Canada : le convoi des camionneurs pour la liberté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Note : je rectifie le passage où j'écris que les camionneurs ne semblent pas avoir de chefs officiels, du moins ils semblent extrêmement bien organisés. — Mise à jour : 1er février 2021.
Depuis le 23 janvier 2022, un colossal convoi de camions parti de Colombie-Britannique se dirige lentement (comparativement à la circulation ordinaire) vers la capitale canadienne. Ayant franchi la frontière ontarienne le 26 janvier, les camionneurs de l’ouest convergent vers Ottawa avec le convoi de l’est, qui traverse actuellement la Nouvelle-Écosse, ainsi que d’autres convois de partout au Canada.
Le Freedom Convoy 2022 compte, dans son contingent occidental seulement, plus de 50 000 camions et 500 000 participants, dont des partisans enthousiastes qui suivent en voitures, formant une file de plus de 70 km. Partout où les camionneurs passent, la population les acclame, montrant son soutien à ce formidable mouvement qui a pour but de forcer, en bloquant la capitale, le gouvernement fédéral à lever toutes les mesures « sanitaires » qu’il impose depuis près de deux ans aux Canadiens.
While @JustinTrudeau dismisses history in the making, the world is watching Canadian truckers lead the charge against vaccine mandates. #FreedomConvoyCanada #FreedomConvoy2022 #freedomconvoy22 pic.twitter.com/Q9UYsrxzHH
— Bright Light News (@BLNewsMedia) January 27, 2022
L’élément déclencheur de cette manifestation pacifique et légale a été l’imposition de la vaccination obligatoire aux camionneurs pour la traversée de la frontière canado-américaine, d’abord le 15 janvier par le gouvernement canadien, puis le 22 janvier par celui américain ; jusqu’à maintenant, les camionneurs bénéficiaient d’une exception en vertu de leur service essentiel leur permettant de voyager à l’étranger. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ce dernier coup menace directement l’approvisionnement en denrées essentielles des Canadiens, depuis l’imposition de la vaccination aux camionneurs des pénuries se font déjà sentir dans les commerces, aussi bien à l’ouest en Alberta qu’à l’est au Québec ; le premier ministre de l’Alberta affirme sur Twitter avoir reçu des rapports de pénuries dans sa province :
Je reçois des photos comme celle-ci des épiceries de l’Alberta ce matin.
C’est en train de devenir une crise. Elle exige une action immédiate de la part des gouvernements canadien et américain.
Lire la suiteI’m getting pictures like this from grocery stores across Alberta this morning.
— Jason Kenney (@jkenney) January 24, 2022
This is turning into a crisis. It requires immediate action by the Canadian & US governments. pic.twitter.com/nEmbSgX2BU
Google finance un consortium de « vérificateurs-de-faits » « catholiques », pro-injection covid
Par Francesca de Villasmundo (Media Presse Info)
Note : J’apporte ici quelques précisions au sujet de cet article — qui tire son origine d’un article de Church Militant — dont certains aspects sont inexacts. Pour mieux refléter ces précisions, j’ai changé le titre du présent article qui était « Soros et Gates financent des médias “vérificateurs-de-faits”, dits “catholiques”, pro-injection covid » pour « Google finance un consortium de “vérificateurs-de-faits” “catholiques”, pro-injection covid ». En effet, entre autres choses, ce n’est pas Soros ou Gates qui finance le consortium de « vérification de faits », mais Google (ce qui à mon avis n’est pas mieux). D’autre part, par exemple, on ne peut pas vraiment affirmer qu’Aleteia (qui dirige le consortium) soit détenu par le groupe Média-Participations, mais on peut voir que celui-ci doit en posséder une part intéressante pour être devenu l’Opérateur industriel d’Aleteia en 2015. Du reste, si Aleteia ou le consortium n’est pas financé par Soros et son confrère Gates, ces derniers financent certains médias avec lesquels Aleteia s’est associé pour faire de la « vérification de faits ». Si l’association entre Aleteia et des médias douteux, ainsi que des financiers non moins douteux, ne semble pas être aussi étroite que le présent article pourrait le suggérer, on ne peut que désapprouver une telle coopération au sein d’un consortium composé en partie par des médias douteux et financé par Google, et avoir quelques réserves quant aux bienfaits qui sortiront d’une telle initiative. Voici le texte publié par Aleteia à sa défense et l’analyse de cette défense par Le Salon Beige où l’on peut voir que certaines rectifications d’Aleteia exagèrent dans le sens opposé aux accusations émises par Church Militant. — 21 janvier 2022, A.H.
