Journaliste canadien : les incendies d’église en cours sont l’équivalent canadien de BLM aux É.-U.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
Au moment de publier cette traduction, il y a 47 églises qui ont été brûlées ou vandalisées au Canada, suite à la propagande médiatique et gouvernementale sur les pensionnats autochtones — deux de plus qu'hier quand j'ai lu la première fois cette article. Je constate qu'au moins ce mouvement criminel n'a pas encore atteint le Québec où aucune église n'a été jusqu'à maintenant endommagée, en rapport avec cette affaire. — A. H.
Canada, 15 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le rédacteur en chef de Rebel News, Ezra Levant, a déclaré à Tucker Carlson, animateur de FOX News, que les multiples incendies criminels d’églises au Canada représentent le « moment Black Lives Matter » de la nation, et il a dénoncé le quasi-silence des principaux dirigeants de la nation concernant ces incendies.
« C’est l’équivalent canadien du moment où les Black Lives Matter ont brûlé des entreprises appartenant à des Noirs dans des quartiers noirs ─ cela n’aide pas les Noirs », a déclaré Levant à Carlson la semaine dernière.
La découverte de tombes non marquées sur le terrain de pensionnats, aujourd’hui fermés, autrefois gérés par l’Église dans certaines régions du Canada, a fait l’objet d’une importante couverture médiatique. Quelque temps plus tard, près de 40 églises, pour la plupart catholiques, ont été incendiées ou vandalisées.
Une carte en ligne publiée par True North News montre l’emplacement de ces églises.
« Tout à coup, le Canada ressemble beaucoup à l’Union soviétique », a commenté Carlson.
« Vous avez l’impression que nous exagérons un peu ? Eh bien, ils brûlent des églises catholiques et anglicanes ces derniers jours. Ce sont des groupes gauchistes qui font cela. Mais les dirigeants du Canada ne condamnent pas l’incendie des églises. Non, ils les approuvent. », a-t-il poursuivi.
Lire la suiteL’effet de serre financier
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Celui qu’il faut stopper en priorité
Les médias nous répètent, depuis des années et de façon sans cesse plus stridente, que le carbone est un gaz à Effet de Serre et que nos émissions ont un impact climatique. Dans le pire des cas, nous dit-on, le climat du Québec ressemblera un jour à celui de la Virginie et la production agricole mondiale augmentera de 30 %. Pour éviter cette catastrophe, nous devons tous, individuellement et collectivement, réduire notre Empreinte Carbone pour ainsi stopper le processus d’effet de serre. D’ailleurs, quand une enfant comme Greta Thunberg s’énerve à propos du climat elle devient aussitôt, comme par magie (la magie du Cartel et de ses médias), une célébrité planétaire, inspirant des millions de jeunes à devenir, comme elle, des écolos-stupides au service de l’agenda mondialiste.
Mais, ceci dit, le climat planétaire n’est pas le sujet de cet article. Je veux décrire, ici, d’un autre effet de serre qui est différent et beaucoup plus dangereux. Cet effet représente une menace beaucoup plus immédiate et extrême que les changements climatiques. Pour le contrer nous devons, individuellement et collectivement, réduire une autre empreinte, notre Empreinte Cartel.
L’effet de serre est ainsi nommé parce qu’on avait observé que le toit vitré des serres retenait la chaleur radiante créant une boucle de rétroaction qui augmentait la température à l’intérieur de la serre. Dans certaines situations, cet effet pourrait même causer une boucle de rétroaction irréversible augmentant la chaleur de façon incontrôlée. Le carbone dans l’atmosphère aurait, selon le narratif mondialiste, un effet similaire à l’effet de serre mais à l’échelle de la planète, causant des perturbations climatiques.
Un processus de rétroaction similaire à l’effet de serre est en cours, depuis des années, dans le domaine financier. En effet, une part croissante des flux de devises générés par la consommation de masse aboutit entre les mains d’un Cartel mondialiste* qui réutilise ces fonds pour accentuer la propagande médiatique, les narratifs d’endoctrinement, la corruption des officiels et toutes sortes d’autres manipulations sociales qui, à leur tour, augmentent notre dépendance à la consommation de masse ce qui augmente encore le pouvoir du cartel de façonner la société en fonction de ses objectifs. Cette réutilisation des flux de devises de la consommation de masse pour manipuler les comportements sociaux génère un Effet de Serre Financier. Ce processus a corrompu les élites du monde occidental, empoisonné notre culture et menace maintenant de nous enfermer dans un esclavage technocratique. Ce danger dépasse, de loin, la menace climatique. Cet effet a permis au Cartel d’amplifier et d’orienter les narratifs médiatiques concernant le climat pour justifier une prise de contrôle totalitaire de nos sociétés alors qu’une humanité bien gouvernée pourrait sans doute s’adapter aux changements climatiques et même en tirer profit.
