Persécuter l’Église au nom de la « liberté »
Expulsion de Chartreux de leur monastère lors de la séparation de l'Église et de l'État en France, avril 1902.
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Internet Archive Book Images/Wikimedia Commons
Suite de la Chronique intitulée : « Un droit d’exemption pour l’éducation sexuelle ? » — CQV
Cet extrait de ma thèse de doctorat en histoire tente d’expliquer la logique interne des États soi-disant libéraux, qui en viennent à persécuter l’Église catholique en vertu du principe : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté. »
* * *
La philosophie libérale prétend émanciper la société de l’absolutisme politique et religieux. Mais en pratique, elle tend à renforcer le pouvoir étatique, parfois jusqu’au totalitarisme. L’Ancien Régime ne connaissait pas la conscription, la lourde taxation et la règlementation envahissante, qui sont les fruits des États libéraux des XIXe et XXe siècles. La Révolution française a proclamé la liberté de cultes, tout en guillotinant le quart du clergé.
Ce paradoxe découle de la logique interne du libéralisme. Pour éviter l’anarchie, la liberté doit être encadrée par l’autorité. Si cette autorité n’émane pas de Dieu, elle doit émaner des hommes, ou plus précisément de la volonté générale du peuple souverain qui s’exprime démocratiquement. La puissance temporelle (État) n’est plus soumise à la puissance spirituelle (Église). La distinction entre Dieu et César disparaît au profit de César, c’est-à-dire de l’État qui détient désormais les deux pouvoirs, temporel et spirituel.
L’État devient l’autorité suprême qui entend régir le corps et l’âme de la société, et même des individus. Il interdit, par exemple, l’enseignement de la foi catholique dans les écoles publiques ; mais il le remplace par une éducation civique d’idéologie libérale (cours d’ECR et d’éducation sexuelle). L’État est séparé de l’Église catholique, mais il n’est pas séparé de toute religion. C’est l’idéologie libérale qui tient lieu de religion officielle.
Lire la suiteLe dossier noir de Québec solidaire : Marx, le maître à penser
Karl Marx.
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : L’Encyclopédie canadienne, DossierQS, Facebook, Point de bascule n° 1, n° 2, n° 3 et n° 4, Presse gauche, Youtube, Wikipédia et Marxists Internet Archive/Voici la source de la photo : Wikimedia Commons
Faut-il le rappeler ? C’est en URSS qu’a été légalisé pour la première fois dans l’époque moderne en 1920 l’avortement. C’est le marxisme culturel qui a répandu la théorie du genre dans bien des pays dont le Brésil. — CQV
Saviez-vous qu’un ex-coordonnateur d’Amir Khadir était une connaissance de Pol Pot ? Première partie de ce dossier.
Québec solidaire (QS) n’a plus besoin de présentation. Au départ populaire principalement à l’est du boulevard Saint-Laurent, l’organisation a réussi à soutirer 10 sièges aux dernières élections provinciales, dont un à Sherbrooke, un ancien fief de l’ex-Premier ministre libéral, Jean Charest.
Dépeint par plusieurs comme appartenant à l’extrême gauche, le parti de Manon Massé a déjà dû se défendre d’être associé aux antifas. Car si QS fait figure de modèle politique pour les maximalistes québécois, c’est parce qu’il a été bâti en grande partie sur le socle du communisme.
L’alliance des rouges
Québec solidaire est né en 2006 d’une fusion entre l’Union des forces progressistes et Option citoyenne. Dès le début, le parti accepta dans ses rangs des « collectifs » aux noms évocateurs : Gauche socialiste, Socialisme international, Masse critique, Parti communiste du Québec (PCQ), pour ne nommer que ceux-là.
