Cette femme choisit la vie après avoir parlé avec des pro-vie à l’extérieur d’un avortoir
Anna.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Londre, Angleterre, 8 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le bébé d’Anna est vivant aujourd’hui grâce à la présence du Good Counsel Network (Réseau du bon conseil) dans le quartier d’Ealing.
Le Good Counsel Network fait l’objet d’attaques, depuis 19 mois, de la part du groupe pro-avortement Sister Supporter et du député Rupa Huq. Sister Supporter et Huq accusent les témoins pro-vie d’harceler des femmes à l’extérieur de la clinique Marie Stopes (Ealing). Cependant, les femmes qui voulaient une alternative à l'avortement et pensaient qu'elles n'avaient pas d'autre choix que d'avorter racontent une autre histoire.
Dans la vidéo, « Anna », une étudiante étrangère, explique comment elle était effrayée quand elle a découvert qu'elle était enceinte. Elle se sentait sous pression. Toutes les personnes à qui elle a parlé de la grossesse lui ont dit que l’avortement du bébé serait la meilleure décision pour elle. Elle a dit à son médecin généraliste qu'elle garderait le bébé, mais elle ne savait pas comment elle pouvait se le permettre. Désespérée, elle a trouvé la clinique Marie Stopes sur Google. Mais quelqu'un l'attendait quand elle est arrivée.
« La dame est allée vers moi et m'a dit : “Vas-tu te faire avorter ? Je peux t'aider si tu ne veux pas le faire.” Et j'ai dit “Quoi ? Tu peux m'aider ?” Et puis il m'a fallu une seconde pour dire : “OK! J'irai avec toi.” »
Lire la suiteDictature LGBT : un promoteur immobilier obligé de construire un bar gay pour obtenir un permis de construire
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Le conseil d’arrondissement de Tower Hamlets dans l’Est de Londres se fait l’intermédiaire de la dictature LGBT : il vient de signifier à un promoteur immobilier que pour obtenir un permis de construire sur le territoire de la municipalité il lui faudra construire un nouveau bar gay. Le promoteur, Regal Homes, a acheté le terrain dans cette zone anciennement populaire et aujourd’hui en plein boom dans la capitale britannique, mais il n’a pas le droit d’y faire ce que bon lui semble, que ce soit sur le plan moral ou sur le plan économique.
L’affaire va très loin puisque le Tower Hamlets Council a fait savoir qu’il jugera souverainement de la conformité du projet et de sa réalisation. Sous l’autorité du maire, John Biggs, le conseil a décidé qu’il appartiendrait à Regal Homes d’assurer que le pub Joiners Arms qui a pourtant fermé ses portes en 2015 puisse retrouver une nouvelle vie lors du développement du site.
La dictature LGBT pose des conditions pour obtenir un permis de construire
Le bar devra « rester un lieu de réunion centré sur les lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres pour 12 ans au moins » aux termes des exigences du conseil municipal et ce, qu’il soit économiquement viable ou non. Il ne sera d’ailleurs jugé conforme qu’après inspection en bonne et due forme par les autorités municipales qui devront s’assurer qu’il soit suffisamment « gay », sans que l’on sache exactement ce que cela veut dire.
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