Lire la suiteHaine antichrétienne : quatorze églises brûlées ou vandalisées au Canada
Incendie de l'église Saint-Jean-Baptiste de Morinville en Alberta.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Oui, quatorze églises ont été brûlées ou vandalisées au Canada ces derniers temps, suite à la découverte (ou redécouvertes plutôt) de centaines de tombes non marquées sur le site d’anciens pensionnats autochtones, tenus autrefois pour la plupart par l’Église catholique, dans le cadre d’un programme créé par le gouvernement canadien. Une vague de haine, de délire et d’accusations irrationnelles à l’encontre de l’Église s’en est suivie, soigneusement attisée par les médias et le gouvernement. Comment la réaction aurait-elle pu être différente puisqu’on insinue que l’Église a réalisé une sorte de génocide autochtone par le biais de ces pensionnats ?
Onze églises catholiques, une anglicane, une église presbytérienne et une autre église protestante en tout ont été l’objet d’incendies suspects ou de vandalisme — dont onze à Galgary seulement selon un rapport de police, la plupart dans la nuit du 1er juillet, rapporte le Galgary Herald rapporte :
- Saint Bonaventure Catholic Church au 1600 Acadia Dr. S.E.
- Saint Elizabeth of Hungary Catholic Church au 819 13th Ave. S.W.
- Saint Mary’s Cathedral au 219 18th Ave. S.W.
- Sacred Heart Church and Columbarium au 1307 14th St. S.W.
- Grace Presbyterian Church au 1009 15th Ave. S.W.
- Saint Luke’s Parish u 1566 Northmount Dr. N.W.
- Holy Trinity Church at 1525 45th St. S.E.
- Saint Anthony’s Catholic Parish au 5340 4th St. S.W.
- All Nations Full Gospel Church au 1403 8th Ave. S.E.
- Saint Joseph Catholic Church u 640 19th Ave. N.W.
- Assumption of the Blessed Virgin Mary Ukrainian Catholic Church au 704 6th St N.E.
Plusieurs églises vandalisées — statue de Jésus couverte de peinture rouge, graffitis sur les portes — portaient des messages peints en rouge, tels que : « Condamnez les prêtres », « Nos vies comptent » ou encore « 751 » — sans doute par allusion aux 751 tombes récemment découvertes sur l’ancien site de la Marieval Indian Residential School en Saskatchewan, rapporte le Galgary Herald.
L’église catholique Saint-Jean-Baptiste de Morinville, située au nord d’Edmonton en Alberta, a été réduite en cendre le 30 juin, rapporte Le Devoir
L’église catholique Sainte-Kateri-Tekakwitha, sur le territoire de la première nation mi’kmaq Sipekne’katik au nord d’Halifax en Nouvelle-Écosse, a été endommagée par un incendie le 30 juin, selon Le Devoir.
L’église anglicane St. John’s, située sur la réserve des Six Nations en Ontario, a pris feu le 14 juin, rapporte Horizon Québec Actuel.
Lire la suiteCanada : une combinaison dangereuse de sentiments antichrétiens systémiques et sociétaux
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shankar s./Flickr
25 juin 2021 (LifeSiteNews) — Récemment au Canada, il y a eu un autre assaut de critiques contre l’Église catholique à la suite des tristes nouvelles concernant le système des pensionnats. LifeSite a couvert ce sujet en détail, mais il suffit de dire qu’à la suite de ces nouvelles, le sentiment anticatholique a augmenté chaque jour. Le mois de juin est souvent un mois difficile pour les catholiques fidèles, en raison du mouvement de la « fierté » et de l’animosité que celui-ci suscite à l’égard de l’Église. Mais, je peux dire que durant toutes mes années de vie catholique et d’éducateur dans des écoles catholiques, je n’ai jamais vu une telle intolérance religieuse dans mon pays, audacieuse et effrontée, envers la simple existence des catholiques.
