Elon Musk charge le Los Angeles Times qui s’interroge sur la « moralité » d’avoir des enfants
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Freepik
17 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le magnat de la technologie favorable à la liberté d’expression, Elon Musk, a critiqué un média d’extrême gauche pour avoir fait honte aux parents d’avoir des enfants.
Dans un message publié le 14 septembre sur X, Elon Musk a blâmé le Los Angeles Times d’avoir dénigré les personnes qui souhaitent mettre des enfants au monde, sous prétexte que cela pourrait aggraver le « changement climatique ».
« Les extinctionnistes veulent un holocauste pour toute l’humanité », a déclaré Elon Musk.
Ce message était une réponse à un article publié le 11 septembre par le Los Angeles Times, intitulé « Il est presque honteux de vouloir avoir des enfants ».
L’article, rédigé par un professeur d’« études sur le genre et la sexualité », remet en question la moralité d’avoir des enfants, compte tenu de la situation politique et « climatique » actuelle.
Lire la suiteUne femme est-elle morte à cause de l’interdiction de l’avortement aux États-Unis ? Non…
Amber Thurman et son fils en 2020.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Facebook
Les grands médias se sont jetés goulûment sur un triste fait divers survenu aux Etats-Unis : une femme est morte après avoir contracté une septicémie consécutive à la prise de pilules abortives, et c’est la faute — bien entendu — à la révocation de Roe v. Wade qui a permis à certains Etats de repénaliser l’avortement. Amber Thurman, 28 ans, aurait pu être sauvée si l’hôpital qui l’accueillit n’avait pas eu peur de pratiquer une procédure de dilatation et curetage (D&C) pour vider son utérus alors que l’avortement chimique avait été incomplet. Les faits étaient survenus en août 2022, alors que l’Etat de la victime, la Géorgie, venait d’interdire les avortements à plus de six semaines de grossesse : les médecins auraient tant attendu pour lui prodiguer les soins nécessaires, qu’elle en serait morte.
Une récente publication sur le média ProPublica s’est fondée sur la consultation de « documents confidentiels » pour déclarer qu’il s’agissait du premier décès officiellement déclaré « évitable » lié à un avortement non procuré. L’article, très court, complètement à charge et écrit depuis un point de vue ouvertement « pro-IVG », donne peu de détails permettant de justifier son point de vue.
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L'avorteur Warren Hern.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Image : capture d'écran vidéo/PBS News
27 août 2024 (LifeSiteNews) — Le Dr Warren Hern tue des bébés à terme dans l’utérus depuis des décennies. Beaucoup des enfants qu’il démembre pourraient survivre en dehors de l’utérus. Dans son livre Abortion Practice publié en 1990, le Dr Hern note que la destruction des corps des bébés dans l’utérus à 30 semaines — ou même à 22 ou 25 semaines — peut être un travail difficile. « Les sensations de démembrement passent à travers les forceps comme un courant électrique », écrit-il. La vie commence dès la conception ; pour des milliers de personnes, elle s’arrête à la clinique de Hern à Boulder, dans le Colorado.
Hern est l’un des seuls avorteurs à accepter de pratiquer des avortements tardifs. Pour cette raison, il a été acclamé par la presse — surtout depuis la chute de l’arrêt Roe v. Wade. L’activité de Hern a augmenté d’environ 50 % depuis l’affaire Dobbs, et un avortement tardif à sa clinique coûte environ 6 000 dollars. Un portrait élogieux publié en 2023 par The Atlantic indique qu’à plusieurs reprises, des bébés sont sortis vivants de l’utérus malgré tous les efforts déployés par M. Hern :
Une ou deux fois, lors d’une intervention à 15 ou 16 semaines, il a utilisé des forceps pour retirer un fœtus dont le cœur battait encore. Le cœur n’a battu que quelques secondes avant de s’arrêter. Mais longtemps après, une vision de ce fœtus réveillait Hern de son sommeil. Il pouvait voir, dans son esprit, le corps de l’enfant de quelques pouces de long et son cœur, qui battait, battait, battait.
Aucun de ces détails n’apparaît dans un profil récent, publié par le Los Angeles Times. L’article, rédigé par Robin Abcarian, est un reportage flatteur destiné à présenter l’avortement tardif — qui horrifie encore la plupart des Américains — comme une œuvre de bienfaisance. Le titre : « Warren Hern est l’un des rares médecins pratiquant des avortements tardifs dans le pays. C’est ce qui le motive ». Hern a aujourd’hui 86 ans, mais il est toujours en activité. Abcarian souligne les nombreuses menaces auxquelles il a été confronté au fil des ans, ainsi que le harcèlement verbal dont il a fait l’objet. Elle rappelle son amitié avec George Tiller, l’avorteur clandestin assassiné à Wichita en 2009.
