Le cardinal Burke dénonce le « Great Reset », la grande réinitialisation sans Dieu imposée au nom du COVID-19
Cardinal Raymond Leo Burke.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Alpha News/YouTube
Le cardinal Raymond Burke était samedi dans son ancien diocèse de La Crosse, Wisconsin, pour la fête de Notre Dame de Guadalupe, qu’on honore outre-Atlantique sous le titre d’Impératrice des Amériques. C’est au sanctuaire de celle-ci qu’il a prononcé une homélie grave, centrée sur les graves dangers qui menacent les Etats-Unis et le monde.
Visiblement soucieux, il a dénoncé « la progression mondiale du matérialisme marxiste » à la faveur du COVID-19 : en effet, c’est bien un socialisme international qui se met en place, sans que l’Eglise ne semble réagir. C’est la progression du Great Reset que le cardinal Burke a nommément désigné, dénonçant plus loin « des forces séculières qui voudraient faire de nous les esclaves de leur projet meurtrier et impie » : sans Dieu.
En espagnol, le cardinal a longuement évoqué le message de Notre Dame de Guadalupe qui nous demande de ne pas avoir peur, puisque nous sommes entre ses bras.
Je vous propose ci-dessous ma traduction non officielle de la partie anglophone de ce sermon publiée par LifeSiteNews. — J.S.
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Nous venons à Notre-Dame de Guadalupe au jour de sa fête, le cœur lourd et troublé. Notre nation traverse une crise qui menace son avenir même en tant que nation libre et démocratique. La progression mondiale du matérialisme marxiste, qui a déjà entraîné mort et destruction dans la vie d’un si grand nombre de personnes, et qui a menacé les fondations de notre nation pendant des décennies, semble désormais s’emparer du pouvoir de gouvernement de notre nation.
Nous nous sommes autorisés en tant que nation, afin d’engranger des profits économiques, de nous rendre dépendants du Parti communiste chinois, une idéologie totalement opposée aux fondations chrétiennes sur lesquels les familles ainsi que notre nation s’appuient pour rester en sécurité et prospérer.
Je parle ici des États-Unis d’Amérique, mais il est évident que de nombreuses autres nations sont en proie à une crise similaire, tout aussi alarmante.
Il y a aussi le mystérieux virus de Wuhan, à propos duquel les médias nous donnent quotidiennement des informations contradictoires, tant quant à sa nature qu’aux moyens de s’en préserver. Ce qui est clair, cependant, c’est qu’il a été utilisé par certaines forces, hostiles aux familles et à la liberté des nations, pour faire avancer leur programme maléfique. Ces forces nous disent que nous sommes maintenant les sujets de ce qu’on appelle le Great Reset, la « grande réinitialisation », cette « nouvelle normalité » qui nous est imposée par leur manipulation des citoyens et des nations au moyen de l’ignorance et de la peur.
Lire la suiteViktor Orbán: «l’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros» (grand promoteur de l’avortement et de l’idéologie LGBT)
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par Olivier Bault (Présent) — Photo : European's People Party/Flickr
Le spéculateur américain George Soros ayant publié le 18 novembre un appel aux dirigeants européens pour qu’ils ne cèdent pas face au veto polonais et hongrois, Viktor Orbán, après lui avoir répondu oralement dans un entretien à la radio hongroise, a rédigé une réponse écrite. Les médias sorosiens ont refusé de le publier, mais Yves Daoudal en a mis la traduction en français sur son blog :
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L’Europe ne peut pas faire allégeance au
réseau Soros
Réponse à l’article de George Soros
Nombreux sont ceux qui pensent que le chef du gouvernement d’un pays n’a pas à débattre avec George Soros. Pour eux, Soros est un délinquant économique, qui a gagné son argent par la spéculation, par la ruine de millions de personnes, et même par le chantage exercé sur rien moins que des économies nationales. Tout comme les gouvernements ne peuvent pas discuter avec des terroristes, les chefs de gouvernement ne peuvent pas non plus débattre avec des délinquants économiques.
J’y suis tout de même contraint aujourd’hui, parce que George Soros, le milliardaire spéculateur d’origine hongroise, a publiquement imparti des ordres aux dirigeants de l’Union européenne dans un article paru le 18 novembre sur le site dénommé Project Syndicate, dans lequel il leur intime de punir sévèrement les États membres qui se refusent à s’intégrer dans un empire européen global et unifié sous la bannière de la société ouverte.