Lire la suite40 à 50 millions d’avortements dans le monde en 2018
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Quelle boucherie ! Nous ne sommes pas meilleurs que nos ancêtres, nous sommes pires… 40 à 50 millions d’enfants à naître tués, innocents, sans défense, mis à mort cruellement. Et ça n’est pas compté officiellement dans les décès. Pourquoi ? Parce que des gens considèrent ou veulent considérer que l’enfant à naître n’est pas une personne. Pourtant la science affirme que la vie commence à la conception. Extrait de Gènéthique :
En 2018, 41,9 millions d’avortements ont été pratiqués dans le monde, « soit davantage que le nombre de morts liés aux dix principales causes de décès à l’échelle globale », a publié le site de statistiques Worldometers, qui précise que les chiffres ne prenaient pas en compte les fausses couches. L’OMS avait même publié en 2014 le chiffre de 56 millions. « Selon les estimations de l’OMS, il y a chaque année dans le monde 40 à 50 millions d’avortements. Cela correspond approximativement à 125 000 avortements par jour ». Snopes, un site américain réputé pour sa traque aux fake news, confirme : « Si l’estimation de l’OMS de 56 millions d’avortements par an est restée stable jusqu’en 2016, lorsqu’elle a publié son étude sur le top 10 des principales causes de mort à l’échelle globale [2], il serait vrai que le nombre d’avortements dans le monde a surpassé le nombre de décès totaux liés aux maladies cardiaques et aux attaques cérébrales, les deux premières causes de décès cette année-là » (15,2 millions de personnes).
Mais Snopes joue avec le mot « mort » de telle sorte qu’il met en doute que l’avortement provoque la mort d’une personne, d’après Gènéthique :
... « dire que l’avortement est la “principale cause de mort” dans le monde est une affirmation problématique, parce que cette position revêt un aspect politique, en contradiction avec le monde scientifique et médical », puisque « les champs légaux, philosophique, religieux et scientifique ne donnent pas de réponses définitives quant au moment du début de l’identité individuelle ».
L’enseignement de saint Thomas d’Aquin sur la conscience
Par le Père Thomas Crean (Voice of the Family) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : National Gallery/Wikimedia Commons
L’enseignement de saint Thomas d’Aquin sur la conscience et deux distorsions modernes
Conférence donnée lors du Rome Life Forum le 17 mai 2018
Dans le présent exposé, je vais tout d’abord brièvement présenter ce que saint Thomas d’Aquin entend par le terme « conscience ». Par la suite, je décrirai les deux façons dont son enseignement sur la conscience est souvent détourné, et j’en expliquerai leurs conséquences pour la vie de l’Église d’aujourd’hui.
Premièrement, que veut dire saint Thomas par le terme « conscience » (en latin, conscientia) ? Certaines personnes ont employé ce mot pour dénoter un pouvoir spécial de l’âme, dont le domaine serait la prise de jugements moraux. Toutefois, Thomas d’Aquin ne croyait pas à l’existence d’un tel pouvoir ; puisque notre intellect est déjà un pouvoir fait pour appréhender la vérité, il s’ensuit que toute sorte de vérité, qu’elle soit « morale » ou « non morale », peut être appréhendée par l’intellect. Ainsi, c’est notre intellect qui perçoit, par exemple, que « deux fois deux font quatre » et que « mentir est mal ». Par conscience, saint Thomas entend une certaine catégorie de jugements rendus par notre intellect, à savoir les jugements que nous portons sur les actes que nous avons faits ou que nous faisons ou encore, que nous pensons faire. D’après son étymologie, il remarque que « conscientia » suggère l’application de la connaissance à un objet ; et il nous dit que nous faisons un jugement de conscience quand nous appliquons notre connaissance à nos propres actions. Saint Thomas distingue trois cas : soit nous sommes simplement conscients du fait d’avoir fait quelque chose ; soit nous jugeons de la bonté ou du mal de quelque chose que nous avons fait ; soit nous jugeons qu’un acte futur possible est quelque chose que nous devrions ou ne devrions pas faire ou pourrions faire.
