Il était un « enfant transgenre » à l’âge de 3 ans et renommé comme fille à l’âge de 7 ans
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
Liverpool, Angleterre, 24 septembre 2019 (LifeSiteNews) — Au milieu de la contagion du transgenrisme parmi les enfants, une mère du Royaume-Uni affirme maintenant fièrement que son enfant « est devenu le plus jeune enfant trans… à seulement trois ans. »
La mère du garçon, Jeneen Schofield, a déclaré que son jeune fils avait « senti » qu’il devait vivre comme une fille alors qu’il était encore tout petit.
À partir de l’âge de trois ans seulement, son fils aurait continué à faire le même vœu de Noël et d’anniversaire : « Je veux être une fille », selon The Mirror.
La mère du garçon parle maintenant de lui comme d’une fille, en utilisant le pronom « elle », tout comme The Mirror le fait. L’article raconte :
Et l’année passée, à l’âge de sept ans, son vœu s’est réalisé lorsque son nom a été officiellement changé, pour Luna. [Encore !*]
Elle a commencé à porter une jupe à l’école et a obtenu un nouveau passeport aussi, en tant que l’un des plus jeunes enfants transgenres de Grande-Bretagne.
Aujourd’hui, sa fière maman ouvre son cœur sur ces évènements bouleversants et défie ses détracteurs qui croient que sa décision de laisser Luna choisir son sexe était prématurée.
Jeneen, une travailleuse du NHS âgée de 37 ans, raconte le moment où Luna, maintenant âgée de huit ans, a été « libérée » et parle de son « processus de deuil » alors qu’elle laissait partir son petit garçon.
Elle dit : « Luna demandait quand elle pourrait être une fille peu temps après son troisième anniversaire. Je ne l’ai pas prise au sérieux, je pensais que c’était quelque chose de temporaire et lui ai dit d’arrêter cette niaiserie. »
« Mais elle n’arrêtait pas de demander. Ma famille a estimé qu’elle était trop jeune pour prendre la décision d’être une fille, mais je ne voulais pas lui dire comment se sentir et je savais que cela n’allait pas disparaître. »
*Commentaires d'Augustin Hamilton.
Lire la suiteTom et Kate, les parents d’Alfie Evans, ont eu un deuxième fils : le petit Thomas est en pleine santé
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
C'est une bonne nouvelle d'apprendre, puisque Kate et Tom avaient conçu un autre enfant, qu'ils aient accepté de le mettre au monde malgré ce qui était arrivé à leur premier fils. Il faut préciser ici que les deux parents ne sont pas mariés. Bien que n'approuvant pas les unions hors-mariage, puisqu'ils ont conçu un enfant à naître, nous apprécions qu'ils le gardent et l'accueillent. — CQV
La touchante et terrible histoire familiale de Tom Evans et Kate Jones n’est pas terminée, loin s’en faut. Après avoir traversé l’épreuve indicible de la perte de leur petit Alfie, sacrifié sur l’autel maçonnique de la « qualité de vie », ils ont eu un deuxième fils, Thomas, né le 8 août dernier. Il est en pleine santé et leur rappelle par ses traits et ses mimiques le premier garçon qu’ils ont perdu. En ces temps de refus de la vie ces deux parents-courage donnent de nouveau un exemple d’espoir et de ténacité. Ils ont été interviewés dans une émission matinale de la télévision britannique, apportant de nouveau au grand public un témoignage d’amour inconditionnel à l’égard de leurs deux enfants – celui qui est parti en avril dernier, celui qui est né, et qui ne le remplace pas, mais leur donne une nouvelle raison de vivre.
On ne donnait pas cher du couple Tom et Kate après la mort de leur petit Alfie. Des psychologues de salon expliquaient volontiers que les unions ne résistent guère à de telles tragédies – n’est-il pas vrai que les divorces sont statistiquement très fréquents après la mort d’un fils ou d’une fille ?
Lire la suiteL’hôpital Alder Hey de Liverpool a dépensé au moins 150 000 livres pour faire mourir Alfie Evans
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
« Furieuse, en colère, écœurée » : la sœur de Tom Evans, le père d’Alfie, ce petit garçon victime d’une maladie cérébrale non identifiée qu’on a fait mourir en Angleterre en prétextant son « intérêt bien compris », vient de faire part sur Facebook de sa réaction indignée, alors que l’hôpital pédiatrique d’Alder Hey de Liverpool a enfin répondu à la question de savoir combien de fonds publics avaient été dépensés dans les affaires judiciaires qui ont abouti au débranchement du respirateur d’Alfie et à sa mort, cinq jours plus tard. Près de 150 000 livres sterling – 145 354,77 livres hors taxes, très exactement – ont été dépensées en frais de justice, avouent les autorités hospitalières. « Plus de 145 k£ pour tuer mon neveu ?!?!?!?!? Ai-je besoin d’en dire plus ! », écrivait Sarah Evans sur la page Alfie’s Army sur Facebook le 15 juin.
