Canada : les groupes 2ELGBTQI+ recevront 100 millions de dollars de Justin Trudeau
Justin Trudeau, lors de la conférence de presse à Ottawa le 28 août 2022, annonce le financement de la « communauté » 2ELGBTQI+ durant une journée de la fierté.
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : YouTube
Chers citoyens canadiens et québécois, j’espère que vous êtes prêt à oublier l’exclusivité sexuelle, la monogamie, le mariage naturel et le genre biologique, car bientôt, ces concepts risquent de faire partie de la préhistoire du Québec et du Canada entiers.
Dimanche le 28 août 2022, lors d’une conférence de presse à Ottawa le premier ministre Justin Trudeau et la ministre des Femmes, de l’Égalité des sexes et de la Jeunesse, Marci Ien dévoilent les détails d’un plan d’action du gouvernement pour soutenir les « communautés » 2ELGBTQI+, tel que reporté par The Canadian Press.
Pour préciser l’acronyme, 2ELGBTQI+ (pour les personnes qui ne seraient pas au courant) inclut les personnes qui s’identifient soit comme ayant deux esprits (l’esprit masculin et féminin), soit comme lesbienne, gay, bisexuel, transgenre, queer, intersexe et autres sexualités ou genres différents.
Alors que les lettres 2EL (2S en anglais pour two spirit) référent à la bispiritualité. Ce terme est utilisé par certains autochtones nord-américains pour décrire les personnes de leurs communautés qui remplissent un rôle cérémoniel et social traditionnel de troisième genre (ou d’une autre variante de genre) dans leurs cultures. En d’autres mots, la bispiritualité c’est être aux deux esprits.
Ainsi, le gouvernement fédéral décrit leur action de financement comme une première historique, en annonçant un plan quinquennal de 100 millions de dollars pour soutenir les communautés 2ELGBTQI+ à travers le pays, incluant le Québec.
Sur le site du premier ministre, nous pouvons lire un communiqué à cet égard qui explique la répartition du budget pendant les 5 années consécutives :
- Jusqu’à 75 millions de dollars pour les organismes communautaires 2ELGBTQI+ qui défendent et servent leurs communautés [...];
- 11,7 millions de dollars pour le Secrétariat 2ELGBTQI+ afin qu’il supervise et facilite la mise en œuvre du Plan d’action;
- 7,7 millions de dollars pour la collecte de données et la recherche en matière de politiques dirigée par la communauté à l’appui des interventions fédérales liées aux enjeux 2ELGBTQI+;
- 5,6 millions de dollars pour la conception et la mise en œuvre de campagnes de sensibilisation axées sur l’élimination de la stigmatisation et de la discrimination que subissent les personnes 2ELGBTQI+ du Canada;
Le pape François devant Justin Trudeau, le pro-avortement : la société a négligé ses « devoirs » envers les « enfants à naître »
Le pape François s'exprimant à la Citadelle de Québec, le 27 juillet 2022.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC/YouTube
28 juillet 2022, Québec (LifeSiteNews) — S’exprimant en présence du premier ministre canadien pro-avortement Justin Trudeau, le pape François a critiqué les « colonisations idéologiques » qui visent « les enfants à naître », et a défendu le rôle de l’Église dans la protection de la vie de « la conception à la mort naturelle ».
Le souverain pontife a fait ses commentaires à la Citadelle de Québec, où il a rencontré plusieurs dignitaires, dont Justin Trudeau et la gouverneure générale du Canada, Mary Simon.
Après un rituel païen de « smudging » qui faisait appel au « cercle sacré des esprits » [auquel le pape a malheureusement assisté, faisant scandale]*, François a prononcé un discours au cours duquel il a déploré une « mentalité colonisatrice » et évoqué la nécessité pour l’Église catholique de « promouvoir les cultures autochtones ».
Les « enfants à naître » sont les « oubliés »
Alors que le début de son discours était essentiellement consacré à la relation de l’Église catholique avec les peuples indigènes, François a ensuite abordé ce qu’il a décrit comme des « colonisations idéologiques » qui imprègnent la société moderne.
« Aujourd’hui encore, il ne manque pas de colonisations idéologiques qui contrastent avec la réalité de l’existence, étouffent l’attachement naturel aux valeurs des peuples et tentent d’éradiquer leurs traditions, leur histoire et leurs liens religieux », a-t-il déclaré.
La société moderne, remplie d’un sentiment de suffisance, « fait place à cette culture de l’annulation qui évalue le passé uniquement en fonction de certaines catégories actuelles », a-t-il déclaré.