Le site américain Church Militant publie dans un récent article des révélations concernant les campagnes de propagande vaccinale anti-covid en direction de la sphère catholique.
« Une opération catholique de “vérification des faits” lancée par un consortium de médias catholiques établis ayant des liens étroits avec le pape François est financée par […] Google, le colporteur de vaccins Bill Gates et l’agitateur de gauche Georges Soros. »
Ce consortium de médias catholiques, catholic-factchecking.com comme il s’autodésigne lui-même, est dirigé par le magazine et site Aleteia, appartenant à la quatrième plus grande maison d’édition de la France, le groupe Média-Participations, est édité en sept langues, et bénéficie d’une étroite collaboration avec le Dicastère du Vatican pour la Communication ainsi qu’avec le Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation.
Le projet vise à faire taire les journalistes catholiques non alignés, et est financé par de grands lobbies internationaux militants contre la vie et la famille, en collaboration avec de grandes entreprises pharmaceutiques qui produisent des vaccins.
Lire la suiteBill Gates est « optimiste » pour 2022 : nous devrions l’être aussi, mais pour des raisons totalement différentes
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : U.S. Department of Energy/Flickr/rawpixel
13 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Nous voici presque à la fin de 2021, et cela signifie qu’il est temps de regarder d’où nous venons et où nous allons.
C’est ce qu’a fait Bill Gates dans un long billet de blogue publié le 7 décembre. Il se lit comme l’une de ces lettres du Nouvel An qu’un parent éloigné écrit toujours, énumérant tout ce qu’il a accompli au cours de l’année écoulée.
Le billet commence par un bref récapitulatif de la vie de Gates en 2020 et 2021 ─ selon ses dires, il s’agit d’une existence bizarre, sans doute étrangère à ceux qui étaient sceptiques depuis le début quant au récit du COVID, mais certainement familière à beaucoup d’autres : une vie sans interaction sociale, vécue presque exclusivement à travers un écran, ne quittant la maison que pour se promener dans le jardin. La vaccination a ouvert la porte aux interactions sociales, mais seulement en petit nombre, et tout cela conformément aux directives des CDC, bien sûr.
« Ce fut une expérience étrange et déroutante », a déclaré Gates. « Mon univers personnel ne m’a jamais semblé aussi petit qu’au cours de ces 12 derniers mois. »
Personnellement, je doute que M. Gates ait vécu de cette façon. Avec le gouverneur de Californie Gavin Newsom, le maire de Chicago Lori Lightfoot, le Dr Anthony Fauci et le président Joe Biden parmi les nombreux adeptes du COVID pris en flagrant délit de violation de leurs propres mandats draconiens tout au long de cette prétendue « crise », je suis dubitative chaque fois que les élites suggèrent qu’elles ont vécu comme « nous », soumis à tous les caprices des puissants de la santé publique.
Quoi qu’il en soit, M. Gates dénonce la solitude d’une telle vie, avant de promouvoir la « connectivité » offerte par nos écrans et notre cycle d’informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 (avec des réserves, que nous allons aborder).
Il poursuit en exposant quatre grandes questions qu’il a en tête au moment où le monde fait ses adieux à la vieille année : « les derniers progrès accomplis pour mettre fin à la pandémie de COVID-19, les raisons pour lesquelles la perte de confiance dans les institutions pourrait être le plus grand obstacle sur notre chemin, ce que la conversation sur le climat peut nous apprendre pour progresser, et comment la numérisation rapide provoquée par la pandémie façonnera notre avenir ».
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Par le Dr Joseph Mercola (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note de LifeSite : Les opinions et informations fournies dans cet article et la vidéo incluse ne représentent pas nécessairement les opinions de LifeSite. Il s’agit d’une présentation très complexe que nous ne sommes pas en mesure de vérifier totalement et il se peut que nous soyons en désaccord ou que nous remettions en question certains éléments présentés. Cependant, nous suggérons qu’elle vaut la peine d’être analysée, en particulier compte tenu de tout ce que LifeSite a appris et rapporté sur les efforts visant à imposer un Nouvel Ordre Mondial, la Grande Réinitialisation et l’exploitation du COVID-19 et de ses vaccins.