Tout au long de l’histoire, ce sont toujours les nations qui ont donné sa force à l’Europe. Bien que les nations formant l’Europe soient d’origines diverses, les racines communes de notre foi les ont réunies. Le modèle de la famille reposant sur la tradition judéo-chrétienne¹ a été le fondement de nos communautés. C’est la liberté chrétienne qui a assuré la liberté de la réflexion et de la culture et a créé une concurrence bénéfique entre les nations de l’Europe. Le mélange vertueux des différences a fait de l’Europe, pendant des siècles, la force motrice du monde.
Toutes les tentatives visant à chercher à unifier l’Europe sous l’égide d’un empire ont échoué. C’est pourquoi l’expérience historique nous fait dire que l’Europe ne sera de nouveau grande que lorsque ses nations le seront également, et qu’elles sauront résister à toute tentative impériale.
Lire la suiteDélire autour d’une élection (frauduleuse) dont le fin mot n’a pas été dit…
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Rawpixel/Freepik
Église de Belœil, messe de 9 h. Le curé fait cette déclaration avant de débuter sa messe devant la « grosse » foule de 25 fidèles :
Le monde entier se réjouit de l’élection de Joe Biden. Réjouissons-nous aussi. Les autorités ecclésiastiques (diocèse ? assemblée d’évêques ? Le Vatican ? Il ne l’a pas dit) nous invitent à nous réjouir pour l’élection du nouveau président des États-Unis. C’est un homme de foi, d’espoir, d’amour et de solidarité. Il va s’occuper des pauvres, des malades, des démunis, des réfugiés, des minorités, de la justice sociale, etc.
Biden, c’est un sage rempli de compassion, d’empathie et de bonté. Prions pour lui. Tous nos évêques pensent comme lui !
Remarquez, au passage, que depuis l’arrivée du pape François, les représentants de l’Église catholique adorent faire de la politique, toujours très à gauche.
Biden a volé son élection. Le parti démocrate a organisé une fraude historique digne des pires dictatures de la planète. La fraude a été réalisée par le biais du vote postal (des dizaines de millions de bulletins de vote tout pour Biden). Biden a félicité les employés des postes pour leur bon travail. Dans toutes les villes, des milliers de manifestants pro-Biden ont félicité les services postaux américains.
Euphorie mondiale ! Comme à la fin de la 2e Guerre mondiale. Du jamais vu, pour fêter cette supposée élection. Voici une petite partie des commentaires mensongers répandus sur toute la planète : Trump, c’est le choix des crétins, des malades mentaux et des aveugles. Complotiste, gourou (Trump), grande noirceur, secte moyenâgeuse, roi du mensonge, une pourriture, le monstre mis dehors de la Maison-Blanche, fol incompétent, bête féroce, lion déchaîné, malade mental, etc., et pire encore, tous ces grands titres des médias partout dans le monde.
Lire la suite« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
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Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteMgr Carlo Maria Viganò : Vatican II et le Nouvel ordre mondial
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Mgr Carlo Maria Viganò (LifeSiteNews) — Traduit par le Site de M. l’Abbé Pivert
Voici un texte de Mgr Carlo Maria Viganò, qu'il a prononcé lors d'une conférence tenue le 24 octobre 2020, portant sur les liens que l'on peut voir entre le concile Vatican II et le désordre régnant actuellement dans l'Église, ainsi que l'avancée du mondialisme aujourd'hui.
Campagne Québec-Vie reproduit ce texte dans le cadre de notre objectif premier : « promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun » — la « réalisation pleine et entière du bien commun » comprend la défense de l'enfant à naître. Remplir ce premier objectif nécessite de défendre la pureté de la foi catholique. — A. H.
Catholic Identity Conference
24 octobre 2020
La stigmatisation de François
Voici comment la révolution de Vatican II sert le Nouvel ordre mondial
Archevêque Carlo Maria Viganò, Nonce apostolique
« Suivez-moi, et laissez les morts enterrer leurs propres morts. »
Mt 8, 22
1. Nous vivons des temps extraordinaires
Comme chacun d’entre nous l’a probablement compris, nous nous trouvons à un moment historique dans le temps ; les événements du passé, qui semblaient autrefois déconnectés, se révèlent aujourd’hui sans équivoque liés, tant dans les principes qui les inspirent que dans la fin qu’ils cherchent à accomplir. Un regard juste et objectif sur la situation actuelle ne peut s’empêcher de saisir la parfaite cohérence entre l’évolution du cadre politique mondial et le rôle que l’Église catholique a assumé dans l’établissement du Nouvel ordre mondial. Pour être plus précis, il convient de parler du rôle de cette majorité apparente dans l’Église, qui est en fait peu nombreuse mais extrêmement puissante, et que, par souci de concision, je résumerai comme l’Église profonde.
