Google supprime les annonces payées par Live Action pour faire connaître le remède à la pilule abortive
Par Cassy Fiano-Chesser (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Post
16 septembre 2021 (LiveAction) — La journaliste du Daily Beast, Emily Shugerman, a publié un article à charge critiquant Live Action pour une campagne publicitaire promouvant l’inversion de la pilule d’avortement. Shugerman, qui est ardemment pro-avortement et a travaillé pour attaquer la loi texane Heartbeat Act, a soutenu que l’inversion de la pilule abortive (APR) est dangereuse et non prouvée, et a cité une litanie de militants de l’industrie de l’avortement pour faire valoir son point de vue. L’article s’appuie sur un rapport du Center for Countering Digital Hate, qui indique que les publicités de Live Action ont été vues des millions de fois sur Facebook et Google.
L’industrie de l’avortement s’oppose à l’inversion de la pilule abortive car cette pratique met en doute que toutes les femmes qui choisissent l’avortement sont certaines de leur décision, et aussi parce qu’environ 40 % de tous les avortements se font aujourd’hui par la méthode de la pilule abortive ─ une source de revenus importante pour l’industrie.
Shugerman a commencé par remettre en question l’histoire de Rebekah Hagan, qui a témoigné avoir commencé le processus d’avortement par pilule, mais l’a immédiatement regretté. Elle a choisi d’essayer la méthode d’inversion de la pilule abortive, et affirme que cela a sauvé la vie de son fils ─ mais Shugerman insinue que cette histoire a été inventée, écrivant : « C’est du moins ce que des dizaines de publicités sur Facebook voudraient vous faire croire. »
Censure en ligne
Le 10 mai 2021, Live Action a placé des annonces stratégiques sur Google qui informaient les femmes de la possibilité d’inverser le processus de la pilule abortive, ce qui implique un traitement avec une hormone de grossesse sûre appelée progestérone, qui est utilisée en toute sécurité depuis des décennies comme traitement standard pour prévenir les fausses couches. L’objectif du traitement APR est de surpasser les effets de blocage de la progestérone de la mifépristone, également connue sous le nom de pilule abortive. Ce traitement aurait déjà sauvé la vie de plus de 2 500 enfants, avec un taux de réussite de 68 %.
Lire la suiteLes décès de personnes âgées abandonnées en résidence, attribués à tort au covid
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : cineberg/AdobeStock
Au printemps 2020, on a rapporté un pic de décès plus élevé que la moyenne des autres années sur la même période — bien que le total annuel de décès au Canada n’eût pas significativement augmenté — attribuant la cause de ces décès au covid-19. La plupart des personnes dites décédées « à cause » du covid durant le printemps 2020 étaient d’âge avancé (en moyenne 86 ans, ou au-dessus de la moyenne canadienne de décès) et vivaient alors en résidences. La « vague » de décès servit alors d’appui aux mesures « sanitaires » du gouvernement, tant canadien que québécois, qui pouvait donc prétendre essayer de préserver sa population (âgée) des dangers du virus chinois. Cependant, comme les témoignages de plus en plus nombreux indiquent d’autres causes de décès chez les résidents de ces maisons de soins, le prétexte du gouvernement aussi bien que ses agissements sont-ils encore justifiés (si cela seulement eût pu le justifier) ?
Dans The Globe and Mail, l’on rapporte que le Coroner du Québec, dans le cadre de son enquête sur les décès survenus au printemps 2020 dans les résidences, a tenu audience mardi dernier, recevant un lourd et tragique témoignage d’une infirmière auxiliaire de la résidence Herron.
Le journal rapporte que le covid a servi de prétexte pour couvrir le terrible abandon dont ont fait l’objet les résidents en mars 2020 :
Lire la suiteLe covid-19 a été cité à plusieurs reprises comme cause de décès au foyer de soins Herron pour masquer le fait que des dizaines de résidents âgés sont morts de soif, de malnutrition et de négligence, a-t-on appris mardi lors d’une enquête du Coroner du Québec.
Dans un témoignage émouvant, une infirmière auxiliaire a rappelé que l’établissement situé dans l’ouest de l’île de Montréal était déjà mal géré avant la crise, que la plupart de ses employés ont abandonné leur poste lors de l’éclosion de coronavirus, et que l’autorité sanitaire locale a ensuite pris le relais de manière autoritaire et inefficace.
