La CBC continue d’affirmer l’existence non prouvée de tombes anonymes, laissant entendre que le « négationnisme » devrait être criminalisé

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
15 novembre 2024 (LifeSiteNews) — La Canadian Broadcasting Corporation (CBC) continue d’avancer l’affirmation non prouvée que des tombes anonymes ont été découvertes sur les terrains d’anciens pensionnats [amérindiens], tout en appelant implicitement à la criminalisation du « négationnisme des pensionnats ».
Dans un article publié le 31 octobre, la CBC, financé par l’État, a mis en avant d’anciens élèves des pensionnats qui ont appelé à punir le « négationnisme des pensionnats », laissant entendre que les citoyens devraient être punis pour avoir nié l’existence de tombes anonymes malgré le fait qu’aucun corps n’ait été retrouvé.
« Les survivants des pensionnats demandent au Canada de criminaliser le négationnisme des pensionnats, faisant ainsi écho à l’une des conclusions d’un rapport sur les tombes anonymes et les lieux de sépulture associés à ces institutions », a déclaré le média financé par le gouvernement.
Lire la suiteLes pro-vie veulent offrir de l’aide aux femmes près des avortoirs

Brian Jenkins dans le parc Lahaie, en face de la clinique Morgentaler qui était de l'autre côté du boulevard Saint-Joseph.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Campagne Québec-Vie
Campagne Québec-Vie (CQV) est actuellement en procès contre les zones-bulles de 50 m entourant les lieux où les avortements sont opérés, qui interdisent de « tenter de dissuader une femme » d’obtenir un avortement, afin de pouvoir offrir de l’aide à ces femmes enceintes qui, parfois, pensent qu’elles n’ont pas d’autres choix que de recourir à l’avortement.
Georges Buscemi et Brian Jenkins de CQV ainsi que la Dre Roseline Lebel Caron ont contesté la semaine dernière devant la juge Lysane Cree de la Cour supérieure du Québec la loi québécoise établissant les zones-bulles.
Comme je le disais plus haut, ce que nous demandons, c’est de pouvoir proposer aux femmes se rendant à la clinique d’avortement de l’aide. Pourquoi donc, diront certains ? Parce que l’avortement est un geste terrible où l’on met fin à la vie d’un enfant à naître, un geste qui va à l’encontre de la nature même de la femme et qui peut entraîner de vifs regrets, ainsi que des séquelles physiques et psychologiques. Certaines femmes d’ailleurs désireraient pouvoir garder leur enfant : c’est pour cela que nous voudrions être là pour les y aider.
Or, à 50 m du lieu où sont opérés les avortements, beaucoup moins de femmes auront la chance de voir notre message. D’ailleurs, c’était l’intention du législateur Gaétan Barrette, alors ministre de la Santé, de nous éloigner afin que nous ayons moins d’impact, négatif selon lui, mais positif selon nous.
Lire la suiteLes médias pro-LGBT déforment fortement la vérité sur le mouvement transgenre

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
26 septembre 2024 (LifeSiteNews) — PinkNews se présente comme « la plus grande et la plus influente marque de médias LGBTQ+ au monde », et se vante que leur prétendu « contenu primé à plusieurs reprises est à la pointe de l’actualité culturelle, créé à travers un objectif unique et inclusif ». En réalité, ce site internet est le bras armé de la propagande la plus extrême du mouvement LGBT, et ses « journalistes » servent de chiens d’attaque à des militants transgenres délirants et de plus en plus violents.
Comme l’a souligné Douglas Murray, qui dénigre fréquemment le site, utiliser « PinkNews comme source conduit à l’erreur construite sur l’erreur et à la méchanceté basée sur la méchanceté ».
En effet. Prenons l’exemple de leur principal « article » du 23 septembre :
Lire la suiteDes experts médicaux ont averti que des « dizaines de milliers » de personnes transgenres en Angleterre pourraient ne pas bénéficier de dépistages vitaux du cancer. Le Congrès mondial sur le cancer, qui s’est tenu à Genève du 17 au 19 septembre, a souligné l’importance des dépistages réguliers du cancer du sein et du col de l’utérus pour la communauté transgenre. Or, les hommes transgenres ne bénéficient actuellement d’aucun dépistage du cancer du sein ou du col de l’utérus. Les femmes trans dont les informations chez leur médecin généraliste ne correspondent pas à leur sexe [de naissance] ne se voient pas non plus proposer de dépistage du cancer du sein, bien que le NHS reconnaisse que l’utilisation d’un THS combiné (un médicament contenant des œstrogènes et de la progestérone) peut légèrement augmenter les risques de cancer du sein.
Elon Musk charge le Los Angeles Times qui s’interroge sur la « moralité » d’avoir des enfants

