La cliente d’un avortoir a agressé une femme âgée pro-vie lui cassant une jambe
Donna Durning.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Encore un cas d’agression de la part de pro-avortement envers les pro-vie. Extrait de LifeNews :
Une femme de Louisville fait face à des accusations de voies de fait au deuxième degré après qu’elle eût poussé une conseillère pro-vie âgée en avril devant l’unique établissement d’avortement du Kentucky.
[...] elle a comparu en cour mercredi et a plaidé non coupable devant l’inculpation de crime.
Donna Durning, conseillère de trottoirs pro-vie, a dit qu’elle s’était fracturé une jambe et qu’elle avait dû subir une intervention chirurgicale et devait suivre des séances de réadaptation, après l’agression.
Mme Durning a été conseillère pro-vie de trottoir pendant 23 ans et, le 12 avril, elle a été agressée à l’extérieur du centre d’avortement de Louisville, selon une publication Facebook au sujet de l’incident.
Une vidéo de surveillance publiée par WLKY News a confirmé ce que Mme Durning et d’autres pro-vie ont dit : une jeune femme a quitté le service d’avortement et, alors que Mme Durning s’approchait d’elle et tentait de lui donner des informations sur les alternatives à l’avortement, la jeune femme l’a poussée au sol.
Sur la vidéo, les téléspectateurs peuvent entendre quelqu’un crier après que Mme Durning ait été bousculée. La femme est rapidement montée dans sa voiture et s’est enfuie...
La Chambre des représentants du Kentucky adopte une loi interdisant l’avortement des bébés trisomiques
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Frankfort, 27 février 2019 (LifeSiteNews) — Suite à l’avancement de multiples propositions pro-vie, la Chambre des représentants du Kentucky a voté cette semaine en faveur de l’adoption d’un projet de loi qui interdirait les avortements motivés par la discrimination contre certaines caractéristiques de l’enfant à naître.
Présenté par la députée républicaine Melinda Gibbons Prunty, le House Bill 5 interdirait tout avortement demandé en raison de la race, du sexe, de la couleur, de l’origine nationale ou du handicap du bébé. Les avorteurs seraient tenus de certifier qu’ils n’étaient pas au courant d’un tel motif avant d’avorter. Les contrevenants seraient coupables d’un crime de Class D (passible d’une peine d’emprisonnement de un à cinq ans), verraient leur permis médical révoqué ou suspendu, et pourraient être tenus passibles de poursuites pour dommages civils.
Mardi, la Chambre contrôlée par les républicains a voté par 67 voix contre 25 pour approuver le projet de loi HB5 et l’envoyer au Sénat, rapporte Kentucky Today.
« Il y a 15 clauses qui protègent le caractère sacré de la vie et des droits civils », a soutenu M. Prunty au cours d’un long débat en séance. « Ce projet de loi étendrait ces mêmes droits à l’enfant à naître, dès le moment de la conception. Exiger le droit d’éteindre ou d’éliminer la vie d’un enfant à naître, notamment en raison de son sexe, de sa race ou d’un éventuel handicap physique ou mental, rappelle la philosophie sociale malfaisante de l’eugénisme. »
Lire la suiteLe Kentucky pourrait interdire l’avortement si le jugement Roe c. Wade était annulé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Pexels/Pixabay
Il me tarde de voir l’arrêt Roe c. Wade annulé. Extrait de LifeNews :
La Chambre des représentants du Kentucky a adopté un projet de loi visant à garantir la protection des enfants à naître dans leur État si la Cour suprême des États-Unis révoquait la décision Roe c. Wade.
Ce jugement de 1973 a paralysé la capacité des États en matière de protection des enfants à naître, mais beaucoup ont renouvelé l’espoir que cette décision tristement célèbre sur l’avortement sera un jour infirmée. Si cela se produisait, les avortements ne deviendraient pas immédiatement illégaux. Les États auraient à prendre des mesures pour protéger à nouveau les enfants à naître.
En prévision de ce jour, la Chambre des représentants du Kentucky a récemment adopté le projet de loi 148 par 69 voix contre 20, rapporte The Sentinel Echo.
Le projet de loi, qui passe maintenant au Sénat de l’État, ferait de l’avortement un crime dans tous les cas, sauf lorsque la vie de la mère est en danger.
