56 législateurs exigent une enquête sur Planned Parenthood pour non-signalisation d’abus sexuels sur mineurs
Lila Rose, de Live Action, avec des législateurs à une conférence de presse à Washington le 7 juin 2018
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie
Washington, 7 juin 2018 (LifeSiteNews) — Des membres du Congrès des États-Unis se sont réunis à l’extérieur du Capitole aujourd’hui pour attirer l’attention sur un rapport d’enquête et une série de vidéos importants révélant que Planned Parenthood a omis de faire connaître aux forces de l’ordre des cas suspects de trafic humain et d’exploitation de femmes et de filles. Dissimulation de crimes contre mineurs qui remonte à plusieurs décennies et qui, jusqu’à maintenant, est largement reléguée dans l’oubli. C’est pour cette raison que Live Action a produit un rapport et une série de vidéos, afin d’étaler au grand jour les actions criminelles, effrénées et continues de Planned Parenthood contre les jeunes filles déjà victimes d’agression sexuelle.
« La dissimulation des abus est un fait généralisé dans l’industrie de l’avortement, disait Lila Rose, fondatrice de Live Action. Ce que font ces agresseurs, continuait Rose — ce que font les trafiquants sexuels — c’est amener leurs victimes ou menacer de les envoyer de force à un centre d’avortement. Ces lieux peuvent devenir un point central pour étouffer toute trace d’abus. Et Planned Parenthood, au lieu de rendre compte de l’abus tel que la loi le leur exige dans presque tous les cinquante États — au lieu de rapporter l’abus, au lieu d’être ce pont essentiel entre une personne en extrême détresse et l’intervention dont elle a besoin — avorte en secret, emploie une politique du “ni vu, ni entendu” et renvoie cette jeune fille vulnérable dans les bras de prédateurs sexuels ».
Lire la suiteLive Action envoie un lettre de mise en demeure à Twitter, concernant le blocage des publicités pro-vie
Par Susan Michelle-Hanson (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
[22 septembre 2017] Live Action a déclaré que Twitter avait supprimé ses publicités. Le Washington Post a publié un article sur la bataille entre les deux organismes (l’intitulé original était le suivant : « Twitter ne diffusera pas les publicités payantes d’un groupe anti-avortement si celui-ci ne gomme pas de son site internet les contenus sensibles »).
« Un groupe anti-avortement important a accusé Twitter de bloquer sa publicité et d’oser même lui demander de supprimer des « contenus sensibles » de son propre site internet, ce à quoi les militants ont répondu que le réseau social géant se distanciait largement de sa revendication autoproclamée d’accueil de débats sans filtre. »
La lettre de Live Action à Twitter demande à l’entreprise du média social, de lui accorder un accès pour faire de la publicité plus grand que celui à ses propres partisans sur Twitter, affirmant que Twitter isole délibérément Live Action et sa fondatrice et présidente, Lila Rose. Le Post rapporte :
Lire la suiteUn ancien avorteur décrit l'horreur du démembrement au cours d'une audition visant les pratiques de Planned Parenthood
Par Becky Yeh de Live Action News— Traduit par Campagne Québec Vie
Le 8 octobre 2015 (Live Action News) -- Le Comité de la Maison de la Justice américaine a entendu et examiné la procédure d’avortement et l’éthique médicale de Planned Parenthood, la plus grande « chaîne » d’avortement du pays.
Les personnes ayant livré un témoignage sont le praticien Dr Anthony Levatino; une ancienne manager au Planning, Sue Thayer; et Luana Stoltenberg, victime de traumatisme et de stérilité suite à un avortement exécuté par l’institution.
Au cours de l’entretien, Dr Levatino a partagé des détails particulièrement macabres à propos des délivrances précoces du second trimestre (nommées D&E pour dilatation et évacuation), qu’il décrit comme des opérations menées « à l’aveuglette ».
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