« Il n’est pas étonnant que Hern affiche son mépris pour les opposants à l’avortement », écrit Mme Abcarian, sans se demander — même brièvement — pourquoi quelqu’un pourrait s’opposer à ce travail difficile, qui consiste à démembrer des bébés presque à terme et à reconstituer leurs corps comme des puzzles sanglants pour s’assurer qu’aucun membre n’est resté dans l’utérus. Elle note qu’il sort un mémoire — intitulé sans hésitation « L’avortement à l’âge de la déraison » — et passe en revue les détails désormais bien connus des décennies qu’il a passées dans l’industrie de l’avortement.
Elle note, avec admiration, que Hern « n’a pas peur des choses difficiles » — les choses difficiles étant que l’avortement tardif implique la destruction d’un enfant dans l’utérus :
« Toute notre expérience évolutive consiste à prendre soin des petites créatures sans défense, y compris les bébés humains », a-t-il déclaré. « C’est le problème bioculturel central de cette question ».
Récemment, il m’a raconté qu’un jeune médecin qu’il formait s’était senti obligé de quitter la salle d’opération lors d’une intervention sur une femme enceinte de 34 semaines. « Je lui ai dit qu’il n’y avait rien de mal à ressentir cela ».
Il lui est arrivé de devoir se recueillir en privé après une intervention.
Pendant des décennies, Hern a défendu la position iconoclaste selon laquelle la grossesse n’est pas différente de la maladie. Dans presque tous les cas, l’accouchement est bien plus dangereux que l’avortement.
« La grossesse n’est pas un état bénin », écrit-il. « Elle peut vous tuer. » Il cite le médecin français du XVIIe siècle François Mauriceau qui décrit la grossesse comme une « maladie de neuf mois ».
« Le traitement de choix de la grossesse est l’avortement, à moins que la femme ne veuille mener sa grossesse à terme et avoir un bébé », conclut-il. « C’est un point de vue odieux pour ceux qui croient que le but des femmes, à part donner du plaisir aux hommes et faire le ménage, est d’avoir autant de bébés que possible ».
La logique est profondément tordue, mais elle a une sorte de sens malsain : si la grossesse est une maladie, alors l’avortement est un soin de santé. Si la grossesse est une maladie, alors le bébé est une tumeur qu’il faut enlever. La plupart des médecins traitent l’infertilité comme un problème de santé ; pour Hern, c’est la grossesse qui est la maladie. Il ne s’agit pas d’une hyperbole — comme l’a noté Live Action, Hern a écrit que les êtres humains sont un « cancer planétaire » que l’avortement peut traiter : « L’espèce humaine est un exemple d’écotumeur maligne, une prolifération incontrôlée d’une seule espèce qui menace l’existence d’autres espèces dans leurs habitats ».
Et malgré ses spasmes de conscience momentanés à la vue d’un bébé en morceaux, il dit à Abcarian qu’il trouve toujours de la « joie » dans son travail. « Je l’adore », lui a-t-il dit. Le but de ce portrait est de faire en sorte que l’Amérique l’aime aussi.
Elon Musk : De héros écologique à paria de la liberté d’expression
Elon Musk.
Par Campagne Québec-Vie — Photo : Justin Pacheco/Wikimedia Commons
L’acharnement contre Elon Musk dans les médias a pris une tournure particulièrement virulente depuis qu’il a acquis Twitter (maintenant X) et rétabli une certaine liberté d’expression sur la plateforme, un geste que certains individus et groupes influents ne semble pas lui pardonner, notamment à l’approche des élections américaines. Longtemps encensé pour son rôle de pionnier écologique avec Tesla, Musk est désormais la cible de nombreuses critiques, principalement en raison de son opposition à la censure sur les réseaux sociaux et de sa volonté de défendre des voix conservatrices marginalisées.
Cette volte-face médiatique est révélatrice de la tolérance limitée des élites pour la dissidence, malgré leurs discours en faveur de la « liberté d’expression ». Le soutien de Musk à un discours pluraliste a provoqué une véritable chasse aux sorcières à son encontre, surtout dans le contexte d’une campagne électorale où les médias préfèrent maintenir un récit unilatéral.
Bien que la vie personnelle de Musk, tout comme celle de Donald Trump, puisse prêter à controverse et ne soit pas un modèle à suivre, il faut reconnaître que Musk aborde des questions essentielles, notamment la crise démographique. Dans plusieurs déclarations, Musk a exprimé son inquiétude face à la baisse dramatique des taux de natalité dans le monde, affirmant que le déclin démographique représente une menace pour la civilisation elle-même. Cette position va à l’encontre du discours dominant sur la surpopulation, soutenu par des figures telles que Bill Gates, et souligne la nécessité d’encourager la croissance familiale et la natalité.
