Les autorités municipales de London, en Ontario, pourraient interdire les images de victimes d’avortement en public
Par Carlos Prado — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
6 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Les conseillers municipaux de London, en Ontario, ont adopté une motion envisageant l’interdiction de toutes les images d’enfants à naître sur la voie publique.
Le mardi 5 décembre, les conseillers Hadleigh McAlister et Sam Trosow ont présenté cette motion au Comité des services communautaires et de protection de la ville afin d’élargir le règlement controversé de 2022 qui interdit que des images de fœtus soient distribuées ouvertement à des domiciles privés. La nouvelle motion vise à interdire les manifestations pro-vie sur les trottoirs avec ce que l’on appelle des « images graphiques », c’est-à-dire des images d’enfants à naître, qu’ils soient entiers ou démembrés.
Au cours de la réunion, le conseiller Trosow a reconnu que le règlement de 2022 et la nouvelle motion proposée violaient la Charte canadienne des droits et libertés.
« Le règlement a créé une entrave à la liberté d’expression et a constitué une violation de l’article 2 b de la Charte... Cela ne fait aucun doute », a-t-il déclaré.
« Il s’agissait d’une mesure fondée sur le contenu, qui limitait des propos par ailleurs autorisés ».
Lire la suiteUn évêque canadien impose le vaccin covid aux prêtres et aux employés diocésains, et menace ceux qui résistent
Mgr Ronald Fabbro, évêque de London.
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese of London/YouTube
London, Ontario, 10 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Un évêque canadien veut imposer à tout son clergé, ses employés et ses bénévoles de recevoir le vaccin COVID sous peine d’être licenciés.
L’évêque de London, en Ontario, Mgr Ronald Fabbro a rendu obligatoire l’injection du vaccin COVID contaminé par l’avortement, publiant des déclarations sur la gravité du COVID-19 et sur le vaccin contaminé par l’avortement dans une politique officielle de vaccination, datée du 18 octobre 2021.
« Le non-respect de cette politique pourrait entraîner une action disciplinaire (être placé en congé sans solde), pouvant aller jusqu’au licenciement pour motif valable », a-t-il écrit.
« Les membres du clergé qui refusent la vaccination seront démis de leurs fonctions actuelles. Si possible, ils seront réaffectés par l’évêque, à sa discrétion, à des rôles qui ne comportent pas de contact avec le public, et leur allocation pourra être ajustée en conséquence. »
Mgr Fabbro n’a fourni aucune preuve scientifique pour étayer ses affirmations et son document ne cite aucun enseignement biblique ni de l’Église catholique.
L’ordinaire du diocèse de Londres a déclaré : « Le COVID-19 est une menace claire et actuelle pour la société. Il n’est pas imaginaire comme certains le suggèrent, ni une maladie réservée aux personnes âgées, ni une maladie insignifiante comme le rhume. »
Cependant, Mgr Fabbro n’a pas donné d’exemple de personnes qui ont suggéré que le COVID est « imaginaire », et il a omis de mentionner qu’au Canada, la grande majorité des maladies graves associées au COVID sont survenues chez des personnes âgées. De plus, les experts en santé publique ont suggéré que le COVID rejoindra bientôt d’autres maladies respiratoires endémiques comme le rhume et la grippe.
Lire la suiteDes salons funéraires canadiens deviennent des lieux d’euthanasie pour les malades et les personnes âgées
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bakhurmikele-adobestock
29 octobre 2021 (Campaign Life Coalition) — Certains salons funéraires canadiens ont commencé à offrir des salles où les personnes âgées et les malades consentants peuvent être tués avant leur veillée funèbre et leur enterrement.
Ces nouveaux lieux de mise à mort sont désormais en mesure d’offrir un forfait tout-en-un ─ mort, veillée, enterrement ─ grâce au protocole d’aide médicale à mourir (AMM) du pays, légal depuis 2016, et étendu en 2021 aux personnes souffrant de maladies mentales.
Paul Needham, de la chapelle funéraire Northview à London, en Ontario, a déclaré cette semaine à CBC News qu’il avait reçu tellement d’appels pour offrir un endroit où les gens pouvaient être tués qu’il a finalement décidé de profiter de l’occasion. Il a commencé à louer des chambres dans son salon funéraire où les personnes âgées et malades peuvent venir se faire tuer, soit de leur propre main, soit, plus couramment, avec l’aide d’un médecin ou d’une infirmière.
Rien que l’année dernière, le funerarium de Needham a facilité la mise à mort de 23 personnes malades et âgées.
« Les membres de la famille peuvent être présents auprès de leurs proches », a déclaré Needham à CBC News. « Je leur suggère de faire les choses comme ils le souhaitent, d’apporter un peu de leur musique préférée, d’apporter des fleurs, d’apporter de la nourriture ou si vous le souhaitez, d’apporter une bouteille de vin. C’est le dernier jour de cette personne sur Terre. Vous voulez tout prendre en compte et considérer autant de choses que possible. »
David Mullen, propriétaire du A. Millard George Funeral Home en Ontario, a également remarqué la tendance et a transformé son ancienne salle d’exposition de cercueils en une salle de mise à mort joliment décorée où les amis et les membres de la famille peuvent être avec la victime pendant son décès. Il espère que tout sera opérationnel d’ici la nouvelle année.
Lire la suiteEuthanasie : Roger Foley, cet handicapé à qui l’on propose la mort médicalement assistée…
Photo : capture d'écran d'un vidéo de ctvnews.ca
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Avis à ceux qui pensaient que l’euthanasie, c’est pour les malades en phase terminale qui souffrent trop pour envisager de vivre. C’est du Canada, où l’euthanasie et le suicide assisté sont de légalisation récente, que nous vient cette histoire exemplaire d’un homme qui ne demande rien d’autre que d’être soigné comme il le souhaite, et à qui l’on ne propose, dit-il, que deux options, tout en le menaçant de devoir payer son long séjour à l’hôpital à raison de 1 800 dollars canadiens par jour : retourner chez lui pour être confié à un organisme de soins à domicile qu’il récuse, ou obtenir une mort médicalement assistée. C’est évidemment celle-ci, la solution la moins chère pour régler le cas de Roger Foley, et c’est donc une proposition économique. Et sans doute, avant tout, un moyen de chantage. Mais tout de même…
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