Décès de l’avorteur tristement célèbre LeRoy Carhart
LeRoy Carhart.
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Operation Rescue/YouTube
28 avril 2023 (LifeSiteNews) — LeRoy Carhart, l’avorteur du Nebraska responsable de la mort de 30 000 bébés innocents, est décédé.
Le célèbre médecin est décédé à 5 h 30 vendredi matin, mettant fin à sa longue carrière d’assassinat d’enfants à naître dans l’utérus de leur mère. Carhart a fondé une organisation dédiée à la pratique de l’avortement, qui a établi deux centres de mise à mort « C.A.R.E. », l’un à Bethesda, dans le Maryland, et l’autre à Bellevue, dans le Nebraska.
« Cette nouvelle est un choc pour moi, car j’étais justement en train de prier devant son avortoir il y a quelques semaines, le 1er avril », a déclaré John-Henry Westen, de LifeSiteNews, en apprenant la nouvelle. « Je me suis joint à un groupe de LifeRunners qui priait le rosaire pour sa conversion et pour les mères qui ont perdu leurs enfants à cet endroit et pour mettre fin à la tuerie ».
« Je prie pour qu’il se repente et que Dieu ait pitié de lui, et que le Bon Dieu mette fin à tous les avortements ».
Le Dr Pat Castle, fondateur de l’apostolat LifeRunners, a également déploré les vies innocentes perdues aux mains de Carhart, en déclarant : « Seigneur, ayez pitié de M. Carhart, de nous et du monde entier. Nous prions aujourd’hui pour que son histoire nous rappelle que le mal est réel, et que le bien et Dieu sont victorieux ».
« L’amour l’emporte », a-t-il poursuivi. « Aimons notre prochain en réponse au commandement de Dieu et cela mettra fin à l’avortement le plus tôt possible ».
Lire la suiteDes avorteurs admettent carrément qu’ils « tuent » des bébés, mais les médias le cachent
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
27 mars 2023 (LifeSiteNews) — Depuis que Roe v. Wade a été renversé l’été dernier, les médias du monde entier ont les yeux fixés sur les guerres de l’avortement aux États-Unis. Les scénarios sont prévisibles et suivent des schémas particuliers. Il y a les articles affirmant que les femmes mourront par manque de soins de santé si l’avortement n’est pas accessible ; les articles d’intérêt humain sur les femmes incapables d’avorter leur bébé handicapé avec des scénarios capacistes insistant sur le fait qu’il est cruel et tragique d’empêcher ces avortements ; et les articles avec des données de sondage triées sur le volet affirmant que les lois pro-vie sont combattues par la grande majorité des Américains.
Et puis il y a le défilé incessant de profils d’avorteurs, les présentant comme les héros assiégés en première ligne des soins de santé féministes.
The Guardian, par exemple, a récemment publié un essai de longue haleine à la gloire de Leah Torres, avorteuse en Alabama. Torres, vous vous en souvenez peut-être, est la femme qui a répondu à un tweet lui demandant si elle entendait les fœtus crier pendant qu’elle les avortait, disant ceci : « Vous savez que les fœtus ne peuvent pas crier, n’est-ce pas ? Je sectionne la corde en premier pour qu’il n’y ait pas d’opportunité [de crier], s’ils sont assez avancés pour avoir un larynx. Je ne m’excuserai pas de faire de la médecine. Je suis aussi une “arracheuse d’utérus externe”, si c’est ainsi que vous voulez décrire l’hystérectomie ». Le profil mentionne les commentaires ; Torres affirme qu’ils ont été pris dans leur contexte. Relisez-le et jugez par vous-même.
Ms. Magazine a réservé le même traitement au Dr Curtis Boyd, qui a commencé à avorter avant l’arrêt Roe et a continué pendant des décennies, tuant tellement d’enfants à naître que son décompte représente en fait un pourcentage de ceux qui ont été légalement assassinés sous le régime Roe. Ce que le profil ne mentionne pas, c’est que Boyd lui-même a admis qu’il tuait : « Est-ce que je tue ? Oui, je tue. Je le sais. » Les journalistes qui rédigent ces profils n’admettent rien de tel.
Lire la suiteUne enquête est ouverte sur un avorteur tardif au Nebraska après qu'une femme ait frôlé la mort
LeRoy Carhart.
Par Cherryl Sullenger (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Operation Rescue
24 août 2022, Bellevue, Nebraska (Operation Rescue) — LeRoy Carhart, avorteur tardif de renommée nationale, fait l’objet d’une enquête du Département de la Santé et des Services sociaux du Nebraska, selon une lettre de confirmation reçue lundi par un militant pro-vie local.