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Freepik
17 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le magnat de la technologie favorable à la liberté d’expression, Elon Musk, a critiqué un média d’extrême gauche pour avoir fait honte aux parents d’avoir des enfants.
Dans un message publié le 14 septembre sur X, Elon Musk a blâmé le Los Angeles Times d’avoir dénigré les personnes qui souhaitent mettre des enfants au monde, sous prétexte que cela pourrait aggraver le « changement climatique ».
« Les extinctionnistes veulent un holocauste pour toute l’humanité », a déclaré Elon Musk.
Ce message était une réponse à un article publié le 11 septembre par le Los Angeles Times, intitulé « Il est presque honteux de vouloir avoir des enfants ».
L’article, rédigé par un professeur d’« études sur le genre et la sexualité », remet en question la moralité d’avoir des enfants, compte tenu de la situation politique et « climatique » actuelle.
Lire la suiteUne femme est-elle morte à cause de l’interdiction de l’avortement aux États-Unis ? Non…

Amber Thurman et son fils en 2020.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Facebook
Les grands médias se sont jetés goulûment sur un triste fait divers survenu aux Etats-Unis : une femme est morte après avoir contracté une septicémie consécutive à la prise de pilules abortives, et c’est la faute — bien entendu — à la révocation de Roe v. Wade qui a permis à certains Etats de repénaliser l’avortement. Amber Thurman, 28 ans, aurait pu être sauvée si l’hôpital qui l’accueillit n’avait pas eu peur de pratiquer une procédure de dilatation et curetage (D&C) pour vider son utérus alors que l’avortement chimique avait été incomplet. Les faits étaient survenus en août 2022, alors que l’Etat de la victime, la Géorgie, venait d’interdire les avortements à plus de six semaines de grossesse : les médecins auraient tant attendu pour lui prodiguer les soins nécessaires, qu’elle en serait morte.
Une récente publication sur le média ProPublica s’est fondée sur la consultation de « documents confidentiels » pour déclarer qu’il s’agissait du premier décès officiellement déclaré « évitable » lié à un avortement non procuré. L’article, très court, complètement à charge et écrit depuis un point de vue ouvertement « pro-IVG », donne peu de détails permettant de justifier son point de vue.
Lire la suiteLes médias glorifient le célèbre avorteur qui considère la grossesse comme une « maladie »

