Le plan de dépopulation des pays en développement
Photo : Zach Vessels/Unsplash
Les puissances occidentales et de nombreuses entités internationales promeuvent depuis des années la réduction de la population mondiale, ou du moins les moyens qui y mènent, comme l’avortement et la contraception. Divers prétextes sont donnés : le climat, la pauvreté, le chômage, le « droit » de la femme (à tuer son bébé). Mais ces raisons susmentionnées sont-elles les vraies ? Un document produit par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis le 10 décembre 1974, et approuvé le 20 novembre 1975 par le président Ford, le NSSM 200, soulignait la concurrence émergente que représentaient pour les États-Unis les pays en développement à croissance démographique rapide. Le NSSM 200 proposait également les solutions pour contenir ces concurrents autrement inéluctables : réduire la croissance de leur population…
Depuis lors, les États-Unis ont appliqué pendant des décennies le programme du NSSM 200, donnant lieu à d’autres rapports tels que le First Progress Report - 1976, faisant état des progrès des efforts des États-Unis et des subtilités à apporter aux méthodes employées.
L’une des recommandations du NSSM 200 était de recourir à des instances internationales pour promouvoir la réduction de la population, d’où, semble-t-il, les incessants efforts des organismes onusiens à promouvoir l’avortement et la contraception auprès des pays en développement.
Un exemple récent nous rappelle l’actualité de ces manœuvres politiques et de leurs « fruits », la Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) qui a été tenue en Thaïlande du 14 au 17 novembre, et dont l’un des commanditaires était l’OMS, suggérait des méthodes de propagandes auprès des populations africaines afin de leur faire accepter la contraception et l’avortement. Lors de cette conférence, le ministre de la Santé publique de Thaïlande, le Dr Sathit Pitutecha, s’est vanté des « réalisations » de son pays, où la réduction de l’indice de fertilité est tombée de 6,1 en 1970 à 1,5 en 2019…
Encore récemment, les Philippines refusaient de légaliser l’avortement, face aux pressions de l’ONU en sens.
Gilles Grondin, fondateur de Campagne Québec et ancien diplomate canadien, a écrit en 1999 un résumé du document NSSM 200, de sa philosophie, de ses implications et de ses quelques applications concrètes, notamment au sein de l’ONU et de ses diverses branches.
Notez que lorsque M. Grondin emploie des guillemets, ce n’est pas forcément pour faire une citation exacte, cela peut être pour paraphraser ou résumer la pensée d’un individu ou d’un organisme. — A.H.
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Montréal, le 4 mars 1999
LE « BIRTH-CONTROL » DANS LES PAYS DU TIERS MONDE — NSSM 200
En 1991, certains amis ont porté à mon attention un document très étonnant.
On appelle ce document NSSM 200 (c’est-à-dire « National Security Study Memorandum 200 » qui pourrait être traduit en français par « Mémoire du Ministère de la sécurité nationale 200 »). Il fut élaboré par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis d’Amérique il y a plus de vingt-cinq ans alors que monsieur Henry Kissinger était président de cet organisme, sous l’autorité du Président Nixon.
Lire la suiteLa réalité choquante de l'ICFP 2022 : du contrôle de la population au spectacle démoniaque.
Les jeunes Africains influents sur les réseaux sociaux seraient encouragés à réduire leur propre population lors de la Conférence internationale sur la planification familiale. — Photo : Pexels.com
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie)
La Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) est un événement de 4 jours qui s’est déroulé en Thaïlande cette année.
L’ICFP a eu lieu cette année du 14 au 17 novembre à Pattaya City, en Thaïlande, au Pathaway Exhibition & Convention Hall (PEACH). Il s’agit de la « plus grande conférence scientifique sur la planification familiale » au monde. Elle est organisée par « l’Université de Johns Hopkins (JHU) au nom de l’Institut Bill & Melinda Gates pour la Population et la Santé de la Reproduction (“Institut”) de l’École de Santé Publique Bloomberg. »
Bien que les mineurs ne puissent pas y assister en personne, tous ceux qui le souhaitent peuvent y participer virtuellement, car il n’y a pas de restriction d’âge pour la participation en ligne si un parent ou un tuteur signe une décharge. Sur leur site web, l’événement est présenté comme étant plus qu’une conférence, mais une « plateforme, un mouvement et une communauté ». Selon leur site, plus de 125 pays ont participé et leur communauté compte plus de 40 000 membres actifs.