Cela conduit à une « mode culturelle » qui néglige les « devoirs envers les plus faibles et les plus fragiles de nos frères et sœurs », a déclaré François, y compris « les enfants à naître ».
« Ainsi s’implante une mode culturelle qui uniformise, rend tout identique, ne tolère pas les différences et se concentre uniquement sur le moment présent, sur les besoins et les droits des individus, négligeant souvent les devoirs envers les plus faibles et les plus fragiles : les pauvres, les migrants, les personnes âgées, les malades, les enfants à naître », a déclaré François.
Ils deviennent les « oubliés des sociétés d’abondance », a-t-il poursuivi, et sont alors « jetés comme des feuilles sèches à brûler ».
Lire la suiteLes médias soutiennent l’avortement, mais omettent de montrer ce que c’est
Par Paul-André Deschesnes — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
La Cour suprême des États-Unis vient de prendre une décision historique sur l’avortement. Six courageux juges viennent de mettre leur vie en danger en décrétant que l’avortement, ça relève désormais de chaque État, et non de la Cour suprême.
Les Américains sont divisés sur cette question : 50 % pour l’avortement et 50 % contre. La moitié des États (des républicains) vont mettre des restrictions pour avorter. L’autre moitié (des gouvernements démocrates de gauche) vont crier haut et fort contre ce décret de la Cour suprême, car ses États sont pour un droit illimité à l’avortement, tel que réclamé par les mouvements féministes à la mode.
En Occident, c’est la panique généralisée ! Tous les médias hurlent : C’est horrible ! Ces juges sont des talibans ! On revient au Moyen-Âge ! L’avortement, c’est une question de « santé » pour toutes les femmes ! C’est une journée noire ! C’est le retour de la Grande Noirceur ! On est outré ! C’est une onde de choc ! C’est la mentalité d’une autre époque ! C’est un recul effrayant ! Depuis deux jours, toute cette fausse information est vue et entendue partout en Occident ! C’est la fin du monde ? Faut-il se taire face à cette désinformation qui ne dit jamais « c’est quoi un avortement ? »
Le bon peuple écoute ceux et celles qui crient très fort en faveur de l’avortement, mais il refuse de s’informer sur ce qu’« en quoi ça consiste un avortement ». Même une certaine « science » refuse de voir la Vérité en face en décrétant que l’enfant à naître n’est pas une personne humaine, même pas à 6, 7, 8, 9 mois de gestation. Honte à ces ridicules « savants » !
Regardez cette courte vidéo [Attention, images pouvant choquer], et donnez-moi des nouvelles.
Le fœtus est un vrai bébé. L’avortement, c’est une boucherie. Les médias, les journaux, la télévision ne vous montreront jamais cette réalité horrible.
Même si Biden, Trudeau, Macron, Legault et tous les autres politiciens occidentaux (surtout de gauche) vous disent en s’autoproclamant « bon catholique pratiquant », que l’avortement est quelque chose d’essentiel pour l’épanouissement de la femme, c’est archifaux ! Ce sont de cyniques menteurs. Regardez cette vidéo — « Mon corps m’appartient ? » Et le corps du bébé à naître à qui appartient-il ?
Les féministes font trembler la planète. Ce sont des hypocrites, car elles refusent de montrer à la population « C’est quoi un avortement ».
Le gouvernement Trudeau part en guerre contre les centres de grossesse pro-vie au Canada
Justin Trudeau.
Par Mary Zwicker (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lovers Lounge/Flickr
27 juin 2022 (Campaign Life Coalition) — Le gouvernement libéral de Justin Trudeau ignore les appels de quelque quinze mille Canadiens qui demandent au gouvernement de ne pas priver les centres de grossesse pro-vie de leur statut d’organisme de bienfaisance. Le ministre des Finances du premier ministre a récemment répondu aux pétitionnaires, leur disant que malgré leurs préoccupations, le « gouvernement du Canada s’engage à prendre des mesures » contre les organisations pro-vie.
Le vice-premier ministre et ministre des Finances, Chrystia Freeland, a déclaré dans sa réponse aux pétitionnaires que « tous les Canadiens devraient disposer des informations dont ils ont besoin pour prendre librement des décisions concernant leur propre corps ». Elle a ajouté que « les organismes de bienfaisance enregistrés qui fournissent des services de santé génésique sont tenus de fournir aux femmes des informations PRÉCISES, LIBRES DE JUGEMENT et S’APPUYANT SUR DES ÉVIDENCES [en majuscules dans l’original] en ce qui concerne leurs droits et leurs options à toutes les étapes de leur grossesse ».