La principale affirmation douteuse est que les deux sociétés d’investissement massif « possèdent » ou ont la « propriété » de toutes les sociétés dans lesquelles elles ont des investissements. LifeSite n’est pas en mesure de répondre de manière adéquate à cette affirmation, étant donné l’ampleur époustouflante de cette toile très enchevêtrée de relations entre grandes entités financières. Nous supposons que l’auteur estime que leurs énormes investissements et leur réseau de relations avec de nombreux partenaires parmi les plus riches du monde donnent à ceux qui contrôlent les sociétés d’investissement géantes Vanguard et Blackrock un degré plus dangereux de contrôle pratique ou de « gestion » d’un grand pourcentage des principales entités corporatives du monde, plutôt qu’une « propriété » de facto de celles-ci.
Malheureusement, Joseph Mercola n’a pas voulu clarifier auprès de LifeSite son affirmation selon laquelle les deux sociétés d’investissement géantes « possèdent » Big Pharma et Big Media, bien que nous comprenions qu’elles « possèdent » des pourcentages importants, voire souvent faibles, mais toujours pratiquement significatifs du total des actions de nombreuses sociétés parmi les plus influentes du monde. Il s’agit bien d’un degré de « propriété », ou d’un pied utile dans la porte des entreprises dans lesquelles ils investissent. Cela peut à son tour conduire à un contrôle pratique des 20 000 milliards de dollars de valeur des actifs de toutes ces sociétés par ceux qui ont des décennies, et dans certains cas comme les Rothschild, même plus de 300 ans d’expérience continue dans l’exploitation d’une telle « propriété » vaguement définie pour assurer la réalisation de leurs plans de changement financier, politique et social à long terme.
Ainsi, le mot « propriété » semble avoir une signification nuancée dans l’article de Mercola, qui reste très important.
Malgré le manque de clarté de la terminologie utilisée, nous pensons que l’article mérite d’être pris en considération, notamment au vu de tout ce que LifeSite a rapporté sur le Nouvel Ordre Mondial, le Great Reset et l’exploitation internationale en cours du COVID-19. L’influent Forum économique mondial, qui compte parmi ses membres plus de 300 des personnes les plus riches et les plus puissantes du monde, est le principal moteur de la révolution mondiale dite Global Reset qui utilise explicitement et ouvertement la pandémie du covid pour accélérer sa révolution du monde vers une « nouvelle normalité » de vie que certains ont décrite comme un esclavage mondial des masses par l’élite.
Le COVID-19 : The Great Reset du fondateur du FEM, Klaus Schwab, et son complémentaire Shaping the Fourth Industrial Revolution pourraient un jour être considérés comme l’équivalent du Manifeste communiste de Karl Marx et Friedrich Engels et de Mein Kampf d’Hitler en tant que cause de la révolution mondiale.
L’exposition imparfaite par Mercola des relations incestueuses entre les nombreuses entités financières mondiales prétendument « concurrentes », les multimilliardaires et les politiciens fantoches comprend suffisamment d’informations cruciales et valables pour aider les lecteurs à mieux comprendre le degré effrayant de coopération et d’organisation entre ces entités puissantes alors qu’elles se hâtent de mettre en œuvre de façon apparemment imminente leur démoniaque Grande Réinitialisation du Nouvel Ordre Mondial.
Steve Jalsevac
LifeSite
Qui possède presque tous les grandes entreprises pharmaceutiques et les grands médias ? Vous ne le devinerez jamais
L’histoire en un coup d’œil :
- Big Pharma et les médias grand public sont en grande partie détenus par deux sociétés de gestion d’actifs : BlackRock et Vanguard.
- Les entreprises pharmaceutiques sont à l’origine des réponses au COVID-19 — qui toutes, jusqu’à présent, ont mis en danger plutôt qu’optimisé la santé publique ─ et les médias grand public ont été des complices consentants dans la diffusion de leur propagande, un faux récit officiel qui égare le public et alimente la peur sur la base de mensonges.
- Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.
- BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce qui vous vient à l’esprit. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9 100 milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du Standard & Poor’s 500.
- Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, a une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être liées aux fonds Vanguard.
La Pologne injustement attaquée par les partisans de l’avortement après le décès d’une femme enceinte
Manifestation le 4 novembre 2020 à Bielsko-Biała contre la décision du Tribunal constitutionnel interdisant l'avortement eugénique. C'est toujours contre cette décision que les pro-avortement manifestent maintenant en novembre 2021.