Parmi les principaux commanditaires de l’ICFP, on peut trouver la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’IPPF, Pathfinder, Women Deliver, les Nations Unies et le gouvernement du Canada.
La cérémonie d’ouverture a débuté par un spectacle de danse mettant en scène des démons, au sens propre du terme. L’hôte de la session d’ouverture de l’ICFP 2022 était Dr Tlaleng Mofokeng, Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la santé. Elle a expliqué que cette « performance incroyable » était « un épisode de la pièce de théâtre sur l’épopée de Ramekin. Il dépeint la bataille royale entre Rama et Laksman d’une part et la Tosca et le démon du roi Lanka d’autre part ». Elle a expliqué une courte histoire sur la bataille et a conclu « Tosca se retire à Lanka avec son armée de démons » et a proposé une salve d’applaudissements pour cette pièce.
Cette représentation a été suivie d’une vidéo promotionnelle qui vantait l’avènement d’un « autre monde » où « les femmes et les hommes peuvent choisir d’avoir ou non des enfants », « les adolescents et les jeunes ont accès aux contraceptifs », « l’accouchement est plus sûr pour les femmes et les bébés » et « tout le monde mérite d’avoir accès aux services et produits de planification familiale », autrement dit à l’avortement et à la contraception. L’idée sur laquelle ils ont insisté tout au long de leur vidéo promotionnelle de la cérémonie d’ouverture et de l’ensemble de la conférence soutenait que « sans planification familiale, il n’y a pas de soins de santé universels ». Car leur thème pour cette année est la réunion de la planification familiale et de la couverture sanitaire universelle en tant que « droits de l’homme ».
Lire la suiteLe film « Died Suddenly » (Mort soudainement) allègue qu'un programme de dépopulation se cache derrière les vaccins covid
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Blue Planet Studio/Adobe Stock
31 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Un documentaire novateur qui esquisse le lien entre la récente montée en flèche des morts subites, les vaccins COVID, et le programme de dépopulation qui se cache derrière tout cela, sortira le 21 novembre 2022.
La bande-annonce de « Died Suddenly », présentée par l'animateur radio Stew Peters, est maintenant disponible pour le public.
« Des adultes en bonne santé tombent morts partout dans le monde. Au cours des 18 derniers mois, le terme "Died Suddenly" (Mort soudainement) s'est hissé au sommet des termes les plus recherchés sur Google », indique la brève introduction du documentaire sur le site web du film.
Le film vise non seulement à « raconter les histoires de ceux qui sont morts subitement », mais aussi à « trouver des réponses » expliquant leur décès.
Des extraits de la bande-annonce du film donnent un aperçu de ce que l'équipe du documentaire a découvert : des caillots massifs et mystérieux ont été trouvés dans les corps des défunts vaccinés, un pic « apocalyptique » de décès en excès, et des indications, selon les réalisateurs, que les taux de mortalité élevés parmi les vaccinés sont finalement le résultat d'un plan de dépeuplement délibéré.
Une augmentation marquée du nombre de décès en excès a été enregistrée dans le monde entier, en particulier depuis le second semestre 2021, après que les vaccins COVID aient été mis à la disposition du public. L’un des commentateurs de film figurant dans la bande-annonce a affirmé que l'augmentation massive des décès équivaut à « 12 écarts types au-dessus de la moyenne », soit un événement qui ne se produit qu'une fois tous les 800 ans.
Lire la suiteL’OMS est compromise dans le développement et l’utilisation de vaccins stérilisants depuis des décennies
Par le Dr Joseph Mercola (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
11 juillet 2022
L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL
- L’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin anti-fertilité dans les années 1970, en réponse à un danger perçu de surpopulation. Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
- En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». Le vaccin anti-fécondité utilise de l’hCG conjuguée (chimiquement liée) à l’anatoxine tétanique utilisée dans le vaccin contre le tétanos. En conséquence, la femme développera des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
- L’hCG est le premier signal qui indique à l’organisme de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors de la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’au terme. En combinant l’hCG avec l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par le système immunitaire de la femme qui a reçu ce vaccin.
- En 1995, la Catholic Women’s League of the Philippines a obtenu une décision de justice mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. À cette époque, trois millions de femmes âgées de 12 à 45 ans avaient déjà été vaccinées. Des vaccins contenant de l’hCG ont également été découverts dans au moins quatre autres pays.