Les 16 derniers mois de confinements à répétition ont été assez difficiles pour les catholiques et les autres chrétiens du Canada, car les églises ont été fermées pendant de longues périodes en raison de prétendus décrets de santé publique. Une grande partie de la résistance publique contre les fermetures a eu lieu dans les milieux protestants, bien que la majorité des confessions se soient conformées entièrement aux mandats injustes du gouvernement. Malheureusement, les évêques catholiques ont largement abandonné leurs ouailles, certains ayant même interdit l’administration du sacrement du baptême — un développement inexcusable, c’est le moins qu’on puisse dire.
Quoi qu’il en soit, comme la société a continué à se polariser dans différentes directions en raison des confinements, le ressentiment envers les personnes qui font des choses « non essentielles » s’accroît. Bien sûr, chaque fois qu’il y a un événement politiquement opportun, des hordes de personnes et de politiciens peuvent se rassembler en grandes foules, violant ostensiblement les décrets de confinement. Mais si les chrétiens protestent en disant qu’ils devraient pouvoir simplement faire ce qu’ils ont fait pendant 20 siècles... c’est inacceptable pour le public.
Non seulement il y a eu des scènes sinistres de pasteurs protestants arrêtés ou empêchés d’entrer dans leur bâtiment, mais il y a également eu des procès sur la liberté de religion dans plusieurs provinces où les juges ont statué contre la pratique de la religion. Par exemple, dans un cas survenu en Colombie-Britannique en mars, un juge de la Cour suprême de la province a conclu que les ordonnances de santé publique violaient effectivement les libertés religieuses. Mais, comme les autres droits prévus par la Charte, ils sont soumis à des limites raisonnables. Dans cette même décision, il a également été déclaré que, puisque les gens pouvaient toujours pratiquer leur culte dans des « ciné-parcs » [cinémas en plein air où l’on reste dans sa voiture] ou dans l’intimité de leur maison, il n’y avait donc pas de véritable attaque contre les chrétiens. Ce n’est là qu’une des nombreuses décisions similaires qui ont été rendues depuis le début de la pandémie.
Lire la suiteLe moment Titanic
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Une légère secousse annonce la fin d’un monde
Les superstitieux peuvent célébrer ces temps-ci ! Si jamais il y a eu un moment où un alignement planétaire a coïncidé exactement avec un événement immense, c’est bien le 21 décembre 2020, jour de la conjoncture de Saturne et Jupiter. En effet, ces planètes se rencontraient au même moment que l’ordre mondial de l’après-guerre s’écroulait devant le putsch planétaire des mondialistes. Les astrologues vous diront que cette conjoncture signale la fin de l’Ère bimillénaire du Poisson et le début de celle du Verseau. Eh bien, ils n’auraient pas pu trouver une date plus probante !
Nous avons connu, pendant les neuf mois qui ont précédé cette conjoncture astrale, la plus grande mutation sociale de notre génération et peut-être de tous les temps. Nous avons vécu, en ce court laps, l’effondrement de l’ordre mondial de l’après-guerre, l’affaissement des démocraties nationales, la trahison généralisée des élites, la fin de la liberté de droit, la destruction de l’histoire et la marginalisation de tous les codes moraux traditionnels, chrétiens et autres, qui fondent nos sociétés. Tout a été bouleversé et pourtant on dirait en cet été 2021 que nous ne traversons qu’une crise sanitaire passagère. C’est un moment Titanic.
Quand un iceberg a éventré la coque du Titanic, le condamnant sans appel à sombrer, les passagers n’ont perçu qu’une légère secousse. Pendant un certain temps la vie à bord a continué apparemment inchangée, mais dans un climat irréel. On soupait, on lisait, on conversait, on faisait des plans d’avenir comme si tout était pareil. Seule une certaine anxiété, à peine perceptible, flottait dans l’air. Pourtant, la catastrophe, encore invisible, avait déjà commencé.