L'avorteur Warren Hern.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Image : capture d'écran vidéo/PBS News
27 août 2024 (LifeSiteNews) — Le Dr Warren Hern tue des bébés à terme dans l’utérus depuis des décennies. Beaucoup des enfants qu’il démembre pourraient survivre en dehors de l’utérus. Dans son livre Abortion Practice publié en 1990, le Dr Hern note que la destruction des corps des bébés dans l’utérus à 30 semaines — ou même à 22 ou 25 semaines — peut être un travail difficile. « Les sensations de démembrement passent à travers les forceps comme un courant électrique », écrit-il. La vie commence dès la conception ; pour des milliers de personnes, elle s’arrête à la clinique de Hern à Boulder, dans le Colorado.
Hern est l’un des seuls avorteurs à accepter de pratiquer des avortements tardifs. Pour cette raison, il a été acclamé par la presse — surtout depuis la chute de l’arrêt Roe v. Wade. L’activité de Hern a augmenté d’environ 50 % depuis l’affaire Dobbs, et un avortement tardif à sa clinique coûte environ 6 000 dollars. Un portrait élogieux publié en 2023 par The Atlantic indique qu’à plusieurs reprises, des bébés sont sortis vivants de l’utérus malgré tous les efforts déployés par M. Hern :
Une ou deux fois, lors d’une intervention à 15 ou 16 semaines, il a utilisé des forceps pour retirer un fœtus dont le cœur battait encore. Le cœur n’a battu que quelques secondes avant de s’arrêter. Mais longtemps après, une vision de ce fœtus réveillait Hern de son sommeil. Il pouvait voir, dans son esprit, le corps de l’enfant de quelques pouces de long et son cœur, qui battait, battait, battait.
Aucun de ces détails n’apparaît dans un profil récent, publié par le Los Angeles Times. L’article, rédigé par Robin Abcarian, est un reportage flatteur destiné à présenter l’avortement tardif — qui horrifie encore la plupart des Américains — comme une œuvre de bienfaisance. Le titre : « Warren Hern est l’un des rares médecins pratiquant des avortements tardifs dans le pays. C’est ce qui le motive ». Hern a aujourd’hui 86 ans, mais il est toujours en activité. Abcarian souligne les nombreuses menaces auxquelles il a été confronté au fil des ans, ainsi que le harcèlement verbal dont il a fait l’objet. Elle rappelle son amitié avec George Tiller, l’avorteur clandestin assassiné à Wichita en 2009.
« Il n’est pas étonnant que Hern affiche son mépris pour les opposants à l’avortement », écrit Mme Abcarian, sans se demander — même brièvement — pourquoi quelqu’un pourrait s’opposer à ce travail difficile, qui consiste à démembrer des bébés presque à terme et à reconstituer leurs corps comme des puzzles sanglants pour s’assurer qu’aucun membre n’est resté dans l’utérus. Elle note qu’il sort un mémoire — intitulé sans hésitation « L’avortement à l’âge de la déraison » — et passe en revue les détails désormais bien connus des décennies qu’il a passées dans l’industrie de l’avortement.
Elle note, avec admiration, que Hern « n’a pas peur des choses difficiles » — les choses difficiles étant que l’avortement tardif implique la destruction d’un enfant dans l’utérus :
« Toute notre expérience évolutive consiste à prendre soin des petites créatures sans défense, y compris les bébés humains », a-t-il déclaré. « C’est le problème bioculturel central de cette question ».
Récemment, il m’a raconté qu’un jeune médecin qu’il formait s’était senti obligé de quitter la salle d’opération lors d’une intervention sur une femme enceinte de 34 semaines. « Je lui ai dit qu’il n’y avait rien de mal à ressentir cela ».
Il lui est arrivé de devoir se recueillir en privé après une intervention.
Pendant des décennies, Hern a défendu la position iconoclaste selon laquelle la grossesse n’est pas différente de la maladie. Dans presque tous les cas, l’accouchement est bien plus dangereux que l’avortement.
« La grossesse n’est pas un état bénin », écrit-il. « Elle peut vous tuer. » Il cite le médecin français du XVIIe siècle François Mauriceau qui décrit la grossesse comme une « maladie de neuf mois ».
« Le traitement de choix de la grossesse est l’avortement, à moins que la femme ne veuille mener sa grossesse à terme et avoir un bébé », conclut-il. « C’est un point de vue odieux pour ceux qui croient que le but des femmes, à part donner du plaisir aux hommes et faire le ménage, est d’avoir autant de bébés que possible ».
La logique est profondément tordue, mais elle a une sorte de sens malsain : si la grossesse est une maladie, alors l’avortement est un soin de santé. Si la grossesse est une maladie, alors le bébé est une tumeur qu’il faut enlever. La plupart des médecins traitent l’infertilité comme un problème de santé ; pour Hern, c’est la grossesse qui est la maladie. Il ne s’agit pas d’une hyperbole — comme l’a noté Live Action, Hern a écrit que les êtres humains sont un « cancer planétaire » que l’avortement peut traiter : « L’espèce humaine est un exemple d’écotumeur maligne, une prolifération incontrôlée d’une seule espèce qui menace l’existence d’autres espèces dans leurs habitats ».
Et malgré ses spasmes de conscience momentanés à la vue d’un bébé en morceaux, il dit à Abcarian qu’il trouve toujours de la « joie » dans son travail. « Je l’adore », lui a-t-il dit. Le but de ce portrait est de faire en sorte que l’Amérique l’aime aussi.
Elon Musk : De héros écologique à paria de la liberté d’expression