Ceci explique les actions que l’on attribue généralement à la conscience : il nous dit qu’elle témoigne du simple fait de certaines actions passées ; pour nous absoudre, nous accuser ou même nous tourmenter, du bien ou du mal d’un acte passés ; et pour nous pousser ou nous retenir au sujet d’un quelconque acte futur. [1] La conscience est donc l’acte de juger qu’une de mes actions actuelles ou potentielles est ou fût, bonne ou mauvaise, obligatoire, interdite ou facultative. Enfin, il note que si le mot désigne à proprement parler de tels actes de jugement, il est aussi, par un processus naturel, utilisé pour désigner l’une des causes internes à l’origine de ces actes, à savoir notre tendance habituelle à reconnaître certains biens fondamentaux (p. ex. la vie et l’existence en société) comme des biens qui nous conviennent par nature.
Après cette brève présentation de la signification du mot « conscientia » (conscience) pour saint Thomas, je vais désormais expliquer de quelles manières son enseignement sur la conscience a été tordu, et je démontrerai à quel point ces déviations sont graves pour l’Église aujourd’hui.
Lire la suiteUn droit d’exemption pour l’éducation sexuelle ?
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Ben White/Unsplash
Je serais surpris que les parents catholiques puissent obtenir pour leurs enfants une exemption du cours d’éducation sexuelle, surtout après que la Cour Suprême du Canada ait rejeté, en 2012, une semblable demande pour le cours d’éthique et culture religieuse (ECR).
Pour l’instant, le Premier ministre Legault affirme que tout le monde doit suivre ce cours. Je comprends mal la logique de ses « valeurs québécoises » : garder le crucifix à l’Assemblée nationale, l’interdire pour les enseignants, faire de la propagande LGBT dans les salles de classe. Nous verrons bien la suite.
À mon avis, une contestation judiciaire serait infructueuse. Les tribunaux adopteront le même raisonnement que dans la décision sur l’ECR. La Cour Suprême finira par dire que le cours d’éducation sexuelle ne fait que présenter scientifiquement divers types de comportements sexuels, sans forcer qui que ce soit à les pratiquer : ce cours ne porte donc pas atteinte aux libertés individuelles, tout en permettant aux jeunes de prendre conscience des réalités contemporaines.
Le problème pour un catholique, c’est que le cours enseigne aux enfants à respecter, à tolérer, et donc à approuver moralement toutes les formes de vie sexuelle. C’est une atteinte directe à la liberté de conscience. Nous n’avons plus le droit de penser que l’homosexualité puisse être « anormale ». Il ne s’agit pas seulement de respecter la personne homosexuelle, comme nous le commande la charité chrétienne, mais d’approuver le principe de ce comportement contre nature, sous prétexte de « liberté de choix ». Autrement dit, il faut nier un aspect de la Loi de Dieu (voir Mt, 11 : 23-24 ; Rm 1 : 24-32 ; 1erCor 6 : 9-10).
Lire la suiteL’islamo-réalisme
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : HaiDer95/Pixabay
Chers lecteurs, le titre et le contenu de la chronique ci-dessous vous surprendront sûrement un peu, étant donné le contenu de nos publications habituelles. Cependant, le sujet qui sera abordé quelques paragraphes plus bas cadre tout à fait avec le but premier de notre organisme Campagne Québec-Vie qui est :
1) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun.
Or, pour comprendre pourquoi le christianisme est la seule vraie religion, il faut comprendre en quoi les autres sont fausses. — CQV
Entre le discours des islamophiles, qui confine à la bêtise, et celui des islamophobes, qui frise la haine, un jeune écrivain français de 37 ans, Joachim Véliocas, se classe parmi les « islamo-réalistes ». Le directeur du site L’Observatoire de l’islamisation (France) invite les catholiques à ne pas s’illusionner sur la religion musulmane. Dans son dernier ouvrage, L’Église face à l’islam : entre naïveté et lucidité (Éditions de Paris Max Chaleil, 2018), il cite les nombreuses déclarations complaisantes des autorités ecclésiastiques envers l’islam. Le pape François a eu l’audace d’affirmer qu’« il n’existe pas de terrorisme islamique ». Mgr Claude Dagens a dit qu’« il ne faut pas diaboliser tous les djihadistes ». Le dominicain Adrien Candiard prétend que « le wahhabisme n’a rien de violent », bien qu’il prône la lapidation des femmes adultères.