Il est évident qu’il n’y a pas deux Églises, ce qui serait impossible, blasphématoire et hérétique. La seule véritable Église du Christ aujourd’hui n’a pas non plus échoué dans sa mission, en se pervertissant en une secte. L’Église du Christ n’a rien à voir avec ceux qui, depuis soixante ans, ont exécuté un plan pour l’occuper. Le chevauchement entre la Hiérarchie catholique et les membres de l’Église profonde n’est pas un fait théologique, mais plutôt une réalité historique qui défie les catégories habituelles et, en tant que telle, doit être analysée.
Nous savons que le projet du Nouvel ordre mondial consiste en l’établissement de la tyrannie par la Franc-maçonnerie : un projet qui remonte à la Révolution française, au Siècle des Lumières, à la fin des monarchies catholiques, et à la déclaration de guerre à l’Église. Nous pouvons dire que le Nouvel ordre mondial est l’antithèse de la société chrétienne, il serait la réalisation de la diabolique Civitas Diaboli — Cité du Diable — opposée à la Civitas Dei — Cité de Dieu — [St Augustin] dans la lutte éternelle entre la Lumière et les Ténèbres, le Bien et le Mal, Dieu et Satan.
Lire la suitePas de débat sur la Vie à naître ? Lancez-le !
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel
Une façon importante de ramener le débat sur la vie est… de ramener nous-mêmes le débat sur la vie dans notre société en l’instillant dans les réseaux sociaux et les médias. Partout des sites permettent de commenter et souvent également acceptent que nous puissions laisser des liens internet.
Campagne Québec-Vie a besoin de vous et plus encore, l’enfant à naître a besoin que vous parliez de lui et de nous ! Parce que vous trouverez toute une pléiade d’articles, tous pertinents, fondés et actuels, vous pouvez apporter aux conversations la réflexion supplémentaire qui amènera les gens à se remettre en question et à dépasser les slogans supportant la pensée médiatique pro-choix.
Plus vous parlerez, plus les gens en parleront. Nous pouvons tous être une bougie d’allumage pour que le débat de société revienne, ce qui permettra à l’enfant à naître de réapparaître à l’écran ! Nous avons une société à changer, un débat à la fois, et une brindille peut devenir un grand feu ! Un grand débat public médiatique, pour mettre nos politiciens dans l’embarras devant la situation inacceptable et les obliger à retravailler leur discours !
Alors, n’hésitez pas à nous citer, et plus encore, à partager des liens sur nos articles partout où vous allez ! S’il y a un sujet dont il importe de parler à temps et à contre temps, c’est bien la vie en danger de l’enfant à naître !
Lire la suiteCe qui est en cours aux Etats-Unis, une révolution ? Un texte et un appel à la prière de Steven Mosher
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo (couleurs modifiées) : carac/Flickr
Je vous propose ci-dessous la traduction intégrale d’un tout récent article de Steven Mosher dans LifeSiteNews, où il dénonce l’utilisation d’escroqueries propres aux « Révolutions de couleur » dans l’actuelle élection présidentielle américaine, théâtre de fraudes massives où des milliers de votes « découverts » après la fin du scrutin profitent presque exclusivement à Joe Biden.
Steven Mosher est le premier sociologue américain à avoir pu se rendre en Chine pour constater l’œuvre de la révolution culturelle : il était alors athée et pro-avortement. L’assistance à un avortement forcé l’avait bouleversé ; il s’est converti à la religion catholique et, toujours spécialiste de la Chine, a également fondé le Population Research Institute qui lutte contre les entreprises malthusiennes de contrôle de la population à travers le monde. — J.S.
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Je sais que certains d’entre vous sont peut-être découragés, voire désespérés, du fait que Trump et tous ceux qui le soutiennent n’aient pas obtenu de victoire décisive le jour des élections. Mais les événements vont très vite maintenant. Nous avons besoin que chacun se remette debout et revienne dans le jeu. Votre pays a besoin de vous. Les bébés ont besoin de vous.
La première chose que chacun doit reconnaître est la gravité de la situation actuelle. Nous sommes en plein milieu de ce qu’on appelle la Révolution de couleur. Il s’agit d’un coup d’État soigneusement préparé, destiné à faire tomber notre république constitutionnelle et à la transformer en une chose qui eût été méconnaissable aux yeux de nos Fondateurs, et qui est hostile à nos libertés.
