Un étudiant en médecine pro-vie est expulsé de l’Université de Louisville parce qu’il s’oppose à l’avortement
Austin Clarck, sa femme et son fils.
Par Kristi Stone Hamrick (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Austin Clark était étudiant en quatrième année de médecine à l’Université de Louisville et il devait obtenir son diplôme en mai 2021. Marié, avec un bébé en route et un fils handicapé, Austin se préparait à commencer sa carrière de médecin pour aider sa famille et ses futurs patients. Mais l’école de médecine a coupé court à ces rêves en le renvoyant officiellement le 15 juillet 2020, selon une poursuite récemment déposée et amendée ce mois-ci.
La plainte de l’étudiant en médecine vise le président Neeli Bendapudi de la faculté de médecine de l’université de Louisville ainsi que 13 autres personnes liées à l’école. Pourquoi dit-il qu’il a été expulsé si soudainement ?
Dans son procès, Austin allègue que les problèmes avec l’école ont commencé lorsque son groupe pro-vie a accueilli le conférencier Alex McFarland à l’automne 2018. Austin faisait partie du conseil d’administration du groupe Medical Students for Life de l’école de médecine de l’Université de Louisville. L’administration a fait tout ce qu’elle pouvait pour empêcher l’événement, en grande partie en imposant des frais de sécurité incroyablement coûteux ─ une tactique courante des écoles qui tentent de faire taire les opinions des étudiants qu’elles n’aiment pas, comme l’a observé la présidente de Students For Life Action/Students For Life of America, Kristan Hawkins, dans son article d’opinion du Wall Street Journal. Le groupe d’étudiants a même dû faire appel à Alliance Defending Freedom, une fondation juridique qui défend la liberté d’expression des étudiants conservateurs ─ pour que l’événement ait lieu.
Comme l’indique le communiqué de presse de la SFLA sur l’action en justice, M. Austin affirme qu’à partir de ce moment et jusqu’à son renvoi de la faculté de médecine en 2020, les professeurs ont exercé des représailles contre lui en raison de ses opinions, le traitant de « stupide » et se demandant si son « cerveau fonctionnait », entre autres commentaires désobligeants. Il a été victime d’abus, de modifications de ses notes et a été contraint de signer un « contrat de professionnalisme » que les autres étudiants n’ont pas eu à signer. Dans son procès, Clark prétend qu’il a également été « harcelé physiquement et intimidé ».
Lire la suiteProjets de loi pour protéger l’enfant à naître en Floride, Caroline du Sud et au Kentucky
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pickpik
En Caroline du Sud, le Sénat a approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque que l’on peut détecter le battement de cœur de l’enfant à naître, ce qui arrive généralement vers la sixième semaine de grossesse, selon LifeNews :
Le Sénat de l’État de Caroline du Sud approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait les avortements lorsque le cœur du bébé à naître commence à battre. Le vote final devrait avoir lieu jeudi.
Le South Carolina Fetal Heartbeat and Protection from Abortion Act (Senate Bill 1) a reçu un vote favorable par 29 voix contre 17 en deuxième lecture.
Le projet de loi interdirait les avortements après que les battements de cœur du bébé à naître sont détectables, généralement aux alentours six semaines de grossesse.
En Floride, un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque l’enfant à naître est supposé sentir la douleur, ce qui est généralement admis autours des 20 semaines de grossesse (bien qu’il puisse la sentir bien plus tôt) a été introduit au Parlement floridien, selon un autre article de LifeNews :
Deux législateurs de Floride, le sénateur Ana Maria Rodriguez [...] et le représentant Tommy Gregory […] ont déposé le SB 744 & HB 351, intitulé Florida Pain-Capable Unborn Child Protection Act, un projet de loi visant à interdire l’avortement dès le moment où l’enfant à naître ressent de la douleur.
S’il est adopté, ces projets de loi interdiraient l’avortement lorsqu’un enfant à naître a atteint le seuil de développement in utero auquel il est capable de ressentir la douleur. Les preuves scientifiques situent ce moment à environ cinq mois.
Malheureusement, en général, ce type de projets de loi son accompagnés d’exceptions.
