Nikki Haley, le Gouverneur de la Caroline du Sud, signe une loi interdisant l’avortement après la 20e semaine de grossesse
Par Cassy Fiano de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Nikki Haley, le Gouverneur de la Caroline du Sud, a signé la loi qui interdit l’avortement après la 20e semaine de grossesse. La semaine dernière, le Parlement de la Caroline du Sud a adopté cette loi provoquant le courroux du lobby pro-avortement.
Voici les exceptions que comporte cette loi : si la vie de la mère est en danger, ou si le bébé ne peut pas survivre hors du sein maternel. La même interdiction est en vigueur dans douze autre États.
Les avortements du deuxième trimestre sont douloureux avec des procédés horribles pour l’enfant à naître. La méthode la plus couramment utilisée actuellement comprend la dilatation et l’évacuation; ou encore l’avortement D&E. L’ancien avorteur, le Dr Anthony Levatino expose les détails de la procédure:
Lire la suiteLa cour de l’Iowa déclare que les enfants à naître devraient avoir les mêmes droits que les enfants nés
Par Micaiah Bilger de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
La Cour suprême de l'Iowa a admis en hésitant la semaine dernière que les enfants à naître devraient avoir les mêmes droits que les enfants nés dans les cas impliquant la mort injustifiée d'un parent, rapporte World Magazine.
La haute cour a rendu la décision le 6 mai, jugeant qu’une petite fille qui était encore dans le ventre quand son père est mort peut être accordée des dommages pour la perte injustifiée de la compagnie des parents, selon le rapport.
Bien que la décision ait des implications évidentes pour l'avortement, les juges de l’Iowa on essayé d’éviter la question, selon le rapport.
Lire la suiteLe gouverneur de l'Alabama signe la loi contre l'avortement par démembrement
12 mai 2016 - Jeudi, le gouverneur de l'Alabama Robert Bentley a signé une loi bannissant les avortements D&E (Dilatation et Extraction) en second trimestre, faisant de l'Alabama le cinquième État à bannir cette macabre procédure.
Tel que le publiait Live Action News, la mise au ban des avortements D&E, aussi connus sous le nom d`avortements par démembrement, a été approuvé au Sénat de l'Alabama par une majorité importante comme elle a été approuvée à la législature de l'État.
Lire la suiteAbolition totale de l'avortement en Pologne : le président du parti au pouvoir et la première ministre sont d'accord
Jarosław Kaczyński, président du Parti au pouvoir, Droit et justice (à gauche) et Beata Szydło, première ministre de la Pologne
Par Olivier Bault de Nouvelles de France
Une nouvelle initiative citoyenne a été lancée au début du mois en Pologne pour interdire tout type d’infanticide prénatal. Depuis 1993, la loi polonaise interdit l’avortement sauf dans trois cas de figure : lorsque la grossesse met en danger la vie ou la santé de la femme enceinte (tant que l’enfant serait incapable de survivre hors du corps de sa mère), si les examens prénataux ou d’autres symptômes médicaux montrent qu’il existe une forte probabilité de déficience grave et incurable du fœtus ou de maladie incurable mettant sa vie en danger (tant que l’enfant serait incapable de survivre hors du corps de sa mère), et s’il existe une présomption forte que la grossesse est le fruit d’un acte interdit par la loi (viol, inceste…) (jusqu’à la 12e semaine de grossesse).
Si cette nouvelle initiative citoyenne est transformée en loi, l’avortement deviendra passible de prison pour les personnes qui y participent ou apportent leur concours, les seules dérogations étant les cas où la mort de l’enfant conçu serait la conséquence non désirée de soins médicaux apportés à la femme enceinte en vue de préserver sa santé ou sa vie.
Lire la suiteUne vraie dame de fer : La première ministre de la Pologne veut l’interdiction totale de l’avortement
Par Jeanne Smits
Beata Szydlo soutient ouvertement l'initiative provie |
Une proposition de loi qui fait actuellement l’objet d’une récolte de signatures en voie d’être présentée au Parlement par voie de pétition populaire recueille une adhésion de plus en plus large. La loi polonaise sur l’avortement est déjà l’une des plus restrictives d’Europe, mais l’arrivée au pouvoir du PiS, Parti de la loi et de la justice, constitue une occasion inédite pour mettre fin aux trois exceptions qui aujourd’hui permettent d’avorter sans suites pénales. La Première ministre, la catholique Beata Szydło, a déjà fait savoir qu’elle soutenait la réforme, tout comme nombre d’élus et de responsables politiques ; et aussi l’Eglise de Pologne. Ce dimanche, un court communiqué des évêques devra être lu à toutes les messes dans toutes les paroisses pour rappeler l’importance de la défense de la vie.