Nous vivons un moment semblable en cet été 2021, mais à l’échelle de la planète. Sur le Titanic, ce moment d’illusion a persisté pendant environ une demi-heure. À l’échelle planétaire, elle s’étale sur quelques années. Avec la « pandémie », le communisme mondialiste a éventré notre monde et détruit les fondements qui le soutiennent, mais nous n’avons encore perçu qu’une légère secousse. On planifie des barbecues, on fait des plans de vacances, on parle de « sortie de crise »… seule une certaine anxiété flotte dans l’air.
Lire la suiteAncienne journaliste de FOX : les médias et l’OMS taisent des rapports sur l’efficacité de l’Ivermectine et de l’HCQ sur le covid
Ivory Hecker.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
28 juin 2021 (LifeSiteNews) — Les grands médias suppriment les informations sur l’efficacité de l’Ivermectine comme traitement du coronavirus, selon une ancienne journaliste de la chaîne FOX.
Ivory Hecker a déclaré que FOX l’a censurée lorsqu’elle a essayé de faire un reportage sur l’efficacité de l’Ivermectine. Elle a récemment publié une vidéo qui semblait inclure des séquences datant de 2020 que son employeur n’a pas diffusées.
Le Dr Joseph Varon est surnommé le « chasseur de COVID ». Il a fait des centaines d’apparitions dans les médias sur des chaînes d’information aux États-Unis et à l’étranger.
Il a également connu un grand succès dans le traitement du COVID car il a utilisé des médicaments comme l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine (HCQ) pour traiter le COVID.
« Presque tous les médias ont omis de noter », a déclaré Hecker, « qu’en utilisant ces médicaments, le Dr Varon a obtenu un faible taux de mortalité chez ses patients, dans les hôpitaux. »
Mme Hecker a interrogé Dr Varon, et celui-ci a déclaré que les médias refusent d’inclure ses commentaires sur l’Ivermectine dans leurs reportages.
Finally covering the story on COVID drug treatments that I wasn’t allowed to air on FOX.
— Ivory Hecker (@IvoryHecker) June 24, 2021
A look at why one Houston hospital has a dramatically lower COVID death rate than anywhere else and the ways the media skated around the facts at that hospital.https://t.co/1XHZYrtGHy
Untold stories of the pandemic:
— Ivory Hecker (@IvoryHecker) June 25, 2021
Manuel Espinoza is one of thousands who went to Dr. Joseph Varon and received a treatment protocol for COVID-19 that the WHO and CDC recommend against. According to him, that’s what saved his life.
Watch the full report: https://t.co/1XHZYrtGHy pic.twitter.com/Ie3LiC4CZm
« Je n’ai aucun problème à dire aux gens que c’est un médicament [HCQ]. Je le prendrais moi-même si je tombais malade et devais être hospitalisé », a déclaré Dr Varon à un média local de Houston l’année dernière.
La couverture de l’affaire par Mme Hecker a suscité l’ire des responsables gouvernementaux, mais a été saluée par d’autres.
« Les salles de presse américaines évitent activement cette histoire de vie et de mort qui change le monde. L’Ivermectine est dissimulée à la vue de tous, tandis que les bureaucrates cherchent des excuses pour ne pas utiliser des médicaments bon marché, réutilisés et efficaces. Comment est-ce possible ? » a écrit Bret Weinstein sur Twitter.
L’Hydroxychloroquine (HCQ), qui est bon marché et largement disponible, est un médicament utilisé pour traiter le paludisme, le lupus et l’arthrite.
« Une recherche publiée par medRxiv cette semaine a révélé que l’hydroxychloroquine, lorsqu’elle est associée à l’azithromycine, pourrait augmenter le taux de survie au coronavirus de près de 200 % chez les patients ventilés qui ont une version sévère du COVID-19 », a rapporté le Washington Examiner le 11 juin.
« Quelques mois plus tard, le Henry Ford Health System a publié une étude montrant que l’hydroxychloroquine aidait les patients gravement atteints du coronavirus à se rétablir », rapporte le média.
Ce qu’on ne dit jamais : certains Autochtones ont grandement apprécié leur pensionnat
Élèves autochtones au pensionnat d'Assiniboia, Winnipeg, Manitoba.
