Le ministre du Travail de Trudeau préconise un mandat « d’équité » pour favoriser les candidats LGBT à l’emploi
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete/Flickr
14 décembre 2023, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le gouvernement Trudeau se félicite d’un mandat d’équité nouvellement proposé qui favoriserait les candidats à l’emploi s’identifiant comme LGBT par rapport à ceux dont les inclinations sexuelles sont conformes à la nature.
Le 11 décembre, le ministre libéral du Travail, Seamus O’Regan, a annoncé la publication du rapport du groupe de travail chargé de l’examen de la Loi sur l’équité en matière d’emploi, qui cherche à ajouter les « Canadiens noirs et ceux qui s’identifient comme LGBT » à la liste des personnes bénéficiant de privilèges spéciaux en matière d’embauche.
« C’est assez historique », a déclaré M. O’Regan devant le foyer de la Chambre des communes lundi. « Nous désignons les Noirs et les personnes LGBTQI+ comme des groupes désignés en vertu de la loi sur l’équité en matière d’emploi ».
Selon des informations obtenues par Radio-Canada, le gouvernement libéral, sous la direction du premier ministre Justin Trudeau, « soutient largement » la recommandation.
Lire la suiteUne pétition officielle pour rejeter Trudeau a obtenu plus de 380 000 signatures
Extrait d’un article de Clare Marie Merkowsky de LifeSiteNews, 22 décembre 2023 — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/Adobe Stock
Une pétition officielle lancée par une citoyenne canadienne demandant la dissolution du gouvernement Trudeau et la tenue d’élections a récolté plus de 380 000 votes. Lancée le 24 novembre, la pétition a pris fin le 24 décembre et sera remise à la Chambre des communes le 29 janvier. — A.H.
La pétition officielle, intitulée pétition e-4701, a été lancée par Melissa Outwater, résidente de Peterborough (Ontario), et parrainée par la députée conservatrice Michelle Ferreri.
Elle se lit comme suit : « Nous, soussignés, citoyens et résidents du Canada, prions la Chambre des communes de demander la tenue d’un vote de censure et d’une élection fédérale dans les 45 jours suivant le vote ».
Les pétitions adressées à la Chambre des communes du Canada peuvent être lancées par n’importe quel citoyen, mais elles doivent être soutenues par cinq autres citoyens ou résidents canadiens, ainsi que par un député en exercice.
Lire la suiteLes libéraux de Trudeau rejettent le projet de loi visant à empêcher l’euthanasie des personnes atteintes de maladies mentales
Justin Trudeau.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : Shutterstock
Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Les députés de la Chambre des communes du Canada ont rejeté cet après-midi un projet de loi privé présenté par le député du Parti conservateur du Canada (PCC) Ed Fast, qui aurait abrogé l’extension des lois sur l’euthanasie aux personnes souffrant de maladies mentales.
Avec 150 voix pour et 167 contre, le projet de loi C-314 de Fast, Loi modifiant le Code criminel (aide médicale à mourir), a été rejeté en deuxième lecture à la Chambre.
Tous les députés conservateurs ont voté en faveur du projet de loi, de même que tous les députés de gauche du Nouveau Parti Démocratique (NPD), ce qui est rare dans la politique canadienne. Seule une poignée de députés libéraux ont voté en faveur du projet de loi, ainsi que deux députés du Parti vert et un député indépendant. Le projet de loi a été rejeté en grande partie grâce aux votes contre du Parti libéral du premier ministre Justin Trudeau et des députés du Bloc Québécois.
Le projet de loi C-314 se lit comme suit : « Le texte modifie le Code criminel afin de prévoir qu’un trouble mental n’est pas un problème de santé grave et irrémédiable à l’égard duquel une personne pourrait recevoir l’aide médicale à mourir ».
M. Fast a déclaré, peu après la présentation de son projet de loi au début de l’année, que l’élargissement par le gouvernement du suicide assisté pour « inclure les malades mentaux » et potentiellement même les « mineurs matures » montre que le Canada est sur une « pente glissante ».
