Une résidente ontarienne expulsée de la séance du conseil municipal pour avoir soulevé des inquiétudes au sujet d’un vestiaire « neutre »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifie) : MarkRademaker/Adobe Stock
6 mars 2024, Cambridge, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil municipal de l’Ontario a refusé d’entendre les préoccupations d'une femme concernant une « zone commune universelle neutre » qui pourrait conduire à ce que des enfants soient sollicités sexuellement.
Lors d’une réunion du conseil municipal de Cambridge, en Ontario, le 27 février, Janice Fiaschetti, résidente de Kitchener, a été réduite au silence et expulsée de la réunion après avoir exprimé ses inquiétudes au sujet de la « zone commune universelle neutre » à parois de verre proposée dans le nouveau centre de loisirs de la ville.
« Ce qui est en cause, c’est le projet du conseil municipal, présenté dans les plans architecturaux de MJM, d’avoir des salles de bains, des vestiaires et des douches ouverts et universels », a commencé Janice Fiaschetti.
« Je demande si l’un des conseillers municipaux peut garantir que nos enfants seront en sécurité dans l’une ou l’autre de ces zones ».
Selon les plans, la ville prévoit construire dans son nouveau centre de loisirs un « espace commun universel neutre » aux parois de verre, en lieu et place des vestiaires traditionnels pour hommes et femmes.
Les toilettes du rez-de-chaussée, destinées aux deux sexes, seront composées d’une série de cabines privées allant du sol au plafond et d’une zone publique pour le lavage des mains. Quelques cabines seront également équipées de toilettes et de lavabos.
Lire la suiteUne journée historique pour les droits parentaux au Canada
Ottawa, 20 septembre 2023.
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le mercredi 20 septembre 2023 restera une journée historique pour le mouvement des droits parentaux au Canada.
La Marche un million de personnes pour les enfants a connu un succès sans précédent, réunissant des parents et des grands-parents, des tantes et des oncles, ainsi que des personnes de diverses communautés religieuses, dans un seul et même but...
Protéger tous les enfants des dangers de l’endoctrinement LGBT et de l’idéologie du genre qui ont pris le contrôle de nos écoles.
En ce jour historique, le cri « Laissez nos enfants tranquilles ! » a résonné dans toute la nation, dans les bâtiments du parlement, les hôtels de ville et les bureaux des conseils scolaires.
Je tiens à féliciter — et à remercier profondément — les organisateurs de la Marche d’un million de personnes pour les enfants, en particulier Kamel El-Cheikh, père musulman et homme d’affaires d’Ottawa qui a eu l’idée de cette marche. Même si nous ne sommes pas d’accord avec tous les points de vue des organisateurs, nous reconnaissons que nous leur sommes redevables d’avoir organisé cet événement extraordinaire.
Même si la Coalition nationale pour la Vie (CNV) avait un rôle de promotion plutôt que d’organisation, de nombreux membres de notre personnel se sont retrouvés en première ligne lors de cette extraordinaire Marche pour les enfants (#1MillionMarch4Children) (ce mot-clé a eu la cote au cours des trois derniers jours !).
Lire la suiteLa rectitude politique n'en finit plus de massacrer Noël
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Nectarine, Times Colonist, CTV News/ Voici la source de la photo : ExposureToday/Pixabay
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La logique veut que la période des Fêtes soit réjouissante, mais elle vient pourtant avec son lot de boycottages et de mises à l'index d'éléments ou d'événements rattachés à Noël. Que ce soit un CIUSS qui renie le sapin de Noël, ou encore des classiques rejetés par des stations de radio pour des raisons XYZ, Noël, en ces temps où le mot d'ordre est la diversité, est attaqué de tous bords tous côtés.
Dernière manifestation de ce mépris dirigé à l'endroit de cette fête traditionnelle : le conseil de ville de Victoria, en Colombie-Britannique, a décidé de remanier les décorations pour les rendre plus « laïques ». Un conseiller, Ben Isitt, l'a avoué publiquement : les décorations de Noël ont une connotation trop religieuse. « Je ne veux pas de poinsettias. C'est un symbole de la foi chrétienne », a-t-il déclaré, lui qui a également remis en question l'éclairage du séquoia géant à la place du Centenaire, à l'extérieur de l'hôtel de ville.
Que le Canada se soit bâti sur le socle de la chrétienté n'a aucune importance pour Isitt. « Les musulmans, à moins d'être de familles mixtes, n'ont pas d'arbres de Noël chez eux. Les Juifs, comme moi, n'ont pas d'arbres de Noël [non plus] », a-t-il lancé, rappelant le principe [laïciste*] de la séparation de l'Église et de l'État.
La ville, selon lui, doit donc s'assurer que les décorations soient « inclusives ». Ses collègues du conseil se sont rangés à ses arguments.
Chez nos voisins ontariens, c'est Jésus qui a mauvaise presse. Du moins à Kitchener, plus précisément au Marché Christkindl. Malgré son nom, ce marché ne reflète aucunement l'homme dont Noël tire son origine. Le 6 décembre dernier, un pasteur, Jacob Reaume, n'a pu livrer un message sur Jésus lors de la soirée d'ouverture du marché parce que des employés de la ville ont coupé le son de son micro.
« Je pensais que c'était probablement un accident, une sorte de difficulté technique, mais j'ai ensuite regardé autour de moi et j'ai réalisé que, non, c'était intentionnel », a relaté M. Reaume, qui s'est par la suite emparé de deux autres micros sur scène, avec les mêmes résultats. La foule, voyant que les choses ne tournaient pas rond, s'est avancée pour écouter ce qu'il avait à dire.
Sur Twitter, le pasteur s'est permis une remarque sarcastique : « Dire que vous ne pouvez pas lire l'histoire de Noël dans un marché de Noël, c'est comme dire que vous ne pouvez pas cuisiner des côtes levées lors d'un un ribfest ».
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Sur ce, joyeux Noël.
*CQV
Une militante proavortement a mensongèrement déclaré qu’on l’avait attaquée pour ses convictions
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — geralt/Pixabay
Kitchener, Ontario, 5 avril 2018 (LifeSiteNews) — La police a déposé une accusation de méfait public à l’encontre d’une militante pro-choix reconnue coupable d’avoir inventé qu’elle s’était faite attaquer […]
En mars dernier, une femme non identifiée originaire de Kitchener et âgée de 41 ans a déclaré aux autorités qu’un homme l’avait traitée de « meurtrière » et lui avait jeté un seau de peinture rouge aux abords du Tim Hortons situé à l’angle de Charles Street et de Borden Avenue, rapporte CBC News. La femme participait à des rassemblements locaux proavortement et a déclaré avoir été harcelée plusieurs fois déjà en raison de sa position, ajoute le Record.
Cependant, à la suite d’une enquête, la police a conclu que les déclarations étaient fausses.
« À l’issue des investigations, les détectives ont conclu que l’agression n’avait pas eu lieu », a annoncé ce mercredi [4 mai 2018] le porte-parole de la police régionale de Waterloo, Cherri Greeno.
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