Par LifeSiteNews — Traduction de Richard Décarie — Photo : BiblioArchives/Flickr
Noëlville, Ontario 28 juin 2021 (LifeSiteNews) — Alors que les églises catholiques du Canada sont vandalisées ou incendiées, il est bon de se rappeler que deux éminents autochtones ont attribué à leurs pensionnats le mérite de leur réussite dans la vie. Il s’agit du dramaturge cri de renommée mondiale Tomson Highway et de la défunte chef de bande dénée d’Inuvik, Cece Hodgson-McCauley. En outre, un certain nombre de personnes ont écrit des récits à la sénatrice Lynn Beyak, aujourd’hui à la retraite, témoignant avoir eu des expériences positives ou avoir entendu des récits de première main de bonnes expériences dans les pensionnats. En 2015, Tomson Highway a déclaré au désormais défunt Huffington Post Canada qu’il avait passé neuf des « années les plus heureuses » de sa vie dans un pensionnat. L’école, appelée le pensionnat Guy Hill, était gérée par les Missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Né dans le nord du Manitoba, Highway a été envoyé au pensionnat à l’âge de six ans et y est resté jusqu’à l’âge de 15 ans, rentrant chez lui pour les deux mois de vacances d’été. Il a ensuite été mis en pension dans des familles d’origine européenne tout en terminant ses études secondaires à Winnipeg. « Tout ce qu’on entend, ce sont les choses négatives ; personne ne s’intéresse au positif, à la joie dans cette école », a déclaré Highway au journaliste Joshua Ostroff à propos de Guy Hill. « Neuf des années les plus heureuses de ma vie, je les ai passées... dans cette école », a-t-il poursuivi. « J’ai appris votre langue, pour l’amour de Dieu. Avez-vous appris ma langue ? Non, alors qui est le privilégié et qui est le défavorisé. »
M. Highway a laissé entendre qu’il y avait autant d’histoires « positives » sur les pensionnats que d’histoires « négatives » entendues par l’enquête « Vérité et réconciliation du Canada » sur le système de pensionnat qui a vu des dizaines de milliers d’enfants des communautés nordiques emmenés loin de leurs familles pour leur éducation. Il a également attribué à son école sa réussite, et aux autres pensionnats la réussite d’autres anciens élèves. « Vous avez peut-être entendu des histoires négatives de la part de 7 000 témoins dans le processus », a déclaré le dramaturge primé. « Mais ce que vous n’avez pas entendu, ce sont les 7 000 rapports qui étaient des histoires positives. Il y a aujourd’hui beaucoup de gens qui ont réussi dans ces écoles, qui ont des carrières brillantes et qui sont des gens très fonctionnels, très heureux, comme moi. J’ai une carrière internationale florissante, et cela ne serait pas arrivé sans cette école ».
« La vérité les ronge parce qu’ils ont peur de parler du bon côté du pensionnat »
Cece Hodgson-McCauley a été la première femme chef parmi les 23 chefs de bande des Territoires du Nord-Ouest du Canada. Chroniqueuse de longue date pour le Northern News Service, Mme Hodgson-McCauley a écrit en 2012 une description de ce qu’elle a appelé « L’autre côté du pensionnat ». Lorsque sa mère est morte, la future chef avait six ans et son frère deux ans et demi. Son père était trappeur et n’avait donc « pas d’autre choix » que d’envoyer ses enfants au pensionnat de Fort Providence, administré par des religieuses, pour qu’ils soient pris en charge pendant l’année scolaire. « J’ai passé 10 ans là-bas, rentrant chaque été pour les vacances sur le bateau de la mission », écrit Hodgson-McCauley. « Les nonnes nous ont appris tellement de choses. Je me souviens seulement d’une nonne qui était très stricte et d’une autre qui nous faisait trop prier. Dans chaque société, il y a des gens qui ont des personnalités qui sont du mauvais côté », a-t-elle poursuivi. « Mais je peux jurer sur la Bible que mon séjour au couvent a été bon. Nous mangions trois repas par jour, pas fantaisistes mais nourrissants, beaucoup de loisirs, chaque hiver ils nous construisaient un grand toboggan et nous nous amusions à glisser et nous faisions beaucoup de pique-niques en été et en hiver nous faisions des promenades en foin, en traîneau tiré par des bœufs. » « On posait des collets à lapins et on mangeait du lapin. Ils avaient du pemmican, c’est de la viande pilée que les indigènes apprécient grandement. Ils nous ont appris à tricoter des bas pour nous-mêmes, à faire des perles fantaisie pour les mocassins et à faire du travail à la plume, de deux à douze plumes. Nous avons appris à faire nos propres robes, ils nous ont appris à cuisiner et à faire le ménage. » « Les garçons avaient le hockey et le baseball. Les garçons autochtones essayaient toujours de battre les garçons métis, c’était très amusant. » Hodgson-McCauley décrit ses années à l’école comme les meilleures de sa vie. « Ma famille dit la même chose, ma sœur ne jure que par elle », a-t-elle déclaré à un intervieweur. « Nous avons été traités merveilleusement bien ».