« À cet égard, le gouvernement s’est engagé à introduire des modifications à la Loi de l’impôt sur le revenu pour s’assurer que les organisations qui fournissent des conseils malhonnêtes aux femmes enceintes ne sont pas admissibles à l’enregistrement en tant qu’organisme de bienfaisance », a-t-elle ajouté.
La réponse de Mme Freeland intervient alors qu’une enquête menée par Rebel News révèle des niveaux de corruption gouvernementale dans l’action de M. Trudeau contre les centres de grossesse pro-vie.
C’est vers la fin de l’année dernière que les Canadiens ont commencé à demander au gouvernement de ne pas priver les organisations pro-vie de leur statut d’organisme de bienfaisance. C’était en réaction à une promesse faite par les libéraux lors de la campagne électorale de 2021 de révoquer le statut d’organisme de bienfaisance des établissements pro-vie, tels que les centres de crise pour femmes enceintes. Les libéraux ont déclaré que, s’ils étaient réélus, ils « n’accorderaient plus le statut d’organisme de bienfaisance aux organisations anti-avortement qui donnent des conseils malhonnêtes aux femmes sur leurs droits et sur les options qui s’offrent à elles à toutes les étapes de la grossesse ».
David Cooke, directeur de campagne pour Campaign Life Coalition (CLC), a commenté à l’époque que si les libéraux tenaient leur promesse, la révocation du statut d’organisme de bienfaisance pourrait facilement être étendue à d’autres groupes, notamment les églises, les ministères, les missions, les camps, les collèges chrétiens et les écoles.
« Je crois que la révocation du statut d’organisme de bienfaisance des Crisis Pregnancy Centers n’est qu’une première étape. Les libéraux de Trudeau sont sur le sentier de la guerre pour fermer tous les organismes de bienfaisance au Canada qui expriment des convictions pro-vie, quelles qu’elles soient », a-t-il déclaré.
Lire la suiteRéactions canadiennes à l’annulation de Roe vs Wade : joie des pro-vie et colère des gauchistes
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Flamingo Images/Adobe Stock
24 juin 2022 (LifeSiteNews) — Après l’annonce, ce matin, de la décision de la Cour suprême des États-Unis renversant Roe vs Wade, la réaction des politiciens et des experts des médias canadiens a été rapide : beaucoup ont salué la décision, mais d’autres ont exprimé une colère inquiétante.
Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de Campaign Life Coalition (CLC), a déclaré à LifeSiteNews que les nouvelles en provenance des États-Unis aujourd’hui « sont merveilleuses ».
« Des dizaines de milliers de bébés dans l’utérus seront sauvés de la mort dans les États qui rendent illégal le meurtre d’enfant qu’est l’avortement. Dieu est bon ! », a déclaré M. Fonseca.
L’archidiocèse d’Edmonton, en Alberta, a retransmis sur Twitter la déclaration de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, qui se félicitait de l’annulation de l’arrêt Roe vs Wade, et a fait part de son propre message pro-vie.
« Continuez à prier pour la protection juridique de la vie, de la conception à la mort naturelle, en Amérique et au Canada », a écrit l’archidiocèse sur Twitter.
La réaction la plus scandaleuse est sans doute celle du premier ministre canadien Justin Trudeau, qui a déclaré que l’arrêt de la Cour suprême des États-Unis annulant Roe vs Wade était « horrible » et a promis de continuer à promouvoir le meurtre des enfants à naître au Canada.
Mélanie Joly, ministre canadienne des Affaires étrangères, de passage au Rwanda aujourd’hui avec Trudeau à ses côtés, a déclaré que la nouvelle d’aujourd’hui est « un renversement des gains obtenus de haute lutte par des générations de femmes. Et cette décision mettra en danger la vie des femmes ».
La députée du Parti conservateur du Canada (PCC), Leslyn Lewis, a salué la nouvelle et a interpellé Trudeau sur ses commentaires.
« Justin Trudeau, je choisis d’avoir une conversation d’adulte. Les avortements sélectifs et coercitifs sont mauvais. Dites-moi pourquoi ces points de vue sur lesquels la majorité des Canadiens sont d’accord seraient inacceptables », a écrit Lewis sur Twitter.
