YouTube censure une célèbre vidéo décrivant les méthodes d’avortement
Docteur Anthony Levatino, ancian avorteur.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : LiveActionNews/YouTube
Encore un exemple de censure envers les pro-vie sur internet, YouTube, dont Google est le propriétaire, avait momentanément supprimé une vidéo détaillant quatre méthodes d’avortement, avant de la rétablir, face aux protestations des pro-vie.
Ceci m’amène à une réflexion : ces derniers temps, YouTube, Facebook et compagnie censurent à tout va, au nom de la santé, les vidéos et publications critiquant l’OMS et sa politique sur le coronavirus, ou promouvant l’hydroxychloroquine comme remède à ce virus ; d’autre part, l’avortement étant classé comme « soin de santé » par ses partisans (dont l'OMS), c’est donc sans doute pour défendre le « droit » à la santé des femmes que YouTube s’est senti une flamme chevaleresque et a pourfendu une célèbre vidéo qui menaçait ce « droit », au nom de la santé bien sûr… pourtant, elle ne faisait strictement que décrire des méthodes d’avortement. La dictature sanitaire et sa censure sont sur nous.
Une vidéo vue près de 1,8 million de fois depuis 2016, selon LifeSiteNews :
Une vidéo publiée en 2016 par Live Action montrant ce que avortements chimiques et chirurgicaux sont en réalité a été supprimée la semaine dernière par YouTube, propriété de Google, puis soudainement rétablie face aux protestations des militants pro-vie.
La vidéo, qui a été visionnée près de 1,8 million de fois sur la plateforme de Google, a été rétablie après que l’organisation pro-vie eût fait appel de cette suppression.
Dans la vidéo, le Dr Anthony Levatino, ancien avorteur, décrit quatre types d’avortement différents, avec des dessins animés dont le but principal est de refléter la réalité brutale des procédures.
La fondatrice et présidente de Live Action, Lila Rose, a tweeté sur cette censure vendredi soir.
« La vidéo a constamment été regardée depuis 2016, elle comprend des animations médicalement exactes de l’avortement, expliquées par un ancien avorteur », écrit Lila Rose.
Dans un courriel envoyé à Live Action, YouTube déclare que la vidéo avait été signalée et qu’elle avait été jugée contraire aux « lignes directrices de la communauté ».
« Vous savez ce qui viole réellement les règles de la communauté ? » demande-t-on sur la page Twitter de Susan B. Anthony List, « l’avortement : le meurtre intentionnel d’une personne humaine innocente. »
Live Action envoie un lettre de mise en demeure à Twitter, concernant le blocage des publicités pro-vie
Par Susan Michelle-Hanson (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
[22 septembre 2017] Live Action a déclaré que Twitter avait supprimé ses publicités. Le Washington Post a publié un article sur la bataille entre les deux organismes (l’intitulé original était le suivant : « Twitter ne diffusera pas les publicités payantes d’un groupe anti-avortement si celui-ci ne gomme pas de son site internet les contenus sensibles »).
« Un groupe anti-avortement important a accusé Twitter de bloquer sa publicité et d’oser même lui demander de supprimer des « contenus sensibles » de son propre site internet, ce à quoi les militants ont répondu que le réseau social géant se distanciait largement de sa revendication autoproclamée d’accueil de débats sans filtre. »
La lettre de Live Action à Twitter demande à l’entreprise du média social, de lui accorder un accès pour faire de la publicité plus grand que celui à ses propres partisans sur Twitter, affirmant que Twitter isole délibérément Live Action et sa fondatrice et présidente, Lila Rose. Le Post rapporte :
Lire la suiteMalgré la pression des médecins, cette actrice a refusé l'avortement : « C’était mon fils et il avait besoin de moi »
Lynn Ferguson
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
À l'âge de 37 ans, l'actrice Lynn Ferguson (qui était la voix de Mac dans Chicken Run) a découvert qu'elle était enceinte. Sa grossesse a été qualifiée de « gériatrique », étant une grossesse après l'âge de 35 ans. De ce fait, les médecins lui ont demandé de faire une amniocentèse pour vérifier si l’enfant avait la trisomie 21. Lorsque Ferguson a refusé, cela aurait dû s’arrêter là à ce sujet. Mais ce fut juste le début de la pression qu’elle subira en tant que mère plus âgée. Plus tard, elle a également refusé l'avortement et a changé d'hôpital.
« [...] ce n'est pas techniquement la faute du bébé que je sois vieille, vous savez, » a-t-elle déclaré sur The Moth. « Alors je ne vais pas prendre le risque. Non, à moins qu'il n'y ait une bonne raison. »
Malgré son désir de ne pas passer l'examen et de risquer une fausse-couche, les médecins ont continué de lui demander de passer l'amniocentèse. Ferguson a déclaré qu’elle a continué de refuser et de mettre ça de côté, essayant de s'en sortir sans plus de conflit. « Regardez, votre test peut-il me dire que cet enfant ne sera pas un sale type ? » plaisanta-t-elle. « Votre examen peut-il me rassurer que ce bébé ne sera pas l'un de ces horribles personnages qui crient en dérangeant les gens dans les restaurants et les avions? Est-ce que votre test peut m'assurer que ce petit bébé, cet humain en croissance ne va pas devenir un adulte ayant une horrible affinité pour la musique de flûte de pan péruvienne ? »
Lire la suiteTwitter promeut « Planned Parenthood » et censure le groupe pro-vie « Live Action »
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Les tweets de Live Action sont « offensifs » et « incendiaires ». Ceux du Planned Parenthood correspondent, eux, en revanche, pleinement à la ligne de pensée et à la politique (correcte) de Twitter – comme d’ailleurs de ses comparses alias YouTube et cie. Alors même que ses subventions fédérales pourraient bien être drastiquement amaigries voire effacées par le projet de loi républicain actuellement en discussion pour remplacer l’Obamacare, la publicité de la plus grande chaîne d’avortements aux États-Unis est garantie par les puissants réseaux sociaux – et ses opposants bâillonnés.
Lire la suiteAprès avoir vu les vidéos de Planned Parenthood, l’offre d’un couple d’adopter fait le tour de la Toile
Par Murray Vasser de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
10 novembre 2015 - La quatrième d’une série de vidéos d’enquête filmées en caméra cachée montrait une employée de Planned Parenthood trier négligemment les restes en morceaux d’un fœtus avorté, à la recherche de pièces à vendre. « C’est un bébé, un autre petit garçon », s’amuse-t-elle en saisissant une jambe déchiquetée.
Après avoir vu cette vidéo, Kevin Cook, étudiant d’Asbury Theological Seminary, dans le Kentucky, a posté la réponse suivante :
Lire la suite«Vos prières m‘ont sauvée »: une petite fille s’adresse aux défenseurs de la vie
Par Alexandra Liebl de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Environ 10 000 vies ont été sauvées de l'avortement grâce aux efforts de prière de la campagne « 40 jours pour la vie » de David Bereit. Leah, une fillette de 4 ans, est l'une de ces vies.
Âgée de 19 ans et enceinte, la mère de Leah avait peur et envisageait sérieusement l'avortement. Elle fut témoin d’une vigile de 40 jours pour la vie, lorsqu’elle se rendait à une clinique d’avortement. Émue aux larmes par la puissance submergeante de la prière, la mère de Leah a choisi la vie.
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