Un 50e bébé sauvé par une boîte à bébé au Kentucky
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock studio/Adobe Stock
L’organisation Safe Haven Baby Box célèbre la vie d’un bébé qui a été remis en toute sécurité dans la boîte à bébé « Refuge sûr » de la caserne de pompiers du comté de Montgomery, à Mount Sterling, dans le Kentucky. Cette remise est la 50e dans l’une des boîtes à bébé de l’organisation depuis l’installation de la première en 2015, et la première depuis l’installation de cette boîte à bébé le 4 avril dernier.
La loi « Kentucky Safe Infants Act » permet aux parents de laisser les nouveau-nés de moins de 30 jours dans un poste de police, une caserne de pompiers, un hôpital ou un lieu de culte participant sans craindre de poursuites pénales ou d’allégations de négligence. Les boîtes à bébés Safe Haven sont des boîtes sûres, à température contrôlée, installées dans des hôpitaux ou des casernes de pompiers dans tout le pays ; à ce jour, elles sont disponibles dans 17 États. Lorsqu’un enfant est placé à l’intérieur, une alarme silencieuse se déclenche et le personnel d’urgence intervient dans les minutes qui suivent. Le bébé reçoit des soins médicaux et est ensuite placé en vue d’une adoption.
« Lundi après-midi, nous avons eu l’honneur et la chance de recevoir un bébé dans notre caserne de pompiers du comté de Montgomery, au Kentucky. Le petit garçon qui nous a été remis semblait en bonne santé et a été transporté à notre hôpital local », a déclaré le capitaine des pompiers du comté de Montgomery, Zachary Adams, dans un communiqué de presse. « Nous tenons à remercier Gateway Right to Life pour avoir rendu ce projet possible et le Kiwanis du comté de Montgomery pour l’avoir financé à 100 % ! Il n’y a pas de mots pour exprimer à quel point nous sommes heureux de faire partie de cette initiative ! »
Lire la suiteUn gros site pornographique doit cesser ses activités dans le Kentucky en raison d’une loi sur la vérification de l’âge
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 juin 2024 (LifeSiteNews) — Grâce à une nouvelle loi sur la vérification de l’âge, le site internet classé X Pornhub cessera ses activités dans l’État du Kentucky.
Le projet de loi 278 a été signé par le gouverneur démocrate Andy Beshear en avril. Il a été adopté par les deux chambres de l’assemblée législative du Kentucky, contrôlée par le parti démocrate, sans aucun vote négatif.
Cette mesure oblige les sites web dont le contenu est considéré comme « préjudiciable aux mineurs » à demander aux utilisateurs de s’identifier pour prouver qu’ils ont au moins 18 ans.
Cette décision met le secteur dans l’embarras, car les entreprises qui gèrent les sites affirment qu’elles n’ont pas la capacité de conserver les données des utilisateurs en toute sécurité.
« Toute réglementation obligeant des centaines de milliers de sites pour adultes à collecter des quantités importantes d’informations personnelles très sensibles met en péril la sécurité des utilisateurs », a déclaré un porte-parole de la société mère de Pornhub.
Lire la suiteUn couple adopte un petit garçon déposé à la caserne de pompiers
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un petit garçon déposé il y a deux ans dans une caserne de pompiers alors qu’il était nouveau-né (en vertu de la loi du Kentucky sur la sécurité des nourrissons) a été adopté par la famille qui s’est occupée de lui depuis qu’il n’avait que quelques jours.
Il y a deux ans, bébé Samuel a été remis aux pompiers dans une caserne de Louisville — un lieu désigné comme refuge —, au milieu d’un changement d’équipe, le 12 mai 2022. Selon le lieutenant-colonel Bobby Cooper, chef adjoint du service d’incendie de Louisville, les pompiers ont entendu la sonnette de la caserne sonner vers 8 heures du matin.
« Les pompiers ont prévenu les services d’urgence pour qu’ils transportent Samuel dans un hôpital local pour enfants, afin qu’il soit examiné et qu’il reçoive les soins dont il avait besoin », a déclaré le lieutenant Cooper à l’émission Good Morning America. « Nos pompiers ont fait un travail remarquable en gérant la situation et en informant les autorités compétentes ».
Lire la suiteUne femme née par le biais d’une mère porteuse condamne l’« héritage cruel » et « traumatisant » de cette pratique
Olivia Maurel (à droite).