Les trois exceptions qui permettent depuis 1993 d’avorter dans un cadre légal en Pologne – tout ce qui reste de la loi très libérale de l’époque communiste – sont les suivantes : en cas de danger pour la vie ou la santé de la mère, quand la grossesse résulte d’un viol ou que l’enfant est porteur d’un handicap grave et irréversible ou une maladie incurable qui constitue une menace pour sa vie.
Lire la suiteVictoire pour la vie : Le Congrès péruvien abandonne un projet de loi visant à légaliser l’avortement
Le congrès du Pérou
Par Gualberto Garcia Jones de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
LIMA, Pérou, 26 novembre 2015 (LifeSiteNews) – Une majorité de la Commission chargée de la Constitution du Congrès péruvien a décidé hier d’abandonner un projet de loi visant à légaliser l’avortement en cas de viol.
L’article 1 de la Constitution péruvienne prévoit que l’Etat a l’obligation de protéger toute « personne humaine » et son article 2 précise qu’un enfant conçu jouit d’une personnalité en regard de la loi à tous points de vue nécessaires à sa protection.
L’abandon du projet de loi, qui avait le soutien d’une personnalité bien en vue, Mme Nadine Heredia, Première dame du Pérou, constitue un cuisant revers pour le mouvement en faveur de l’avortement qui secoue l’Amérique du Sud.
Lire la suiteLes promoteurs de l'avortement en Irlande du Nord subissent une cuisante défaite
Par Jeanne Smits
Une majorité pro-vie dans une Assemblée nationale, cela mérite d’être salué par les temps qui courent ! Par 59 voix contre 40, les élus d’Irlande du Nord ont refusé la légalisation de l’avortement « thérapeutique » des enfants à naître atteints d’une anomalie fœtale entraînant la mort in utero ou peu après la naissance. La proposition de loi visait à étendre le champ de l’avortement légal, actuellement limité aux cas de danger pour la vie de la mère ou de danger « permanent et grave » pour sa santé physique ou mentale. L’avortement pour viol ou inceste a été rejeté par une majorité plus forte encore : 64 voix contre 30.
La loi d’avortement en vigueur en Grande-Bretagne depuis 1967 ne s’étend pas à l’ensemble du Royaume-Uni ; l’Irlande du Nord, fait comme l’Irlande l’objet d’attaques répétées pour « libéraliser » l’élimination des enfants à naître. Yves Daoudal explique ici le rôle joué par la Commission des droits de l’homme, s’appuyant sur la Cour européenne des droits de l’homme, au service de cette évolution mortifère.
Lire la suiteLes lois permissives sur l’avortement ne réduisent pas le taux de mortalité maternelle
Femmes de la tribu des Raramuris du Mexique
Par Carlos Polo et Moriah Bruno du Population Research Institute - traduit par Campagne Québec-Vie
1er septembre 2015 – Une étude récente publiée par le British Medical Journal a établi que les lois qui défendent ou restreignent l’avortement ne provoquent pas un taux plus élevé de décès maternels. En fait, l’étude basée sur des données récentes en provenance du Mexique prouve le contraire : le taux de mortalité maternelle est plus élevé dans les États mexicains qui ont institué des lois permissives sur l’avortement alors qu’il est moindre dans ceux qui ont des lois plus restreignantes. Les assertions du mouvement pro-avortement sont ainsi réfutées en ce qu’elles prédisent un taux moins élevé de décès maternels (causés par les complications résultant d’avortements illégaux) là où l’avortement est légalisé.