Lire la suiteCanada : 100 millions $ pour un « plan d’action » LGBT à l’échelle fédérale
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Le premier juin, à l’ouverture de la « saison de la Fierté », le drapeau LGBT flottait sur la Colline et le premier ministre Justin Trudeau proclamait que « C’est un moment pour célébrer nos différences et être là les uns pour les autres. C’est aussi un moment pour s’assurer qu’on bâtit un pays où chacun peut être qui il est et aimer qui il aime. Après tout, c’est ce qui fait du Canada un pays où il fait si bon vivre. »
L’acceptation inconditionnelle de l’immoralité : voilà par quoi notre premier ministre définit son pays. L’« Amour sacré du trône et de l’autel » de l’hymne national du Canada est ainsi piétiné par une fausse liberté, cette même « liberté » qu’acclamait la Révolution française, cette « liberté » qui se dit absolue mais qui enchaîne ses victimes.
Dans le même élan que le premier ministre, le ministre des Femmes et de l’Égalité des genres et de la Jeunesse Marci Ien a souligné dans sa déclaration du premier juin que « 100 millions de dollars sur cinq ans » seront utilisés « afin de soutenir la mise en œuvre du prochain Plan d’action fédéral LGBTQ2 ».
Au lieu de représenter un investissement qui vaut le coup, une avancée significative pour le Canada, un « plan d’action LGBTQ2 » ne représente-il pas plutôt un plan pour bannir la Famille, pour désacraliser la Vie, et pour balancer toute notion de Foi dans un pays profondément enraciné dans un passé religieux ?
De l’autre côté de la frontière, les mêmes couleurs arc-en-ciel transmettaient le même message. Dans sa proclamation pour le mois de la fierté 2022 le président américain Joe Biden a déclaré, « En ce mois de la fierté, nous affirmons notre obligation de défendre la dignité de tous et nous nous engageons à protéger les plus vulnérables d’entre nous. »
Vous avez bien lu : « la dignité de TOUS » et « les PLUS vulnérables d’entre nous ». Dans une contradiction fracassante, Joe Biden assure la protection des plus vulnérables, tout en permettant que plus de 600 000 d’entre eux soient tués sans pitié chaque année par l’avortement.
La ségrégation des personnes en fonction de leur statut vaccinal est tirée tout droit du programme d’Hitler
Par Jack Fonseca (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tanaonte/Adobe Stock
25 mai 2022 (Campaign Life Coalition) — Cet article explique pourquoi Campaign Life Coalition (CLC) estime qu’il est absolument approprié, exact et véridique, sur la base des preuves, de décrire les passeports vaccinaux COVID et la ségrégation médicale comme un système de « style nazi ».
L’argument initial avancé par ceux qui pourraient s’opposer à l’utilisation de l’expression « style nazi » dans ce contexte est le suivant : Puisqu’il n’y a pas d’extermination de Canadiens non vaccinés, la comparaison ne devrait jamais être établie ! Après tout, Hitler a exterminé des millions de juifs, donc la « simple » suspension des droits civils des Canadiens n’atteint aucunement le niveau des chambres à gaz d’Hitler.
Cependant, un tel argument passe complètement à côté de l’essentiel.
Nous ne faisons pas une comparaison avec les mises à mort dans les chambres à gaz qui ont eu lieu vers la fin du régime nazi. Nous faisons plutôt une comparaison avec l’ostracisme social et l’exclusion de la vie économique dont les Juifs ont souffert pendant les premières années du nazisme, avant les camps de la mort.
Ces similitudes sont nombreuses et irréfutables. Des millions de Canadiens non vaccinés ont maintenant souffert d’ostracisme et n’ont pas été autorisés à participer à la société.
Les gens oublient qu’Hitler n’a pas commencé par les chambres à gaz et les fours crématoires. Il a terminé avec cela. À partir de 1933, les nazis ont commencé à appliquer des règles et des lois conçues pour provoquer l’ostracisme social et empêcher les Juifs de participer à la vie économique. L’extermination massive n’a commencé qu’en 1941, soit quelque huit ans plus tard.
En 1933, lorsque les Juifs ont « simplement » vu certains de leurs droits commencer à être restreints, l’objectif initial d’Hitler n’était pas le meurtre de masse. Les nazis espéraient plutôt forcer les Juifs à émigrer d’Allemagne et ils voulaient les exclure de la vie publique. Et bien sûr, il y avait un objectif politique : la campagne de discrimination et de diffamation donnait à Hitler un bouc émissaire parfait sur lequel rejeter tous les malheurs de la nation. Tout dictateur en herbe a besoin d’un bouc émissaire afin de concentrer la haine du peuple. Cela lui permet d’être perçu comme un sauveur de leur ennemi commun, puis de consolider son pouvoir.