Elle a décrit les discussions sur la question de savoir s’il fallait trier les résidents de telle sorte que ceux qui étaient en train de mourir ne soient pas nourris.
Les 40 Jours pour la Vie prochainement à Sherbrooke — ou la raison d’un traitement médiatique particulier
40 Jours pour la Vie à Montréal, au coin de Berri et Sainte-Catherine, si vous désirez y aller.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Augustin Hamilton
Je ne sais si vous le savez, nous avons décidé d’organiser à Sherbrooke, pour la première fois, une vigile des 40 Jours pour la Vie du 22 septembre au 31 octobre, parallèlement à la vigile de Montréal que nous comptons bien continuer.
Avant de continuer mon propos, il faut que je vous précise en quoi consistent les 40 Jours : les 40 Jours pour la Vie sont une vigile devant durer, comme son nom l’indique, une quarantaine de jours, 12 heures par jour, à un emplacement fixe et de préférence à proximité d’un lieu où sont perpétrés des avortements. Par la prière, le jeûne, leur présence ainsi que quelques messages véhiculés par le moyen de pancartes les pro-vie y participant visent à sauver la vie d’enfants à naître de l’avortement et à éviter aux femmes de commettre un geste aussi horrible. Ce mouvement a été lancé par l’organisme américain 40 Days for Life en 2003 au Texas, et depuis des centaines de vigiles sont tenues en même temps dans le monde par des groupes pro-vie, deux fois par an.
Or, faisant tranquillement nos préparatifs, rencontres, réunions et autres choses susceptibles d’entrer dans l’organisation d’un tel événement, quelle ne fut pas notre surprise de voir que l’on nous consacrait au moins six articles dans les médias et un communiqué de presse de l’Archevêché de Sherbrooke !
Le ton varie d’un article à l’autre, allant du presque neutre au totalement méprisant. Sur la page de 107,7 Estrie, on peut entendre Martin Pelletier deviser sur les groupes pro-vie au Québec, dont particulièrement Campagne Québec-Vie (CQV), comme s’il s’agissait d’une sorte de mammouths disparus depuis peu, mais que, ô surprise, il en existerait encore (et ça remue, dis donc) ! Au cours de son émission du 2 septembre, M. Pelletier appela au téléphone Brian Jenkins, vice-président de CQV, où il l’interrogea avec circonspection et un visible dégoût pour le mouvement pro-vie (il aurait au moins pu lui dire qu’il était sur les ondes…). Son point principal, en lui posant des questions, était les possibles épithètes que des femmes se rendant à un avortoir se seraient fait lancer par des manifestants pro-vie lors de précédents événements. Quel serait le comportement des participants à la vigile ? Dans toutes ces questions et le ton de voix emprunté, on pouvait voir que M. Pelletier essayait de noircir l’image des 40 Jours pour la Vie, et des pro-vie en général (pourquoi n’a-t-il pas posé une question ou deux sur le comportement réellement plus hostile des pro-avortement ?). Après, M. Pelletier interrogea complaisamment Kathie Morin, abondant dans les présupposés de ladite dame comme quoi, entre autres, l’avortement n’était choisi qu’en ultime recours et que les autres choix avaient été envisagés par la femme… (Mais que cela change-t-il au fait de l’humanité de l’enfant à naître ?)
Nous eûmes un meilleur traitement avec La Tribune qui écrivit sur notre compte un article plutôt neutre, et où l’on rapporte :
Lire la suiteLa vigile prévue à Sherbrooke est la première qu’organise Campagne Québec-Vie en dehors de Montréal.
« Au départ, on avait envisagé Québec et Trois-Rivières, mais on a remarqué, depuis quelques années, qu’il y a un noyau important de personnes de Sherbrooke qui assistent à la Marche nationale pour la vie qui a lieu à Ottawa au mois de mai, explique Brian Jenkins. Il semble y avoir à Sherbrooke une sensibilité particulière à l’égard des valeurs pour la vie. »
Si tout se déroule comme prévu, la vigile de Sherbrooke se mettra en branle à 7 h, le 22 septembre et prendra fin à 19 h le 31 octobre. Pendant 40 jours, des militants pro-vie se relaieront à un endroit déterminé près de la Clinique de planning du CIUSSS de l’Estrie-CHUS.