Il s’agit de la première étude à se pencher sur l’impact que peut avoir une telle législation sur la mortalité maternelle en utilisant des données provenant d’un pays (le Mexique) en train d’en faire une « expérience naturelle ». Les 32 États mexicains, y compris le District fédéral, ont des lois sur le sujet qui vont du très strict au très permissif. L’étude en question utilise des données statistiques sur les naissances vivantes et les décès maternels en provenance de tous ces États pour les années qui vont de 2002 à 2011 ; elle se réfère également à dix facteurs considérés importants pour la santé maternelle comme par exemple le taux d’alphabétisme et l’accès à l’eau potable. L’étude est le fruit d’une équipe de chercheurs de haut niveau dirigée par le docteur Elard Koch, directeur de l’Institut MELISA, en collaboration avec le docteur Monique Chireau, épidémiologiste au département d’obstétrique et de gynécologie de l’Université Duke, le docteur Fernando Pliego, sociologue à l’Institut des recherches sociales de l’Université nationale et autonome de Mexico, ainsi que plusieurs autres chercheurs.
Lire la suiteGrâce aux nouvelles lois pro-vie, 4000 femmes de moins qu'en 2012 ont choisi d'avorter au Texas en 2013
Par Dustin Siggins de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Austin, Texas, 25 Août 2015 (LifesiteNews). 4000 femmes de moins qu'en 2012 ont choisi d'avorter au Texas en 2013. Les lois pro-vie de l'État sont à l'origine de cette amélioration.
Selon un récent rapport, le Département des Services de Santé de l'État du Texas (DHSH Texas Department of State Health Services), 63 849 avortements ont été enregistrés au Texas. Ce chiffre est en décroissance par rapport à l'année 2012 (4 449 avortements en moins), et en nette diminution si on le compare aux 77 000 avortements de l'année 2010.
L'année 2013 marque la dernière année pour laquelle des statistiques ont été rendues dans l'État du Texas concernant l'avortement, et la première année où l'on a vu implanter une législation favorable à la défense de la vie. Les tenants des deux côtés du débat sur l'avortement se sont mis d'accord pour imputer le résultat aux lois résolument pro-vie. Au mois de mars 2013, Dr. Daniel Grossmann, chercheur pro-avortement de Ibis Reproductive Health, révéla une étude qui démontre, selon lui, qu'une période d'attente de vingt-quatre heures avant d'avorter est “nuisible” tout comme l'est l'usage des ultra-sons.
Lire la suiteInitiative citoyenne en Pologne : plusieurs centaines de milliers de personnes demandent l’interdiction totale de l’avortement
Membres du groupe « Fondation Pro - Droit à la Vie » tenant une bannière sur laquelle il est inscrit « 'Avorter' veut dire tuer un enfant »
(Nouvelles de France) C’est la troisième initiative de ce type en 5 ans, et c’est la troisième fois que les organisateurs de la pétition obtiennent sans difficulté plusieurs centaines de milliers de signatures. La Diète polonaise va devoir examiner un projet de loi citoyen visant à interdire totalement les avortements. Sont visés au premier chef les avortements eugéniques qui représentent l’énorme majorité des avortements légaux dans la patrie de Jean-Paul II.
Et si le nombre d’avortements déclarés est très loin de ce qu’on observe dans beaucoup de pays européens, dont la France, ils sont en hausse : 159 en 2002, 752 en 2012, 1354 en 2013 et 1812 en 2014. Sans compter bien entendu les avortements réalisés par des Polonaises ailleurs en Europe, car il n’est pas difficile de trouver sur Internet des propositions de destinations en fonction du degré d’avancement de la grossesse : Pays-Bas jusqu’à la 22e semaine de grossesse, Grande-Bretagne jusqu’à la 24e semaine… Et sans compter encore les avortements illégaux réalisés dans des cabinets gynécologiques en Pologne-même et dont il est difficile d’évaluer le nombre, car la légèreté des peines infligées sont, avec la possibilité de se faire avorter en cas de déficience grave et incurable de l’enfant, le talon d’Achille de la loi polonaise.
Cette loi, adoptée en 1993, permet aussi l’avortement jusqu’à la 12e semaine de grossesse si celle-ci est le fruit d’un acte interdit par la loi (viol, inceste…), et en cas de danger, d’un point de vue strictement médical, pour la santé physique ou la vie de la femme enceinte. Auparavant l’avortement était autorisé et avait été totalement banalisé sous le régime communiste. Avant les communistes, les occupants nazis avaient été les premiers à légaliser l’avortement en territoire polonais.
Lire la suite