Le dialogue islamo-chrétien est à sens unique depuis ses origines. Les autorités officielles de l’islam ont toujours refusé de s’engager dans cette voie. Les musulmans qui y participent ne le font qu’à titre individuel, et probablement dans l’esprit de ce vieux proverbe arabe : « Baise la main que tu ne peux pas encore couper. »
L’auteur n’hésite pas à remonter à la source de cette naïveté de l’Église : le Concile Vatican II. Le no 16 de Lumen Gentium affirme que « le dessein du salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans qui, professant avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique ».
Lire la suiteL’inerrance historique de la Bible
Photo : Joconde database\Wikimedia Commons
Par l'historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D.
Un peu de science éloigne de Dieu; beaucoup de science en rapproche.
Depuis le ténébreux « Siècle des Lumières », les pseudo-rationalistes s’évertuent à soulever de fausses contradictions dans la Bible pour discréditer son origine divine. Mais les historiens sérieux réussissent toujours à réfuter ces objections.
On lit dans l’Évangile de saint Luc que Jésus est né sous le règne d’Hérode, pendant que le gouverneur romain de Syrie, Quirinius, procédait au dénombrement de tous les habitants de la terre (au sens de l’empire romain), au temps de César-Auguste. La critique historique a signalé des invraisemblances chronologiques. Nous savons par des sources sûres qu’Hérode est mort en - 4; que Quirinius a été gouverneur de Syrie de + 6 à + 10, et que son recensement de la Judée a provoqué un soulèvement en + 6; que l’empereur Auguste a commandé trois recensements universels, en - 28, - 8 et + 14, mais que ceux-ci ne s’appliquaient qu’aux citoyens romains, et donc pas à Marie et Joseph.
Toutes ces dates, établies par la science profane, semblent contredire l’Évangile. Wikipédia nous dit, en partant, bien sûr, du principe que Dieu n’est pas le véritable auteur de la Bible, que « saint Luc a probablement commis une erreur ». Mais l’exégèse catholique a toujours affirmé la doctrine de l’inerrance historique de l’Écriture Sainte. Notons que je ne parle pas ici de l’inerrance scientifique, comme la question de la création du monde en six jours. Cela est une autre affaire.
Lire la suiteBonne et sainte année 2019 ! Mais sommes-nous vraiment en 2019 ?
Par l'historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Jordan Benton/Pexels
Nous avons vu, dans notre dernière chronique, que Jésus-Christ est fort probablement né un 25 décembre. Mais il n’est pas certain qu’il soit né en l’An 1 de l’ère chrétienne. Jésus serait paradoxalement né quelque part entre 4 et 7… avant Jésus-Christ. Comment expliquer ce paradoxe ?
Plusieurs types de calendriers étaient en usage dans l’Antiquité. Les Romains comptaient les années à partir de la fondation de Rome, qui correspond à l’année 753 av. J.-C. de notre calendrier chrétien. Les Grecs comptaient plutôt les années à partir des premiers Jeux olympiques, qui auraient eu lieu en 776 av. J.-C. Les Juifs retenaient, quant à eux, l’année de la création d’Adam, qui correspondrait, suivant une interprétation de la Torah, à 3761 av. J.-C. Les calendriers babyloniens et égyptiens étaient encore en vigueur au temps de Jésus.
Les spécialistes de l’histoire de l’Antiquité ont souvent du mal à fixer les dates de certains événements à cause des différences de calendriers. Par exemple, les chroniques romaines et juives nous indiquent des dates divergentes pour le début du règne d’Hérode le Grand (37 ? à 4 av. J.-C.).
En 525, le pape Jean 1er avait demandé au savant moine Denys le Petit (470-550) de calculer l’année de naissance du Christ, pour mieux déterminer la date de Pâques. Mais Denys a commis une erreur dans la fixation de l’An 1 (Anno Domini), qu’il faisait correspondre à l’année 753 de la fondation de Rome.
