Une mère adolescente exprime sa gratitude envers le centre de grossesse pro-vie qui l’a aidée à choisir la vie
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
15 juin 2023 (LifeSiteNews) — Dans un article anonyme publié mardi par The Federalist, une mère adolescente a exprimé sa sincère gratitude à l’égard du centre de ressources pour la grossesse qui lui a donné l’amour, le soutien et les fournitures nécessaires pour choisir la vie pour son fils.
« Je n’ai jamais rêvé d’être entourée de l’amour chaleureux et du bonheur que j’éprouve aujourd’hui », écrit la jeune femme, qui dit être devenue enceinte à son « grand désarroi » à l’âge de 15 ans seulement.
« Si quelqu’un m’avait dit, il y a quatre ans à peine, que ma vie serait marquée par plus de bénédictions que je ne pourrais en compter, je l’aurais regardé avec une incrédulité totale », a-t-elle ajouté.
L’auteur de la lettre a déclaré que « l’avortement a été ma décision immédiate » après avoir découvert qu’elle était enceinte. Aînée de quatre enfants d’une famille dont la mère était toxicomane, la jeune femme a déclaré qu’elle « pouvait à peine s’occuper de moi, sans parler de mes trois frères et sœurs plus jeunes ».
« La simple idée d’apporter une nouvelle vie, à mon âge, dans cette situation chaotique était plus que je ne pouvais supporter — ou du moins c’est ce que je pensais », écrit-elle.
C’est alors qu’un professeur de lycée lui a recommandé de s’adresser au Pregnancy and Family Care Center (PFCC) de Leesburg, en Floride, qui fait partie du Christian Care Center affilié à la Leesburg First Baptist Church.
Lire la suiteUn juge réintègre un enseignant suspendu par une école « vindicative » pour avoir refusé les pronoms transgenres
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Leesburg, Virginie, 10 juin 2021 (LifeSiteNews) — Un juge a annulé la suspension d’un enseignant de Virginie qui refusait d’accepter les « pronoms préférés » de certains de ses élèves souffrant de confusion de genre. Le magistrat a conclu en disant que les écoles publiques du comté de Loudoun ont traité M. Byron « Tanner » Cross de manière « extrême » et « vindicative ».
Cross, un instructeur d’éducation physique, a été placé en congé administratif la semaine dernière après avoir témoigné devant une réunion du conseil scolaire qu’il n’a que « de l’amour pour ceux qui souffrent de dysphorie de genre », mais qu’il « ne leur mentira jamais, quelles qu’en soient les conséquences. Je suis enseignant, mais je sers Dieu avant tout, et je n’affirmerai pas qu’un garçon biologique peut être une fille et vice versa parce que c’est contraire à ma religion. C’est mentir à un enfant, c’est abuser d’un enfant, et c’est pécher contre notre Dieu. »
Après cette réunion, Cross a été informé de sa suspension « dans l’attente d’une enquête sur l’allégation selon laquelle il a eu une conduite qui aurait perturbé le fonctionnement de l’école primaire de Leesburg ». Dans le cadre de cette suspension, il lui a été interdit de se rendre sur les terrains du district scolaire et de participer à des activités parrainées par l’école et à des activités extrascolaires.
Son cas a rapidement été pris en charge par l’organisation conservatrice Alliance Defending Freedom (ADF), dont l’avocat principal, Tyson Langhofer, a envoyé au district une lettre l’informant qu’il violait les droits de Cross au titre du premier amendement, et le juge de circuit du comté de Loudoun, James Plowman, lui a donné raison, rapporte WTOP.
Lire la suiteUn enseignant suspendu pour avoir refusé de mentir à ses élèves en leur disant qu’un « garçon biologique peut être une fille »
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Leesburg, Virginie, 1er juin 2020 (LifeSiteNews) — Un enseignant d’une école publique a été placé en congé administratif pour avoir osé informer le conseil scolaire du comté, lors d’une réunion publique, que ses politiques d’affirmation de genre nuisent aux enfants et constituent un abus d’enfant.
Lors d’une audience du conseil des écoles publiques (LCPS) du comté de Loudoun, en Virginie, mardi dernier, l’enseignant de l’école primaire Byron « Tanner » Cross a expliqué qu’il partageait la préoccupation du conseil pour les élèves qui luttent contre la dysphorie de genre, mais qu’il était fortement en désaccord avec les politiques et les méthodes prescrites par le LCPS.
« Je parle par amour pour ceux qui souffrent de dysphorie de genre », a déclaré Cross. « Dimanche dernier, l’émission “60 Minutes” a interviewé plus de trente jeunes qui ont effectué une transition, mais qui ont l’impression d’avoir été induits en erreur en raison de l’absence de réaction critique et de la facilité avec laquelle ils ont pu modifier leur corps en trois mois seulement. Ils sont maintenant en train “détransitionner”. »
« J’aime tous mes étudiants, mais je ne leur mentirai jamais, quelles qu’en soient les conséquences », a poursuivi Ross. « Je suis un enseignant, mais je sers Dieu en premier, et je n’affirmerai pas qu’un garçon biologique¹ peut être une fille et vice versa parce que c’est contre ma religion. C’est mentir à un enfant, c’est abuser d’un enfant, et c’est pécher contre notre Dieu. »
Deux jours après sa présentation, le conseil d’administration de la LCPS a envoyé à M. Cross une lettre indiquant qu’il était placé en congé administratif « dans l’attente d’une enquête sur l’allégation selon laquelle il a eu une conduite qui aurait perturbé le fonctionnement de l’école primaire de Leesburg ».
M. Cross n’a désormais plus accès aux bâtiments et terrains de la LCPS et il lui est interdit de participer aux activités scolaires et extrascolaires.
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