tire cela. LifeSite a contacté Caroline Overington pour lui demander où elle avait obtenu cette information, mais n’a pas eu de réponse au moment de mettre cela sous presse.
Le lundi soir [13 janvier], une messe a été offerte pour le repos de l’âme de Wilson à l’église Mary Immaculate à Annerly. Wilson y assistait régulièrement à la messe.
On peut lire sur un post de la page Facebook de la paroisse :
Lire la suiteBeaucoup de gens ont été profondément choqués et attristés par la mort tragique et inattendue de Wilson Gavin. Nous offrons tout d’abord nos sincères condoléances et notre soutien dans la prière à la famille de Wilson et à tous ceux qui l’ont connu et aimé.
Il est si important de se rappeler que chaque fois que nous sommes profondément affligés et blessés, nous allons au-delà de nous-mêmes, dans la prière, vers Jésus-Christ et à sa sainte mère Marie. En même temps, il est vital que nous fassions aussi tout notre possible pour tendre la main à un membre de la famille ou à un ami, ou pour chercher une aide professionnelle. Par exemple, vous pouvez toujours contacter Lifeline au 13 11 14.
La messe de 19 h à l’église Mary Immaculate d’Annerley ce soir sera offerte pour le repos éternel de l’âme de Wilson. Ensuite, il y aura possibilité, pour ceux qui le souhaitent, de se rassembler devant de l’église pour aller prendre le thé ou le café, etc.
Bienvenue à tous.
Une étude rend justice au mariage chrétien

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels/Pixabay
Le mariage chrétien favorable au développement personnel des enfants ? C’est ce que tente de démontrer une étude publiée par Science Magazine, mettant en lumière le rôle de l’Église catholique qui l’a institué, permettant ainsi l’éclosion d’une élite européenne, rapporte la FSSPX.News :
Une équipe de chercheurs américains de l’université George Mason (GMU) a constaté que ce qu’on a coutume d’appeler les « élites occidentales », constitue un groupe à part qui se démarque de tous les autres types de population dans le monde : plus altruiste, plus développé, plus enclin à la réussite.
Trouvant une explication dans les « facteurs psychosociaux », que ces spécialistes en sciences humaines considèrent comme l’héritage d’un modèle familial particulier, ils expliquent que l’Église a progressivement fait émerger la famille du clan, auquel elle était subordonnée, lui donnant une place primordiale, au profit du bien-être de ses membres parents et enfants.
L’Église n’a pu que changer les relations sociales en protégeant la libre adhésion des époux au mariage, la désapprobation du mariage entre cousins, diversifiant ainsi le cercle familial et les rapports entre familles.
Rayonnement moral du mariage chrétien :
Le moyen privilégié de ce développement fut le mariage chrétien qui, en faisant disparaître l’endogamie*, a permis à la famille d’acquérir un rayonnement moral, intellectuel et social. Cela fut rendu possible par la chrétienté, dont l’homme occidental est issu.
Aux yeux de l’équipe de chercheurs du GMU, l’homme occidental doit sa réussite à « l’institution familiale durable » mise en place par l’Eglise, tout au long des siècles passés.
N'oublions pas que la grâce qui découle du mariage chrétien y est aussi pour beaucoup dans cette réussite.
*Fait, obligation pour les membres d’un groupe social (famille, clan, tribu, etc.) de choisir leur conjoint à l’intérieur de ce groupe. — CNRTL – A. H.
Augmentation de 20 % des mariages en Hongrie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : a4gpa/Flickr
Suite aux subventions que le gouvernement hongrois avait annoncées en juillet pour les mariés, on a pu constater une augmentation de 20 % des mariages dans le pays. Le système d’avantages fiscaux, mis en place pour combattre la dénatalité sans passer par l’immigration, présente plusieurs aspects, selon Valeurs Actuelles :
Un nouveau système offre aux couples qui se marient avant le 41e anniversaire de la femme des prêts subventionnés, pouvant atteindre 10 millions de forints, soit 30 500 euros. Un tiers de cette dette sera annulée si le couple a deux enfants et la totalité s’ils en ont trois. Selon le bureau central des statistiques (KSH), le nombre de personnes mariées a ainsi déjà augmenté de 20 % au cours des neuf premiers mois de cette année. Le nombre de mariages enregistrés est le plus élevé depuis 1990. Pour le seul mois de septembre 2019, la Hongrie a enregistré 29 % de mariage de plus que l’année précédente sur la même période.