Par Olivier Bault (Visegrád Post) — Photo : Silar/Wikimedia Commons
Pologne — Les partisans d’une libéralisation de l’avortement en Pologne étaient à nouveau dans la rue dans de nombreuses villes de Pologne le samedi 6 novembre. La plus grosse manifestation s’est déroulée à Varsovie devant le siège du Tribunal constitutionnel qui, il y a maintenant un an, a jugé contraire à la constitution la clause de la loi polonaise de 1993 qui autorisait l’avortement jusqu’à la 24e semaine de grossesse en cas de diagnostic médical laissant apparaître la probabilité d’une anomalie ou maladie incurable de l’enfant à naître. Plutôt que cet anniversaire, c’est la nouvelle du décès d’une femme enceinte dans un hôpital de Pszczyna, en Silésie, qui a déclenché ces manifestations auxquelles plusieurs personnalités politiques libérales et de gauche ont participé. Ainsi, Donald Tusk y était « non pas en tant qu’homme politique ni en tant que chef de parti d’opposition, mais en tant que personne, en tant que mari, en tant que père et en tant que grand-père ». « Pas une de plus », scandaient les manifestants en brandissant les portraits d’Izabela, la femme de 30 ans morte le 22 septembre 2021 d’une septicémie dans les 24 heures qui ont suivi son hospitalisation après qu’elle eut perdu ses eaux à la 22e semaine de sa grossesse. Son bébé avait été diagnostiqué avec une anomalie qui aurait permis une interruption médicale de grossesse avant le jugement du Tribunal constitutionnel polonais du 22 octobre 2020 (entré en vigueur le 30 janvier 2021, au lendemain de sa publication au Journal officiel).
La Grève des femmes (Strajk Kobiet) à l’origine des manifestations de l’automne 2020, mais aussi les médias et hommes et femmes politiques favorables à une libéralisation de l’avortement ont été prompts à se saisir de cette triste affaire quand elle a été portée à la connaissance du public par un tweet de l’avocate de la famille le vendredi 29 octobre, à son retour de sa déposition au parquet qui avait ouvert une enquête sur ce décès.
« Les médecins attendaient la mort du fœtus. Le fœtus est mort, la patiente est morte. Choc septicémique. J’ai passé mon vendredi au bureau du procureur », a écrit la juriste Jolanta Buzdowska. Quelques jours plus tard, à la télévision TVN, la représentante légale de la famille de la défunte, qui laisse derrière elle un mari et une fillette, affirmait : « Je pense personnellement que dans cette affaire ce sont des gens faibles, agissant sous la pression du droit, d’un mauvais droit, qui ont failli. »
Lire la suiteJulie Ponesse, professeur d’éthique, sur la politique COVID : « La plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés »
Julie Ponesse.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : YouTube
« Pourquoi les personnes protégées doivent-elles être protégées des personnes non protégées en contraignant ces dernières à utiliser une protection qui de toute façon n’a pas protégé les personnes protégées ? »
Je vous propose aujourd’hui la traduction intégrale de l’intervention publique d’un professeur d’éthique canadien, Julie Ponesse, lors d’une réunion de The Democracy Fund. Le Dr Ponesse a été licenciée pour faute en septembre pour avoir refusé le vaccin expérimental COVID exigé par son employeur, la Western University au Canada. Son appel à la résistance est un modèle du genre.
La retranscription de son intervention originale en anglais a été publiée ici par le Brownstone Institute.
J’aurais sans doute quelques points de désaccord avec cette femme remarquable (notamment au sujet de la démocratie — il faisait sûrement meilleur être sujet de Louis IX que citoyen sous Macron ! – et de son choix de personnalités ; ainsi Margaret Mead dont elle invoque une remarque intéressante et vraie a ouvert la voie à la révolution sexuelle des années 1960) mais nous pouvons tous partager l’essentiel de son message. — J.S.
*
Revenez quelques années en arrière, à l’automne 2019, par exemple. Que faisiez-vous alors ? À quoi ressemblait votre vie ? A quoi teniez-vous alors ? De quoi aviez-vous le plus peur ? Comment imaginiez-vous l’avenir ?
Voilà la personne avec laquelle j’aimerais parler pendant les 15 prochaines minutes, et je commencerai par ma propre histoire ; à la fin, j’aurai une faveur à demander et un petit secret à partager.
À l’automne 2019, j’étais professeur d’éthique et de philosophie antique ; j’enseignais aux étudiants la pensée critique et l’importance de la réflexion personnelle, comment poser de bonnes questions et évaluer les preuves, comment apprendre du passé et pourquoi la démocratie exige la vertu civique.