Le porte-parole de Campagne Québec-Vie insiste sur le caractère pacifique de cette vigile. Chacun des participants doit d’ailleurs signer un document l’engageant à respecter les directives et la réglementation entourant une telle activité.
La conscience personnelle
Par Paul-André Deschesnes — Photo : jiradet ponari/AdobeStock
Nous vivons maintenant dans un monde postmoderne où l’être humain s’autoproclame autonome, roi et maître de lui-même, de sa destinée et de la création ; sa vie lui appartient du commencement jusqu’à la fin et il n’y a personne au-dessus de lui.
Nous vivons dans une ère toxique, infestée de sophismes, de mensonges, de faussetés et de relativismes tous azimuts. L’orgueil règne en maître dans nos sociétés complètement déboussolées, où les lois naturelles, les commandements de Dieu, les dogmes, l’éthique, la morale catholique, l’enseignement sur les péchés capitaux et les vertus théologales sont méprisés et ridiculisés. Chaque personne est devenue dieu et gère sa propre vie à sa convenance. De toute façon, l’au-delà n’a pas d’importance. Pour une grande partie de la population, l’athéisme et l’agnosticisme sont maintenant la nouvelle religion. Quant aux croyants, une époustouflante pastorale à l’eau de rose leur annonce qu’il n’y a ni enfer, ni purgatoire ; alors, tout le monde ira directement au ciel. Dans ce contexte jovialiste, il n’y a aucune raison de préparer sérieusement son éternité sur cette terre.
Pendant que la confusion règne allègrement dans notre monde dit civilisé et très avancé, ne faudrait-il pas se poser une question existentielle et fondamentale : « Où en sommes-nous rendus avec la notion de conscience personnelle » ?
Malheureusement, à moins d’avoir de grandes œillères, nous devons constater que cette petite voix (la conscience) ne parle plus très fort à beaucoup de monde. Elle nous abreuve très souvent de mensonges et de fausses doctrines. Elle est très manipulée par les nouvelles valeurs de notre monde moderne. Elle est même livrée très souvent au pouvoir du Malin !
On peut se demander aujourd’hui comment, en toute conscience, les êtres humains peuvent accepter comme normaux et banals l’avortement (un meurtre) et l’euthanasie (un assassinat). Les consciences ont-elles été lessivées, fluorées, anesthésiées, intoxiquées et transformées par nos nouvelles idéologies barbares ? Les individus sont-ils devenus des êtres inconscients, tellement manipulés par les forces du mal que leur conscience ne leur dit plus rien ? Sont-ils peut-être équipés maintenant d’une conscience post-moderne à toute épreuve qui leur crie haut et fort que le Mal est devenu le Bien ?
Mais qui aujourd’hui forme ou déforme la conscience de nos populations vulnérables ? Les médias, l’intelligentsia athée, les artistes, les maisons d’enseignement, la télévision, le cinéma, l’internet, les politiciens, la publicité mensongère, les grands spécialistes de tout acabit, etc. qui nous alimentent continuellement d’une nourriture nocive pour prendre possession de notre conscience afin de faire triompher leur idéologie satanique.
Attention ! La rectitude politique nous oblige actuellement de passer tout cela sous silence, car il faut bien plaire à la foule en délire. Il ne faut surtout pas faire de vagues, ni de débats sur tous ces sujets à controverses ! Voilà une timide position qui est devenue très populaire, même dans notre Église catholique.
Lire la suiteMédias et CDC occultent le fait que la «flambée» de covid de juillet avait pour épicentre un village de vacances LGBT
Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Fabio/AdobeStock
3 août 2021, Provincetown, Massachusetts (LifeSiteNews) — Les Centers for Disease Control (CDC) ont semé la panique cette semaine lorsqu’ils ont révélé qu’au cours de la première moitié du mois de juillet, il y avait eu un pic important de cas de COVID-19 [ce qui ne signifie pas grand-chose*] émanant d’une pittoresque destination touristique de bord de mer, où 74 % des personnes infectées étaient des personnes entièrement vaccinées.