Lire la suiteUn prêtre aux évêques du Canada : il est temps de rouvrir pleinement les églises
Par le Père Louis Di Rocco — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : magdiel macoquis/Pixabay
18 juin 2021
Il est temps que les évêques du Canada déclarent unilatéralement et à l’unisson que les églises catholiques rouvriront au maximum de leur capacité, immédiatement et sans restriction. C’est urgent. Il faut le faire avant que nos droits religieux et civils ne soient complètement érodés et que votre autorité ne soit irrémédiablement sapée.
À mon avis, il n’y a pas d’urgence pandémique maintenant et il n’y en a jamais eu. Nous avons été trompés.
Dès le début, une panique et une peur extrêmes ont été créées par diverses forces, notamment les gouvernements, les médias, les organisations privées et les grandes entreprises technologiques.
Pour la plupart des gens, il n’y a aucun danger lié au Covid-19. Des milliers de médecins du monde entier ont témoigné que la grande majorité de la population n’a rien à craindre (la principale exception étant les personnes âgées présentant des comorbidités préexistantes).
En outre, il existe des méthodes de prévention et de traitement de l’infection très efficaces et peu coûteuses. Malheureusement, ces méthodes ont été délibérément supprimées, voire interdites. Qui sait combien de vies auraient pu être sauvées si le bon sens avait prévalu ?
En Ontario, l’Ordre des médecins et des chirurgiens a intimidé les médecins. Il a été interdit aux médecins de faire des déclarations critiquant les mesures imposées par les autorités, telles que le port du masque, la vaccination et le confinement, ou faisant la promotion de traitements « non validés » pour le Covid-19.
La plupart des églises ont appliqué les décrets tels que le port du masque et même la fermeture des églises, empêchant ainsi les fidèles d’assister à la messe et limitant même parfois sévèrement l’accès aux autres sacrements. De manière injuste et discriminatoire, le nombre de personnes autorisées par le gouvernement dans les églises a été beaucoup plus faible que le nombre de personnes autorisées dans les commerces considérés comme essentiels tels que les magasins d’alcool et les magasins à grande surface. Il semble que Dieu, l’église et les sacrements aient été jugés non essentiels. Le gouvernement a jugé que l’avortement et l’euthanasie étaient essentiels, mais pas les églises.
Des médecins et d’autres personnes ont souligné les graves dommages collatéraux causés par le confinement, tels que la faillite d’entreprises, la perte de moyens de subsistance, l’augmentation des dépressions, l’isolement social, l’abus d’alcool et de drogues et même la tentation du suicide, ainsi que les dommages psychologiques subis par les enfants et la perte d’apprentissage chez les plus jeunes en particulier.
Il faudra peut-être de nombreuses années aux églises pour retrouver leurs paroissiens. Beaucoup ne reviendront peut-être pas à l’église, certains peut-être parce qu’ils reprochent à leurs chefs et pasteurs de les avoir abandonnés, et d’autres parce qu’ils se sont habitués à ne pas assister en personne à la messe et à la regarder à la télévision. Quand la dispense de l’obligation d’assister à la messe dominicale sera-t-elle levée ?