Cela signifie que ce qui vient de se passer n’était pas une élection « normale ». Il s’agissait plutôt d’une escroquerie planifiée à l’avance, utilisée par les révolutionnaires pour déterminer le nombre de voix dont ils avaient besoin pour faire pencher la balance en leur faveur. Ce nombre étant désormais connu — dans le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie — des bulletins de vote tardifs ont été « découverts » pour mettre leur candidat en tête. C’est ainsi que la gauche fonctionne dans des endroits comme le Venezuela. Il ne faut pas qu’elle puisse y réussir ici.
Lire la suiteMgr Viganò : l’imposture de l’élection de Biden, marionnette du Nouvel ordre mondial
Mgr Carlo Maria Viganò (au centre), évêque américain (au fond), Joe Biden (à gauche, bien sûr) et le président des États-Unis Donal Trump (à droite).
Par Michelle Marie (Médias Presse Info)
Ce message [ci-dessous de Mgr Carlo Maria Viganò] a été publié dans la nuit en anglais sur le site américain The Remnant. En voici une traduction :
Le monde dans lequel nous vivons est, pour reprendre une expression de l’Évangile, « in se divisum » (Mt 12, 25). Cette division consiste, me semble-t-il, en un divorce entre réalité et fiction : réalité objective d’un côté, et fiction médiatique de l’autre. Cela vaut certainement pour la pandémie, utilisée comme outil d’ingénierie sociale en vue de la Grande réinitialisation, mais encore plus pour le surréalisme de la scène politique américaine, où les preuves d’une fraude électorale colossale sont censurées par les médias, qui proclament à présent la victoire de Joe Biden comme étant un fait accompli.
La réalité du Covid est en dissonance manifeste avec ce que les grands médias veulent nous faire avaler, mais pas assez pourtant pour démanteler le grotesque échafaudage de mensonges auquel le plus grand nombre s’est résigné.
De même, le spectacle offert par les fraudes électorales, la violation flagrante des règles du vote et la falsification systématique des résultats contraste avec le discours des géants de l’information, pour lesquels Joe Biden est incontestablement le nouveau président des États-Unis. Discours univoque et ne souffrant pas la contradiction, sur la supposée fureur ravageuse d’une grippe saisonnière responsable du même nombre de décès que l’année dernière, ou sur l’inévitable élection d’un candidat corrompu et inféodé à l’État profond. Et, de fait, Biden a déjà promis de rétablir le confinement.
La réalité n’a plus aucune espèce d’importance lorsqu’elle est un obstacle à la réalisation du plan ourdi. Le Covid et Biden sont deux hologrammes, deux créations artificielles, prêtes à être adaptées encore et encore aux besoins du moment ou remplacées le moment venu par le Covid-21 et Kamala Harris. Les accusations d’irresponsabilité lancées aux partisans de Trump pour avoir organisé leurs rassemblements s’évanouissent dès que ce sont les supporters de Biden qui descendent dans la rue, comme durant les manifestations du BLM. Ce qui est criminel pour les uns est licite pour les autres. Sans explication, sans logique, sans raison. Le simple fait d’être de gauche, de voter Biden, de mettre le masque est un laissez-passer pour se permettre n’importe quoi. Alors qu’être de droite ou sceptique sur l’efficacité des masques est une condamnation d’office pour les électeurs de Trump. Sans autre forme de procès, les étiquettes de fascistes, souverainistes, populistes, négationnistes leur sont collées et ceux qui sont ainsi stigmatisés doivent battre en retraite sans piper mot.
Lire la suiteUne église évangélique défie la dictature sanitaire à Montréal
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Stockking/Freepik
Une assemblée d’une centaine de protestants s’est tenue à Montréal, à l’encontre des diktats « sanitaires » en termes de quantité, distance et masque, selon Métro :
Devant une assemblée ne respectant pas les règles sanitaires en vigueur, un pasteur d’une église du nord-est de Montréal a enjoint ses fidèles à défier les normes gouvernementales. Pour l’occasion, il était accompagné de l’ex-policier complotiste de Laval, Maxime Ouimet.
L’ex-policier en question avait démissionné entre autres parce qu’il voyait que le procureur n’appliquait pas les amendes que la police distribuait aux rebelles au confinement, ce qui démontrait une certaine incohérence, et parce qu’il ne voulait plus imposer en tant que policier les aberrants diktats « sanitaires » du gouvernement. Remarquez que le journal accole l’adjectif « complotiste » à M. Ouimet, ce qui ne relève évidemment pas de la neutralité à laquelle il prétend, puisque M. Ouimet ne s’est pas désigné lui-même comme « complotiste ».