- Toujours en 1995, le gouvernement kenyan a lancé une campagne de l’OMS contre le tétanos, sous couvert d’éradiquer le tétanos néonatal. Une enquête a révélé que le vaccin administré aux jeunes filles et aux femmes âgées de 15 à 49 ans contenait de l’hCG, et divers éléments suggèrent qu’il s’agissait d’un programme intentionnel de contrôle de la population.
(Mercola) — « Infertilité : A Diabolical Agenda » [L’infertilité : Un programme diabolique] est le quatrième documentaire du Dr Andrew Wakefield sur les vaccins. Il raconte l’histoire d’un programme intentionnel de vaccination destiné à causer l’infertilité mené sur des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Bien que cette histoire ait été balayée pendant des années comme une théorie de conspiration farfelue, des preuves irréfutables montrent qu’elle a bel et bien eu lieu et que cela pourrait recommencer.
L’histoire du passé
Comme l’explique le film, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin stérilisant, sous la direction du Dr G.P. Talwar à New Delhi, en Inde, dans les années 1970, « en réponse à la surpopulation perçue ». Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». La trace écrite révèle qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient réussi à conjuguer, c’est-à-dire à combiner ou à attacher, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) à l’anatoxine tétanique, utilisée dans le vaccin contre le tétanos. Par conséquent, lorsque celui-ci est administré à une femme, celle-ci développe des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
L’hCG est une hormone produite par les cellules entourant l’embryon en croissance. Ces cellules productrices d’hormones protègent et soutiennent la croissance de l’embryon et finissent par former le placenta.
Comme expliqué dans le film, l’hCG est le premier signal qui indique au corps de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors une deuxième hormone, la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’à son terme.
En associant l’hCG à l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par votre système immunitaire, car elle est désormais perçue à tort comme un agent pathogène envahissant. L’hCG étant détruite, la progestérone n’est jamais produite et, par conséquent, la grossesse ne peut être maintenue.
Ainsi, si vous êtes déjà enceinte au moment où vous prenez cette infusion de sorcières, vous risquez d’avorter spontanément, et si vous n’êtes pas encore enceinte, vous ne pourrez pas le devenir, car cette hormone de grossesse cruciale est constamment attaquée par votre système immunitaire. Des doses répétées prolongent ces effets, vous rendant effectivement stérile.
Lire la suiteLe Vatican rejoint l’accord de Paris sur le climat bien que l’avortement et le contrôle de la population y soient inclus
Le pape François.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vatican News/YouTube
8 juillet 2022, Citée du Vatican (LifeSiteNews) — Le Vatican a annoncé le 8 juillet qu’il avait officiellement rejoint l’Accord de Paris sur le climat, connu pour son programme sous-jacent d’avortement et de contrôle de la population.
Une déclaration publiée par le Bureau de presse du Saint-Siège indique que l’archevêque Gabriele Giordano Caccia, observateur permanent auprès des Nations unies, a déposé le 6 juin devant le Secrétaire général des Nations unies l’Instrument d’adhésion du Saint-Siège, le document officiel par lequel le Vatican a rejoint l’Accord de Paris sur le climat.
« Le Saint-Siège, lit-on dans la déclaration, au nom et pour le compte de l’État de la Cité du Vatican, a l’intention de contribuer et d’apporter son soutien moral aux efforts de tous les États pour coopérer […] à une réponse efficace et appropriée aux défis que le changement climatique pose à l’humanité et à notre maison commune. »
Le Vatican affirme qu’en adhérant à l’Accord de Paris, il exprime sa solidarité avec les pauvres et les générations futures, qui sont les plus touchés par le « changement climatique ».
Cependant, comme LifeSiteNews l’avait déjà rapporté, les défenseurs de la vie ont remarqué depuis longtemps que l’Accord de 2015 comprend un programme sous-jacent de promotion de l’avortement, de la contraception et de la stérilisation comme moyens nécessaires pour contrôler la population et minimiser la consommation humaine et l’utilisation des ressources de la terre. La façon dont ces choses sont imposées aux pays les plus pauvres est de les lier aux fonds et aux ressources que ceux-ci sollicitent.
