Le Grinch qui vola Pâques menace de voler Noël : Trudeau
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Presidencia de la Republica Mexicana/Attribution 2.0 Generique (CC BY 2.0)/Wikimedia Commons
Évidemment, il est impossible d’abolir Pâques ou Noël, mais il est faisable d’empêcher les gens de célébrer ces grandes fêtes en famille ou à l’église, c’est qui est arrivé pour Pâques et pourrait advenir pour Noël. Justin Trudeau, Premier Grinch du Canada (enfin… ministre — n’oublions pas que les Premiers Grinchs de province ont aussi leur part de responsabilité), sous prétexte d’une « pandémie » qui a plutôt l’allure d’une grippe saisonnière, laisse entendre « que si nous ne faisons pas vraiment, vraiment attention » les Canadiens ne pourraient pas célébrer Noël. Que l’on dise ce que l’on voudra, mais ces paroles de croquemitaine bienveillant sonnent comme une menace. Selon LifeSiteNews :
« Nous sommes dans une pandémie mondiale sans précédent. Cela est vraiment difficile, c’est dur de passer par la deuxième vague, c’est frustrant d’avoir arrêté notre vie pendant le printemps et d’être maintenant obligé de faire des choix plus difficiles et de savoir qu’il y aura aussi un hiver difficile à venir », déclarait Trudeau la semaine dernière lors d’une conférence de presse.
« Et c’est frustrant de savoir que si nous ne faisons pas vraiment, vraiment attention, il n’y aura peut-être pas le genre de réunions familiales que nous voulons avoir à Noël, mais nous allons nous en sortir ; les vaccins sont à l’horizon ».
Bien sûr, la panacée sera un vaccin, qui sera rendu sans doute obligatoire — car sinon, comment sortirons-nous de la fameuse « pandémie » ? — ce qui est absurde. Ce vaccin, si obligatoire, et les mesures dites sanitaires actuelles représentent des moyens extraordinaires qui ne doivent être imposés. N’oublions pas en outre que ce vaccin pourra avoir été cultivé sur une lignée cellulaire de bébé avorté.
Canada : la Chambre des communes envoie le projet de loi C-6 sur la « thérapie de conversion » en comité de justice
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : racool studio/Freepik
Le jeudi 29 octobre, la Chambre des communes a approuvé en 2e lecture, par 306 voix contre 7 et 2 abstentions, la progression du projet de loi C-6 sur la « thérapie de conversion », il sera donc examiné par le Comité permanent de la justice et des droits de la personne. Le gouvernement Trudeau fait donc avancer sa tyrannique prohibition des thérapies réparatives volontaires (faut-il le rappeler ?), destinées aux personnes désirant se défaire d’attirances pour les gens de même sexe ou se sentir en conformité avec leur sexe, avec la complicité de tous les autres partis, y compris la majorité du Parti conservateur du Canada et une bonne partie des conservateurs dits sociaux, selon LifeSiteNews :
Lire la suiteHier, les députés ont voté par 306 voix contre 7 en faveur d’une motion donnant leur approbation de principe au projet de loi C-6, « Loi modifiant le Code criminel (thérapie de conversion) ». Ce projet de loi, qui a été qualifié par des associations familiales d’attaque « scandaleuse » contre les libertés parentales, a été présenté par le ministre de la Justice David Lametti le 1er octobre.
Le projet de loi C-6 a été adopté avec le soutien presque unanime des députés du Parti conservateur, la quasi-totalité des députés libéraux, néo-démocrates, verts, bloquistes et indépendants.
Seule une poignée de députés du Parti conservateur du Canada (PCC) a voté contre le projet de loi, à savoir Derek Sloan, Jeremy Patzer, Arnold Viersen, Bob Zimmer, Ted Falk, Tom Kmiec et Damien Kurek.
Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de Campaign Life Coalition (CLC), critique les députés du PCC qui ont voté en faveur du projet de loi, qualifiant ce geste de trahison.