L’acharnement actuel contre Musk, autrefois célébré par ces mêmes médias, montre clairement que ceux-ci ne tolèrent pas les voix dissidentes. Tant qu’il soutenait les idéaux écologiques progressistes, il était un héros. Mais en permettant la libre expression sur X, il est devenu un paria. Ce double standard démontre que la liberté d’expression est trop souvent conditionnée par les intérêts politiques et économiques des élites.
Retour sur la Journée nationale de refus du drapeau de la fierté
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : smolaw11/Adobe Stock
Les médias ont largement occulté la couverture de notre deuxième Journée annuelle nationale de refus du drapeau de la « fierté », mais la vérité doit être dite, d’où cette mise à jour.
Ces journées de retrait (des élèves) ont été organisées pour protester contre l’insidieux endoctrinement LGBT dans les salles de classe dans tout le Canada, et nous les avons planifiées pour qu’elles coïncident avec tous les jours où les écoles étaient susceptibles de hisser le drapeau de la fierté LGBT en l’honneur du Mois de la fierté transgenre et homosexuelle.
Nous pensons que ce fut un succès retentissant, tout comme l’année dernière, et j’en donnerai les preuves dans quelques instants.
Les conseils scolaires et les grands médias cachent les taux d’absentéisme
Malheureusement, nous n’avons pas d’accès direct aux chiffres de l’absentéisme.
Croyez-le ou non, chaque commission scolaire demanderait des centaines de dollars si nous soumettions une demande de liberté d’information pour obtenir les chiffres des absences entre le 31 mai et le 4 juin. Je suppose que ces frais sont leur façon de contourner la loi sur la liberté d’information, afin de s’assurer qu’il est difficile pour le public de savoir ce qui se passe. Tant pis pour la transparence !
En 2023, après la première Journée nationale de refus des drapeaux de la « fierté », nous avons pu confirmer des taux d’absence compris entre 30 et 75 % dans de nombreux conseils scolaires.
Lire la suiteArnold Viersen face à la meute
Arnold Viersen.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Parti libéral de Justin Trudeau s’en prend à l’un des députés pro-vie les plus fidèles de la Chambre des communes, Arnold Viersen, député conservateur de la circonscription albertaine de Peace River-Westlock. En fait, il est le président du caucus parlementaire pro-vie sur la colline du Parlement.
Malheureusement, M. Viersen a été attaqué par le Parti libéral, les médias libéraux et même par... le chef du Parti conservateur, Pierre Poilievre.
Voici ce qui s’est passé...
M. Viersen a accepté d’être interviewé dans une émission en ligne par le député libéral Nate Erskine-Smith au sujet de son projet de loi C-270 visant à protéger les enfants de la pornographie en ligne. L’émission a été publiée le vendredi 31 mai.
Au cours de l’entretien, Erskine-Smith lui a demandé s’il souhaitait que l’avortement soit interdit, ce à quoi Viersen a répondu que lui et d’autres pro-vie « veulent qu’il soit illégal. Nous voulons que l’humanité des enfants à naître soit reconnue ».
L’animateur lui a également demandé comment il voterait si un hypothétique projet de loi sur le mariage homosexuel devait voir le jour.
En tant que chrétien fervent qui a toujours été fièrement pro-famille, M. Viersen a répondu honnêtement à la question de savoir comment il agirait dans une telle situation : « Je voterais contre le mariage homosexuel ».
Les libéraux et leurs alliés dans les médias ont réagi comme s’il s’agissait de déclarations surprenantes de la part d’un député socialement conservateur de longue date.
Lire la suiteUne magnifique marche pour la vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Augustin Hamilton
Quelle splendide journée ! Quelle magnifique marche ! Nous avons été plus de mille pro-vie réunis à Québec le 1er juin sous un soleil resplendissant pour manifester au nom de l’enfant à naître. Et ce, malgré l’hostilité et l’incivilité des contre-manifestants pro-avortement...
La joie était palpable alors que les gens arrivaient et se rassemblaient en attendant le début de l’événement, jusqu’à ce qu’arrivent les fauteurs de troubles.
Photo : Augustin Hamilton.
Il faut dire un mot à propos du début de la journée. Tôt le matin, des pro-avortement avaient tracé des graffitis sur les trottoirs et les murets entourant la Fontaine de Tourny, disant : « Mon corps mon choix ». Après un petit rajout de quelque pro-vie, le message était très différent !
Photo : CQV.
Avant que débute l’événement, quelques dizaines de contre-manifestantes sont arrivées avec des tambours, des tambourins, des seaux, des sifflets, des crécelles et autres objets propres à faire du bruit en scandant des slogans et faisant tout le tintamarre dont elles étaient capables. Ce qui était prévu à l’origine avec la police de Québec, c’est que les pro-vie tiennent leur réunion devant l’Assemblée nationale tandis que les pro-avortement se tenaient de l’autre côté du bâtiment. Ensuite, quand les pro-vie se seraient mis en marche, les pro-avortement allaient venir devant l’Assemblée puis laisser la place quand les pro-vie seraient revenu. En principe, nous ne devions jamais nous voir.