Elon Musk.
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Justin Pacheco/Wikimedia Commons
L’acharnement contre Elon Musk dans les médias a pris une tournure particulièrement virulente depuis qu’il a acquis Twitter (maintenant X) et rétabli une certaine liberté d’expression sur la plateforme, un geste que certains individus et groupes influents ne semble pas lui pardonner, notamment à l’approche des élections américaines. Longtemps encensé pour son rôle de pionnier écologique avec Tesla, Musk est désormais la cible de nombreuses critiques, principalement en raison de son opposition à la censure sur les réseaux sociaux et de sa volonté de défendre des voix conservatrices marginalisées.
Cette volte-face médiatique est révélatrice de la tolérance limitée des élites pour la dissidence, malgré leurs discours en faveur de la « liberté d’expression ». Le soutien de Musk à un discours pluraliste a provoqué une véritable chasse aux sorcières à son encontre, surtout dans le contexte d’une campagne électorale où les médias préfèrent maintenir un récit unilatéral.
Bien que la vie personnelle de Musk, tout comme celle de Donald Trump, puisse prêter à controverse et ne soit pas un modèle à suivre, il faut reconnaître que Musk aborde des questions essentielles, notamment la crise démographique. Dans plusieurs déclarations, Musk a exprimé son inquiétude face à la baisse dramatique des taux de natalité dans le monde, affirmant que le déclin démographique représente une menace pour la civilisation elle-même. Cette position va à l’encontre du discours dominant sur la surpopulation, soutenu par des figures telles que Bill Gates, et souligne la nécessité d’encourager la croissance familiale et la natalité.
L’acharnement actuel contre Musk, autrefois célébré par ces mêmes médias, montre clairement que ceux-ci ne tolèrent pas les voix dissidentes. Tant qu’il soutenait les idéaux écologiques progressistes, il était un héros. Mais en permettant la libre expression sur X, il est devenu un paria. Ce double standard démontre que la liberté d’expression est trop souvent conditionnée par les intérêts politiques et économiques des élites.
Retour sur la Journée nationale de refus du drapeau de la fierté

Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : smolaw11/Adobe Stock
Les médias ont largement occulté la couverture de notre deuxième Journée annuelle nationale de refus du drapeau de la « fierté », mais la vérité doit être dite, d’où cette mise à jour.
Ces journées de retrait (des élèves) ont été organisées pour protester contre l’insidieux endoctrinement LGBT dans les salles de classe dans tout le Canada, et nous les avons planifiées pour qu’elles coïncident avec tous les jours où les écoles étaient susceptibles de hisser le drapeau de la fierté LGBT en l’honneur du Mois de la fierté transgenre et homosexuelle.
Nous pensons que ce fut un succès retentissant, tout comme l’année dernière, et j’en donnerai les preuves dans quelques instants.
Les conseils scolaires et les grands médias cachent les taux d’absentéisme
Malheureusement, nous n’avons pas d’accès direct aux chiffres de l’absentéisme.
Croyez-le ou non, chaque commission scolaire demanderait des centaines de dollars si nous soumettions une demande de liberté d’information pour obtenir les chiffres des absences entre le 31 mai et le 4 juin. Je suppose que ces frais sont leur façon de contourner la loi sur la liberté d’information, afin de s’assurer qu’il est difficile pour le public de savoir ce qui se passe. Tant pis pour la transparence !
En 2023, après la première Journée nationale de refus des drapeaux de la « fierté », nous avons pu confirmer des taux d’absence compris entre 30 et 75 % dans de nombreux conseils scolaires.
Lire la suiteArnold Viersen face à la meute

