Des étudiants en droit gais et lesbiennes de l'U. du Nouveau-Brunswick demandent que les chrétiens soient refusés au Barreau
Sur le site de Radio-Canada du 4 avril 2014 :
(Université du Nouveau-Brunswick)
(Photo : Blazingluke sur wikimédia.org, licence creative commons)
L'association des étudiants en droit gais et lesbiennes de l'Université du Nouveau-Brunswick estime que ces futurs avocats ne devraient pas être acceptés au Barreau du Nouveau-Brunswick. Elle croit que les valeurs canadiennes, incluant le respect des minorités sexuelles, doivent être reflétées dans le système légal, et que ces futurs avocats pourraient être moins enclins à défendre les droits de la communauté gaie, lesbienne, bisexuelle et transgenre. (...)
À quand une poursuite pour diffamation et discrimination envers les chrétiens. Les chrétiens comme tous les autres citoyens sont tout aussi impartiaux que les athées, militants d'un lobby gay, etc.
Ce que l'on veut censurer ici encore une fois, c'est le discours critique envers les revendications des lobby gays. Le mariage n'est un droit que pour les personnes de sexe complémentaire qui peuvent réellement se « marier » et élever une famille. Tout comme les droits de l'enfant d'avoir un père et une mère passent avant les désirs de personnes désirant avoir un enfant...
Critiquer les « droits » revendiqués par des lobbys gays, dans le but de protéger les droits des enfants, est un devoir. Pour les avocats chrétiens comme pour tout avocat.
Lecture obligatoire de 80 pages pour les policiers ontariens sur, entre autres, comment fouiller les personnes transgenres...
Sur le site de Radio-Canada du novembre 2013 :
(Photo : acceptess-t sur wikimedia.org, licence Creative Commons)
Les policiers ontariens ont un nouvel outil pour mieux servir les membres de la communauté gaie, lesbienne, bisexuelle et transgenre (LGBT). Ce premier guide au Canada explique aux agents comment reconnaître un crime homophobe, gérer une situation de violence conjugale entre partenaires de même sexe ou procéder à une fouille auprès d'une personne transgenre ou transexuelle, entre autres.
(...)
Le document de 80 pages sera une lecture obligatoire pour tous les policiers de la province.
Les lobbys LGBT de Montréal choqués par des publicités familiales
Sur le site du Journal de Montréal du 16 octobre 2013 :
La présence de publicités de la compagnie Barilla dans les autobus de la Société de transport de Montréal (STM) provoque le mécontentement d’associations lesbienne, gaie, bisexuel et transgenre (LGBT).
Le producteur de pâtes italien avait choqué l’ensemble du monde des affaires il y a quelques semaines, lorsque son président avait soutenu qu’il ne voulait pas d’homosexuels dans ses publicités. Celui-ci a présenté ses excuses le jour même devant l’indignation générale.
Or, quelques affiches de la compagnie ont fait leur apparition dans les autobus de la STM depuis l’incident. Ces annonces représentent des couples hétérosexuels accompagnés leurs enfants et des slogans tels que «Pour les hommes, c’est Barilla ou rien» et «Il aime toujours mes pâtes Barilla», écrit sur l'image d'une femme.
«Après leurs commentaires homophobes ("une famille devrait être composée uniquement d'un homme et d'une femme"), Barilla ne fait que renforcer sa position homophobe en utilisant des propos hétéronormatifs, affirme Éric Pineault, président de Fierté Montréal. Nous condamnons leur manque d'ouverture envers la communauté LGBT et appelons la population à boycotter leur produit.»
Vigilance et éducation
Selon Steve Foster, directeur du Conseil québécois LGBT, le fait que ces publicités se retrouvent dans les autobus montréalais est «déplorable».
«Si les gens de la STM étaient au courant de cette histoire concernant Barilla avant d’avoir accepté de diffuser leur publicité, c’est dommage. Il faudrait que les gens responsables de la publicité à la STM fassent preuve de plus de vigilance», dit M. Foster.
Celui-ci trouve que l’image de la femme véhiculée dans ces affiches est sexiste. «J’en ai presque envie d’en rire de voir cette femme qui a le rôle de cuisinière pour son homme», déclare M. Foster.