Lire la suiteL’organisateur de la marche pour les enfants annonce de nouvelles manifestations nationales contre l’agenda LGBT
Kamel El-Cheik à la Marche 1 Million 4 Children.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : darstv/YouTube
11 octobre 2023 (LifeSiteNews) — L’organisateur de la Marche un million de personnes qui s’est tenue en septembre pour lutter contre les programmes LGBT radicaux enseignés dans les écoles publiques prépare une nouvelle manifestation pour le 21 octobre après avoir reçu plus de « 12 appels par jour » pour en organiser une autre.
Le « Worldwide Stop the War on Children Rally » (Manifestation mondiale « Stop à la guerre contre les enfants »), qui se tiendra dans tout le pays, envisagera d’adopter l’approche « mesurer deux fois, couper une fois », a déclaré Kamel El-Cheikh, principal organisateur de la manifestation de septembre, lors d’une récente émission avec Clyde Do Something.
Il a fait remarquer qu’il y a un « désir » intense « d’un bout à l’autre du pays » pour débarrasser les écoles canadiennes de l’endoctrinement en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre (OSIG).
« Nous voulons nous assurer que nous mesurons deux fois et que nous coupons une fois », a déclaré M. El-Cheikh, ajoutant que les organisateurs ne veulent pas simplement « protester pour protester ».
« La nation veut faire la fête ensemble et ce sera beaucoup plus grand, je le garantis », a-t-il ajouté.
La première Marche un million de personnes a eu lieu le 20 septembre et a inspiré des milliers de Canadiens d’un bout à l’autre du pays de descendre dans la rue pour exiger que les programmes LGBT radicaux soient exclus des écoles publiques canadiennes.
Lire la suiteTrudeau fait marche arrière et affirme qu’il n’a jamais qualifié de haineux les participants à la marche pour les enfants
Justin Trudeau.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC
6 octobre 2023 Vaughan, Ontario (LifeSiteNews) — Le premier ministre Justin Trudeau nie maintenant avoir affirmé que les manifestants pro-famille de la Marche un million — contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles — de personnes prônent la « haine » et que leurs opinions n’ont « pas leur place » au Canada — bien que Trudeau ait bel et bien publié ce message sur les médias sociaux le jour des manifestations.
Lors d’une conférence de presse sur le thème du logement, organisée jeudi à Vaughan (Ontario), un journaliste a interrogé M. Trudeau sur le message qu’il a publié sur les médias sociaux le 20 septembre, le jour même où des milliers de Canadiens inquiets sont descendus dans la rue pour la Marche du million contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles du pays — ce message préoccupe les chrétiens et les musulmans, car ils considèrent que la « caractérisation » du mouvement comme haineux est malhonnête et erronée de la part du premier ministre.
« Je n’ai jamais suggéré que quelqu’un qui se préoccupe des droits parentaux est en quelque sorte rempli de haine ou d’intolérance », a affirmé M. Trudeau.
Le journaliste a également demandé à M. Trudeau s’il allait « s’excuser » pour ses commentaires, ce à quoi il a répondu qu’il « défendra toujours les droits de chacun dans ce pays », y compris ceux des personnes qui s’identifient comme LGBT.
Trudeau n’a jamais dit directement qu’il est en faveur des droits parentaux en répondant aux questions du journaliste, mais a plutôt insisté sur le fait que les gens utilisent ses commentaires au sujet de la marche comme une « tactique » pour « diviser les communautés ».
Lire la suiteLa Marche un million de personnes pour les enfants montre que les Canadiens se mobilisent contre l’agenda LGBT
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Une vague de manifestations pour les droits parentaux à travers le Canada cette semaine — la Marche un million de personnes pour les enfants — a mis en évidence un fossé croissant entre les élites progressistes et les parents ordinaires, y compris ce qui pourrait s’avérer être une division politiquement conséquente dans la coalition dont les libéraux de Trudeau dépendent pour s’assurer le pouvoir et s’y maintenir.
Avec la confrontation des pères et mères musulmans en colère face aux militants LGBT, M. Trudeau, le chef du NPD, Jagmeet Singh, et leur caucus obéissant à la coalition, ont vu s’affronter différentes factions de leur propre base électorale. Comme on pouvait s’y attendre, Trudeau, Singh et la quasi-totalité de la presse ont soutenu les militants LGBT.
