Un activiste pro-vie de 19 ans scolarisé à la maison remporte les élections en Ontario par une large majorité
Sam Oosterhoff, 19 ans, est le plus jeune député de l'histoire de l'Ontario
Lianne Lawrence (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 18 novembre 2016 — Un jeune diplômé de 19 ans scolarisé à la maison et défenseur de la vie a remporté une élection provinciale par une large majorité jeudi soir, devenant ainsi le plus jeune membre d’un Parlement provincial de l’histoire de l’Ontario.
Sam Oosterhoff, qui a interrompu sa première année d’études en sciences politiques à la Brock University pour pouvoir se présenter aux élections, a survolé les débats à Niagara-Ouest–Glanbrook, remportant 54 % des suffrages dans la circonscription tenue auparavant par l’ancien chef progressiste-conservateur, Tim Hudak.
Jack Fonseca, membre de Campaign Life Coalition (CLC), note que le jeune homme a remporté une victoire éclatante malgré une « campagne de dénigrement irréfrénée » menée par le parti libéral majoritaire et les médias grand public.
Lire la suiteÉlection de Trump : Est-ce que le mouvement pro-avortement vient de perdre la guerre contre les enfants à naître ?
Steven Mosher (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
9 novembre 2016 – Donald Trump disait souvent pendant la campagne : “Avec moi, chacun de vos rêves concernant votre pays deviendra réalité.”
Le “rêve” des pro-vie c’est de retrouver une Amérique où le fléau de l’avortement n’existe plus. C’est pour cela qu’un nombre important de gens ont voté pour Trump et ont transformé la Chambre des Représentants et le Sénat des États-Unis en majorité pro-vie.
Lorsque Donald Trump prêtera serment en janvier prochain comme le 45e Président des États-Unis, une majorité pro-vie siègera à la Chambre et au Sénat.
De nos jours, il est rare que le peuple américain accorde au même parti le contrôle de la Chambre, du Sénat ainsi que de la Maison Blanche. Mais, grâce à Dieu, nous nous retrouvons justement dans cette heureuse situation en ce moment.
Lire la suiteLa victoire de Donald Trump est une excellente nouvelle pour les défenseurs de la vie et de la famille
Claire Chrétien (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
LifeSiteNews du 9 novembre 2016 – Par une étonnante victoire, Donald Trump a remporté plus de 270 grands électeurs, battant ainsi Hillary Clinton, la candidate pro-avortement. Il devient le 45e président des États-Unis. Sa victoire est devenue évidente après ses gains dans les États clés tels que l’Ohio, la Floride, l’Iowa et la Pennsylvanie. Il a maintenu l’avance dans le Michigan et l’Arizona.
L’Associated Press a donné les résultats à 2h30 a.m et Fox News l’a fait à 2h40 a.m.
Clinton ne s’est pas exprimée devant ses partisans très tôt le mercredi matin, elle a plutôt envoyé John Podesta, son directeur de campagne, pour leur parler. Il a refusé de reconnaître les résultats demandant d’attendre la matinée pour en savoir plus.
CNN a déclaré à 2h39 a.m que Clinton avait appelé Trump pour le féliciter.
Trump, un outsider dont la campagne atypique a plongé les média dans un tourbillon, sera le premier président américain à n’avoir jamais siégé comme élu; le premier à n’avoir jamais fait de service militaire.
Il a gagné plus d’États que Mitt Romney et John McCain. Selon plusieurs sondages, il a gagné plus de voix de chrétiens évangéliques que Romney, McCain ou George W. Bush.
Trump nommera probablement plusieurs juges de la Cour Suprême et se chargera de nommer des juges fédéraux, un Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, un Secrétaire à l’Éducation et un Directeur Général des services de santé. Il sera responsable de milliers d’autres nominations concernant les fonctionnaires fédéraux avec le pouvoir de façonner la culture américaine et la politique publique des générations à venir.
La candidature de Trump a déconcerté beaucoup de défenseurs pro-vie et pro-famille; beaucoup ont refusé de le soutenir, mais la majorité s’est ravisée et l’a soutenu afin d’empêcher l’élection de Clinton.
Lire la suiteUne Loi « Pour la Vie » votée en Pologne
La première ministre de la Pologne, Beata Szydlo
Par Olivier Bault (Journal Présent)
Le parlement polonais a adopté la semaine dernière une première loi intitulée « Pour la Vie » dans le cadre de la réalisation des promesses formulées par le premier ministre Beata Szydlo lors du rejet début octobre du projet de loi citoyen « Stop à l’avortement », qui visait à interdire totalement l’avortement sauf en cas de danger pour la vie de la femme enceinte.
Le premier ministre et le chef du parti conservateur Droit et Justice (PiS), Jaroslaw Kaczynski, ainsi que plusieurs députés et sénateurs du PiS et une partie des médias conservateurs traditionnellement pro-vie, avaient alors expliqué qu’interdire l’avortement en cas de grossesse issue d’un viol ou en cas de maladie ou malformation grave et incurable de l’enfant conçu, c’est prendre le risque d’un effet boomerang, avec à terme le risque de voir les partis aujourd’hui dans l’opposition revenir au pouvoir et libéraliser totalement l’avortement sur le modèle de l’Europe occidentale.