Lire la suiteDes parents amènent cinq de leurs enfants à la banque, quelqu’un appelle les services sociaux…
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Angin Akyurt/Pexels
20 mai 2020 (LifeSiteNews) — Abuser du pouvoir chez le gouvernement est une chose. Des employés du gouvernement qui font de l’excès de zèle ou des forces de l’ordre agitées pendant une pandémie en sont une autre. Nous pouvons tolérer ces choses — du moins pendant un certain temps. Mais lorsque le gouvernement surgit comme une menace pour nos familles, c’est autre chose. C’est ce dont ont fait les cauchemars.
Cela m’amène à une histoire qui est arrivée au Kentucky, récemment rapportée par le libertaire Reason. Début mars, les parents de sept enfants qui venaient de déménager dans l’État de l’herbe bleue se sont rendus à la banque pour ouvrir un nouveau compte. Comme ils venaient d’arriver, ils ont emmené leurs enfants avec eux.
C’est alors que les ennuis ont commencé. Selon Jim Mason, de l’Association juridique pour l’école-maison, rapporte Reason, « lorsqu’ils sont rentrés chez eux après leur sortie, un représentant des services de protection de l’enfance et un agent des forces de l’ordre les attendaient à leur porte afin d’enquêter pour violences sur enfant ».
Mason pense que cette réaction étonnamment excessive est le fruit d’une peur généralisée entourant les règles de distanciation sociale mises en place pour la COVID-19, et Reason a obtenu une copie de la lettre des services de protection de l’enfance qui confirme l’histoire. Les parents, qui instruisent leurs enfants à la maison, ont laissé les deux plus âgés dans la voiture alors qu’ils se dirigeaient vers la banque avec les cinq autres ; la porte de l’établissement portait un panneau d’avertissement sur la COVID-19. Selon Jim Mason :
Lire la suiteLa caissière interrogea immédiatement Bill et Kristy sur la raison pour laquelle ils avaient amené cinq enfants en même temps dans la banque. La caissière leur dit qu’ils ne pouvaient pas s’approcher à moins de deux mètres d’elle et qu’ils devaient faire sortir les enfants. Kristy lui expliqua que les enfants étaient trop jeunes pour être laissés sans surveillance par un adulte, et que ni elle ni Bill ne pouvaient les emmener ailleurs parce que le couple ouvrait un compte commun, et que les deux devaient être présents.
Alors que Bill restait avec les enfants loin du comptoir, Kristy fit ouvrir le compte, se sentant gênée de ce que les employés chuchotassent entre eux en observant sa famille avec suspicion. Lorsque Bill se rendit au comptoir montrant sa carte d’identité new-yorkaise pour signer, le personnel de la banque lui demanda pourquoi les cartes d’identité de Bill et de Kristy provenaient d’États différents, ce que le couple leur expliqua.
De retour à la maison, les autorités interrogèrent Bill et Kristy, qui découvrir que quelqu’un les avait dénoncés anonymement, affirmant qu’une mère de cinq enfants les avait emmenés avec un homme qui n’était pas leur père, et que les enfants avaient des bleus sur les bras indiquant qu’on les avait empoignés brutalement.
Retour de bâton aux autorités qui ont interdit les offices religieux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Les autorités avaient cru avoir la partie belle en interdisant les rassemblements religieux au nom du confinement, ce qui au passage montre leur laïcisme viscéral. Cependant, maintenant que le mal a été fait ― Pâques ayant été interdit ― les poursuites pour violations injustifiables des droits (et devoirs) des citoyens en matière religieuse se profilent, tant au Canada qu’aux États-Unis. En Saskatchewan, selon LifeSiteNews :
Les autorités sanitaires d’une province du centre du Canada ont interdit un service en plein air qui eût eu lieu le dimanche de Pâques à une église canadienne d’une petite ville, affirmant que cela aurait constitué un « rassemblement de masse » contrevenant aux ordonnances sanitaires relatives au coronavirus.
Suite à cette interdiction, le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCFF), situé au Canada, a adressé hier un avertissement légal à l’autorité sanitaire de Saskatchewan, indiquant qu’elle violait les droits et libertés des fidèles de l’Église apostolique de Nipawin.