Pourquoi une éclosion épidémique s’est-elle déclarée dans ce petit village situé à l’extrémité de Cape Cod et non dans l’une des milliers d’autres stations balnéaires qui bordent les côtes américaines ou dans tout autre lieu de fête, urbain ou rural ?
Ce que le CDC ne mentionne pas dans son rapport, et que les médias grand public veulent vous faire oublier, c’est à quel point Provincetown est différente de la plupart des autres stations balnéaires.
Provincetown est la Mecque américaine des vacances d’été pour les LGBT, et pendant les deux semaines qui se sont écoulées entre le 3 et le 17 juillet, lorsque les cas se sont multipliés, des dizaines de milliers de gays ont envahi la station balnéaire.
Le CDC, les médias nationaux et la Maison-Blanche occultent tous l’évidence afin de déclencher une nouvelle obligation de port de masque et d’autres mesures strictes de confinement : ce n’est pas une question de masques insuffisants ou de confinement. Il s’agit de ce qui se passe lorsque des milliers d’hommes convergent pour se livrer à la sodomie récréative.
Le CDC
Les personnes qui ont contracté le COVID-19 ont déclaré « avoir assisté à des événements intérieurs et extérieurs très fréquentés dans des lieux tels que des bars, des restaurants, des chambres d’hôtes et des maisons de location », indique le rapport du CDC, qui ne s’interroge pas sur le rôle que les rapports sexuels décontractés et souvent anonymes entre hommes ou groupes d’hommes ont pu jouer dans la transmission du redoutable virus.
Remarque : qu’est-ce qui est le plus susceptible de faciliter la transmission du COVID-19 : des personnes sans masque rassemblées pour le 4 juillet — ou des milliers de rencontres homosexuelles avec des inconnus et des connaissances ?
Lire la suiteJustin Trudeau, le dictateur pro-mort du Canada
Justin Trudeau.
Par Peter Borromeo (peterborromeo.com) — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec permission — Photo : Lovers lounge/Flickr
Pour se préparer à prendre le contrôle absolu du peuple, les marxistes en Chine et en Russie, et les nazis en Allemagne ont créé des divisions parmi les citoyens, désignant des groupes distinctement identifiables à considérer comme des ennemis. Une fois les préjugés inculqués, les citoyens maltraitaient et attaquaient les groupes ciblés. Le gouvernement donnait son approbation tacite par son silence ou en encourageant la violence. C’était le cas pour les Juifs en Allemagne. Les nazis présentaient les Juifs comme la cause de tous les problèmes du pays. Ce préjugé instillé à l’égard des Juifs a conduit à des attaques violentes et à la persécution de ceux-ci par leurs concitoyens. En fin de compte, ce sont les nazis qui ont déclenché le génocide des Juifs, tandis que la population générale, pleine de préjugés, est restée les bras croisés pendant que l’holocauste se déroulait.
Lorsque les régimes communistes ont pris le contrôle de certains pays, ils ont mis la main sur les médias afin de maîtriser et de subvertir la population. Ils ont également reconnu que l’Église catholique est une religion universelle (mondiale) qui enseigne que toute vie humaine est sacrée pour Dieu et que la famille nucléaire est fondamentale pour établir une société juste. L’Église condamne formellement le communisme comme un mal et, par conséquent, les communistes interdisent la pratique de la foi catholique. En introduisant le divorce sans faute et en légalisant la contraception, l’avortement et l’euthanasie, les communistes tentent de détruire l’Église et la famille nucléaire. Cependant, ils savent qu’être humain, c’est être religieux et ils ne peuvent donc pas se contenter de laisser un vide, mais ils veulent plutôt introduire une nouvelle religion où les gens vénéreront l’État.
Le contrôle des médias grand public est essentiel pour exercer le contrôle souhaité par les marxistes sur la population. La Société Radio-Canada (SRC), qui a un passé de partialité anti-chrétienne, est financée par les contribuables à hauteur d’un milliard de dollars par an. Selon le journaliste Derek Fildebrandt, Trudeau a progressivement influencé le contenu de divers médias et magazines par un long processus de réglementation, d’octroi de licences et de subventions. Écrivant dans le journal Western Standard le 10 octobre 2020, il a révélé comment l’infiltration marxiste a permis à Trudeau de mener à bien son plan visant à placer l’ensemble des médias canadiens sous la supervision du gouvernement.