La plainte a été déposée contre Carhart et son centre d’avortement C.A.R.E. à Bellevue au Nebraska, après qu’une femme de 35 ans ait subi des blessures importantes liées à l’avortement le 25 février 2022. Operation Rescue a obtenu les enregistrements du 911 de l’incident qui ont révélé que la femme souffrait de symptômes correspondant à ceux d’une hémorragie interne. Un témoin, qui s’est présenté plus tard, a déclaré que la femme blessée avait fait un arrêt cardiaque à l’hôpital, où des chirurgiens ont travaillé pendant plusieurs heures pour lui sauver la vie.
La plaignante pro-vie, dont l’identité n’a pas été révélée à sa demande, a demandé une enquête pour violations des soins aux patients. La plainte comprend des documents d’Operation Rescue faisant état de 27 urgences médicales mettant en danger la vie de patientes ayant subi un avortement opéré par Carhart au Nebraska et dans le Maryland, entre mars 2012 et février 2022.
Ces affaires sont Haimamot Aragaw v. Carhart, Do, et al, numéro de cas de cour fédérale 8:21-CV-01739-TDC, and Ashley P. Norris v. Carhart, Swallow, et al, numéro de cas de cour du district du Maryland C-15-CV-21-000205.
La plainte fait également référence à deux procès en cours pour faute médicale professionnelle concernant des femmes qui ont reçu des blessures si horribles dans l’établissement de Carhart, dans le Maryland en 2020, que le personnel de l’hôpital qui les a traitées s’est vu offrir un service de conseils en traumatologie, selon un informateur familiarisé aux accidents.
Carhart a également été impliqué dans la mort de deux femmes liée à l’avortement. Christin Gilbert, atteinte du syndrome de Down, n’avait que 19 ans lorsqu’elle est décédée des complications d’un avortement à 29 semaines en 2005 dans un centre d’avortement aujourd’hui disparu de Wichita, au Kansas. Jennifer Morbelli est décédée des complications d’un avortement à 33 semaines qu’elle a subi dans un établissement où travaillait Carhart à Germantown, dans le Maryland, en 2013.
Lire la suiteLe combat d’un père pour obtenir un certificat de décès pour son fils Liam, tué par avortement
Brad Allen avec le certificat de décès de son fils Liam Michael Allen.
Par Brad Allen (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Dans un acte historique de compassion et de justice le département de l’état civil de l’État du Nebraska a refusé de priver mon bébé avorté Liam Michael Allen d’un certificat de naissance non viable parce qu’il a été avorté.
Le 5 décembre 2019 à Lincoln, au Nebraska, on m’a remis ce certificat apaisant, reconnaissant officiellement Liam et archivant son existence dans les registres de l’État. Ayant satisfait à toutes les exigences statutaires de la loi 71-607 du Nebraska (NE LB 1040), reconnaissant le fait que Liam avait été avorté volontairement et non pas lors d’une fausse-couche, l’État civil a choisi de faire la bonne chose et d’approuver la demande.
Au moment où l’on m’a remis le certificat, j’ai ressenti une immense vague de guérison. Mon bébé avorté venait de faire un pas vers le statut de personne et d’être élevé au même rang qu’un bébé né d’une fausse-couche.
Mes droits ont été complètement écrasés par la mère de Liam dans la lutte pour sa vie. J’ai mis en place toutes les barrières légales et raisonnables pour sauver la vie de mon enfant. Intempestivement, Liam a été violemment démembré par LeRoy Carhart, avorteur notoire, et jeté comme déchet médical.
Après la mort de Liam le 18 juillet 2019 dans l’établissement d’avortement de Carhart à Bellevue, au Nebraska, j’ai commencé à découvrir que mes droits de commémorer mon enfant étaient eux aussi réduits à néant.
Je n’avais aucun droit sur les restes de Liam, sur les photos de l’échographie, et aucun droit d’obtenir la moindre vérification que la mère avait terminé la procédure d’avortement. On l’a vue entrer dans le centre d’avortement le 18 juillet 2019, mais en tant que père en deuil, je n’avais aucun droit à la vérification de la mort de Liam. La Cour suprême a statué que le fait d’informer les pères d’un avortement constitue une charge excessive pour les mères. Le déni fait partie du processus de deuil et le déni m’a hanté pendant des semaines après l’avortement jusqu’à ce qu’il soit clair que la mère n’était plus enceinte.
Lire la suiteUn avortoir du Maryland envoie 2 femmes horriblement blessées à l’hôpital en 9 jours
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
Bethesda, Maryland, 19 juin 2020 (Operation Rescue) — Deux femmes, en seulement neuf jours, ont subi des blessures mortelles qui ont nécessité opération et hospitalisation d’urgence après avoir toutes deux subi un avortement à 25 semaines de grossesse dans un centre d’avortement tardif notoire de Bethesda, dans le Maryland.
Cet établissement de Bethesda appartenant LeRoy Carhart, avorteur tardif de renommée nationale, est opéré par lui-même et fait partie d’une poignée de cliniques qui pratiquent ouvertement des avortements durant les neuf mois de la grossesse. Anciennement connue sous le nom de Abortion Clinics.org, elle a récemment été rebaptisée CARE, l’acronyme ironique de Clinics for Abortion and Reproductive Excellence.