Faisons un accéléré au 16 septembre 2021, date à laquelle j’ai reçu une lettre de « licenciement avec motif » après avoir contesté, et refusé de respecter, la vaccination obligatoire imposée par mon employeur. J’ai été licenciée pour avoir fait exactement ce pour quoi j’avais été engagé. J’étais un professeur d’éthique qui remettait en question ce que je considérais comme une exigence contraire à l’éthique. Il ne faut pas chercher bien loin pour voir l’ironie de la chose.
Lire la suiteL’injection rituelle
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : georgerudy/Adobe Stock
En mai 2021, j’avais prédit dans un article intitulé Je veux avoir tort que, dans la logique du déroulement d’un putsch planétaire, il y aurait une quatrième vague à l’automne, les discours des politiciens deviendraient plus stridents, ils viseraient les non-vaccinés et on verrait l’imposition des passeports sanitaires comme mode de contrôle et de coercition. Ces prévisions se sont réalisées.
Amplification et diversification
Selon cette même logique de prise de contrôle totalitaire, j’entrevois maintenant que, dans les mois qui viennent, le pouvoir mondial et ses exécutants nationaux (nos politiciens et médias) amplifieront et diversifieront les pressions pour tenter d’enfermer définitivement la population dans une tyrannie de contrôle électro-sanitaire. D’une part, nous voyons déjà une amplification de l’agression sanitaire. Ça continuera.
Le système : injection-certificat-récompense/conséquence, prend un caractère de plus en plus ritualisé aboutissant maintenant à cette abomination : l’injection sacrificielle des enfants. Je dis bien rituelle et sacrificielle, car, nous le savons tous, la COVID ne les menace pas et ce jus expérimental qu’on s’apprête à leur injecter comporte des risques. Nous pouvons aussi nous attendre à une diversification des crises dans d’autres secteurs. Éventuellement, les pressions croissantes susciteront un événement déclencheur qui sera alors instrumentalisé par nos élites pour compléter leur prise de contrôle de la population.
Dans cet article je traite de l’amplification et de la ritualisation des instruments de contrôle sanitaire. Dans le prochain article je discuterai de la diversification de la crise.
Comme un anti-baptême
Nous le voyons déjà, l’injection du jus des pharmas devient rapidement une condition essentielle pour participer à la société, avoir une voix dans les débats politiques et voyager. C’est même nécessaire pour pouvoir sortir du Canada. Ceux qui nous gouvernent s’apprêtent maintenant à injecter nos enfants. Cette nouvelle étape du protocole parachèvera la soumission des parents, assurera leur adhésion et les enfermera dans le système injection, contrôle et récompense.
Les régimes poursuivent maintenant leur stratégie d’injection universelle avec le consentement de la majorité. À mesure que les raisons médicales s’estompent, celle-ci prend de plus en plus l’aspect d’un rituel de soumission initiatique. Ça ressemble de plus en plus à une espèce d’anti-baptême. Le baptisé reçoit sur son corps une eau simple et pure qui le lave intérieurement sans l’affecter physiquement. Ici, l’injecté reçoit des substances inconnues dans son corps qui l’affectent physiquement.
Lire la suiteRien n’a changé ; tout est différent
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie)
Au soir des élections fédérales de septembre 2021, la répartition des sièges était essentiellement inchangée. Le parti libéral de Justin Trudeau était reporté au pouvoir dans un gouvernement minoritaire. « Rien n’a changé » ont dit les commentateurs ; « tout est comme avant »… « Cette élection était inutile ! ».
Un rien qui change tout
Rien n’était plus faux ! Cette élection était historique. Tout a changé ! En effet, les mêmes gens ont été reportés au pouvoir, sans presqu’aucun changement après deux ans de mesures totalitaires, deux ans d’agression sanitaire contre nos droits et nos libertés.
Juste avant l’élection, les libéraux avaient annoncé la suspension sans salaire de milliers de fonctionnaires, l’étiquetage de toute la population, l’instauration de passeports intérieurs pour voyager, des plans pour installer des mesures de censure de l’Internet. N’oublions pas, aussi, l’embauche d’agent privés pour saisir les Canadiens en sol canadien et les confiner dans des centres de détentions semi-secrets ainsi que la promesse, pendant la campagne, d’étendre l’utilisation des mesures du contrôle sanitaire pour imposer toute une brochette d’agendas progressistes.