Par contre, il est trop tôt pour pouvoir dire si la politique familiale du Premier ministre Orbán fonctionnera. Les nouveaux mariés auront-ils plus d’enfants ? Toujours est-il que le taux d’enfants par femme est passé de 1,49 à 1,48 depuis le début de l’année.
Cardinal Sarah : « La mentalité contraceptive » a mené à la mainmise des LGBT sur les écoles
Par Martin M. Barillas et Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Madrid, 12 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Le cardinal guinéen Robert Sarah a vivement critiqué l’idéologie LGBT qui, selon lui, prend le dessus sur les gouvernements et les centres éducatifs, remontant environ soixante-dix ans jusqu’à la racine de l’acceptation générale de la contraception.
« La déstructuration de l’identité sexuelle, souvent appelée “théorie du genre”, contre laquelle le pape François emploie des mots durs et montre une attitude d’intolérance absolue, peut être comprise comme la conséquence anthropologique d’une mutation concrète », a déclaré le cardinal Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements du Vatican, le 7 novembre lors d’une conférence donnée à l’Université San Pablo de Madrid en vue du 21e Congrès des catholiques et la vie publique en Espagne. Son discours s’intitulait « L’importance de l’éducation dans la mission de l’Église aujourd’hui. »
La théorie du genre soutient que les organes sexuels masculins ou féminins ne déterminent pas l’« identité sexuelle » d’un individu, mais que le sentiment intérieur d’être un homme, une femme ou quoi que ce soit d’autre auquel une personne veut s’identifier (des douzaines d’« options de genres » ont été inventées pour aider les gens à identifier ce qu’ils ressentent pour eux-mêmes). La théorie soutient, par exemple, qu’une personne née avec un organe masculin de reproduction peut choisir de s’identifier comme « femme » et qu’il est discriminatoire de ne pas appuyer le choix de l’individu, y compris le choix de l’homme d’utiliser des pronoms féminins. La théorie soutient également que l’« identité de genre » d’une personne est fluide et peut changer avec le temps.
« Le premier maillon du processus impliquait les femmes, » disait le cardinal Sarah : « En fait, la mentalité contraceptive qui s’est fortement développée après 1950 a rendu possible une profonde déconnexion entre la femme et son corps, une déconnexion qui a radicalement changé la manière de comprendre la sexualité humaine, le mariage, la filiation et bien sûr l’éducation. »
L’Église catholique a réaffirmé sa condamnation de la contraception dans l’encyclique Humanæ Vitæ de 1968. Le pape Paul VI a prophétiquement prévenu que l’acceptation généralisée de la contraception conduirait, entre autres choses, à « l’abaissement général de la moralité ».
Le cardinal attribue à la phrase de l’écrivain français Simone de Beauvoir « On ne naît pas femme, on le devient » le mérite de résumer l’essence de la théorie du genre.
« Ajoutons que pour de Beauvoir, la famille, le mariage et la maternité sont la source de l’"oppression" et de la dépendance des femmes. La pilule aurait "libéré" les femmes en leur donnant le "contrôle de leur corps" et la possibilité d’en "disposer librement". Sous la devise féministe "mon corps m’appartient", une profonde aliénation du sujet incarné se cache en fait. En fait, derrière cette affirmation de « liberté » se cache une instrumentalisation du corps lui-même en tant que matériau disponible pour les désirs les plus indéterminés », expliquait-il.
Le cardinal montra ensuite le lien entre la contraception et la dissociation d’une personne de son corps masculin ou féminin.
« La mentalité contraceptive a engendré un dualisme entre la liberté individuelle considérée comme illimitée et toute puissante, d’une part, et le corps comme instrument de jouissance, d’autre part. Dans cette perspective, le corps sexué ne peut plus être vécu comme un signe et un instrument du don de soi, dont le but est la communion des époux [mais en première place la procréation]*. Le lien intrinsèque entre les deux significations de l’acte conjugal, la dimension procréative et la dimension unitive est rompu. Ce lien devient facultatif, et logiquement, la sexualité finit par n’être considérée que dans sa dimension relationnelle et productrice de plaisir. Les effets déstabilisateurs d’une telle mentalité n’ont pas tardé à se faire sentir », ajouta-t-il.
Lire la suiteLa famille et la révolution

Roberto de Mattei.
Par le professeur Roberto de Mattei (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le discours ci-dessous a été prononcé lors de la conférence « Transmettre le dépôt de la foi — la mission de la famille catholique d’aujourd’hui », organisée par Voice of the Family et tenue du 6 au 8 septembre 2019 au Newman Hall de l'Aumônerie catholique universitaire, à Cardiff.