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Allie Beth Stuckey/YouTube
Une femme, née d’une mère porteuse, s’exprime sur l’impact de cette pratique sur elle et sur son enfance, et sur les raisons pour lesquelles elle souhaite que la maternité de substitution soit interdite.
Olivia Maurel (nommée Olivia Auriol dans un précédent article de Live Action News) a écrit un article pour le Daily Mail, où elle commence par raconter qu’elle ne comprenait pas pourquoi son certificat de naissance indiquait qu’elle était née dans le Kentucky. Sa famille n’était pas américaine, explique-t-elle, et elle n’avait aucun lien avec cet endroit. Sa mère lui ayant menti, elle n’a su la vérité que plus tard : elle était née d’une mère porteuse. Mme Maurel a raconté son histoire à Allie Beth Stuckey dans une vidéo publiée il y a un mois :
« Quelques secondes après ma naissance, j’ai été rapidement enlevée à la femme qui était devenue enceinte de moi — en utilisant ses propres ovules — et qui m’avait portée pendant neuf mois », écrit-elle. « Au lieu d’être placée dans les bras de ma mère biologique pour être nourrie et adorée, j’ai été confiée à un homme et une femme qui avaient, tout simplement, payé beaucoup d’argent pour moi ».
Lire la suiteUn premier bébé sauvé grâce à une boîte à bébé Safe Haven nouvellement installée dans le Kentucky
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Campagne Québec-Vie
Un bébé a été déposé anonymement dans une boîte à bébé Safe Haven [Havre sûr] dans le Kentucky la semaine dernière, moins de deux mois après l’installation de la boîte.
L’organisation Safe Haven Baby Box installe des boîtes surveillées, à température contrôlée et munies d’une alarme, où les parents peuvent remettre un enfant en toute sécurité et de manière anonyme, conformément à la loi sur les refuges de chaque État. Les boîtes sont installées dans des lieux tels que les casernes de pompiers, les commissariats de police ou les hôpitaux, afin que les services d’urgence puissent s’occuper immédiatement de l’enfant.
Monica Kelsey, fondatrice de l’organisation Safe Haven Baby Box, a tenu une conférence de presse pour parler du dépôt de l’enfant dans la boîte à bébé de Bowling Green, dans le Kentucky. Elle a fait remarquer que les premiers intervenants se sont occupés de l’enfant dans les 90 secondes suivant la remise du bébé.
« Cet enfant a été laissé en toute sécurité et légalité dans cette boîte “Havre sûr” afin qu’il puisse en être retiré de l’autre côté par le pompier », a déclaré Kelsey. « Les pompiers ont agi en tout point conformément à leur formation, et cela a parfaitement fonctionné ».
Lire la suiteL’avortement est désormais limité dans au moins 13 États américains, d’autres suivront
Pro-vie manifestant devant la Cour suprême des États-Unis le 13 juin 2022.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Doug Mainwaring/LifeSiteNews
25 juin, 2022 (LifeSiteNews) — Dans une décision historique vendredi 24 juin 2022, la Cour suprême des États-Unis a annulé Roe v. Wade, mettant fin à près de 50 ans d’avortement à la demande à l’échelle nationale et permettant à nouveau aux États de protéger la vie à naître dès le moment de la conception.
À la suite de cette victoire sismique en faveur de la vie, une dizaine d’États ont déjà éliminé l’avortement sur leur territoire pour la première fois depuis 1973, tandis qu’une dizaine d’autres sont prêts à interdire cette pratique barbare dans les jours et les semaines à venir.
Mise à jour — Lundi 27 juin :
- Le projet de loi sur les battements de cœur de la Caroline du Sud interdisant l'avortement à environ six semaines est entré en vigueur après qu'un tribunal fédéral ait levé une injonction, antérieure au jugement Dobbs, sur la loi.
- Un juge de l'État a temporairement bloqué l'interdiction de l'avortement en Louisiane à la demande des activistes de l'avortement. Cependant, la Constitution de la Louisiane nie spécifiquement le "droit" à l'avortement, et cette pause ne devrait pas durer longtemps. Au moins une clinique a déclaré qu'elle reprendrait les avortements dans l'intervalle.
- Un juge de l'Utah a bloqué la loi « à déclenchement » interdisant l'avortement dans cet État à la demande de Planned Parenthood, qui a invoqué la clause de confidentialité de la Constitution de l'Utah. L'ordonnance dure 14 jours, et le tribunal doit entendre d'autres arguments d'ici là. Les dirigeants républicains de l'État ont promis de défendre la loi.