« Nous vous écrivons pour vous faire part de notre inquiétude face aux récentes mesures prises par l’autorité sanitaire de Saskatchewan, qui ont injustement violé les libertés de réunion pacifique, d’association et de religion inscrites dans la Charte », indique l’avertissement légal du JCFF.
L’église de Nipawin, située dans le nord de la Saskatchewan, avait prévu organiser un service du dimanche de Pâques en plein air pour permettre à ses fidèles de se rassembler tout en suivant les directives de santé publique mises en place en raison de la pandémie de coronavirus.
Précisons qu’il s’agit là d’un service religieux protestant, mais si eux réussissaient à obtenir le droit de procéder en paix, je ne vois pas pourquoi les catholiques ne feraient pas de même avec la messe.
Tandis qu’aux États-Unis, selon un deuxième article de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn représentant du département de la Justice des États-Unis s’est engagé à prendre des « mesures » concernant les violations de la liberté de religion des Américains qui ont eu lieu cette semaine.
« Pendant cette semaine sacrée pour de nombreux Américains, A. G. Barr surveille la réglementation gouvernementale des services religieux. Si les politiques de distanciation sociale sont appropriées dans cette situation d’urgence, elles doivent être appliquées de manière équitable et non cibler les organismes religieux. Attendez-vous à une intervention du département de la Justice la semaine prochaine ! » écrivait dans un tweet Kerri Kupec le 12 avril.
Kupec est directeur des communications et des affaires publiques du département de la Justice depuis décembre 2018.
Coronavirus : le gouverneur du Kentucky préconise de suspendre les services religieux, mais pas les rassemblements publics
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Daniel Jolivet/Flickr
Frankfort, Kentucky, 11 mars 2020 (LifeSiteNews) — Le gouverneur du Kentucky, Andy Beshear, a demandé aux églises « d’annuler leur service du culte cette fin de semaine » par crainte du coronavirus, ne demandant pas, par contre, la même chose aux autres institutions où les foules se rassemblent.
Selon Lexington Lex18, la filiale de la NBC au Kentucky, Beshear, un démocrate, a conseillé aux Kentuckiens de se protéger et de protéger les autres du coronavirus Covid-19.
« Le gouverneur a dit qu’il espérait que la population en général prendrait des mesures agressives pour éviter la propagation de la maladie », rapportait Melissa Ratliff.
M. Beshear a demandé aux gens d’éviter d’aller en croisières ou dans les maisons de retraite et de faire leurs courses lorsqu’ils sont le moins susceptibles de rencontrer la foule. Il a suspendu tous les déplacements non essentiels des employés du gouvernement et espère que les communautés religieuses suspendront leurs services religieux.
« J’encourage également les églises à annuler leurs services religieux cette fin de semaine », déclara-t-il.
Cependant, c’est la seule forme de rassemblement public que M. Beshear souhaite décourager. Les cinémas, théâtres, musées, écoles, stades et universités restent ouverts dans le Kentucky, dans lequel on a signalé huit cas de coronavirus COVID-19.
Toutes ces institutions sont fermées en Italie, où les évêques catholiques se sont pliés aux instructions des autorités civiles de suspendre les messes [publiques].
[Les évêques de Pologne, eux, au contraire demandent qu'un plus grand nombre de messes soit dit, pour permettre aux fidèles d'être moins nombreux à chaque messe.*]
Beshear est « diacre »** dans l’Église chrétienne protestante (Disciples du Christ).
LifeSiteNews a contacté le bureau de Beshear pour obtenir des commentaires.
À développer...
*Commentaire d'Augustin Hamilton.
**Guillemets rajoutés. — A. H.
Un imprimeur sur vêtement refuse de fabriquer des chandails LGBT et gagne en cour
Blaine Adamson.
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture) — Photo : capture d'écran vidéo
Victoire importante pour la liberté religieuse [joie à tempérer, car la façon dont on regarde la liberté religieuse n’est pas la bonne aux É.-U.] aux Etats-Unis ! La Cour suprême du Kentucky a donné raison au propriétaire d’une imprimerie sur vêtements qui refuse de confectionner des maillots pour la Gay Pride de sa ville en raison de sa fidélité à la morale chrétienne.