Les paroles de sœur Lucie de Fatima
Dans un discours prononcé en mai 2017 au Rome Life Forum, le cardinal Carlo Caffarra a confirmé avoir reçu une longue lettre manuscrite de sœur Lucie en 1983 ou 1984 qui se terminait ainsi :
Père, il viendra un moment où la bataille finale entre le Seigneur et le royaume de Satan portera sur le mariage et la famille, et ceux qui travaillent pour le bien de la famille connaîtront la persécution et les tribulations. Mais, il n’y a rien à craindre, parce que Notre Dame a déjà écrasé sa tête.*
Le Cardinal Caffarra est décédé quelques mois plus tard, en septembre 2017 alors qu’il se trouvait au centre de la bataille sur la famille qui est survenue au sein de l’Église après la publication de l’exhortation apostolique Amoris Lætitia du Pape François. Mais cette bataille, que nous continuons à vivre aujourd’hui, n’est qu’une bataille dans une guerre plus vaste entre deux villes qui ont combattu tout au long de l’histoire ; les deux villes desquelles saint Augustin d’Hippone a écrit : la Cité de Dieu et la Cité de Satan. La Cité de Dieu composée par l’Église de Jésus-Christ et l’autre par les disciples de Satan. Ces deux villes s’opposent comme deux armées : le but de chacune est d’annihiler l’autre et par conséquent leur conflit est continu et sans fin.
La famille constitue une image terrestre de la Cité de Dieu, qui est l’Église. Aussi, la destruction de la famille a toujours été un objectif permanent des ennemis de Celle-ci.
La famille base de l’État
L’Église enseigne que la famille n’est pas une simple union entre deux individus, mais une institution sociale. Et elle n’est pas une simple institution sociale comme tant d’autres, mais une institution sociale basée sur un sacrement : le sacrement du mariage, ce qui a de nombreuses conséquences.
Dans un discours prononcé en 1946, Pie XII a affirmé que les deux piliers de l’ordre civil conçus et voulus par Dieu sont la famille et l’État. [1]
Il y a un lien inséparable entre la famille et l’État. La prospérité des nations dépend de la prospérité des familles et vice versa. Le déclin des nations est donc lié au déclin de l’institution de la famille.
Lire la suiteLa Cour suprême des Philippines maintient le statut normal du mariage
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Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
La Cour suprême des Philippines a rejeté ce mois-ci un recours déposé en 2015 qui remettait en question la constitutionnalité de la définition du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme. La FSSPX, News rapporte :
Jesus Falcis [il porte vraiment mal son prénom], un jeune avocat de 33 ans, avait déposé en mai 2015 un recours portant sur la présumée inconstitutionnalité des articles 1 et 2 du code de la famille, définissant le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme.
La plus haute juridiction du pays a pris son temps. Elle a examiné le recours en juin 2018, soit trois ans après son dépôt, puis l’a rejeté le 3 septembre 2019, à l’unanimité des quinze juges.
Mais l’affaire ne s’arrêtera sans doute pas là, la Cour suprême ayant en même temps proposé que l’affaire soit examinée par le Congrès :
La Cour suprême a éludé la question de fond, puisqu’elle a rejeté le recours au nom du « manque d’argument », proposant même que la question soulevée par Jesus Falcis soit examinée par le Congrès.
Liste non exhaustive des demandes faites auprès du pape François de clarifier son enseignement
Extrait d'un article de Maike Hickson (LifeSiteNews)
1. En octobre 2014, une grande paroisse catholique américaine — Saint Jean-Baptiste (Front Royal, Virginie) a publié une déclaration de foi concernant le mariage et la famille, qui a recueilli plus de 1 000 signatures de paroissiens et a été envoyée au pape François.
2. Le 16 avril 2015, le journal catholique The Wanderer a publié une lettre ouverte au pape François dans laquelle les signataires demandaient au pape François de « célébrer la conclusion du Synode de la famille avec une réaffirmation claire et forte des enseignements intemporels de l’Église l’indissolubilité du mariage, la nature nuptiale et la définition du mariage et de l’amour conjugal, ainsi que la vertu de chasteté, telles que présentées dans le Catéchisme de l’Église catholique. »
3. Après le premier synode troublant, en décembre 2014, l’auteure Maike Hickson du site LifeSiteNews a tenté de défendre les enseignements de l’Église sur le mariage en écrivant une lettre ouverte au pape François (publiée le 10 décembre 2014), en argumentant de sa propre expérience en tant qu’enfant de divorce. Cette lettre a été envoyée au pape François, mais on n’y a jamais répondu. Elle a également été envoyée au Secrétariat du Synode des Évêques, mais n’a pas non plus reçu de réponse.