« Dans son budget 2019, le gouvernement Trudeau a déployé près de 600 millions de dollars de subventions pour les médias sélectionnés qui obtiennent l’approbation du gouvernement fédéral. Désormais, l’écrasante majorité des médias canadiens est achetée et payée par le gouvernement fédéral. En particulier, par le Parti libéral, qui a accordé de généreuses subventions des contribuables aux médias qui se conforment à ses diktats. »
La « presse libre », qui est essentielle à la protection de la démocratie canadienne, a été achetée par Trudeau et, comme telle, n’existe plus.
Ayant réussi sur ce front, Trudeau a présenté au Parlement un projet de loi qui donnerait à son gouvernement le contrôle du contenu des médias sociaux. Il n’a pas été en mesure de mener à bien cette facette de son plan avant que le Sénat n’aille en vacances d’été. Si des élections sont déclenchées entre-temps [ce qui est le cas*], le projet de loi mourra, mais s’il est réélu, il peut et veut réessayer. Les libéraux ont déjà rédigé une proposition de ce qu’ils aimeraient voir figurer dans cette nouvelle législation. La majeure partie de cette proposition est remplie de sujets tels que les discours haineux et l’incitation à la violence, qui sont déjà couverts par la législation existante. La répétition de ces questions a pour but de dépeindre les opposants au projet comme étant en faveur de ces crimes, tout en dissimulant ce qu’ils cherchent réellement à accomplir. C’est-à-dire censurer ce qu’ils considèrent comme un discours nuisible dirigé contre eux-mêmes. En cas de succès, critiquer Trudeau et d’autres politiciens sur les médias sociaux pourrait devenir une infraction.
Lire la suiteDes avortements tardifs perpétrés au Québec sous prétexte de « pandémie »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (couleurs modifiées) : Prostock-studio/AdobeStock
Pétition : Non à l’avortement tardif au Québec
Le covid a bon dos, on lui fait endosser tout et n’importe quoi, même le fait que les avortements tardifs de Québécoises soient accomplis au Québec au lieu d'être commis aux États-Unis comme d’habitude ; il serait plus honnête de dire que ce sont les mesures « sanitaires » qui font en sorte qu’il n’est plus possible d’envoyer des femmes se faire avorter chez les Étatsuniens.
TVA Nouvelles, qui rapporte l’affaire, clame que la « pandémie » a « obligé » le réseau de santé du Québec à commettre des avortements tardifs, ce qui s’avérerait compliqué pour les « soignants » qui affrontent un climat « hostile » dans le milieu hospitalier. TVA rapporte les propos d’un anonyme — à qui on peut bien lui faire dire ce qu’on veut :
« À chaque cas, on change d’hôpital. C’est un bordel effrayant, avoue un gestionnaire du dossier, qui a requis l’anonymat pour éviter des représailles. Ce n’est pas facile de développer le service rapidement. »
Des « représailles » ? Encore l’exagération rhétorique des pro-avortement. Sans doute que des collègues, justement horrifiés, font savoir franchement leur désapprobation à ces bouchers qui, puisqu’ils tuent des bébés à terme, devraient être assez bardés côté sensibilité. J’espère bien, en effet, que ces individus rencontrent l’hostilité et la désapprobation du milieu médical !
Ne manquant pas l’occasion, l’article de TVA affirme que l’avortement est un « droit sans restriction au Canada », ce qui est un demi-mensonge ; l’avortement est certes sans restriction au Canada, mais il n’est pas un droit.
Lire la suiteL’Université de Saskatchewan interdit à ses étudiants en médecine de faire un stage à un centre de grossesse pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Blue Planet Studio/AdobeStock
L’Université de Saskatchewan à Saskatoon, sous la pression d’étudiants pro-avortement, n’accepte plus le Saskatoon Pregnancy Options Centre, centre pro-vie d’aide aux femmes enceintes, comme lieu de stage pour ses étudiants en médecine. Et les pro-avortement de tous poils de se réjouir, rapporte Pete Baklinski sur Campaign Life Coalition (CLC) :
Les militants de l’avortement qui se disent « pro-choix » ont ironiquement crié « victoire » suite à la décision d’une université canadienne de restreindre le choix des étudiants en médecine en leur interdisant d’effectuer un stage dans un centre de soins de grossesse pro-vie.