Alfie Evans : 150 000 livres au moins en frais judiciaires pour obtenir sa mort
La somme annoncée correspond à la date de la demande d’information, déposée par une certaine Alison Stevens le 23 mars dernier, un peu plus d’un mois avant le décès d’Alfie le 28 avril 2018. Les frais judiciaires engagés ont donc été en réalité encore plus importants, ceux avoués par l’hôpital correspondant au recours à des conseillers juridiques internes et aux frais de justice proprement dits avant les derniers recours en Angleterre et devant la Cour européenne des droits de l’homme.
Lire la suiteLe petit Alfie Evans est mort samedi
Alfie Evans.
Par Jeanne Smits (leblogdejeannesmits) — Photo : Facebook
Malgré l'incroyable courage de ses parents qui n'ont pas pu réaliser leur ultime souhait de le ramener à la maison. Alfie Evans est mort à 2:30 ce matin [samedi]…
Il n'y a pas de détails : on sait simplement que, privé de son assistance respiratoire depuis lundi soir, le petit Alfie Evans s'est battu plus de quatre jours, respirant seul avec le simple apport d'un peu d'oxygène.
Les ailes de notre petit garçon ont poussé cette nuit à 2:30. Nous avons le cœur brisé. Merci à tous ceux qui nous ont soutenu. (Kate James)
Les recours des parents d’Alfie Evans rejetés par la cour d’appel de Londres : il est dans son « intérêt bien compris » de mourir
Alfie Evans.
Par Jeanne Smits (leblogdejeannesmits) — Photo : Facebook
Ecœurant. La décision de la cour d’appel de Londres de rejeter les recours de Tom Evans et de Kate James en affirmant que rien ne permet de dire que le juge de Manchester, Justice Anthony Paul Hayden n'avait pas eu en tous points raison d’empêcher les parents d’Alfie Evans d’essayer de le faire soigner à Rome ou à Munich relève à la fois de l’horreur, de la torture et du mensonge. C’est toujours la même histoire : Alfie, dont le cerveau a subi des dommages « irréversibles » selon les médecins et les juges, ne doit plus recevoir autre chose que des « soins palliatifs » par ce qu’il est dans son intérêt « bien compris » de mourir.
Ce juge Hayden qui a noté dans son jugement du 20 février dernier que Tom Evans s’est « entiché » (ou « obnubilé » : besotted) de son petit garçon…
Ecœurant parce que ce sont les autorités judiciaires qui ont sollicité les pauvres parents, qui depuis lundi soir se battent aux côtés de leur petit « guerrier », entourés de forces de l’ordre, surveillés, fouillés chaque fois qu’ils reviennent dans la chambre de leur enfant, en leur expliquant que trois juges se tenaient prêts pour eux.
Lire la suiteAlfie Evans est maintenant nourri. La Cour d'appel entendra les parents au sujet d'emmener l'enfant en Italie
Alfie Evans dans les bras de sa mère après avoir été débranché de son aide respiratoire, le 24 avril 2018. — Source : Facebook
Par Diane Montagna — traduit par Campagne Québec-Vie
ROME, 25 avril 2018 (LifeSiteNews) — Les parents d’Alfie Evans vont aujourd’hui contester une décision d’une Haute Cour qui les empêche d’emmener leur fils en Italie pour lui fournir d’autres soins.
Un porte-parole du Christian Legal Centre (le groupe d’avocats représentant la famille) a déclaré que la Cour d’appel avait accepté de tenir une audience cet après-midi à 14 heures pour savoir si les parents Thomas Evans et Kate James peuvent transporter leur fils à l’étranger pour qu’il reçoive un traitement.
Mardi soir, le juge Anthony Hayden a décidé que les parents ne pouvaient pas emmener leur enfant en Italie et a qualifié sa décision de « dernier chapitre dans le cas de ce petit garçon extraordinaire ».
Mais en parlant devant l’hôpital Alder Hey de Liverpool ce matin, Thomas Evans a déclaré que la Cour d’appel les avait contactés hier soir après la décision du juge Hayden. Ils ont parlé avec M. Diamond [l’avocat des parents] et ont dit qu’ils étaient prêts à recevoir leur appel. D’après le britannique The Morning.