Lire la suiteLes meilleurs articles de 2018
Photo : Pixnio
En ce premier jour de l'année 2019, nous pensions vous envoyer une récapitulation des articles les plus populaires et les plus intéressants de 2018.
Que 2019 soit une année charnière pour la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, au Québec et au Canada !
Pour la Vie,
Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Les articles les plus populaires de l'année 2018
1. Le Canada ne financera plus les emplois d’été étudiants si l’employeur n’appuie pas l’avortement
Le gouvernement libéral de Justin Trudeau ne fournira pas de subventions, destinées aux emplois d’été pour étudiants...
2. Six images bouleversantes qui montrent la réalité de l’avortement dans le premier trimestre
Au cours du premier trimestre de la grossesse, l’enfant à naître se développe à un rythme rapide.
3. La DPJ retire deux filles à leurs parents sur fond d’instruction à la maison
Un couple lance un cri du cœur contre la DPJ, qui lui a retiré ses deux filles il y a plus de trois ans.
4. La perversion obligatoire de nos enfants par l'État commence
Au Québec la rentrée scolaire de septembre 2018 sera marquée par l’implantation d’un cours obligatoire d’éducation sexuelle...
5. Elle riait en allant a son 9e avortement. Mais quand on lui montra son bébé...
Le livre d’Abby Johnson, The Walls Are Talking [...] contient des témoignages d’anciennes employées ayant travaillé pour l’industrie de l’avortement.
6. Céline Dion fait de la publicité pour une collection de vêtements « neutre »
Mais oui ! Céline Dion s’y met aussi...
7. Une infirmière raconte : un nourrisson ayant survécu à un avortement laissé à mourir dans un récipient pour « déchets cliniques »
Caren travaillait comme infirmière au service d’une agence à Sydney, en Australie...
8. Une liste concise des actes tyranniques de Justin Trudeau contre la vie, la famille et les chrétiens
Voici une liste rapide, en ordre chronologique, de certaines des actions les plus anti-vie, anti-famille et anti-liberté du gouvernement Trudeau pendant son mandat (années 2016-2017).
Voici les autres articles parmi les plus populaires
Voici le « produit » d’une fausse couche à 7 semaines de gestation. Un bébé, un tout petit d’homme parfaitement reconnaissable
C’est une maman éblouie par la finesse de son enfant à naître, heureuse d’avoir pu le voir après l’avoir perdu, qui a mis cette image en ligne.
Un ancien sataniste déclare avoir pratiqué des rituels dans des avortoirs
À la lumière de vidéos récemment publiées révélant le trafic d’organes et de tissus d’enfants à naître...
Un pathologiste traumatisé après avoir vu un bébé avorté de trois livres dont le visage exprimait l’horreur
Mais les travailleurs de l’avortement ne sont pas les seuls à être traumatisés à la vue d’un bébé avorté.
Mgr Viganò publie une nouvelle lettre en réponse au silence du Pape François au sujet du scandale de Mgr McCarrick
Avant de commencer à écrire, je voudrais tout d'abord rendre grâce et gloire à Dieu le Père...
Des enfants de six ans chargés à l’école d’écrire des lettres d’amour entre deux hommes
L’enseignante, Sarah Hopson, a déclaré à la BBC...
Une infirmière renvoyée pour avoir refusé de participer à des avortements se tourne vers les tribunaux
Une sage-femme chrétienne a porté plainte contre la Suède à la Cour européenne des droits de l’homme.
Horrible : Une avorteuse admet avoir tué un enfant à naître de 37 semaines
Susan Robinson est une avorteuse qui pratique des avortements tardifs...
Euthanasie passive : Inès, débranchée, a mis presque deux jours à mourir
Si l’affaire Vincent Lambert n’est pas terminée, celle d’Inès a pris fin...
L’hôpital Sick Kids de Toronto envisage d’euthanasier des enfants avec ou sans le consentement de leurs parents
Un rapport récent de l’hôpital Sick Kids (traduction littérale : « hôpital pour enfants malades ») de Toronto...