Le PiS envisage encore uniquement de restreindre le concept de maladie grave et incurable notamment en interdisant l’avortement lorsque l’enfant est touché par la trisomie 21, ce qui reviendrait à interdire plus de 90 % des avortements réalisés dans le cadre de la loi actuelle. Mais dans un premier temps, la promesse du PiS est de mettre en place un programme d’aides aux familles et aux femmes, pendant la grossesse et après l’accouchement, en cas de grossesse « difficile », c’est-à-dire avec un enfant issu d’un viol ou atteint d’une malformation ou maladie grave et incurable.
Lire la suiteLe gouverneur Greg Abbott engagé à faire du Texas l'État pro-vie le plus fort des États-Unis
Par Becky Yeh (LiveActionNews) - traduit par Dominic Larkin pour Campagne Québec-Vie
Le gouverneur du Texas Greg Abbott tient fermement à ce que de nouvelles règles soient appliquées pour que les installations d'avortement dans cet État incinèrent ou enterrent les restes d'enfants avortés. Malgré la menace d'une action en justice et l'opposition des groupes pro-avortement, le gouverneur républicain a déclaré : «il est impératif d'établir des normes plus élevées qui reflètent notre respect pour le caractère sacré de la vie. »
Abbott, qui a dit que les enfants à naître ne doivent pas être « traités comme des déchets médicaux », a affirmé son accord pour les règles interdisant les installations d'avortement à disposer des corps d'enfants avortés dans des décharges.
Les règles ont été proposées en juillet par la Commission de la santé et des services sociaux de l'État avec une période de commentaires de 30 jours. Cependant, Breitbart signale que l'État a republié les règles avec plus d'informations après avoir examiné les commentaires, déclenchant une autre période de commentaires de 30 jours.
Lire la suiteÉlections américaines: À défaut de bien voter en novembre, nous n’aurons peut-être plus d’église où nous réunir, déclare un prêtre
Claire Chretien (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
(Naples, Floride - 23 septembre, 2016) Nous voilà arrivés à « un moment précaire de notre histoire », lorsque les églises doivent choisir entre s’exprimer politiquement et risquer de perdre bien plus que leur exonération fiscale, déclare l’abbé Michael Orsi, ancien aumônier de l’École de droit Ave Maria, dans un discours mordant prononcé à un congrès le 10 septembre, Jour national du souvenir des enfants avortés.
« Depuis trop longtemps, dit Orsi, maintenant membre de l’équipe pastorale de l’église Sainte-Agnès, à Naples en Floride, on intimide les pasteurs et les églises pour leur faire croire qu’ils n’ont rien à dire sur la politique depuis l’ambon ». Leur exemption à l’impôt, continue-t-il – que l’on emploie pour les faire taire – fut à l’origine question de « représailles » contre les organismes sans but lucratif qui s’opposaient au président Lyndon Johnson.
« Permettez-moi de vous rappeler que la Bible même est un document politique, prévient le prêtre. Les prophètes, y compris Jean-Baptiste et Jésus, ont perdu la vie pour avoir déclaré la vérité au pouvoir politique. »
Lire la suiteVers une interdiction totale de l’avortement en Pologne?
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Affiche de la campagne de 2013 pour interdire les avortements eugéniques |
Par Olivier Bault (Nouvelles de France)
Mis à jour le 23/09/2016 : projet de libéralisation de l’avortement rejeté en première lecture, projet d’interdiction de l’avortement renvoyé en commission.
Vendredi, la Diète polonaise a décidé de renvoyer en Commission de la justice et des droits de l’homme le projet de loi citoyen prévoyant d’interdire l’avortement dans tous les cas sauf quand il s’agit de sauver la vie de la femme enceinte. Le parti libéral Nowoczesna avait demandé le rejet en première lecture de ce projet de loi, mais les députés en ont décidé autrement. La motion de Nowoczesna a été rejetée par 267 députés contre 154 et 11 abstentions. Le projet en faveur d’une libéralisation de l’avortement jusqu’à la 12e semaine de grossesse a quant à lui été rejeté en première lecture par 230 voix contre 173 et 15 abstentions.