4. En octobre 2015, au début du deuxième synode sur la famille, 13 cardinaux ont écrit une lettre au pape François, demandant au pape une procédure équitable pendant le synode et soulignant le danger d’adapter l’enseignement de l’Église sur le mariage au courant mondain et à la culture ambiante.
5. En novembre 2015, le professeur Paolo Pasqualucci a publié une lettre ouverte au pape François, lui demandant de ne pas autoriser la communion pour les divorcés « remariés » et de ne pas annuler la procédure canonique de déclaration de mariage de l’Église.
6. Le 24 avril 2016, peu de temps après la publication du document Amoris Laetitia, Mgr Athanasius Schneider a publié une critique claire et charitable de ce document, parlant de la confusion et des « interprétations contradictoires, même parmi l’épiscopat » découlant de ce texte papal, et appelant à la hiérarchie de l’Église et aux laïcs de demander au pape des éclaircissements et une interprétation officielle d’Amoris Laetitia, conformément à l’enseignement constant de l’Église.
7. Le 13 juillet 2016, dans un esprit d’amour, d’humilité et de fidélité, 16 personnalités pro-vie et pro-famille ont demandé au pape François, dans un puissant « appel au pape », de dire sans ambiguïté la vérité de la foi catholique, de mettre fin à la confusion doctrinale, pour rétablir la clarté et pour être le Saint-Père dont les catholiques ont besoin.
Lire la suiteUn catholique pro-vie, chef de la Chambre des communes du Royaume-Uni
Par Martin M. Barillas ― traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, Angleterre, 25 juillet 2019 (LifeSiteNews) — Jacob Rees-Mogg, ce député connu pour aimer la messe latine traditionnelle et défendre la vie et le mariage, sera chef de la Chambre des communes britannique pendant que Boris Johnson assumera son rôle de nouveau Premier ministre du pays.
M. Rees-Mogg est membre du Parti conservateur et défenseur du Brexit. Mercredi, il a déclaré à SkyNews que son nouveau rôle est « un travail très intéressant à remplir » et « quelque chose qui m'intéresse beaucoup parce que j'ai consacré beaucoup de temps à la procédure et aux pratiques parlementaires. »
M. Rees-Mogg a décrit le premier ministre Johnson comme « un homme avec une mission », ajoutant : « Boris réalisera le Brexit et ensuite d'importantes politiques nationales. Le soleil brillera. »
Rees-Mogg est un catholique pratiquant qui s'est attiré les foudres des LGBT et des défenseurs de l'avortement pour avoir soutenu le mariage de entre homme et femme, et le droit à la vie.
« Jacob Rees Mogg, qui s'oppose à l'avortement en cas de viol et qui s'oppose ardemment aux droits des LGBTQ, est maintenant l'un des politiciens les plus puissants de Grande-Bretagne », a tweeté un chroniqueur socialiste du The Guardian.
Lire la suiteUn évêque américain lance un appel à ses confrères évêques : « Le dépôt de la foi a été fragmenté et corrompu »

Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler, aux États-Unis, a lancé sur Twitter un appel aux catholiques, et tout spécialement aux évêques, de revenir à l’enseignement plein et entier de l’Église catholique, surtout dans le domaine du mariage et de la famille. Extrait de LifeSiteNews :
Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler, au Texas, a dénoncé sur Twitter cette fin de semaine la façon dont l’enseignement moral de l’Église catholique sur la sexualité et la famille a été brisé et entaché dernièrement, et il a appelé les laïcs et évêques catholiques à un retour à la vérité de cet enseignement.
Il écrit :
« Le dépôt de la foi n’a pas été gardé, au contraire, il a été fragmenté et corrompu, surtout dans les domaines du mariage, de la famille et de la sexualité. Je prie pour que les évêques et tous les catholiques reviennent à cette source de vérité révélée et prient pour la purification et le renouveau de la vie et de la grâce de Dieu. »
Mgr Strickland a déclaré à LifeSiteNews que son tweet était motivé par le prochain anniversaire de Humanæ Vitæ, et qu’il avait essayé de tweeter périodiquement sur les thèmes contenus dans le document.
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La veille de son tweet sur la fragmentation et la corruption du dépôt de la foi, Strickland tweetait sur l’encyclique Casti Connubii du pape Pie XI de 1930, qui affirmait la doctrine de l’Église catholique sur le mariage.
« Si seulement l’humanité avait écouté il y a presque 100 ans », a-t-il dit. « Que les croyants lisent cet enseignement à cœur ouvert aujourd’hui. »