L’assemblée écoutait donc un prêche donné par le pasteur Carlos Norbal, dans lequel il dénonçait les mesures imposées par le gouvernement à la population, d’après Métro :
Dans le prêche dominical à l’église Nouvelle Création, située à l’intersection du boulevard Pie-IX et de la rue Everett, le pasteur Carlos Norbal a dénoncé les mesures imposées par le gouvernement, jugeant qu’elles allaient à l’encontre des droits de la population. L’assemblée a été filmée et diffusée sur le compte Facebook de l’église.
« On a commencé la descente vers la tyrannie, où n’importe quelle loi peut s’inventer, et le peuple est appelé à se soumettre sans réfléchir. On est dans une passe dangereuse. Les droits qui nous sont pris ne seront jamais remis », a notamment lancé le pasteur.
M. Norbal a invité M. Ouimet à confirmer ses propos, rapporte Métro :
Pour appuyer ses dires, il comptait sur un invité d’honneur : l’ex-policier lavallois Maxime Ouimet, qui s’est fait connaître en raison de ses positions contre le port du masque et pour sa négation de la pandémie.
« Présentement, les policiers qui agissent encore sur le terrain pensent qu’ils sauvent des gens de la maladie. Ils ne réalisent pas que le COVID, c’est la raison pour un agenda politique » […]
On peut bien nier la « pandémie » quand elle est comparable à la grippe saisonnière, et si le gouvernement plonge le pays dans la paralysie la plus noire pour une grippe saisonnière, c’est forcément pour une autre raison et pour un autre but, ou alors il est complètement fou ou totalement taré.
Le geste de cette assemblée est courageux, face à la dictature sanitaire ; il reste à voir la réaction du gouvernement. Et s’il ne réagissait pas ?
La censure de la parole et de l’avortement par la gauche « catholique » au Québec
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie)
De plus en plus de Québécois dénoncent la censure des idées que l’on trouve dans nos universités et dans certains médias de propagande au Québec, au Canada, dans bien des pays occidentaux. Il y a longtemps qu’est constaté le système de pensée unique qui consiste à traiter le Québec comme étant un empire colonial comme les États-Unis par exemple. Le racisme américain et québécois, même combat… Les nouvelles politiques pour faire interdire les thérapies aux personnes de même sexe désirant développer leur hétérosexualité sont du même acabit. Enfin, il est évident qu’une personnalité pour l’aide aux femmes enceintes en difficultés ne peut être candidat au fédéral, ni pour le parti libéral de Trudeau, ni pour le NPD, ni pour le Bloc Québécois. Elle ne peut parler de ses convictions si elle est une artiste, une journaliste, une quelconque personnalité connue, à moins de vouloir dire adieu à sa carrière…
Il en est de même aussi pour sa foi.
La grande noirceur disait Jacques Godbout en parlant de l’avant-Révolution tranquille ? Le grand génocide spirituel, pourrions-nous lui répondre pour l’époque actuelle. Meurtre de la liberté de pensée, à l’époque de la censure par les médias, et l’appel à cette censure érigée comme nouvelle vertu publique.
La définition du dialogue par la « gauche » étant de blablater à qui mieux mieux sur le consensus épuré… Et la preuve qu’ils ont raison, c’est qu’ils sont unanimes, les personnes évincées ne comptant pour rien…
La prise de parole est réservée aux plus forts et à ceux qui les servent.
Heureusement, le Christ et son humble serviteur saint Jean-Baptiste n’ont jamais accepté cette école.
JAMAIS. Jamais on ne verra ni le Christ, ni saint Jean-Baptiste accepter d’être censurés. Si une chose doit être dite, alors, elle est dite !
Que ce soit Hérode, Pilate, les scribes et les pharisiens, tous ont goûté à la liberté d’expression du Christ et de ses disciples ! On oublie toujours, je n’ai encore jamais vu un « bibliste » québécois le relever, toutes les insultes qu’a prononcés Dieu le fils et le plus grand des hommes. Je n’en relèverai qu’une, celle qui émanait d’une profonde colère et d’une profonde tristesse devant cet état de l’homme si misérable : « HYPOCRITES ».
Hypocrisie. C’est peut-être le péché le plus flagrant de la gauche médiatique, politique, journalistique québécoise. Hypocrisie des tentatives d’argumentations, hypocrisie dans la censure forcée, au nom d’un dialogue réservé aux adeptes de la pensée unique.
La parole du Christ et de Jean-Baptiste, pouvons-nous penser, a immunisé les chrétiens contre ce type de comportement vomitif.
Et non.
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