Voici pourquoi seuls Derek Sloan et Leslyn Lewis peuvent défaire Trudeau
Adaptation d’une lettre de Jeff Gunnarson, président de Campaign Life Coalition
Si vous êtes membre du Parti conservateur du Canada (PCC), ou si vous avez des amis qui le sont, vous devriez lire ceci.
Dans la course à la direction du Parti conservateur du Canada il faut avoir à l’esprit des points stratégiques cruciaux en matière de vote :
- élire un chef moral,
- faire avancer au mieux la cause pro-vie, pro-famille sur le long terme, et,
- battre Justin Trudeau aux prochaines élections.
C’est pourquoi nous vous présentons les deux seuls candidats pro-vie en tant que 1er et 2nd choix pour l’élection du chef. Nos explications sur les raisons pour lesquelles seuls Derek Sloan et Leslyn Lewis peuvent battre Trudeau suivent ci-dessous.
Meilleurs choix pour le bulletin de vote
Votez pour ces candidats pro-vie et pro-famille sans réserve en les mettant comme choix n° 1 et n° 2, dans l’ordre que vous préférez.
La classification de chacun de ces candidats est basée sur le nombre et la qualité des politiques socialement conservatrices proposées par eux, ainsi que sur le degré d’engagement de chacun sur les questions relatives à la vie et à la famille. Sloan a une avance dans ces critères, ce qui explique la note plus élevée (A+) qui lui est attribuée, mais Lewis qui a un A est également un bon choix.
Aucun autre candidat ne devrait être pris en compte pour figurer sur le bulletin de vote.
À ne pas supporter
Les autres candidats sont non supportables en raison de leur soutien à l’avortement, qui est un facteur d’exclusion.
Veuillez ne mettre aucunement leurs noms sur le bulletin de vote.
Chaque année, plus de 100 000 enfants sont tués avant leur naissance, et ni MacKay ni O’Toole ne sont prêts à les protéger. En mettant un de ces hommes en troisième ou en quatrième position, on enverrait le message à tous les politiciens canadiens qu’ils peuvent soutenir le meurtre de bébés in utero, tout en comptant sur les votes des pro-vie.
En outre, cela serait stratégiquement contre-productif à long terme pour notre cause, dans les années à venir. En refusant stratégiquement de soutenir les politiciens qui promeuvent et encouragent l’avortement, ou qui refusent d’agir pour mettre fin au massacre des enfants avant leur naissance, nous favoriserons les dirigeants plus courageux de l’avenir.
Lire la suiteTrudeau voulait donner 900 millions de dollars à un organisme promouvant l’avortement et l’homosexualité
Justin Trudeau, (hélas) premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock
Le gouvernement canadien avait formé le projet de confier la gestion d’un programme destiné aux étudiants et nouveaux diplômés, ainsi que son coquet budget de 900 millions de dollars, et ce sans appel d’offre, à l’organisme WE Charity aussi appelé UNIS. Cependant, pour une raison que le gouvernement Trudeau n’a pas donnée, le contrat n’ira finalement pas à l’organisme, selon Le Journal de Montréal :
Le gouvernement et l’organisme WE Charity ou UNIS, qui avait obtenu le contrat sans appel d’offre, indiquent avoir convenu « mutuellement » que l’organisation proche de la famille Trudeau ne gérerait finalement pas le programme.
Destiné aux étudiants, d’après Le Journal de Montréal :
Le programme de 900 millions $ prévoit un versement de 1000 à 5000 $ aux étudiants qui feront du bénévolat au cours des quatre prochains mois.
Apparemment UNIS ferait l’objet d’accusations de racisme, rapporte Le Journal de Montréal :
WE Charity fait face à des allégations de racisme et de malversation qui ont visiblement résonné au sein du gouvernement.