Lire la suiteÊtre comme une arche au milieu d’un déluge de démence
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Nata-Tene
« Flotte et contiens »
Les mesures sanitaires, la campagne de vaccination et des agendas sociaux de plus en plus extrêmes divisent notre société. Un clivage s’opère entre une majorité qui se soumet aux directives et accepte les agendas, d’une part, et une minorité de plus en plus marginalisée de libertaires et de chrétiens qui rejettent les discours du pouvoir et s’opposent aux ingérences de l’État. Le clivage se creuse. Ceux qui adhèrent aux mesures et reçoivent les vaccins se rangent dans le camp de l’État et l’appuient maintenant sans question. Comme je l’ai déjà mentionné, l’injection a une dimension idéologique très forte. C’est un rituel d’acceptation. Celui qui se fait injecter entérine, de facto, les discours du pouvoir. Heureusement, cette dimension n’est probablement pas perçue par la majorité des gens. Cependant, elle agit sur les comportements et les opinions. Ceux qui s’opposent par contre, perçoivent de plus en plus le régime comme une entité menaçante et les médias comme des organes de propagande. Parmi ces réfractaires, certains appartiennent à des groupes tandis que d’autres sont des individus plus ou moins isolés.
Dans cet article, je réfléchis au cas des réfractaires chrétiens qui se retrouvent isolés, marginalisés et incompris de leurs proches et de leurs connaissances. Ici, ce sera une aînée frêle qui vit en résidence et refuse mordicus de se faire vacciner ; là, un travailleur que les collègues traitent de « complotiss » et que le patron menace de renvoi ; ailleurs, un conjoint que sa femme et sa famille ne comprennent plus. Chacun d’eux devient de plus en plus marginalisé, prenant conscience, dans l’indifférence générale, que quelque chose de monstrueux se déploie derrière la façade sanitaire et qu’il ne s’agit pas d’une crise passagère.
Devant ce clivage et les tensions qu’il crée, certains se demandent pourquoi résister quand on est impuissant devant un pouvoir immense. Puisque la majorité embarque et qu’on ne peut rien y changer, pourquoi pas faire comme les autres et passer à autre chose ? Après tout, quand on est des « petites gens », se dit-on, ces questions nous dépassent ; suivons les consignes et attendons que ça passe. Pourquoi s’obstiner quand on est insignifiant et que c’est futile de résister ?
Lire la suiteProfesseur d'université : le véritable enjeu de la lutte autour du covid est spirituel
Le professeur Edward Curtin.
Par Edward Curtin (Edward Curtin) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Edward Curtin, trouvée sur transcend.org
Après quinze mois de lectures assidues, d’études, d’observations et de recherches, je suis parvenu à certaines conclusions au sujet de ce qu’on appelle le COVID-19. Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail de manière obsessionnelle tant il me semblait important. J’ai consulté des informations et des arguments dans tous les médias, qu’ils soient corporatifs ou alternatifs, universitaires, médicaux, tirés de livres, etc. J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web du CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations de santé gouvernementales et non gouvernementales. En d’autres termes, je n’ai négligé aucune piste, malgré les tendances politiques manifestes ou cachées des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que nombre de mes sources soient des médecins et des études médicales.
Mes conclusions succinctes suivent, sans liens vers les sources, car je n’essaie pas de persuader qui que ce soit de quoi que ce soit, mais simplement d’énoncer pour le public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.
- Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version du COVID-19 présentée par les médias corporatifs. J’en ai conclu que des millions de personnes sont en état de transe et ne le savent pas. Elles ont été mises dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est appuyée sur la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont à l’origine de cette campagne ont sans doute étudié la forte incidence de l’hypocondrie dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour susciter l’obéissance.
- Je ne sais pas mais je soupçonne que ceux qui ont été ainsi hypnotisés ont tendance à être principalement des membres des classes moyenne et supérieure, c’est-à-dire ceux qui ont si profondément cru au système. Cela inclut des personnes hautement scolarisées.
- Je sais que le fait d’enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, d’insister pour qu’elles portent des masques inutiles, de leur dire d’éviter les contacts humains, de détruire la vie économique des gens ordinaires a créé une vaste souffrance qui était censée donner une leçon aux gens sur qui contrôlait la situation et leur imposer de revoir leur conception des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de substituer à la réalité humaine en chair et en os, en face à face.
- Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas détecter le prétendu virus ou tout autre virus et que, par conséquent, tous ces nombres de cas et de décès ne sont basés sur rien. Ils sont apparus, hors de nulle part, dans un acte massif de magie. Je sais que la croyance que l’on peut ainsi tester a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020 qui est devenu la méthode standard pour tester le SRAS-CoV-2 dans le monde entier. Je suis sûr que cela était planifié et faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole fixait le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que des résultats faussement positifs. On les appelait alors des cas : il s’agit d’un acte de fraude à grande échelle.