Dans le texte de l’accord, ces questions sont dissimulées sous des expressions telles qu’« égalité des sexes » et « autonomisation des femmes », et sont associées à la nécessité présumée de faire face au changement climatique dans le cadre d’une approche « tout compris ». L’Accord stipule :
Les parties devraient, lorsqu’elles prennent des mesures pour faire face au changement climatique, respecter, promouvoir et prendre en considération leurs obligations respectives en matière de droits de l’homme, de droit à la santé, de droits des peuples autochtones, des communautés locales, des migrants, des enfants, des personnes handicapées et des personnes en situation de vulnérabilité, et de droit au développement, ainsi que d’égalité des sexes, d’autonomisation des femmes et d’équité intergénérationnelle.
Le groupe de défense pro-vie Voice of the Family a souligné en 2015, lors de la première rédaction de l’Accord sur le climat, que les « Objectifs de développement durable de l’ONU utilisent “l’égalité des sexes” et “l’autonomisation des femmes” pour faire progresser l’avortement et la contraception. »
Lire la suiteLes Georgia Guidestones, et ses « 10 commandements » du mondialisme, ont été détruites
Par Francesca de Villasmundo (Médias-Presse Info) — Photo : Wikimedia Commons
Monument énigmatique et gnostique, les Georgia Guidestones viennent d’être démolies.
Une partie du mystérieux monument géorgien a été détruite par un engin explosif pendant la nuit de mardi à mercredi dernier, ce qui a conduit à une enquête policière à Elberton, selon le Georgia Bureau of Investigation. Une vidéo montre une voiture fuyant les lieux et une explosion détruisant le monument. Personne n’a été blessé lors de l’incident. L’un des piliers a été endommagé par l’explosion. Dans un communiqué, le Georgia Bureau of Investigation a déclaré que des agents avaient trouvé des preuves d’une explosion sur les lieux :
« Les informations préliminaires indiquent que des inconnus ont fait exploser un engin explosif vers 4 heures du matin le mercredi 6 juillet. »
Les Georgia Guidestones ont depuis été démolies pour des raisons de sécurité, ont annoncé mercredi soir les autorités locales.
Appelées aussi le « Stonehenge américain », les Georgia Guidestones étaient un monument en granite érigé le 22 mars 1980, de 5,87 mètres de haut. « Il a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un anonyme s’étant présenté sous le nom de R. C. Christian (pseudonyme allégorique pour Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-Croix) » selon la page Wikipedia.
Six blocs de granite de 5,87 mètres de haut pour un poids total de 237 746 livres3 (soit presque 108 tonnes), forment le monument. Un trou dans la pierre horizontale du haut donne la date à midi. Un trou montre l’étoile Polaire dans la colonne centrale. Ses quatre dalles et son pilier central fonctionnent comme une boussole, un calendrier et une horloge. Le pilier central est sculpté de manière à permettre à un rayon de soleil de filtrer à midi tous les jours et de faire briller un faisceau sur la pierre centrale qui indique le jour de l’année. Sur les blocs de granite, un message s’affiche en plusieurs langues. La plaque du haut comporte des inscriptions en quatre langues sur ses côtés : babylonien, grec ancien, sanskrit et hiéroglyphe égyptien, qui définissent l’objectif de la structure :
« Que ces pierres nous guident vers un âge de la raison. »
Lire la suiteLes experts en démographie préviennent que le monde doit craindre l’effondrement de la population, et non la surpopulation
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tomo/Adobe Stock
7 juin 2022 (LifeSiteNews) — Contrairement aux projections des Nations Unies, les démographes avertissent que des preuves récentes suggèrent que le monde se dirige vers un effondrement de la population, et non vers une ère de surpopulation.
Alors que les Nations unies prévoient que l’humanité continuera sur la voie d’une croissance démographique massive jusqu’en 2100, avec un pic à plus de 11 milliards, une étude démographique publiée dans The Lancet révèle que le monde n’est qu’à quelques décennies d’un déclin démographique brutal et conséquent.
Dans une étude publiée en octobre 2020 et intitulée « Fertilité, mortalité, migration et scénarios démographiques pour 195 pays et territoires de 2017 à 2100 : une analyse prévisionnelle pour l’étude sur le fardeau mondial des maladies », les chercheurs théorisent que la population humaine va continuer à croître jusqu’en 2064, pour atteindre environ 9,73 milliards d’habitants (actuellement, elle se situe autour de 8 milliards d’habitants), mais par contre, en raison des faibles taux de fécondité, la population devrait diminuer de plus d’un milliard d’habitants dans le reste du siècle.