Violée à 13 ans, cette jeune fille choisit la vie malgré toutes les pressions qu’elle subissait pour qu’elle avorte son fils À l’âge de 13 ans, Kali a été violée par un inconnu.
Monseigneur Schneider : Derrière le phénomène des migrants se cache un plan pour remplacer la population européenne
Mgr Athanasius Schneider, évêque du Kirghizstan voit dans ce mouvement un plan qui a pour but de remettre en question la Chrétienté en Europe.
Les articles que nous avons trouvé les plus intéressants de l'année 2018
1. Le Brésil élit un président pro-vie fort, brisant des décennies de pouvoir gauchiste
Le 28 octobre est une date importante pour le Brésil.
2. Analyse : Ce parti pro-vie met fin à 40 ans de régime socialiste dans la plus grande région d’Espagne
Les derniers signes de la révolution opposée à la mondialisation laïque moderne...
3. Une éducation à la sexualité provenant d'institutions internationales : la pourriture à l'échelle mondiale
Voici une intéressante vidéo, réalisée par Jean-François Denis de ThéoVox Actualité...
4. L’illusoire morale laïque
Si la chroniqueuse du Journal de Montréal, Lise Ravary, tient à enlever le crucifix de l’Assemblée nationale...
5. Pourquoi la contraception et l’avortement sont-ils la haine du corps ?
Ma chair fait partie de qui je suis : ce n’est ni un appendice, ni une machine, ni une propriété, mais moi-même.
6. Cardinal Robert Sarah : Humanæ Vitæ, voie de sainteté
Il y a exactement 50 ans le Pape Paul VI a signé sa dernière et plus importante Lettre Encyclique, Humanæ Vitæ.
Voici les autres articles parmi les plus intéressants
L'idéologie du genre est sans fondement
Le genre est un concept qui promeut l’indifférenciation sexuelle, au sens large, c’est-à-dire incluant la sexualité. Il est basé sur un postulat...
Conférence sur la théorie du genre : une théorie contrenature
Dit avec les mots justes, avec un raisonnement puissant cette conférence nous aide à voir quelles sont les bases de cette théorie.
L'infanticide en milieu médical en Europe
Voici les témoignages émouvants d'infirmières et de médecins de France et de Grande-Bretagne...
Les abus sexuels dans l’Église dus aux réseaux de prêtres homosexuels ?
Pour faire suite à votre article paru dans le Journal de Montréal...
Au Moyen Âge, la femme avait-elle une âme ?
Le Moyen Âge a mauvaise réputation. Pour discréditer une idée, il suffit de la qualifier de « moyenâgeuse ».
Le crucifix et la liberté
L’histoire nous apprend que le christianisme a été [...] le plus grand facteur de liberté humaine.
Le recrutement et le conditionnement de nos enfants
Je me suis à un entretenu avec une jeune fille de 14 ans il y a quelques mois, et elle m’a mis au courant de ses batailles contre la gauche sexuelle de son collège.
Savez-vous quand les ondes cérébrales d’un enfant à naître peuvent être détectées ? La réponse pourrait vous surprendre
Je ne savais pas que seulement 24 jours après la conception, le cœur du bébé bat.
Le retour des hommes à la virilité : une solution à bien des problèmes
Au fait, combien d’avortements seraient évités si bien des hommes voulaient accepter de prendre leur rôle...
Un ministre qui n'a pas sa langue dans sa poche, il mènera une politique étrangère sans idéologie marxiste
Le nouveau ministre de l'Itamaraty (Ministère des Affaires étrangères du Brésil), Ernesto Araújo...
Les abus sexuels dans l’Église dus aux réseaux de prêtres homosexuels ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici une lettre du président de Campagne Québec-Vie, Georges Buscemi, qui a été envoyée à Mme Denise Bombardier le 4 décembre en réponse à son article critiquant les propos que le pape a récemment tenus au sujet du problème de l’homosexualité dans l’Église :
Madame,
Pour faire suite à votre article paru dans le Journal de Montréal aujourd’hui (le 4 décembre), je pensais vous éclairer sur certains points ayant rapport avec l’homosexualité et la crise des abus sexuels dans l’Église catholique. En fait, hier nous venons de publier une vidéo de près de 2 heures sur les scandales d’abus sexuels dans l’Église catholique, et ce qui suit ne fait que résumer le contenu de cette vidéo :
Résumé de l’argument contenu dans la vidéo :
1) Les prêtres dans l’Église catholique sont tous des hommes.