Lire la suiteUn tragique avortement accidentel à Prague révèle l’hypocrisie des médias
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Unsplash
2 avril 2024, Prague (LifeSiteNews) — Le 25 mars, une femme enceinte s’est présentée à l’hôpital universitaire Bulovka de Prague, en République tchèque, pour un examen de routine. Elle était enceinte de quatre mois et ne parlait pas le tchèque. À quatre mois, son futur bébé avait des paupières, des sourcils, des cils et des cheveux, et pouvait sucer son pouce, bâiller, s’étirer et faire des expressions faciales.
Une horrible confusion s’en est suivie. Le personnel médical — qui a depuis été suspendu — l’a confondue avec une autre femme d’origine asiatique qui avait également rendez-vous, mais pour un avortement. La future mère a été placée sous anesthésie et son bébé de quatre mois a été avorté. Lorsqu’elle s’est endormie, elle attendait un bébé ; lorsqu’elle s’est réveillée, son bébé n’était plus là.
Une série d’enquêtes a été ouverte, la police traitant l’affaire comme un cas de préjudice corporel, tandis que l’hôpital est aux prises avec les différents niveaux d’erreur — les médecins, les infirmières, le gynécologue et l’anesthésiste n’ont pas remarqué que l’avortement était pratiqué sur la mauvaise femme ; un rapport de l’hôpital indique que la barrière de la langue entre la femme d’origine asiatique et le personnel parlant le tchèque a joué un rôle.
Lire la suiteUne journaliste de Radio-Canada défend son reportage sur les « cliniques du genre » pour enfants « en transition »
Pasquale Turbide à l'émission Tout le monde en parle.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tout le monde en parle/Radio-Canada
18 mars 2024 (LifeSiteNews) — Une journaliste de Radio-Canada défend son rapport d’enquête qui a révélé qu’une clinique du « genre » au Québec avait prescrit en moins de dix minutes des hormones potentiellement stérilisantes à une actrice se faisant passer pour une jeune adolescente.
Dans une entrevue accordée le 3 mars à l’émission Tout le monde en parle, Pasquale Turbide, journaliste à Radio-Canada, a révélé que les préoccupations des parents étaient à l’origine de son reportage d’investigation sur la « transition » de genre des enfants, et qu’elle restait fidèle à son travail malgré les réactions négatives.
« C’étaient vraiment des parents qui nous ont écrit. C’était l’été dernier, je me souviens, il commençait à y avoir un petit peu de controverse autour des prénoms, des pronoms, de la question des toilettes mixtes ».
« Mais les lettres qu’on recevait ce n’était pas du tout de ça dont ça parlait. Ça parlait des transitions médicales », explique-t-elle.
Selon Mme Turbide, les parents qui ont contacté Radio-Canada ont révélé que leurs enfants, qui « tout d’un coup » voulaient « être transgenres », se voyaient proposer des « bloqueurs de puberté » stérilisants au nom de soins.
Lire la suiteL’euthanasie prochaine de Mélanie Lachance
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Serhii/Adobe Stock
Mélanie Lachance va bientôt mourir par euthanasie, le samedi 13 janvier, si tout se passe comme elle l’a planifié. Âgée de 42 ans et atteinte d’une récidive de cancer, elle a décidé de ne pas suivre un traitement anti-hormonal qui pouvait ralentir la progression de la maladie, mais aurait prolongé un état de santé pénible, et d’anticiper sur la mort. Elle s’était donné un an environ pour vivre toutes sortes d’aventures et de voyages avant de mourir.
Une chronique de La Presse nous la présente comme la mère attentionnée de deux filles, comme une femme généreuse qui tenait autrefois un foyer d’accueil, comme une femme forte qui fait face avec lucidité à la réalité de la mort, et comme une personne qui sait vivre et profiter de la vie.
L’auteur de la chronique, Rose-Aimée Automne T. Morin, assure que le parcours de Mélanie Lachance est « une véritable leçon de vie et de mort » :
Si tout va comme prévu, le 11 janvier prochain, Mélanie Lachance assistera à un concert d’Alexandra Stréliski avec une trentaine de ses proches. Deux jours plus tard, elle mourra. Dans notre société qui occulte la finitude, son parcours est une véritable leçon de vie et de mort.
Pendant le temps qu’elle s’est imparti, Mélanie Lachance a voyagé à Hawaï, Paris, l’Ouest canadien, sauté en parachute, été au Festival d’été de Québec, à Osheaga et à des dizaines de spectacles. Pour elle, sa « vie, c’est comme sept samedis par semaine ».
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