Des avorteurs admettent carrément qu’ils « tuent » des bébés, mais les médias le cachent
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
27 mars 2023 (LifeSiteNews) — Depuis que Roe v. Wade a été renversé l’été dernier, les médias du monde entier ont les yeux fixés sur les guerres de l’avortement aux États-Unis. Les scénarios sont prévisibles et suivent des schémas particuliers. Il y a les articles affirmant que les femmes mourront par manque de soins de santé si l’avortement n’est pas accessible ; les articles d’intérêt humain sur les femmes incapables d’avorter leur bébé handicapé avec des scénarios capacistes insistant sur le fait qu’il est cruel et tragique d’empêcher ces avortements ; et les articles avec des données de sondage triées sur le volet affirmant que les lois pro-vie sont combattues par la grande majorité des Américains.
Et puis il y a le défilé incessant de profils d’avorteurs, les présentant comme les héros assiégés en première ligne des soins de santé féministes.
The Guardian, par exemple, a récemment publié un essai de longue haleine à la gloire de Leah Torres, avorteuse en Alabama. Torres, vous vous en souvenez peut-être, est la femme qui a répondu à un tweet lui demandant si elle entendait les fœtus crier pendant qu’elle les avortait, disant ceci : « Vous savez que les fœtus ne peuvent pas crier, n’est-ce pas ? Je sectionne la corde en premier pour qu’il n’y ait pas d’opportunité [de crier], s’ils sont assez avancés pour avoir un larynx. Je ne m’excuserai pas de faire de la médecine. Je suis aussi une “arracheuse d’utérus externe”, si c’est ainsi que vous voulez décrire l’hystérectomie ». Le profil mentionne les commentaires ; Torres affirme qu’ils ont été pris dans leur contexte. Relisez-le et jugez par vous-même.
Ms. Magazine a réservé le même traitement au Dr Curtis Boyd, qui a commencé à avorter avant l’arrêt Roe et a continué pendant des décennies, tuant tellement d’enfants à naître que son décompte représente en fait un pourcentage de ceux qui ont été légalement assassinés sous le régime Roe. Ce que le profil ne mentionne pas, c’est que Boyd lui-même a admis qu’il tuait : « Est-ce que je tue ? Oui, je tue. Je le sais. » Les journalistes qui rédigent ces profils n’admettent rien de tel.
Lire la suiteUne avorteuse : Les bébés ne pourraient pas crier pendant qu'elle les avorte parce qu'elle coupe le « cord » d’abord
L’avorteuse Leah Torres.
Mise à jour le 15 mars 2018 à 4 h 50 EST : Une ancienne version de cette histoire disait que Torres faisait référence aux cordes vocales des bébés. Ce n’est pas clair si elle voulait parler de la moelle épinière (spinal cord), du cordon ombilical (umbilical cord) ou des cordes vocales (vocal cords).
Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
15 mars 2018 (LifeSiteNews) — Les bébés à naître ne crient pas au moment où ils sont avortés, car déclare une avorteuse connue « je coupe le “cord” en premier donc il n’y a vraiment aucune opportunité ».
Leah Torres, une avorteuse très présente sur Twitter, a tweeté que si les bébés qu’elle tue sont suffisamment développés pour avoir un larynx, elle coupe le « cord » pour qu’ils ne crient pas. Torres a ensuite supprimé le tweet.
Non. Vous savez que les fœtus ne peuvent pas crier. D’accord ? Je coupe le « cord » en premier de telle sorte qu’il n’y a aucune opportunité, même s’ils sont rendus assez loin pour avoir un larynx. Je ne m’excuse pas de pratiquer la médecine. Je suis aussi une « arracheuse d’utérus, » si c’est comme ça que vous aimez décrire [quelqu’un qui pratique] une hystérectomie.