« La décision d’aujourd’hui indique clairement que cette affaire judiciaire n’aurait jamais dû exister. Pendant plus de sept ans, des représentants du gouvernement ont utilisé cette affaire pour bouleverser la vie de Blaine, même si nous leur avions dit depuis le début que le procès n’était pas conforme aux exigences légales », a déclaré l’avocat principal de l’imprimeur. « Le Premier Amendement protège le droit de continuer à servir toutes les personnes tout en refusant d’imprimer des messages qui violent sa foi. Le juge David Buckingham l’a reconnu dans son opinion concordante, et aucun membre du tribunal n’a contesté cela », a-t-il ajouté.
M. Adamson a souligné qu’il était heureux de servir et d’employer des homosexuels, mais qu’il ne souhaitait pas pour autant appuyer leur cause : « lorsqu’on présente un message qui entre en conflit avec mes convictions, ce n’est pas quelque chose que je peux imprimer — c’est ma ligne de conduite. »
Au cours des dernières années, aux Etats-Unis, des militants LGBT ont poursuivi en justice de nombreux propriétaires d’entreprises chrétiennes à travers le pays, notamment des photographes et des fleuristes, dans le but de les forcer à créer des œuvres célébrant l’homosexualité ou à participer à des cérémonies de « mariage » entre personnes du même sexe.
Une photographe de mariage conteste une ordonnance obligeant à photographier des «mariages gay»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels/Pixabay
Ce ne sont pas seulement les pâtissiers qui peuvent avoir des ennuis s’ils refusent de prêter leurs services à des « mariages gay ». Extrait de LifeSiteNews :
Une photographe baptiste de mariage dans le sud du Kentucky a déposé une plainte contre une ordonnance de Louisville qui, selon elle, viole sa liberté religieuse en l’obligeant à prêter ses services à des cérémonies de « mariage » homosexuel.
Alliance Defending Freedom (ADF) représente Chelsey Nelson, propriétaire d’un studio de photographie à Louisville, dans sa poursuite contre la Fairness Ordinance de la ville, qui stipule que les entreprises ne peuvent refuser à un client la jouissance « pleine et égale » de biens, services, privilèges, avantages ou logements publics en raison de diverses caractéristiques, dont l’orientation sexuelle. Elle interdit également aux entreprises de publier des communications suggérant une telle « discrimination ».
Selon l’ADF, cela signifie que Nelson doit non seulement photographier les « mariages » homosexuels, mais qu’elle ne peut pas expliquer publiquement pourquoi elle ne veut photographier que le mariage monogame entre homme et femme.
La plainte fait remarquer qu’il n’est guère nécessaire [dans le sens où la fin justifie les moyens] de forcer son entreprise à servir des unions homosexuelles, afin de leur assurer les services de photographes consentants, car un répertoire en ligne énumère 91 autres photographes à Louisville et 314 photographes dans tout l’État qui font connaître leur volonté de le faire.
Personne n’a encore tenté d’appliquer l’ordonnance contre Nelson, mais elle a déposé cette contestation en prévision des efforts futurs [d’activistes LGBT enragés], tout comme les propriétaires d’entreprises religieuses l’ont fait avec succès en Arizona et devant la Cour d’appel du 8e circuit.
La ville de San Francisco interdit à ses fonctionnaires de faire affaire avec 22 États pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le conseil de municipal de San Francisco a tant à cœur la défense de l’avortement, qu’il pousse son soutien à cette répugnante pratique jusqu’à mettre en place une « liste noire » de 22 États américains ayant passé des lois pro-vie, et qu’il interdit à ses fonctionnaires d’avoir des relations d’affaires avec les États en question. On fait difficilement plus ridicule que ça… extrait de LifeSiteNew :
Dans sa dernière déclaration de soutien à l’avortement -sur-demande, et de mépris pour ses opposants, la ville de San Francisco, solidement gauchiste, a annoncé une liste noire pour les fonctionnaires qui font affaire avec un des États ayant des lois « restrictives » pro-vie, ou qui s’y rendent pour des raisons professionnelles ; ce geste, qui s’élève contre près de la moitié du pays, proteste contre lesdites lois.