«Tout cela prouve qu’il y a encore beaucoup de travail d’éducation à faire chez les gens, affirme Jean-Sébastien Boudreault, vice-président de Fierté Montréal.
(...)
Un lobby qui veut régenter et « éduquer » les québécois. Ce soir, je mange des pâtes Barilla!
Montréal recevra un rassemblement des lobbys homosexuels mondiaux
Sur le site de média-presse.info du 26 septembre 2013 :
Montréal sera le centre du lobby homosexuel mondial du 10 au 13 octobre prochain, à l’occasion de l’assemblée générale annuelle de l’InterPride. Il s’agira notamment pour les représentants des innombrables associations LGBT de par le monde de fixer un thème international commun.Ce n’est plus à démontrer, le lobby homosexuel est organisé à l’échelle internationale. Durant cette assemblée générale qui se déroulera à l’Hôtel Delta dans le centre-ville de Montréal, des représentants venus de tous les continents vont faire le point sur le communautarisme homosexuel, pays par pays. Ils vont aussi définir revendications et stratégies et échanger leurs expériences sur l’approche des politiciens et des financiers.Le programme annonce 25 ateliers. Au menu : marketing, relations média, développement stratégique, communauté « transgenre »,…Puisque ce rassemblement se tient cette année à Montréal, la plupart des ateliers se dérouleront en français de façon à attirer plus de représentants du lobby homosexuel des pays francophones européens (France, Belgique, Suisse) et des pays africains. (...)
Pour vous tenir informé sur les différents groupes de pression, Campagne Québec-Vie demeure à l'affut de l'actualité pour vous. Merci de ce que vous pourrez faire pour nous aider lors de cette campagne de financement. Toute aide, prières, et dons sont les bienvenus!
Colonialisme : la France finance les lobbys gais en Côte-d'Ivoire
Sur le site de afrik.com du 5 juillet 2013 (via le Salon Beige) :
La Coopération française a octroyé une somme de 30 millions FCFA à une ONG ivoirienne pour la promotion de l’homosexualité. Une importante somme d’argent destinée à encourager les efforts fournis par ce pays dans le cadre de l’intégration des homosexuels dans sa société. Un modèle de référence qui vaut aujourd’hui à la Côte d’Ivoire l’appellation de « terre d’asile des homosexuels »30 millions FCFA (45.735 euros), tel est le montant dégagé le 25 juin par la Coopération française pour promouvoir et vulgariser les droits des homosexuels en Côte d’ivoire. Selon La dépêche d’Abidjan, la convention a été signée au siège de l’ONG Alternative Côte d’Ivoire, sis à Cocody-Angré entre cette ONG, présidée par Touré Claver, lui-même homosexuel, et la France.Selon le journal, le financement des activités des homosexuels de Côte d’Ivoire n’est pas nouveau. Le programme d’urgence du programme des États-Unis pour la lutte contre le sida (Pepfar) finance déjà les activités des minorités sexuelles.La Côte d’Ivoire veut faire figure de bon élèveCette aide financière allouée à la Côte d’Ivoire dans le cadre de la promotion de l’homosexualité cherche-t-elle à faire de ce pays une terre d’asile pour les homosexuels ? La question arrive en effet à point nommé en une période marquée par une forte hostilité de cette pratique sur le continent africain. Certains pays, dont le Sénégal et le Cameroun, ont d’ailleurs manifesté leur ferme volonté de ne pas la légaliser.(...)Eldorado ou illusion ?L’idée que le pays est devenu un eldorado pour les homosexuels est pour le moment loin de la réalité. Des cas de lynchage restent toujours à déplorer. Le 9 octobre 2011, un jeune homosexuel du nom de Clovis avait été sévèrement tabassé à Bassam, ville située à l’est d’Abidjan, en compagnie de ses amies.La récente fermeture de l’unique bar gay du pays, en raison des incessantes patrouilles nocturnes des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire prouve encore la difficulté d’intégration des homosexuels dans la société ivoirienne.
La violence envers les personnes homosexuelles est inacceptable. Tout comme l'ingérence des pays occidentaux dans les valeurs familiales des pays africains.