Lire la suiteLes grands médias admettent que le récit anticatholique du « charnier » de Trudeau était un canular
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
26 mai 2022 (LifeSiteNews) — Il y a un an, des affirmations affligeantes ont été faites selon lesquelles des « fosses communes » d’enfants autochtones canadiens morts et abandonnés avaient été découvertes sur les terrains d’anciens pensionnats indiens. La nouvelle de ce qui était censé être une tache sanglante sur l’héritage de l’Église catholique et du gouvernement canadien s’est répandue dans le monde plus vite que la propagande du coronavirus.
Dans l’esprit d’un public de plus en plus bigot et anticatholique, l’Église catholique était une fois de plus prise en flagrant délit d’atrocité envers les enfants.
En conséquence, des douzaines d’églises au Canada ont été incendiées, d’autres ont été vandalisées, et les catholiques ont été fustigés par leurs amis et leur famille pour leur appartenance à une organisation aussi condamnable qui pouvait désormais ajouter le « meurtre en masse d’enfants autochtones » à sa litanie de caractéristiques indésirables.
La colère qui s’est répandue dans tout le Canada était palpable, et les catholiques étaient l’ennemi numéro un.
Justin Trudeau, toujours prompt à prouver son profond engagement dans l’apostasie, n’a pas manqué d’exiger que le Saint-Père vienne faire amende honorable au Canada pour les « près de 1000 corps » retrouvés dans des fosses communes.
Prime Minister Justin Trudeau said he asked the pope to come to Canada to apologize for the Catholic Church's role in running residential schools for indigenous children, after nearly 1,000 bodies were found in two mass graves https://t.co/BT7OKjcrsj pic.twitter.com/X2gxNt5Nqb
— Reuters (@Reuters) June 26, 2021
Or, il s’avère que tout cela n’était qu’une farce — une imposture, un canular, une fausseté totale.
Après une année de chaos et de haine envers les catholiques romains, ce sont les médias traditionnels qui admettent maintenant à quel point toute cette affaire était fausse.
The year of the graves: How the world’s media got it wrong on residential school graves https://t.co/hSphZHNKPC
— National Post (@nationalpost) May 26, 2022
Bien sûr, nous en avons parlé pendant des mois sur LifeSiteNews.
Chaque enfant compte, mais pas un seul n’a été retrouvé
Ce n’est pas souvent que l’on peut dire que les journalistes qui travaillent dans les agences de presse « agréées » sont dignes du titre de « journaliste » ; cependant, il y a des diamants à l’état brut.
M. Terry Glavin, du National Post, a écrit un article magistral qui pourrait passer à l’histoire comme le « déboulonnage » définitif des affirmations condamnables de Trudeau sur des fosses communes qui n’ont jamais existé.
C’est une longue lecture, qui vaut chaque minute. Néanmoins, certaines choses que Glavin a écrites méritent une attention particulière.
À juste titre, Glavin souligne que « rien de nouveau n’a été ajouté au dossier public » concernant l’histoire des pensionnats au Canada.
Lire la suitePourquoi nous devons voter pour Leslyn Lewis comme future cheffe du Parti conservateur du Canada
Par Jack Fonseca (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nina/Adobe Stock
Ce que le pape Jean-Paul II a décrit de manière célèbre comme « la culture de mort » a maintenant complètement enveloppé notre nation autrefois chrétienne.
Quoique le déclin ait commencé bien avant, avec l’expulsion de Dieu de nombreux aspects de la société, la détérioration du tissu moral au Canada s’est véritablement accélérée ces 54 dernières années, depuis que Pierre Elliot Trudeau est devenu premier ministre en 1968.
Cet homme, reniant sa foi catholique, a commis l’action monstrueuse d’ouvrir la voie au meurtre d’enfants en légalisant l’avortement dès l’année suivant son élection.
Depuis lors, tous les premiers ministres, qu’ils soient libéraux ou conservateurs, ont été des partisans du meurtre prénatal, jusqu’au fils de Pierre, Justin Trudeau.
En une sorte de soif de sang insatiable, le fils a même surpassé le père pour favoriser les meurtres d’enfants.