L’étude, qui a récemment fait l’objet d’une large attention sur les médias sociaux, prévoit qu’en 2100, avec des taux de fécondité bien inférieurs au seuil de remplacement de 2,1 enfants par femme, la Chine ne comptera plus que 773 millions d’habitants, contre 1,39 milliard actuellement. Une telle baisse représente une diminution de la population de près de 50 %.
Si la Chine devait connaître la plus forte baisse en chiffres bruts, des pays comme la Thaïlande, le Japon et l’Espagne connaîtront une réduction de leur population bien supérieure à 50 %.
Si l’on considère uniquement les taux de fécondité, sans tenir compte de l’immigration, de nombreux pays connaissent déjà un déclin démographique rapide.
En 2020, le taux de fécondité aux États-Unis était de 1,6 enfant par femme, contre 3,7 en 1960. Dans des pays comme le Japon et la Chine, ces chiffres sont encore plus bas, de 1,3 à 1,5 selon les sources.
À l’échelle mondiale, le taux de fécondité était de 5,2 en 1960 et se situe aujourd’hui à 2,4. D’ici 2100, ce chiffre pourrait se situer en dessous du seuil de remplacement de 2,1.
Selon Charles I. Jones, économiste à l’université de Stanford, la différence entre un taux mondial de 5,2 et un taux inférieur à 2,1 est la différence entre « une croissance exponentielle de la population et du niveau de vie et une planète vide, où les revenus stagnent et la population disparaît ».
Bien que le récit de la surpopulation ait beaucoup de succès dans les médias, en partie parce qu’il est soutenu par les soi-disant activistes du changement climatique et les institutions mondialistes comme l’ONU, beaucoup tirent la sonnette d’alarme sur l’avenir de l’humanité depuis des décennies, alors que les taux de fécondité continuent de baisser.
L’un de ces experts, Steven Mosher, président du Population Research Institute, écrivait déjà en 1997 dans le Wall Street Journal :
Le problème à long terme de l’humanité ne sera pas d’avoir trop d’enfants, mais d’en avoir trop peu : trop peu d’enfants pour remplir les écoles et les universités, trop peu de jeunes gens entrant dans la vie active, trop peu de couples achetant une maison et une deuxième voiture. En bref, trop peu de consommateurs et de producteurs pour faire avancer l’économie.
L’implosion des marchés européens et la morosité économique du Japon ne tarderont pas à s’étendre aux États-Unis et au reste du monde. Pourquoi dépenser des centaines de millions de dollars par an en contraception et en stérilisation qui ne feront que rapprocher ce jour ?
Le mouvement « Stop Having Kids » s’étend à travers les États-Unis, appelle à la fin de la reproduction humaine
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une organisation basée à Portland qui exhorte les gens à ne pas avoir d’enfants est devenue nationale. Stop Having Kids a acquis une notoriété locale avec des panneaux d’affichage érigés dans la région de Portland, mais elle s’étend désormais à d’autres villes du pays.
Ashley Riddle, porte-parole de Stop Having Kids, a déclaré au Willamette Week que leur groupe est « antinataliste » et constitue un « mouvement de libération collective » opposé à toute reproduction humaine. Les panneaux d’affichage ont été réalisés grâce à des donateurs anonymes. « Il a été difficile de trouver une entreprise qui accepte d’aller jusqu’au bout », a déclaré Riddle. « Les entreprises semblaient toutes d’accord, puis elles ne répondaient plus. »
Selon le site Internet de Stop Having Kids, choisir de ne pas se reproduire est un moyen de montrer que l’on se soucie vraiment des autres. Le groupe appelle à normaliser et à déstigmatiser la stérilisation et l’avortement, et affirme qu’il est cruel de donner naissance à des enfants dans la situation mondiale actuelle. Les raisons de ne pas avoir d’enfants vont d’affirmations dépassées et démystifiées : de l’idée qu’il y a déjà assez de monde à l’idée carrément discriminatoire de prévenir les malformations congénitales.
Le groupe a son siège à Portland, mais il est en pleine expansion. Des chapitres se forment dans des villes comme Houston et Boulder, tandis que la page Facebook du groupe fait état de l’intérêt de villes comme San Francisco et New York City. Le groupe s’engage aussi fréquemment dans des actions de sensibilisation à travers le pays, et s’est récemment rendu au SXSW à Austin, au Texas, pour diffuser son message anti-enfants.
