Pence: Trump et moi, nous enverrons l'Arrêt Roe contre Wade “dans les oubliettes de l’histoire”
Par Calvin Freiburger (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Mike Pence, Gouverneur de l’Indiana et candidat républicain à la vice-présidence, a déclaré jeudi qu’en cas de leur victoire à l’élection présidentielle, Donald Trump et lui-même vont jeter l'Arrêt Roe contre Wade [qui en 1973 a dépénalisé l'avortement aux États-Unis] dans les oubliettes de l’histoire où il appartient.
“Je suis pro-vie et je ne m’excuse pas pour cela,” a déclaré l’ancien membre du Congrès lors d’une rencontre à Grand Rapids dans le Michigan. Il a continué en disant que les juges à eux seuls pouvaient rendre l’élection de 2016 hautement significative pour la cause pro-vie dans la mesure où leurs décisions “influenceront notre Cour Suprême pendant les 40 prochaines” années.
Pence a plaidé en ces termes : “Dites à vos voisins et à vos amis : dans l’intérêt de l’État de droit, par souci du caractère sacré de la vie, dans l’intérêt du second Amendement et de toutes les autres libertés accordées par Dieu, nous devons veiller à ce que ce soit Donald Trump qui nomme les juges de la Cour Suprême.”
Lire la suiteLa fondation “Open Society” de George Soros veut la suppression des lois provie par la promotion de l’avortement dans les pays catholiques
(Réinformation.tv) Un document secret des « Open Society Foundations » (OSF) de George Soros récemment mis au jour révèle que le milliardaire a décidé de participer à la promotion de l’avortement et à la suppression des lois pro-vie en finançant un plan de trois ans taillé sur mesure pour s’attaquer d’abord aux pays catholiques. Le document a été rendu public par DCLeaks.com, un site qui publie depuis le début de cette année des courriels piratés et qui a prêté une attention particulière aux organismes financés par Soros et à leur politique de subventions.
La fondation du milliardaire hongrois, homme lige des Rothschild, a ainsi, selon le document piraté, exposé sa stratégie 2016–2019 en faveur des « droits des femmes ». L’Irlande, où la législation reste largement favorable à la vie, est présentée comme la première cible à frapper. Une fois ce bastion tombé sous les coups des promoteurs de l’avortement, il s’agirait d’utiliser l’Irlande comme modèle pour démanteler les protections de la vie « dans d’autres pays fortement catholiques ».
Les pays catholiques pro-vie dans le viseur de George Soros
Selon le document d’OSF, « alors qu’elle connaît l’une des lois anti avortement les plus restrictives au monde, y obtenir une victoire pourrait avoir un impact sur d’autres pays fortement catholiques d’Europe, telle la Pologne, et fournir la preuve bien nécessaire que le changement est possible, même dans des lieux très conservateurs ».
Lire la suiteUn juge de la Cour Suprême d’Irlande se prononce : ‘L’enfant à naître’ est ‘clairement un enfant’ détenant des droits ‘significatifs’
Par Steve Weatherbe (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Dublin, Irlande. 4 août 2016 – Un juge de la Cour Suprême d’Irlande a décidé que les enfants à naître ont les mêmes droits que les enfants “nés” selon la constitution et la loi irlandaise.
Le juge Richard Humphries a rendu ce verdict lors d’un cas compliqué de déportation rendu davantage complexe par l’enfant à naître dont le père est un homme nigérien que le gouvernement irlandais vise à expulser du pays.
“Cette décision est extrêmement vitale dans un temps où le statut de bébés à naître en Irlande est encore une fois en grand danger, danger provenant des organisations pro-avortement et des médias,” affirma Patrick Buckeley du bureau de Dublin de la Société pour la Protection des Enfants à Naître.
L’État avait obtenu l’ordre de déportation en 2008, mais le Nigérien, qui revendiquait le statut de réfugié, en retarda l'exécution par de nombreux appels à la Cour et demanda une révision judiciaire de sa première requête, sur le fait d’avoir été le père de l'enfant, qui n’était pas encore né lors de son application, d'une femme irlandaise qui est toujours sa partenaire présentement.
Lire la suiteLa Cour Suprême du Mexique rejette la légalisation de l’avortement étendue à tout le pays
Par Calvin Freiburger, LiveActionNews -- traduit par Dominic Larkin, pour Campagne Québec-Vie
16 juillet 2016 - La première chambre de la Cour suprême du Mexique a voté 3-1 contre le projet rendant obligatoire l’avortement sur demande au premier trimestre à travers le Mexique.
À Mexico, l'avortement est légal pour toute raison pendant le premier trimestre, mais limité pour les grossesses plus avancées. Un projet de décision proposé par Arturo Zaldívar Lelo de Larrea, juge de la Cour suprême, aurait étendu cette politique à l'ensemble des 31 États du pays.
Il découle d'un cas remontant à 2013 où une mère a demandé un avortement après que son enfant a été diagnostiqué avec le syndrome de Klinefelter, lequel n’est pas fatal. La femme a finalement avorté dans une clinique privée plutôt que gouvernementale où elle avait d’abord fait sa demande, mais elle a continué à maintenir que le refus du gouvernement avait violé ses « droits de la personne ».
Lire la suiteNikki Haley, le Gouverneur de la Caroline du Sud, signe une loi interdisant l’avortement après la 20e semaine de grossesse
Par Cassy Fiano de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Nikki Haley, le Gouverneur de la Caroline du Sud, a signé la loi qui interdit l’avortement après la 20e semaine de grossesse. La semaine dernière, le Parlement de la Caroline du Sud a adopté cette loi provoquant le courroux du lobby pro-avortement.