Le Collège de médecine de l’Université de Saskatchewan a décidé la semaine dernière que le Saskatoon Pregnancy Options Centre « ne sera pas inclus comme option de site de stage à l’avenir », selon une lettre du 20 juillet signée par les hauts responsables du Collège. Cette décision a été prise après que des étudiants militants pro-avortement eussent fait campagne pour que le collège revienne sur sa décision initiale autorisant les étudiants à être placés au centre de grossesse.
Le groupe pro-avortement Action Canada s’est réjoui de la nouvelle sur Twitter plus tôt cette semaine.
« Une victoire ! @USaskMedDean a décidé de mettre fin au placement d’étudiants dans un centre de grossesse critique anti-choix. Félicitations aux étudiants à l’avant-garde de ce combat », a écrivait sur Twitter l’organisation.
La Coalition pour le droit à l’avortement au Canada est également intervenue, félicitant ceux qui avaient fait campagne auprès de l’université pour limiter le choix des options de placement des étudiants.
« Merci au groupe Gender Engagement in Medicine pour son travail, et aux anciens étudiants qui ont parlé de leurs expériences négatives de stage au CPC », a déclaré le groupe pro-avortement sur Twitter.
L’ironie des groupes « pro-choix » célébrant la restriction des choix des étudiants n’a cependant pas échappé aux Canadian Physicians for Life.
« C’est malheureusement le comble de l’ironie que ceux qui se disent “pro-choix” se réjouissent de réduire les choix des autres », a déclaré le groupe de médecins pro-vie sur Twitter.
Les médias pro-avortement, qui ne sont jamais en reste quand il s’agit de dénigrer les pro-vie, a employé l’événement, si l’on peut dire, que représente la décision de l’université pour dénigrer le Saskatoon Pregnancy Options Centre, rapporte l’article de CLC :
La CBC a utilisé son reportage pour colporter la désinformation d’un étudiant en médecine qui a déclaré que le Pregnancy Options Centre, selon les termes du reportage de la CBC, « diffuse intentionnellement des informations erronées sur les avortements pour effrayer et intimider les femmes ».
Insinuation évidemment fausse, accusant le centre pro-vie de mentir.
Voici pourquoi « la pandémie des non-vaccinées » est un mensonge
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pathdoc/AdobeStock
21 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Depuis plusieurs jours, les médias grand public diffusent en boucle des informations selon lesquelles 99 % des décès dus au COVID-19 concernent des personnes non vaccinées. En plus de l’absence de données — il existe en fait des preuves du contraire — cette information est devenue la base d’un flot de propagande déshumanisante qui qualifie la moitié de la population adulte américaine et la plupart des enfants qui n’ont pas reçu les vaccins expérimentaux COVID-19 d’« usines à variants » et d’« incubateurs » de maladies.
Cette propagande ressemble effroyablement à celle des premiers nazis, qui qualifiaient les « sales Juifs » de propagateurs de maladies et suscitaient une peur et une haine irrationnelles chez des millions de personnes dans la société allemande. C’était un message gouvernemental utilisé pour justifier la mise en quarantaine d’un peuple, sa famine, puis son anéantissement.
« Écoutez, la seule pandémie que nous ayons est parmi les non-vaccinés — et ils tuent des gens », a déclaré Joe Biden aux journalistes vendredi.
Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), a tenu des propos similaires plus tôt dans la journée : « Cela devient une pandémie de personnes non vaccinées ».
Deux jours plus tard, le Directeur général de la santé Vivek Murthy a annoncé que « 99,5 % des décès dus au COVID-19 dans notre pays concernent des personnes non vaccinées ». La seule solution, disait-il, était que tout le monde se fasse vacciner.
C’était soit un mantra, soit un programme de propagande gouvernementale manifestement orchestré pour inciter les gens à se faire vacciner. Le programme de publicité à trois milliards de dollars n’avait pas séduit 51 % des Américains. Le scénario du « sale non-vacciné » est utile pour contraindre ceux qui ne veulent pas du nouveau produit pharmaceutique. Il s’agit d’une violation des principes du code de Nuremberg, qui a été mis en place après les violations des droits de l’homme commises par l’Allemagne nazie, afin de protéger les personnes contre la participation à des expériences médicales contre leur gré. Étant donné que tous les vaccins contre le coronavirus actuellement disponibles aux États-Unis font encore l’objet d’essais cliniques pendant au moins un an, ils sont expérimentaux par définition.