Lire la suiteLes injections covid visent à réduire la population mondiale en empoisonnant des «milliards de personnes» selon un médecin sud-africain
Le Dr Shankara Chetty.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
23 novembre 2021 Port Edward, Afrique du Sud (LifeSiteNews) — Un éminent médecin, à qui l’on doit d’avoir fait avancer le développement de traitements précoces pour le COVID-19, a déclaré que, selon lui, le but de la pandémie et des campagnes de vaccination est de « contrôler et de tuer une grande partie de notre population sans que personne ne soupçonne que nous avons été empoisonnés ».
Le Dr Shankara Chetty, médecin de famille en Afrique du Sud qui, selon son site internet, a « traité 7000 patients atteints du COVID-19 sans une seule hospitalisation ou un seul décès », a combiné ses connaissances médicales avec ses observations des dictats gouvernementaux et de la censure des médias pour étayer ses conclusions.
Alors qu’il participait à une réunion Zoom de personnes qui semblaient être des médecins, Chetty a commencé ses remarques en posant une question : « Je pense que la perspective concernant ce qui se passe est d’une importance vitale. Nous devons comprendre quel est l’objectif. Tout le monde sait qu’il y a des incohérences, et surtout de la coercition, mais nous devons comprendre pourquoi. Quelle est la raison de tout ceci ? »
Il a ensuite identifié, comme l’aspect « le plus important » pour répondre à ces questions, le « pathogène qui cause tous les décès dans la maladie COVID » : la protéine « spike » qui est portée par le virus et qui est ce que le vaccin doit produire dans le corps du receveur.
« Si je devais vous donner mon avis sur ce qui se passe à l’échelle mondiale, a-t-il déclaré, la protéine “spike” est l’une des toxines ou l’un des poisons les plus sophistiqués que l’homme ait jamais fabriqués. Et le but de cette toxine est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis. »
Le médecin, largement reconnu pour avoir mis au point la « thérapie du 8e jour pour le COVID-19 », destinée aux patients qui sont entrés dans la phase inflammatoire ─ la plus dangereuse de la maladie ─, a ensuite déclaré que « ce qui semble avoir transpiré ici, [c’est] qu’ils ont conçu un virus et lui ont ajouté cet emballage de qualité militaire appelé “protéine de pointe” ».
Lire la suiteL’impact des dangereux Objectifs de développement durable des Nations unies sur les enfants et la famille, et leur déplorable approbation par le Vatican
Par Matthew McCusker (Society for the Protection of Unborn Children) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Kostia/AdobeStock
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, approuvés par les États membres le 25 septembre 2015, comprennent des points précis qui appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » d’ici 2030. Ce terme est entendu par les organes de l’ONU, de nombreux gouvernements internationaux et des agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception. Ces objectifs favoriseront également l’imposition de « programmes complets d’éducation sexuelle » nuisibles. Dans ce document d’information, nous expliquerons comment l’approbation des ODD par le pape François en septembre 2016 et le soutien antérieur offert à ces derniers par d’autres organes du Saint-Siège ont intensifié la menace que représentent les ODD pour les membres les plus vulnérables de la famille humaine.
1. Les Objectifs de développement durable des Nations unies appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive »
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies consistent en 17 objectifs et 169 points qui doivent être atteints d’ici 2030.
L’objectif 3 des ODD est d’« Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tout âge ».
Le point 7 de cet objectif appelle les États-nations à :
« assurer l’accès universel aux services de soins de santé sexuelle et reproductive, notamment pour la planification familiale, l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les stratégies et programmes nationaux ».
L’objectif 5 des ODD consiste à « Réaliser l’égalité des sexes et rendre autonomes toutes les femmes et les filles. »
Le point 6 de cet objectif indique que les nations doivent :
« Assurer l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits en matière de procréation, comme convenu conformément au Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Beijing, ainsi qu’aux documents issus de leurs conférences de révision. » [1]
2. L’expression « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » inclut l’accès universel à l’avortement et à la contraception.
L’expression ci-après, « santé sexuelle et reproductive et droits reproductifs » et d’autres formulations similaires sont couramment utilisées par les organes des Nations Unies et par de nombreux gouvernements nationaux et agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception, y compris la contraception dont le mode d’action peut être abortif. Les mouvements de contrôle de la population et de « droits reproductifs » ont toujours voulu que ces termes incluent l’avortement, ainsi que la contraception, et ils les utilisent systématiquement dans ce sens ; il est toutefois important de noter que ces mouvements n’ont jamais réussi à établir un « droit à l’avortement » en droit international. [2]
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