- L'interdiction quasi-totale de l'avortement dans le Mississippi entrera en vigueur dans 10 jours, après que le procureur général Lynn Fitch eût certifié lundi que la Cour suprême avait annulé l'arrêt Roe.
- [Le Tennesse est maintenant le 13e État a voir fait entrer en vigueur ses lois sur l'avortement suite au jugement Dobbs.]
Consultez la liste ci-dessous pour connaître la position de chaque État sur l’avortement dans l’Amérique post-Roe.
États où l’avortement est illégal
L’avortement est désormais pratiquement illégal ou fortement limité dans au moins 10 États, dont la plupart ont mis en œuvre des lois dites « de déclenchement » conçues pour entrer en vigueur immédiatement après l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade et criminaliser l’avortement tout au long de la grossesse.
Les interdictions nouvellement applicables sont un coup dévastateur pour l’industrie de l’avortement : depuis vendredi matin, les cliniques ont arrêté les avortements en Alabama, Arkansas, Louisiane, Kentucky, Missouri, Oklahoma, Texas, Dakota du Sud, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Près de 100 000 avortements ont eu lieu dans ces États en 2019, selon les données du CDC.
Environ un quart des femmes âgées de 13 à 44 ans aux États-Unis vivent dans des États où des interdictions sont entrées en vigueur depuis la chute de Roe, dont plus de 6 millions rien qu’au Texas. Pour beaucoup de ces femmes, le centre d’avortement le plus proche peut se trouver à des centaines de kilomètres, et même là, il peut être inaccessible.
Les pénalités pour l’avortement dans de nombreux États conservateurs sont prohibitives. Au Texas et en Alabama, pratiquer un avortement volontaire est désormais un crime équivalent au viol ou à la tentative de meurtre et peut conduire à la prison à vie. En Louisiane, avorter le bébé d’une mineure peut entraîner jusqu’à 50 ans de prison.
Tous les États où les interdictions post-Roe sont en vigueur, à l’exception d’un seul (l’Utah), interdisent l’avortement en cas de viol ou d’inceste, ce qui témoigne de manière frappante d’une prise de conscience accrue de la qualité de personne du fœtus et d’une rupture avec la politique républicaine de longue date.
Chaque État continue cependant à autoriser des exceptions pour, le cas échéant, sauver la vie de la mère en raison d’une condition physique. Des experts ont attesté cependant que l’avortement n’est jamais médicalement nécessaire, et de nombreux partisans de la vie et l’Église catholique soulignent qu’il s’agit toujours du meurtre délibéré d’une vie humaine innocente.
Alabama
Depuis vendredi, l’avortement est illégal à tous les stades de la grossesse en Alabama, à quelques exceptions près.
Un tribunal fédéral a levé une injonction sur l’interdiction quasi totale de l’avortement dans l’État, promulguée en 2019, a annoncé le procureur général Steve Marshall dans les heures qui ont suivi l’arrêt Dobbs. La loi de 2019, connue sous le nom de Loi sur la protection de la vie humaine, fait de l’avortement un crime de classe A qui peut entraîner une peine de prison à vie.
La loi prévoit des exceptions en cas de « risque grave pour la santé » de la mère ou d’anomalies fatales du fœtus. En Alabama, une autre interdiction datant de 1951, antérieure à l’arrêt Roe, interdit l’avortement sauf pour préserver la vie ou la santé de la mère.
Les trois derniers centres d’avortement de l’Alabama ont interrompu toute procédure vendredi.
Lire la suite26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade
Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteLes deux seuls avortoirs du Kentucky sont temporairement fermés !
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : BGStock/Adobe Stock
Au Kentucky, une nouvelle loi pro-vie entrée en vigueur le 13 avril met en avant des mesures pour renforcer le respect des enfants à naître. Restreignant le délai de la majorité des avortements à 15 semaines et empêchant le financement de l’avortement sur le dos des contribuables, cette loi représente plus qu’une victoire légale.
Reprotection, un organisme pro-vie qui a contribué à la loi 3, ou « la loi sur l’humanité dans les soins de santé », rapporte qu’« En raison de l’encadrement “d’urgence” de la mesure, cette loi est entrée en vigueur immédiatement et a fermé les portes des deux derniers centres d’avortement du Kentucky en attendant qu’ils trouvent un moyen de s’y conformer. »
Les seuls avortoirs dans l’État sont fermés !