Un député polonais invite les étudiants de Covington, «injustement accusés» par les médias, au Parlement
Dominik Tarczyński, député polonais.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adrian Grycuk/Wikimedia
Voici quelques nouvelles de ces jeunes gens qui se sont fait vilipender sur la place publique par les grands médias, au sujet d’une affaire où ils s’étaient fait importuner. Les grands médias répandent de ces fausses nouvelles que c’en est aberrant. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn député polonais a invité des étudiants catholiques américains de la Covington Catholic High School du Kentucky à prendre la parole au Parlement polonais après que ceux-ci aient été faussement accusés par les grands médias, au cours de la fin de semaine dernière, de se moquer d’Amérindiens devant le Lincoln Memorial, à Washington.
« Chers étudiants catholiques de Covington, j’aimerais vous inviter au Parlement polonais. Après avoir regardé cette vidéo, je me lève maintenant pour défendre ces jeunes gens accusés à tort et vous tous ! » a écrit Dominik Tarczyński, député conservateur au Parlement polonais et nouveau vice-président des Conservateurs européens au Conseil de l’Europe, dans un message Twitter du 20 janvier.
« Vous êtes les bienvenus pour venir nous parler de ce en quoi vous croyez, » a-t-il ajouté.
Dans une entrevue exclusive avec LifeSiteNews, Tarczyński a déclaré qu’il est « très important en ce moment » pour les garçons catholiques d’être « courageux » face aux reportages calomnieux qui les ont vilipendés.
Bonne nouvelle : 145 établissements d’avortement ont fermé au cours des cinq dernières années
Par Mark Hodges (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(LifeSiteNews) — L’Abortion Care Network (Réseau de soins d’avortement) (ACN), un groupement d’entreprises en avortement indépendantes, a publié un rapport sur la baisse du nombre de centres d’avortement. Au cours des cinq dernières années, 145 « cliniques » indépendantes ont fermé.
L’ACN soutient les entreprises d’avortement qui ne sont pas affiliées à Planned Parenthood ou à une chaîne d’hôpitaux. Le nombre de ces dernières est passé de 510 installations en 2012 à 365 aujourd'hui, sans compter les centaines de centres du Planning Familial.
Sur une page d’accueil intitulée « les communautés ont besoin de cliniques », ACN a écrit que les entreprises d’avortement, ferment à un « rythme alarmant », en particulier les indépendantes, qui pratiquent souvent des avortements tardifs.
Significativement, ACN a reconnu l’efficacité des lois pro-vie qui diminuent le nombre d’avortements et de centres d’avortement à travers le pays. Ils ont cité aussi d’autres facteurs ayant une incidence sur les fermetures, incluant l’activisme de trottoir des pro-vies et les États qui refusent que la taxe de l’aide médicale soit utilisée pour payer des avortements.
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Un médecin aide une femme à accoucher, puis accouche elle-même quelques heures plus tard
Dr. Amanda Hess et sa fille — image tirée d'une vidéo de Kentucky's WKYT news
Par Dorothy Cummings McLean (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Une obstétricienne du Kentucky était en train d'attendre pour accoucher de son bébé, quand elle est venue en aide à une autre femme dans le secteur.
Dr. Amanda Hess, 38 ans, enceinte de son deuxième enfant, s'était présentée au Centre médical régional de Frankfort pour un accouchement déclenché, quand elle a entendu une femme crier de douleur. Hess a découvert que la mère enceinte et son bébé à naître étaient tous deux en détresse, et que l'obstétricien de service avait quitté l'hôpital pour sa pause avant qu'ils ne fussent arrivés. Hess, ne portant qu'une jaquette d'hôpital ouverte à l'arrière, a enfilé une autre jaquette pour « se couvrir le dos » et est venue à la rescousse de la mère.
Lire la suiteLe gouverneur du Kentucky oblige Planned Parenthood à mettre un terme aux avortements
Par Calvin Freiburger de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Le gouverneur de l’État du Kentucky, Matt Bevin, a écrit à Planned Parenthood de l’Indiana et du Kentucky (PPIK), enjoignant leur nouveau centre d’avortement de Louisville de ne plus faire des avortements. Ceci s’explique par la demande de permis qui était “déficiente pour diverses raisons” liées à la convention de l’hôpital et aux préparations de transports ambulatoires relatifs aux complications.
“Aucune tolérance n’est permise pour les transgresseurs de la loi dans la communauté du Kentucky,” a déclaré Bevin aux journalistes, accusant Planned Parenthood de faire des avortements illégalement sans mandat requis. “Ils n’ont pas d’autorisation, ils le font en connaissance de cause, et ils seront trainés devant la justice dans cette affaire.”
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