Il semble que le Parti conservateur fédéral se rende compte que les droits parentaux sont soutenus par une super-majorité de Canadiens. Le 20 septembre, les politiciens libéraux et néo-démocrates ont condamné en force les manifestants dans tout le pays, M. Singh se joignant aux contre-manifestants LGBT à Ottawa. Trudeau a réagi avec l’un de ses tweets bien-pensants : « Permettez-moi d’être très clair : la transphobie, l’homophobie et la biphobie n’ont pas leur place dans ce pays. Nous condamnons fermement cette haine et ses manifestations, et nous sommes unis pour soutenir les Canadiens 2ELGBTQI+ à travers le pays — vous êtes importants et vous avez de la valeur. »
Il a totalement ignoré le slogan des manifestations : « Laissez nos enfants tranquilles ! » Ni Trudeau ni Singh n’ont pris la peine de répondre aux préoccupations exprimées par les parents.
Lire la suiteJustin Trudeau réitère pour la énième fois son soutien indéfectible à l’avortement
Justin Trudeau.
Billet de bogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Shutterstock
Ce serait aujourd’hui, apparemment, la « Journée internationale pour le droit à l’avortement ». J’eusse sans doute vécu une autre année tout en continuant avec bonheur à ignorer qu’une telle absurdité tombait un 28 septembre, si ce n’avait été un message officiel de Justin Trudeau publié pour l’occasion.
Selon le site du Premier ministre du Canada Justin Trudeau :
Le premier ministre Justin Trudeau a fait aujourd’hui la déclaration suivante à l’occasion de la Journée internationale pour le droit à l’avortement :
« Aujourd’hui, en cette Journée internationale pour le droit à l’avortement, le gouvernement du Canada réitère son engagement indéfectible à veiller à ce que les femmes et les filles au pays et ailleurs dans le monde aient accès à l’avortement. Nous ne remettrons jamais en question le libre choix des femmes.
En 1988, la Cour suprême du Canada a invalidé les restrictions du Code criminel entourant l’avortement et, grâce au travail infatigable de militantes et militants et de fournisseurs de soins de santé, l’avortement est depuis cette époque un service sûr et légal dans notre réseau de la santé. Pour que les femmes et les filles, et en particulier celles des communautés marginalisées et vivant en région rurale et éloignée, aient accès aux soins de santé reproductifs dont elles ont besoin et qu’elles méritent, nous réalisons des investissements permettant d’éliminer les obstacles et d’améliorer l’accès à l’avortement d’un océan à l’autre.
De plus, nous améliorons l’accès à l’avortement au-delà de nos frontières en nous engageant à financer la santé à l’échelle mondiale. Les droits des femmes sont malmenés partout dans le monde en ce moment, mais nous savons qu’on ne peut prévenir les avortements en les interdisant. Au contraire, les avortements deviennent ainsi plus dangereux. Nous continuerons donc de bâtir un monde où toutes les femmes peuvent exercer leur droit fondamental qui consiste à faire leurs propres choix en matière de santé reproductive, peu importe où elles vivent.
En cette Journée internationale pour le droit à l’avortement, nous renouvelons notre engagement à créer un monde où tout le monde peut faire ses propres choix, de façon à bâtir son propre avenir sans crainte. »
Si vous avez eu la sublime patiente de lire cette déclaration jusqu’au bout, vous aurez sans doute remarqué que le message serait anodin si l’on remplaçait « avortement » par, mettons, « accouchement ». Qui en effet pourrait être contre le droit des femmes à accoucher ?
Mais voilà, qu’est-ce qu’un avortement, et plus précisément, puisque c’est de cela dont il s’agit, un avortement provoqué ?
Lire la suiteTrudeau condamne la « haine » de la marche pour la protection des enfants contre la propagande LGBT
Justin Trudeau.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
20 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Le rejet du dogme LGBT n’a « pas sa place » au Canada, a déclaré mercredi le premier ministre Justin Trudeau sur les réseaux sociaux, alors que des milliers de Canadiens protestent contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles du pays.
« Je tiens à préciser une chose : la transphobie, l’homophobie et la biphobie n’ont pas leur place dans ce pays », a déclaré M. Trudeau sur X/Twitter. « Nous condamnons fermement cette haine et ses manifestations, et nous sommes unis pour soutenir les Canadiens 2ELGBTQI+ à travers le pays — vous êtes importants et vous avez de la valeur ».