2) 98 % des hommes, dans la population en général, sont d’orientation hétérosexuelle (2 % d’orientation homosexuelle)
3) Or, 80 % des victimes d’abus sexuels envers mineurs dans l’Église sont de sexe mâle, et la plupart des victimes sont d’un âge qui varie entre 10-17 ans. (Voir Rapport John Jay, Rapport Sullins)
4) Donc, on ne parle pas du tout de pédophilie dans l’Église, mais d’hébéphilie (10-13 ans) et d’éphébophilie (14-17 ans).
5) Dans la population en général, 87 % des victimes d’abus sexuels sont de sexe féminin (au Canada, entre 2009 et 2014, il y a eu 117 000 abus sexuels, 87 % contre des personnes de sexe féminin, dont 25 % de 13 ans et moins). 98 % des abus sont commis par des mâles.
6) Bref, si les hommes d’Église étaient un reflet de la population mâle en général, nous devrions nous attendre à ce qu’une grande majorité des victimes soient de sexe féminin. Mais seulement 20 % le sont.
5) De plus, selon les recherches du Dr Paul Sullins (2018), il existe une corrélation presque parfaite (0,93) entre le pourcentage de prêtres homosexuels dans le clergé, et le nombre d’abus sexuels sur mineurs, au cours des années.
6) Le pourcentage de prêtres homosexuels dans les années 50 était le double de celui de la population en général, soit 4 % des prêtres. Aujourd’hui, nous sommes à 8 X le pourcentage de la population en général, soit 16 % des prêtres.
7) Maintenant, il faut tenter d’expliquer cette corrélation entre le % de prêtres homosexuels et le nombre d’abus sur mineurs (10-17 ans), par les hypothèses suivantes :
7 a) Qu’il y aurait un lien causal entre homosexualité et hébéphilie/éphébophilie, c’est-à-dire que les personnes aux prises avec des attraits envers le même sexe auraient possiblement, et cela, plus que les hétérosexuels, des attraits envers des personnes plus jeunes, du même sexe (hébéphilie 10-13 ou éphébophilie 14-17). Cette hypothèse est, selon nous, plausible, étant donné que la nature de l’acte sexuel, pour un homosexuel, n’est pas modifiée lorsque son partenaire est jeune, car elle sera tout aussi stérile physiquement.
7 b) Des réseaux homosexuels dans l’Église ont fait en sorte que les abus commis par des homosexuels avaient tendance à ne pas être dénoncés, autant que le seraient les crimes des hétérosexuels. Ceci aurait donné à certains abuseurs d’orientation homosexuelle le sentiment d’être « invincibles » et hors la loi.
8) Pour ce qui est des raisons pour lesquelles il y a tant d’homosexuels dans le clergé, nous avons offert trois réponses :
a) Plusieurs homosexuels deviennent prêtres pour dissimuler de leurs proches leur orientation
b) Il y a eu une infiltration du clergé pilotée par des agents communistes, dans les années 40 et 50. Souvent on choisissait des homosexuels, qui pouvaient plus facilement supporter le fardeau du célibat.
c) Une fois certains homosexuels en poste de commande (p. ex. recteurs de séminaires), ils ont tendance à sélectionner des personnes semblables à eux.
Conclusion : Il n’y a pas de problème de pédophilie systémique dans l’Église. Le problème en serait surtout un d’hébéphilie et d’éphébophilie homosexuelle, causée par une haute concentration d’homosexuels dans la prêtrise, perpétuée par un « réseau » homosexuel, un genre de société secrète ou d’« État profond » ecclésial.
Bien à vous,
Georges Buscemi
Président, Campagne Québec-Vie