Les principes universellement acceptés, tels que le consentement éclairé et la liberté médicale, inscrits dans le code de Nuremberg, n’ont cependant plus d’importance. Aujourd’hui, les ardents défenseurs de la « liberté de choix » lorsqu’il s’agit du « droit » des gens à arracher des bébés à naître du ventre de leur mère sont soudainement arrogants et dogmatiques quant aux choix médicaux des autres. Ainsi, Kathleen Sebelius, ancien pilier enthousiaste de l’avortement « pro-choix » et secrétaire d’État à la santé et aux services sociaux sous Barack Obama, a déclaré, par exemple : « C’est très bien de ne pas choisir de vous faire vacciner », mais « vous ne pouvez pas venir travailler ».
Lire la suiteL’armée mondialiste
L'armée d'Hannibal à la bataille de Zama.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Planétaire, multisectorielle et cohésive
C’est quand un animal bouge qu’il se révèle. En 2020, les forces mondialistes ont accéléré la cadence de leurs activités et sont sorties de l’ombre. Une opération d’envergure mondiale est maintenant en cours. Elle se déroule avec une précision militaire. Or, là où il y a une opération, ça signifie qu’il y a aussi une organisation. Comme on dirait dans le militaire, il y a du SMEAC* derrière tout ça. Mais quelle est la forme de cette organisation, quels sont ses composantes et ses mécanismes ?
Je n’ai pas la réponse définitive à ces questions mais je commence à entrevoir les contours. Je vais décrire, ici, la composition et la structure de l’armée mondialiste telle que je la perçois présentement. Je dis bien « armée », car, malgré sa composition diversifiée, il s’agit d’une organisation hiérarchique capable d’effectuer des opérations complexes et coordonnées. Les opérations de cette organisation se déroulent à l’échelle de la planète et intègrent des décisions administratives, des distributions massives de produits, des résultats « scientifiques » ciblés, des actions politiques et policières, le tout soutenu et justifié par des narratifs médiatiques uniformisés. Cela signifie la présence d’un système mondial de Commandement et de Contrôle.
Comme dans n’importe quelle armée, les forces qui tentent d’imposer le Nouvel Ordre Mondial sont donc hiérarchiques. Il s’agit d’une organisation pyramidale avec, en haut, un groupe restreint qui prend des décisions stratégiques et en bas, une troupe nombreuse d’activistes qui cassent des vitres et intimident les opposants. Je distingue cinq niveaux ou strates dans cette organisation. Ils sont, de haut en bas : le Cartel, les Gnomes, les Kapos, les Lieutenants et les Brutes. Examinons-les tour à tour :
Le Cartel**. Au plus haut niveau on trouve le Cartel. Celui-ci est composé des grands investisseurs et des PDG des plus grandes multinationales. Les membres du Cartel comprennent les grandes fortunes (Rothschild, Rockefeller, Bush, Windsor…), quelques individus (Gates, Bezos, Zuckerberg), et la haute direction des principales multinationales de la planète. Ces dernières constituent un monopole effectif à l’échelle mondiale. Ce monopole n’est pas restreint à un seul secteur d’activité (comme nos banques canadiennes, par exemple, qui forment un monopole effectif dans le secteur financier) mais couvrent un éventail de secteurs (finance, médias, pharmaceutiques…). Comme dans tout monopole, ces organisations se soutiennent mutuellement effectuant des actions concertées qui les bénéficient toutes.
Les membres du Cartel sont un groupe restreint de quelques centaines d’individus (quelques milliers tout au plus). Ces gens sont physiquement disséminés mais évoluent dans le même environnement et partagent la même culture (mêmes écoles privées, hôpitaux, jets personnels, châteaux, clubs exclusifs, paradis fiscaux, prostitution de luxe…). Ils interagissent constamment entre eux. Les membres du Cartel vivent, en quelque sorte, dans un village global ; un genre de mini pays, invisible et sans frontières, dont les composantes sont éparpillées ici et là (surtout où il fait beau et chaud).
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