Ces commentaires interviennent le jour même de la Marche d’un million de personnes pour les enfants dans la capitale nationale, Ottawa, et dans d’autres villes du Canada, que LifeSiteNews couvre sur le terrain. La marche est une manifestation d’un océan à l’autre pour défendre les enfants contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles.
Organisée par des Canadiens musulmans, la manifestation a adopté le slogan « Laissez nos enfants tranquilles », en particulier en ce qui concerne l’idéologie du genre, le contenu sexuel inapproprié quant à l’âge dans les bibliothèques scolaires et la propagande LGBT.
Lire la suiteAucun reste humain n’a été trouvé sur le site d’un pensionnat catholique au Canada
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tinnakorn/Adobe Stock
22 août 2023 (LifeSiteNews) — Au milieu d’une série d’incendies d’églises suscitée par des allégations de « tombes non marquées » dans les anciens pensionnats religieux pour enfants indigènes, une excavation récente menée sur l’un des sites n’a révélé aucune « preuve concluante » de restes humains.
L’ancien pensionnat de Pine Creek, situé à Pine Creek, au Manitoba, a été géré par l’Église catholique de 1890 à 1969 — le site abrite aujourd’hui l’église catholique Our Lady of Seven Sorrows. Les archives gouvernementales font état de 21 décès survenus dans ce pensionnat.
Les fouilles, qui ont duré quatre semaines et n’ont révélé aucune trace de restes humains, ont été menées par la tribu de la Première nation Minegoziibe Ashinabe, après qu’un radar à pénétration de sol ait détecté 14 anomalies sur le site de l’ancienne école.
Dans une vidéo publiée sur les médias sociaux vendredi dernier, le chef Derek Nepinak des Minegoziibe Anishinabe a déclaré qu’en tant que « communauté, nous nous préparons à plus d’une issue possible, ce qui signifie que nous nous préparons au pire tout en espérant le meilleur ».
MANITOBA — Le chef Derek Nepinak des Minegoziibe Anishinabe a annoncé que les fouilles effectuées sous une église catholique n’ont révélé AUCUNE PREUVE DE RESTE HUMAIN.
Selon les accusations d’anciens élèves, les écoles résidentes de l’Église auraient dissimulé les abus et les décès d’enfants autochtones.
— Bree A Dail (@breeadail) 21 août 2023
Nepinak a expliqué que les fouilles ont été effectuées par une équipe de chercheurs de l’université de Brandon, la même équipe que celle sur laquelle s’appuient les forces de l’ordre pour recueillir des preuves archéologiques.
Lire la suiteBlaine Higgs fait face à une bataille pour avoir défendu les droits parentaux
Blaine Higgs, premier ministre du Nouveau-Brunswick.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le premier ministre Blaine Higgs fait face à une véritable bataille. La clique woke le prend à la gorge. Les médias le critiquent. Même le premier ministre Justin Trudeau s’en est pris à lui, le qualifiant d’« acteur politique d’extrême droite » et l’accusant de cibler les soi-disant « enfants trans ».
Et quel est le crime de M. Higgs, je vous prie ?
Il a osé prendre position pour les parents et les familles en apportant quelques changements modestes à la politique 713, un protocole éducatif qui définit la manière dont les écoles doivent traiter les élèves souffrant d’un trouble du genre.
Telle qu’elle a été rédigée à l’origine, la politique 713 était un cauchemar pour de nombreux élèves et parents, mais un rêve devenu réalité pour les activistes LGBT. Elle a permis aux activistes de prendre les commandes des écoles publiques du Nouveau-Brunswick et de forcer nos enfants à subir un programme abusif de réingénierie sociale.
Dans le cadre de ce programme, les filles ont été forcées de partager leurs toilettes et vestiaires avec des garçons qui prétendaient être des « filles trans ». Les équipes sportives de filles étaient également contraintes d’accepter des athlètes masculins s’ils prétendaient être transgenres. Et s’il y avait des sorties scolaires avec nuitées, les garçons « devraient avoir accès » aux logements réservés aux femmes, s’ils s’identifiaient comme « trans ».
C’était la recette d’un désastre qui privait les garçons et les filles biologiques de leurs droits humains fondamentaux et de la dignité que Dieu leur a donnée. La politique d’identité woke et l’idéologie délirante du genre l’avaient emporté sur la réalité.
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