L’équipe de Reprotection, « utilisant les observations faites par des citoyens concernés qui sont témoins de première main lorsque les entreprises d’avortement enfreignent les lois ou se comportent dangereusement », a pu « conseiller les rédacteurs de la loi 3 ».
Alors que les deux seuls avortoirs ferment au moins temporairement au Kentucky, le Québec continue d’être un épicentre pro-mort au Canada. Selon les statistiques de La Coalition pour le droit à l’avortement au Canada, plus de 20 000 enfants à naître ont été avortés au Québec en 2020.
20 000 morts est un nombre effroyable et inacceptable. La lutte pour la défense des plus vulnérables continue et n’abandonne pas sa mission : regagner le droit fondamental à la vie pour les enfants à naître !
États-Unis : après suspension pour un geste pro-vie, un policier est dédommagé
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : Freepik
L’histoire a commencé l’année dernière, à Louisville, dans le Kentucky.
Un officier de police, Matthew Schrenger, avait accompagné son père pour prier le chapelet à l’extérieur du centre d’avortement EMW Women’s Surgical Center au petit matin du 20 février 2021. Il y est resté prier pendant 45 min, en ayant soin que son uniforme ne soit pas visible.
Un détail important : M. Schrenger n’était pas encore de service à ce moment et le centre d’avortement était encore fermé.
Selon un média local, l’officier devait commencer son service de patrouille plus tard dans la matinée, mais il lui a été rapidement « ordonné de retourner au bureau de sa division » où il a été informé qu’il serait « mis en congé administratif payé, ce qui signifie qu’il lui était interdit de procéder à des arrestations ». Ses ordinateurs de travail et son véhicule de police lui ont été également confisqués. En fait, il a été suspendu de son poste, ni plus, ni moins.
L’officier a alors déposé une plainte fédérale contre la ville de Louisville et le département de police, dénonçant la violation de ses droits constitutionnels en le plaçant en congé sans solde pendant quatre mois.
« Une prière silencieuse et en dehors du service, sur un trottoir public, a entraîné la suspension immédiate de Schrenger pendant plus de quatre mois, la privation de ses pouvoirs de police et la mise sous enquête », précise la plainte.
Selon les avocats de M. Schrenger, les actions du département de police contre ce dernier semblaient être ciblées contre ses croyances religieuses et ses opinions politiques puisque le même département n’avait pas « pris de mesures disciplinaires contre les agents en uniforme de service qui ont défilé avec les manifestants de Black Lives Matter et dans les défilés LGBT. »
Au final, l’officier de police a gagné le procès et la Ville lui a versé un chèque de dédommagement de 75 000 dollars.
Vétéran de la police depuis 13 ans et père de quatre enfants, Matthew Schrenger est un fervent militant pro-vie, il fait partie notamment du groupe 40 Days for Life, qui lutte pour mettre fin à l’avortement légalisé par le jeûne et la prière aux abords des cliniques d’avortement.
Des jumelles siamoises nées vivantes, après que les médecins aient conseillé aux parents de les avorter
Lakelyn et Laylie Hickey, sœurs siamoises.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Mise à jour 1er septembre 2021 : Les jumelles conjointes Lakelyn et Laylie sont nées mercredi à 32 semaines de gestation et elles ont remarquablement survécu à la naissance. Les filles pèsent 1,3 kg chacune et mesurent 35,5 cm de long. Leur page Facebook, Hickey Conjoined Twins, a annoncé leur arrivée et a déclaré que les deux filles respirent par elles-mêmes et se portent bien jusqu’à présent.
31 août 2021 : Un couple du Kentucky qui attend des jumelles conjointes est déterminé à donner à ses enfants une chance de vivre, malgré le fait que les médecins ont déclaré qu’il y avait peu de chances que les bébés survivent après la naissance.
Dans une entrevue, Charla Cook a déclaré à WLKY qu’elle était à plus de la moitié de sa grossesse lorsqu’elle et son mari Logan ont découvert qu’ils attendaient des jumelles lors d’une échographie de routine. Les médecins ont rapidement déterminé que les bébés étaient fusionnés et qu’ils partageaient plusieurs organes, dont le foie. Pour cette raison, de nombreux professionnels de la santé estiment qu’il est pratiquement impossible de séparer les bébés une fois qu’ils sont nés.
Charla a déclaré que les médecins, estimant que les jumelles avaient si peu de chances de survie, ont proposé l’avortement comme alternative. Un GoFundMe pour la famille a déclaré qu’on leur a donné peu d’espoir ou d’aide en leur apprenant le diagnostic.
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