Première conférence sur la «détransition» en Grande-Bretagne
Charlie Evans.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Beaucoup de ceux qui sont passés par le processus de « transition », d’homme à simili-femme ou de femme à simili-homme (en fait, il n'ont jamais cessé d'être ce qu'ils étaient à l'origine), regrettent ce choix néfaste et cherchent à reprendre l’apparence conforme à leur sexe, bien que certaines atteintes à leur intégrité physique ne puissent pas être défaites, comme les amputations « esthétiques ». Plusieurs de ces gens s’organisent afin de contrer le fléau du transgenrisme, selon LifeSiteNews :
Samedi après-midi, une foule de 200 personnes s’est rendue à la première conférence mondiale sur la « détransition » des genres.
« Detransition : The Elephant in the Room. Medical Ethics in the Age of Gender Identity » s’est tenue à Manchester, en Angleterre, le 30 novembre. Organisé par un collectif féministe indépendant appelé « Make More Noise », l’événement, dont les billets ont été tous vendus, comprenait parmi ses conférenciers des experts en santé médicale et psychologique ainsi que des jeunes femmes qui sont en train de « détransitionner ».
L’événement a également marqué le lancement officiel du Detransition Advocacy Network, dirigé par Charlie Evans, âgée 28 ans, une femme qui se disait homme pendant une décennie. Evans a décidé de fonder ce groupe pour aider les centaines de jeunes qui, selon elle, l’ont contactée, regrettant leurs propres expériences de ces traitements hormonaux et chirurgicaux.
Cette conférence de deux heures pouvait être vue en direct sur la page Twitter de la « Safe Schools Alliance UK », un groupe de pression qui cherche à assurer la protection des enfants dans les écoles, ce qui inclut la protection de la vie privée des filles par rapport aux hommes et de tous les enfants contre les influences visant à ce qu’ils se considèrent comme transgenres.
Un enfant avorté meurt en pleurant dans les bras de sa mère
Par Jonathon Van Maren (The Bridgehead) — traduit par Campagne Québec-Vie
Je viens juste de lire une histoire publiée plus tôt cet été dans The Bolton News au Royaume-Uni, intitulée « Aborted baby died in his mother’s arms at Royal Bolton Hospital, Bolton inquest told » (Un bébé avorté est mort dans les bras de sa mère à l’hôpital Royal Bolton, selon l’enquête du Bolton News). Bien que les détails de l’histoire soient malheureusement familiers aux activistes pro-vie, les réactions de presque toutes les personnes impliquées dans cette affaire tragique sont des exemples de comment une culture qui tue ses enfants se durcit et devient insensible par conséquent :
Lire la suiteMalgré la décision difficile de mettre fin à sa grossesse tardivement, à cause de malformations congénitales, Sofia Khan a donné naissance à un petit garçon vivant, et qui pleurait. Le Bolton News apprit que Mme Khan, une assistante en vente de The Haulgh à Bolton, avait appris à 21 semaines que son enfant avait le spina bifida.
Après avoir parlé à son mari, Shakeel Ahmed, avec les cliniciens des options, une décision fut prise de mettre fin à la grossesse. Mme Khan se rendit alors à l’hôpital St Mary’s à Manchester pour subir une procédure qui allait mettre fin à la vie de son bébé.
La procédure premièrement consistait en une injection d’un produit chimique dans le cordon ombilical, qui fut effectuée le 16 février par le docteur Philip Bullen. Il déclara à l’assistant-coroner Simon Nelson : « J’ai été extrêmement choqué d’entendre ce qui est survenu… J’étais abasourdi puisque la procédure se déroulait comme nous le désirions, sans encombre. »
Une directrice d’école interdit les cannes de Noël à cause de « leur forme en “J” pour Jésus »
Par Dorothy Cummings Maclean — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tOrange.biz
Omaha, Nebraska, 7 décembre 2018 (LifeSiteNews) — Une directrice d’école élémentaire est en congé administratif après avoir interdit les cannes de Noël qui, selon elle, sont un symbole chrétien.
Selon Liberty Counsel, la directrice de l’école élémentaire de Manchester dans l’Omaha, Jennifer Sinclair, a écrit une note aux enseignants, en novembre, interdisant toute décoration et tout devoir faisant référence à Noël, y compris les couleurs rouges et vertes.
« Veuillez rappeler que nous ne réaliserons aucune activité de Noël ou du temps des fêtes avec les élèves, » écrit-elle. « Le père Noël et les objets de Noël ne figureront pas dans les activités ou documents. Nous avons plusieurs croyances religieuses à notre école et il est donc de notre devoir d’être inclusif. »
Sinclair fut si décidée dans son inclusivité qu’elle interdit les cannes de Noël, expliquant que leur forme en « “J” était pour Jésus ».
« Historiquement, la forme était un “J” pour Jésus, » soutient-elle. « Le rouge est pour le sang du Christ et le blanc est un symbole de sa résurrection. »
La directrice interdit aussi les cannes en sucre candi de différentes couleurs.
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