Une personne familière avec ces incidents s’est présentée pour dénoncer Carhart, ayant été témoin des horribles blessures infligées aux femmes et à leurs bébés à naître, à la suite des avortements pratiqués les 12 et 21 mai 2020. L’identité de la source restera anonyme.
Operation Rescue a obtenu le Compte-rendu d’incident auprès du Montgomery County Maryland Fire and Rescue Service pour les deux cas d’urgence. Le fait que les ambulances ont bien été appelées pour fournir des soins d’urgence à la clinique de Carhart a été vérifié. Les deux femmes ont été transportées au Shady Grove Adventist Hospital de Rockville au Maryland. Carhart n’a pas d’entente spéciale d’admission avec l’hôpital là-bas ni ailleurs aux États-Unis.
Les deux femmes s’étaient rendues au centre d’avortement de Bethesda, venant de l’extérieur de l’État, probablement parce que leur grossesse était rendue au troisième trimestre et que leur bébé était considéré comme viable. La plupart des États limitent les avortements au troisième trimestre. Huit États, dont le Maryland, n’ont pas limitent gestationnelles aux avortements.
« Nous avons déposé plusieurs plaintes contre Carhart dans le passé pour les femmes blessées ou tuées lors d’avortements, mais chaque plainte a été rejetée, sans suite. Il est devenu évident que la corruption politique était à l’œuvre dans le Maryland et que Carhart était politiquement protégé », déclara Troy Newman, président d’Operation Rescue. « C’est pourquoi nous avons décidé de nous tourner vers le ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis (HHS) pour voir si le gouvernement fédéral s’intéressera davantage à la protection des femmes et de leurs bébés que ne l’a fait l’État du Maryland ». (Voir la liste des plaintes auprès du Maryland.)
Lire la suitePour 7 000$, l'avorteur exécutera l'avortement d'un enfant à naître de 26 semaines
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie
Bethesda, Maryland, 27 novembre 2017 (LifeSiteNews) – Un nouvel appel sous couvert a révélé que, pour des milliers de dollars, l’un des avorteurs américains les plus tristement célèbres est prêt à avorter des bébés sains de mères en bonne santé, enceintes de 28 semaines.
Au-delà de 28 semaines de grossesse, l’avorteur LeRoy Carhart avortera des bébés « au cas par cas » si leurs mères et eux-mêmes sont en bonne santé.
La plupart des bébés naissent à 40 semaines. Une étude a démontré qu’un nombre important de bébés survivent lorsque la naissance survient dès la 22e semaine, [à] 5 mois de grossesse.
Priests for Life (Prêtres pour la Vie) et Abortion-Free New Mexico (Nouveau-Mexique exempt d’avortement) ont contacté AbortionClinics.org, la compagnie sous laquelle Carhart opère dans Bethesda au Maryland. L’employée de Carhart a dit au correspondant que sur la base de la taille, du poids et de l’historique médical, cela coûterait 7 000$ pour avorter un bébé sain de 26 semaines.
Lire la suiteVoici l’avorteur qui pratique des avortements tout le long des neuf mois de la grossesse
Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Leroy Carhart, le célèbre exécuteur d’avortements tardifs, a récemment fermé son établissement à Germantown dans le Maryland ; établissement rachetée par une organisation pro-vie, Maryland Coalition for Life. Carhart a été contraint de déménager vers un nouveau site et il en train d’ouvrir un nouvel établissement à Bethesda. Il sera situé dans un bâtiment médical à locataires multiples et il continuera de pratiquer des avortements tout le long des neuf mois de la grossesse.
Mais la question est telle : comment Carhart a-t-il pu être autorisé à continuer sa pratique ?
Leroy Carhart est un avorteur dangereux : il n’a de privilège d’admission dans aucun hôpital ; il a blessé et tué plusieurs patients ; il a eu des comportements dangereux, contraire à la déontologie et inappropriés avec ses patients. Et tout ceci sans même compter les nombreux enfants à naître qu’il a violemment assassinés.
Lors d’un discours adressé aux membres du Religious Coalition for Reproductive Choice, Carhart a déclaré : « Nous ne demandons pas le droit d’aspirer les cerveaux de chaque enfant qui marche dans la rue ; nous devons continuer à offrir des services d’avortements sécuritaires aux femmes qui en ont besoin. » Mais pour Carhart, les avortements « sécuritaires » incluent ceux dits par naissance partielle et le démembrement des bébés membre par membre, lorsqu’ils sont encore vivants. Ces avortements ne sont « sécuritaires » ni pour le bébé, ni pour la mère. Le fait que Carhart ait bâclé tant d’avortements ; le fait qu’il ait blessé de nombreuses femmes ; le fait qu’il en ait tuées au moins deux, le démontre. Or il a énergiquement combattu les lois interdisant la méthode d’avortement par naissance partielle (“D&X” ou “intact D&E”).
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