Arnold Viersen.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Parti libéral de Justin Trudeau s’en prend à l’un des députés pro-vie les plus fidèles de la Chambre des communes, Arnold Viersen, député conservateur de la circonscription albertaine de Peace River-Westlock. En fait, il est le président du caucus parlementaire pro-vie sur la colline du Parlement.
Malheureusement, M. Viersen a été attaqué par le Parti libéral, les médias libéraux et même par... le chef du Parti conservateur, Pierre Poilievre.
Voici ce qui s’est passé...
M. Viersen a accepté d’être interviewé dans une émission en ligne par le député libéral Nate Erskine-Smith au sujet de son projet de loi C-270 visant à protéger les enfants de la pornographie en ligne. L’émission a été publiée le vendredi 31 mai.
Au cours de l’entretien, Erskine-Smith lui a demandé s’il souhaitait que l’avortement soit interdit, ce à quoi Viersen a répondu que lui et d’autres pro-vie « veulent qu’il soit illégal. Nous voulons que l’humanité des enfants à naître soit reconnue ».
L’animateur lui a également demandé comment il voterait si un hypothétique projet de loi sur le mariage homosexuel devait voir le jour.
En tant que chrétien fervent qui a toujours été fièrement pro-famille, M. Viersen a répondu honnêtement à la question de savoir comment il agirait dans une telle situation : « Je voterais contre le mariage homosexuel ».
Les libéraux et leurs alliés dans les médias ont réagi comme s’il s’agissait de déclarations surprenantes de la part d’un député socialement conservateur de longue date.
Lire la suiteUne magnifique marche pour la vie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Augustin Hamilton
Quelle splendide journée ! Quelle magnifique marche ! Nous avons été plus de mille pro-vie réunis à Québec le 1er juin sous un soleil resplendissant pour manifester au nom de l’enfant à naître. Et ce, malgré l’hostilité et l’incivilité des contre-manifestants pro-avortement...
La joie était palpable alors que les gens arrivaient et se rassemblaient en attendant le début de l’événement, jusqu’à ce qu’arrivent les fauteurs de troubles.

Photo : Augustin Hamilton.
Il faut dire un mot à propos du début de la journée. Tôt le matin, des pro-avortement avaient tracé des graffitis sur les trottoirs et les murets entourant la Fontaine de Tourny, disant : « Mon corps mon choix ». Après un petit rajout de quelque pro-vie, le message était très différent !

Photo : CQV.
Avant que débute l’événement, quelques dizaines de contre-manifestantes sont arrivées avec des tambours, des tambourins, des seaux, des sifflets, des crécelles et autres objets propres à faire du bruit en scandant des slogans et faisant tout le tintamarre dont elles étaient capables. Ce qui était prévu à l’origine avec la police de Québec, c’est que les pro-vie tiennent leur réunion devant l’Assemblée nationale tandis que les pro-avortement se tenaient de l’autre côté du bâtiment. Ensuite, quand les pro-vie se seraient mis en marche, les pro-avortement allaient venir devant l’Assemblée puis laisser la place quand les pro-vie seraient revenu. En principe, nous ne devions jamais nous voir.
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