Lire la suiteAlfie Evans a été débranché de son respirateur, mais il a survécu
Alfie Evans. — Photo : Thomas Evans/Facebook
Par Jeanne Smits (reinformation.tv — leblogdejeannesmits) — tout le texte provient de reinformation.tv à part un paragraphe qui provient de leblogdejeannesmits. — NDLR
Débranché à 22 h 17 heure française lundi soir, le petit Alfie Evans a déjà survécu plus de 18 heures sans être ventilé. Son père a dû parlementer 40 minutes avec les médecins de l’hôpital pédiatrique Alder Hey de Liverpool pour obtenir qu’on lui administre de l’eau et de l’oxygène [mais pas l'assistance respiratoire — NDLR] au bout de six heures d’efforts de son fils pour vivre sans aucune assistance. A l’heure d’écrire, la famille Evans était de nouveau devant la justice, devant le même juge Hayden qui a déjà pris des décisions de mort pour Alfie. Mais pendant ce temps, un groupe de médecins britanniques a vivement condamné la manière dont on traite le petit garçon et dont on empêche ses parents de l’emmener en Italie (...)[leblogdejeannesmits]
(...) Le petit Alfie Evans, 23 mois, devait être précipité vers la mort ce lundi 23 avril, fête de la saint Georges qui est le saint patron de l’Angleterre. Mais il a gagné un sursis. Son exécution a été retardée. Son père Tom vient de déclarer dans une vidéo en direct sur Facebook, puis devant la foule de manifestants massée devant son hôpital, qu’Alfie vient de se voir attribuer la nationalité italienne ; l’ambassadeur d’Italie au Royaume-Uni veut entrer en discussions et au besoin aller devant les juridictions britanniques pour obtenir le transfert d’Alfie vers Rome, où la clinique vaticane du Bambino Gesu est prête à l’accueillir pour voir s’il est possible de diagnostiquer son mal, et de le soigner. Les parents d’Alfie, ils l’ont dit et répété, ne veulent pas d’acharnement thérapeutique pour leur fils. Ils veulent qu’il soit accompagné le mieux possible ; qu’il vive entouré d’amour, et qu’il meure, si cela est inévitable, paisiblement, au terme du temps qui lui sera donné et d’une mort naturelle. Dans sa dernière apparition publique en date, Tom Evans a indiqué que l’Italie poursuivra quiconque débranchera son fils. Et il a interpellé la reine Elizabeth : « Quand avez-vous légalisé l’euthanasie ? »
Lire la suiteAlfie Evans, menacé de mort comme Vincent Lambert, prisonnier d’un hôpital
Alfie Evans.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo publiée par la famille sur Change.org
Il y a moins de différences qu’il n’y paraît entre Vincent Lambert, la quarantaine, menacé de mort parce qu’un médecin a jugé que continuer de le nourrir reviendrait à de l’obstination thérapeutique, et le petit Alfie Evans, deux ans, prisonnier de l’hôpital britannique d’Alder Hey à Liverpool. Voici un an et demi, le petit garçon était frappé de convulsions après avoir montré des signes de retard de développement. Il est hospitalisé depuis lors : aujourd’hui Alfie respire et vit donc à l’aide d’un ventilateur, mais ne bénéficie pas de recherche pour diagnostiquer son étrange maladie. Les autorités hospitalières ont décidé qu’il était dans son intérêt d’être « débranché », ce qui entraînerait rapidement sa mort.
Au cours de son hospitalisation, Alfie a déjà pu se passer de la ventilation artificielle qui avait été rendue nécessaire par une infection pulmonaire. Une nouvelle infection a obligé à le remettre sous assistance respiratoire.
Lire la suiteLes parents d’Alfie Evans accusent l’hôpital de leur faire du chantage pour mettre fin à la vie de leur fils
Alfie Evans et ses parents.
Il s'agit d'un cas similaire à celui du petit Charlie Gard et risquant de finir de même. Le petit Alfie Evans est atteint d'une maladie neurodégénérative inconnue, qui serait intraitable d'après l'hôpital qui voudrait lui retirer le respirateur artificiel lui permettant de vivre. Ses parents désire pouvoir l'emmener dans un autre hôpital qui continuerait de le soigner et qui lui ferait un diagnostique plus poussé. L'affaire s'est rendue jusqu'à la Cour européenne des droits de l’homme qui a refusé d'examiner le cas — NDLR
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alfie's Army/Facebook
Liverpool, Angleterre, 29 mars 2018 (LifeSiteNews) — Le père d’un garçon de 22 mois, que la Cour européenne laisse mourir, affirme qu’on lui fait du chantage dans le but d’enlever la vie à son fils.
Dans un message publié jeudi sur Facebook, Thomas Evans a déclaré que le personnel de l’England’s Alder Hey Children’s Hospital en Angleterre ne le laisserait pas prendre Alfie Evans dans ses bras jusqu’à ce qu’il accepte qu’on retire le ventilateur à son fils.
« Je viens juste d’amener ma sœur et mon petit frère dans la chambre d’Alfie pour lui donner du temps pour recevoir des câlins, dit Evans, et on m’a dit que ma famille ne pourra pas tenir mon fils tant que je n'aurai pas discuté à propos de retirer le ventilateur avec les consultants et que nous ne serons pas parvenu à un accord. »
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