La Diète polonaise examinait le jeudi 22 septembre en première lecture deux initiatives citoyennes sur l’avortement qui ont valeur de projet de loi. La deuxième initiative, lancée par les milieux féministes en réaction à la première et qui a recueilli plus de 215 000 signatures (il en faut au moins 100 000), voudrait légaliser l’avortement sur simple demande jusqu’à la 12e semaine de grossesse. Car en Pologne, depuis une loi votée en 1993, appelée « compromis sur l’avortement », les avortements sont interdits sauf dans trois cas de figure : lorsque la grossesse met en danger la vie ou la santé physique de la femme enceinte (tant que le fœtus serait incapable de survivre de manière naturelle hors du corps de sa mère), si les examens prénataux ou d’autres symptômes médicaux montrent qu’il existe une forte probabilité de déficience grave et incurable du fœtus ou de maladie incurable mettant sa vie en danger (tant que le fœtus serait incapable de survivre de manière naturelle hors du corps de sa mère), et s’il existe une présomption forte que la grossesse est le fruit d’un acte interdit par la loi (viol, inceste… – jusqu’à la 12e semaine de grossesse). Malgré ces restrictions, les avortements légaux sont en hausse. Il n’y a chaque année que quelques rares cas d’avortement pour cause de viol ou d’inceste (par exemple 3 cas sur 744 avortements en 2013). Ces avortements concernent dans plus de 90 % des cas une déficience génétique de l’enfant conçu (principalement des cas de trisomie 21).
Lire la suitePence: Trump et moi, nous enverrons l'Arrêt Roe contre Wade “dans les oubliettes de l’histoire”
Par Calvin Freiburger (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Mike Pence, Gouverneur de l’Indiana et candidat républicain à la vice-présidence, a déclaré jeudi qu’en cas de leur victoire à l’élection présidentielle, Donald Trump et lui-même vont jeter l'Arrêt Roe contre Wade [qui en 1973 a dépénalisé l'avortement aux États-Unis] dans les oubliettes de l’histoire où il appartient.
“Je suis pro-vie et je ne m’excuse pas pour cela,” a déclaré l’ancien membre du Congrès lors d’une rencontre à Grand Rapids dans le Michigan. Il a continué en disant que les juges à eux seuls pouvaient rendre l’élection de 2016 hautement significative pour la cause pro-vie dans la mesure où leurs décisions “influenceront notre Cour Suprême pendant les 40 prochaines” années.
Pence a plaidé en ces termes : “Dites à vos voisins et à vos amis : dans l’intérêt de l’État de droit, par souci du caractère sacré de la vie, dans l’intérêt du second Amendement et de toutes les autres libertés accordées par Dieu, nous devons veiller à ce que ce soit Donald Trump qui nomme les juges de la Cour Suprême.”
Lire la suiteLa fondation “Open Society” de George Soros veut la suppression des lois provie par la promotion de l’avortement dans les pays catholiques
(Réinformation.tv) Un document secret des « Open Society Foundations » (OSF) de George Soros récemment mis au jour révèle que le milliardaire a décidé de participer à la promotion de l’avortement et à la suppression des lois pro-vie en finançant un plan de trois ans taillé sur mesure pour s’attaquer d’abord aux pays catholiques. Le document a été rendu public par DCLeaks.com, un site qui publie depuis le début de cette année des courriels piratés et qui a prêté une attention particulière aux organismes financés par Soros et à leur politique de subventions.
La fondation du milliardaire hongrois, homme lige des Rothschild, a ainsi, selon le document piraté, exposé sa stratégie 2016–2019 en faveur des « droits des femmes ». L’Irlande, où la législation reste largement favorable à la vie, est présentée comme la première cible à frapper. Une fois ce bastion tombé sous les coups des promoteurs de l’avortement, il s’agirait d’utiliser l’Irlande comme modèle pour démanteler les protections de la vie « dans d’autres pays fortement catholiques ».
Les pays catholiques pro-vie dans le viseur de George Soros
Selon le document d’OSF, « alors qu’elle connaît l’une des lois anti avortement les plus restrictives au monde, y obtenir une victoire pourrait avoir un impact sur d’autres pays fortement catholiques d’Europe, telle la Pologne, et fournir la preuve bien nécessaire que le changement est possible, même dans des lieux très conservateurs ».
Lire la suiteUn juge de la Cour Suprême d’Irlande se prononce : ‘L’enfant à naître’ est ‘clairement un enfant’ détenant des droits ‘significatifs’
Par Steve Weatherbe (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Dublin, Irlande. 4 août 2016 – Un juge de la Cour Suprême d’Irlande a décidé que les enfants à naître ont les mêmes droits que les enfants “nés” selon la constitution et la loi irlandaise.
Le juge Richard Humphries a rendu ce verdict lors d’un cas compliqué de déportation rendu davantage complexe par l’enfant à naître dont le père est un homme nigérien que le gouvernement irlandais vise à expulser du pays.
“Cette décision est extrêmement vitale dans un temps où le statut de bébés à naître en Irlande est encore une fois en grand danger, danger provenant des organisations pro-avortement et des médias,” affirma Patrick Buckeley du bureau de Dublin de la Société pour la Protection des Enfants à Naître.
L’État avait obtenu l’ordre de déportation en 2008, mais le Nigérien, qui revendiquait le statut de réfugié, en retarda l'exécution par de nombreux appels à la Cour et demanda une révision judiciaire de sa première requête, sur le fait d’avoir été le père de l'enfant, qui n’était pas encore né lors de son application, d'une femme irlandaise qui est toujours sa partenaire présentement.
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