Voici les exceptions que comporte cette loi : si la vie de la mère est en danger, ou si le bébé ne peut pas survivre hors du sein maternel. La même interdiction est en vigueur dans douze autre États.
Les avortements du deuxième trimestre sont douloureux avec des procédés horribles pour l’enfant à naître. La méthode la plus couramment utilisée actuellement comprend la dilatation et l’évacuation; ou encore l’avortement D&E. L’ancien avorteur, le Dr Anthony Levatino expose les détails de la procédure:
Lire la suiteLa cour de l’Iowa déclare que les enfants à naître devraient avoir les mêmes droits que les enfants nés
Par Micaiah Bilger de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
La Cour suprême de l'Iowa a admis en hésitant la semaine dernière que les enfants à naître devraient avoir les mêmes droits que les enfants nés dans les cas impliquant la mort injustifiée d'un parent, rapporte World Magazine.
La haute cour a rendu la décision le 6 mai, jugeant qu’une petite fille qui était encore dans le ventre quand son père est mort peut être accordée des dommages pour la perte injustifiée de la compagnie des parents, selon le rapport.
Bien que la décision ait des implications évidentes pour l'avortement, les juges de l’Iowa on essayé d’éviter la question, selon le rapport.
Lire la suiteLe gouverneur de l'Alabama signe la loi contre l'avortement par démembrement
12 mai 2016 - Jeudi, le gouverneur de l'Alabama Robert Bentley a signé une loi bannissant les avortements D&E (Dilatation et Extraction) en second trimestre, faisant de l'Alabama le cinquième État à bannir cette macabre procédure.
Tel que le publiait Live Action News, la mise au ban des avortements D&E, aussi connus sous le nom d`avortements par démembrement, a été approuvé au Sénat de l'Alabama par une majorité importante comme elle a été approuvée à la législature de l'État.
Lire la suiteAbolition totale de l'avortement en Pologne : le président du parti au pouvoir et la première ministre sont d'accord
Jarosław Kaczyński, président du Parti au pouvoir, Droit et justice (à gauche) et Beata Szydło, première ministre de la Pologne
Par Olivier Bault de Nouvelles de France
Une nouvelle initiative citoyenne a été lancée au début du mois en Pologne pour interdire tout type d’infanticide prénatal. Depuis 1993, la loi polonaise interdit l’avortement sauf dans trois cas de figure : lorsque la grossesse met en danger la vie ou la santé de la femme enceinte (tant que l’enfant serait incapable de survivre hors du corps de sa mère), si les examens prénataux ou d’autres symptômes médicaux montrent qu’il existe une forte probabilité de déficience grave et incurable du fœtus ou de maladie incurable mettant sa vie en danger (tant que l’enfant serait incapable de survivre hors du corps de sa mère), et s’il existe une présomption forte que la grossesse est le fruit d’un acte interdit par la loi (viol, inceste…) (jusqu’à la 12e semaine de grossesse).
Si cette nouvelle initiative citoyenne est transformée en loi, l’avortement deviendra passible de prison pour les personnes qui y participent ou apportent leur concours, les seules dérogations étant les cas où la mort de l’enfant conçu serait la conséquence non désirée de soins médicaux apportés à la femme enceinte en vue de préserver sa santé ou sa vie.
Lire la suiteUne vraie dame de fer : La première ministre de la Pologne veut l’interdiction totale de l’avortement
Par Jeanne Smits
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Beata Szydlo soutient ouvertement l'initiative provie |
Une proposition de loi qui fait actuellement l’objet d’une récolte de signatures en voie d’être présentée au Parlement par voie de pétition populaire recueille une adhésion de plus en plus large. La loi polonaise sur l’avortement est déjà l’une des plus restrictives d’Europe, mais l’arrivée au pouvoir du PiS, Parti de la loi et de la justice, constitue une occasion inédite pour mettre fin aux trois exceptions qui aujourd’hui permettent d’avorter sans suites pénales. La Première ministre, la catholique Beata Szydło, a déjà fait savoir qu’elle soutenait la réforme, tout comme nombre d’élus et de responsables politiques ; et aussi l’Eglise de Pologne. Ce dimanche, un court communiqué des évêques devra être lu à toutes les messes dans toutes les paroisses pour rappeler l’importance de la défense de la vie.
Les trois exceptions qui permettent depuis 1993 d’avorter dans un cadre légal en Pologne – tout ce qui reste de la loi très libérale de l’époque communiste – sont les suivantes : en cas de danger pour la vie ou la santé de la mère, quand la grossesse résulte d’un viol ou que l’enfant est porteur d’un handicap grave et irréversible ou une maladie incurable qui constitue une menace pour sa vie.
Lire la suiteVictoire pour la vie : Le Congrès péruvien abandonne un projet de loi visant à légaliser l’avortement
Le congrès du Pérou
Par Gualberto Garcia Jones de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
LIMA, Pérou, 26 novembre 2015 (LifeSiteNews) – Une majorité de la Commission chargée de la Constitution du Congrès péruvien a décidé hier d’abandonner un projet de loi visant à légaliser l’avortement en cas de viol.
L’article 1 de la Constitution péruvienne prévoit que l’Etat a l’obligation de protéger toute « personne humaine » et son article 2 précise qu’un enfant conçu jouit d’une personnalité en regard de la loi à tous points de vue nécessaires à sa protection.
L’abandon du projet de loi, qui avait le soutien d’une personnalité bien en vue, Mme Nadine Heredia, Première dame du Pérou, constitue un cuisant revers pour le mouvement en faveur de l’avortement qui secoue l’Amérique du Sud.
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