Enfin, après avoir annoncé l’injection obligatoire des enfants, les injections à répétition des déjà vaccinés, ainsi que des déclarations brutales, dignes d’un régime fasciste à propos des non-vaccinés ; les Canadiens ont réélu Justin Trudeau dans les mêmes proportions qu’avant. Ils ont, pareillement, réélu sans changement, tous les politiciens de la fausse opposition qui soutenaient ces mesures.
Lire la suiteEnrôlés dans la religion de la peur
Par Douglas Farrow — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Astrosystem/adobestock
7 octobre 2021 (Edward Pentin) — Le professeur Douglas Farrow écrit que « la santé et l’environnement » est la nouvelle idéologie « du sang et du sol », soutenue par des signes de l’ancienne violence.
L’ouvrage The World at War [Le monde en guerre] de Jeremy Isaacs comprend une interview dans laquelle la secrétaire personnelle d’Hitler, Traudl Junge, rapporte que le Führer, dans ses derniers jours, a répondu comme suit à une question sur l’avenir de l’Allemagne : « Je crois qu’il n’y aura plus de parti national-socialiste; l’idée mourra avec moi. Mais peut-être qu’il y aura, dans une centaine d’années, une autre idée nationale-socialiste, comme une religion ». [1]
Cela ne fait pas encore cent ans, mais je commence à voir ce qu’Hitler voulait dire. Du Pacifique Sud à l’Atlantique Nord, même des pays démocratiques comme l’Australie et le Canada sont en train de basculer rapidement dans le nazisme. [2] Nous vivons depuis dix-huit mois maintenant sous un régime d’« urgence sanitaire » dans laquelle la règle du décret a remplacé la règle de droit. En Australie, des balles en caoutchouc sont tirées pour réprimer la résistance à ce perpétuel état d’exception. Dans ces deux pays, ainsi qu’en Amérique, des camps d’isolement sont construits à la poursuite du fantasme COVID-zéro (« Un seul est un de trop ») ou, plus exactement, du complot COVID-zéro. [3]
Qui savait que les droits constitutionnels pouvaient être suspendus pour une période aussi longue et indéfinie, avec un renouvellement régulier des pouvoirs d’urgence par les personnes mêmes qui les exercent? Qui savait que cela pouvait se faire au nom de la santé et de la sécurité, alors que les personnes qui meurent à cause des mesures spéciales sont plus nombreuses que celles qui meurent à cause de la menace sanitaire qui les requiert prétendument? Qui savait que pour « protéger » les soins de santé, le gouvernement pouvait en annuler une grande partie ou en rendre l’accès difficile; construire et doter en personnel des camps de quarantaine au lieu d’hôpitaux, alors que ni les uns ni les autres ne sont nécessaires; imposer des mandats coercitifs qui violent les principes les plus fondamentaux du Code de Nuremberg; licencier les médecins et les travailleurs de la santé qui s’opposent aux tactiques malhonnêtes et osent dénoncer les mensonges du gouvernement?
Lire la suiteLe cardinal Burke nous met en garde et nous parle du plan diabolique du covid et de la Grande Réinitialisation à venir
Par le Cardinal Raymond Leo Burke (Blogue de Guy Boulianne) — Photo : Alpha News/YouTube
Loué soit Jésus-Christ. Nous venons à Notre-Dame de Guadalupe le jour de sa fête avec le cœur troublé et lourd. Notre nation traverse une crise qui menace son avenir libre et démocratique. La propagation mondiale du matérialisme marxiste, qui a déjà causé la destruction et la mort de tant de personnes et qui a menacé les fondements de notre nation pendant des décennies et semble maintenant s’emparer du pouvoir gouvernant notre nation pour réaliser des gains économiques. Nous, en tant que nation, nous nous sommes autorisés à devenir dépendants du Parti communiste chinois et de l’idéologie, totalement opposés aux fondations chrétiennes sur lesquelles les familles et notre nation restent en sécurité et prospèrent.
Je parle des États-Unis d’Amérique, mais il est évident que de nombreuses autres nations sont en proie à une crise similaire, des plus alarmantes. Ensuite, il y a le mystérieux virus de Wuhan, sur la nature et la prévention duquel les médias nous donnent quotidiennement des informations contradictoires. Ce qui est clair, cependant, c’est qu’il a été utilisé par certaines forces hostiles aux familles et à la liberté des nations pour faire avancer leur programme diabolique. Ces forces nous disent que nous sommes maintenant les sujets de la soi-disant grande réinitialisation, la nouvelle normalité qui nous est dictée par leur manipulation des citoyens et des nations, par l’ignorance et la peur.
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