« Tout comme nous avons limité nos dépenses dans les États qui ont des lois discriminatoires à l’égard des personnes LGBTQ, nous nous dressons contre les États qui mettent la santé des femmes en danger et qui s’efforcent activement de limiter les libertés en matière de reproduction », a déclaré le maire de San Francisco, London Breed, selon Fox News. « En limitant les voyages et les contrats avec certains États, nous envoyons un message clair aux États qui ne respectent pas le droit à l’avortement. »
À compter du 1er janvier 2020, la liste noire s’appliquera à l’Alabama, à l’Arkansas, à la Floride, à la Géorgie, à l’Indiana, à l’Iowa, au Kansas, au Kentucky, à la Louisiane, au Massachusetts, au Mississippi, au Nebraska, au Nevada, au Dakota du Nord, à l’Ohio, à l’Oklahoma, à la Pennsylvanie, à la Caroline du Sud, au Dakota du Nord, au Texas, à la Virginie-Occidentale et au Wisconsin, qui, selon les dirigeants de la ville, ont tous « des politiques anti-choix sévères » dans les registres.
Kathy Griffin poursuivie en justice pour ses demandes de dénonciations des étudiants de Covington
Nathan Phillips battant du tambour au milieu des élèves du collège Covington.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Quand une vidéo habilement découpée avait commencé à circuler, mettant en scène des étudiants, blancs (portant la casquette Make America Great Again), qui se sont avérés être catholiques, pro-vie, tout juste revenant de la Marche pour la Vie de Washington, et qui semblaient harceler un « vétéran », activiste amérindiens, les gros médias ont bondi sur cette proie rêvée, mordant à pleines dents la réputation de ces mineurs, sans plus se soucier apparemment de vérifier la véracité de l’affaire, avant de s’apercevoir que leurs mâchoires médiatiques ne rencontraient qu’une baudruche portant la belle étiquette « fausse nouvelle » (si populaire à notre époque), se mordant la langue de confusion. De nombreux médias avait ainsi calomnié ces malheureux étudiants, avant de s’apercevoir de leur erreur, beaucoup retirant leurs diverses publications et s’excusant de leur méprise par trop attive.
Kathy Griffin, personnalité médiatique, avait clamé, sur Tweeter, entre autres :
La réponse de l'école était pathétique et impotente. Nommez ces enfants. Je veux des NOMS. Honte à eux. Si vous croyez que ces ******* ne vous dénonceraient pas en un clin d'œil, réfléchissez bien.
Les noms, s'il vous plaît. Et des témoignages de personnes qui peuvent les identifier et garantir leur identité. Je vous remercie.
Deux étudiants qui n’avaient même pas participé à la marche se virent identifiés avec ceux (innocents d’ailleurs) qu’on accusait de harcèlement raciste.
Lire la suiteUn professeur renvoyé pour avoir contesté la théorie du genre scientifiquement
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo (rognée) : granderboy/Pixabay
Le docteur Alan Josephson, professeur à l’École de médecine pédiatrique et de psychiatrie et psychologie de l’âge du développement à l’Université de Louisville aux États-Unis a participé à une conférence auprès de l’Heritage Foundation sur les approches thérapeutiques relatives à la dysphorie de genre ou troubles de l’identité, domaine dans lequel il est expert.
Le docteur Josephson a affirmé que l’identité de genre n’a aucune base scientifique et se fonde sur l’absurde puisque « la notion d’identité de genre devrait avoir le dessus sur les chromosomes, sur les hormones, sur les organes reproducteurs […] du moment que cette classification des individus [proposée par l’idéologie du genre, ndlr] est en opposition avec la science médicale ».
En clair le professeur affirme que le « gender » n’a pas de bases scientifiques. Elle est ce que l’on peut nommer une idéologie déconstructiviste.
Résultat ? Le professeur a été licencié après 43 années de bons et loyaux services !
[…]