Non seulement le Canada extermine 100 000 bébés par an sur son propre sol, mais à chaque budget fédéral, Justin Trudeau verse de plus en plus d’argent des contribuables dans les comptes bancaires d’organisations internationales pro-avortement, pour s’assurer qu’elles assassinent des enfants à naître sur tout le continent africain et dans d’autres nations étrangères.
Ici, chez nous, Trudeau Jr utilise le budget comme une caisse noire pour fourrer des millions de dollars dans les poches des groupes canadiens de défense de l’avortement afin d’« accroître l’accès à l’avortement », un euphémisme pour « tuer plus de bébés ».
Il fait également déborder d’argent d’innombrables organisations de défense des droits des LGBT qui continuent à corrompre moralement ─ et à mutiler physiquement (dans les cas de normalisation de la « transition ») ─ les enfants qui parviennent à échapper aux instruments des avorteurs.
Mais grâce à Dieu, une occasion favorable s’est présentée, et pourrait nous permettre d’arracher le poing serré et sanglant de la culture de mort des leviers du pouvoir dans notre nation.
Mme Leslyn Lewis, députée pro-vie de la circonscription de Haldimand-Norfolk, figurera sur le bulletin de vote de la prochaine course à la direction du Parti conservateur du Canada (PCC).
Des six candidats en lice, Leslyn est la seule pro-vie, et elle fait campagne sans réserve sur une plateforme pro-vie.
Lire la suiteTrudeau est en train de transformer le Canada en État-prison confortable
Justin Trudeau.
Par David Solway (LifeSteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
12 mai 2022 (The Pipeline) — Dans un éditorial d’Epoch Times, Patricia Adams et Lawrence Solomon décrivent le Canada comme la plus grande prison du monde et le premier ministre Justin Trudeau comme « le plus grand gardien de prison du monde ». Dans un pays de 38 millions d’habitants, écrivent-ils en reprenant le Justice Centre Bulletin, 6 millions de citoyens non vaccinés n’ont pas le droit de voyager en train, en bateau ou en avion et sont effectivement empêchés de quitter le pays, ce qui revient à dire qu’une cohorte de plus de 15 % est prisonnière sur son propre sol.
Le budget fédéral de 2022 approuve le financement de trois années supplémentaires de maintien des mandats de vaccination pour les voyages : « Tous les voyageurs qui partent maintenant d’un aéroport canadien, qui empruntent un train de VIA Rail ou de Rocky Mountaineer, ou qui voyagent à bord d’un navire de croisière (ou d’un navire de passagers non essentiel pour des voyages de 24 heures ou plus) doivent être entièrement vaccinés, sauf exception très limitée. » Les non-vaccinés, comme on dit, peuvent aller se faire voir ailleurs. Mais le gouvernement Trudeau ne s’arrêtera pas à l’incarcération de facto de ses citoyens dissidents. Le registre des actes autoritaires s’allonge de jour en jour.
Le gouvernement a récemment adopté le projet de loi C-4, qui modifie le Code criminel afin de cibler ce que l’on appelle péjorativement et à tort la « thérapie de conversion », c’est-à-dire le droit des parents d’agir au nom du bien-être de leurs enfants en les conseillant contre la modification du genre et les traitements chimiques transgenres. Le gouvernement a affirmé que la thérapie de conversion reflète « les mythes et les stéréotypes concernant les communautés lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres, queers et bispirituelles (LGBTQ2) » et que les pratiques qui « renforcent les idées hétéronormatives et cis-normatives... [sont] nuisibles ».
Ce document bizarre est formulé de manière à donner l’impression que l’orientation LGBTQ2 est en fait le statut sexuel par défaut. Protéger l’identité sexuelle biologique de ses enfants est désormais une infraction pénale, qui conduit à retirer les enfants de leur foyer et à les placer sous la tutelle de l’État, un acte de terreur totalitaire. Naturellement, les couples sans enfants sont épargnés par ce traumatisme ; beaucoup semblent indifférents ou ignorent même l’existence d’une telle atrocité.
Le gouvernement fédéral réfléchit à des projets de loi, tels que les projets de loi C-11 et C-18, également connus sous le nom de Lois sur la diffusion en ligne, analogues au Disinformation Governance Board (Conseil de gouvernance de la désinformation) récemment créé par le gouvernement américain, qui renforcera la réglementation d’Internet pour combattre ce que le gouvernement appelle commodément la « désinformation ». Les gens ne seront plus libres d’exprimer leurs convictions personnelles en ligne sans crainte d’annulation ou pire encore.
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