Je ne sais trop quoi penser de ces accusations, vu qu’à notre époque on applique pour tout et rien cette étiquette. D’un autre côté, je ne serais pas surpris d’apprendre qu’un organisme gauchiste fût la proie à ce problème, tant il est vrai que ceux parmi les plus intolérants se trouvent parmi les promoteurs de la « tolérance », et qu’il y a souvent des racistes chez les « antiracistes ». Mais passons…
La méthode de recrutement qu’aurait suivi UNIS consistait à passer par les professeurs afin que ceux-ci recrutassent chacun 75 à 100 étudiants, 55 dans les régions rurales, pour la modique somme de 12 000 dollars ! Selon Radio-Canada :
Selon l’annonce du poste de « gestionnaire de volontaires » sur le site internet d’UNIS, les éducateurs devront recruter et gérer un nombre différent d’étudiants, selon qu’ils sont situés en zones rurales ou urbaines.
« Nous avons besoin d’éducateurs engagés comme vous pour recruter, diriger et encadrer un groupe de 75 à 100 étudiants admissibles de votre communauté dans le cadre de ce programme. En tant que responsable de groupe, vous recevrez une rémunération de 12 000 dollars », précise l’annonce.
Argent pour le recrutement
Les éducateurs en régions rurales doivent recruter et encadrer au moins 55 étudiants pour recevoir la même rémunération.
Ils doivent notamment être disponibles pour « recruter activement » des étudiants et aider à superviser la participation bénévole au programme pendant les mois de juillet et août.
Les étudiants eux-mêmes ont la possibilité de gagner entre 1 000 et 5 000 dollars, selon le nombre d’heures qu’ils effectuent auprès d’un organisme à but non lucratif.
D’après ce que je peux comprendre, des professeurs devaient être payés 12 000 dollars pour recruter 55 à 100 élèves afin de les envoyer travailler bénévolement dans des organismes à but non lucratif. Combien pariez-vous qu’UNIS aurait fait le tri parmi les organisations auxquelles les étudiants eussent été aller pour remplir leur tâche bénévole et recevoir le subside promis ? Certes, un certain tri est toujours nécessaire, mais UNIS est un organisme international qui propage l’idéologie pro-avortement et LGBT. Cela serait un peu revenu à envoyer de la main-d’œuvre à toutes sortes d’alliés de Trudeau.
Lire la suiteErin O’Toole, vrai conservateur mauve
Erin O'Toole.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo/CPAC/YouTube
Erin O’Toole, candidat à la direction du Parti conservateur du Canada, se présente aux membres électeurs comme « vrai bleu » (le bleu étant la couleur du parti) afin de donner une description imagée de son programme et de sa personne. L’idée de se nommer soi-même « vrai bleu » lui est sans doute venue pour plaire aux conservateurs dits « sociaux » (qui s’oppose à l’avortement, l’euthanasie, l’interdiction des « thérapies de conversion », etc.), reprenant ainsi le « vrai bleu » de Richard Décarie (candidat à la chefferie écarté sans explication par le tout puissant comité organisateur de la course), et afin de se distinguer de Peter MacKay.
Seulement, M. O’Toole est-il vraiment un « vrai bleu » ?
Selon Dagobert sur Canadian Political Correctness :
Né au Québec et catholique de religion (sans pourtant s’orienter par les guidances morales de l’église) et avec son français assez courant, M. O’Toole paraît avoir toutes les chances parmi les Conservateurs dans la Belle Province. Se présentant comme un « vrai bleu », il souhaite se distinguer de Peter MacKay, plutôt connu pour sa posture libérale, le qualifiant de Red Tory.
Pourtant, ses critiques mettent M. O’Toole dans le camp des rouges avec MacKay. Ont-ils raison ? Après tout, O’Toole veut une politique plus forte envers la Chine et même enlever les contributions du Canada aux Nations-Unies. Il a aussi voté en faveur des droits de conscience des médecins par rapport à l’euthanasie. Comme les autres candidats à la chefferie, il est contre la taxe sur le carbone, en faveur des oléoducs, contre les politiques de Trudeau limitant la possession des armes de feu et veut couper les subsides à Radio-Canada.
Ce qui n’est déjà pas si mal, sauf qu’on ne sait sur quoi il base sa foi, donc sa morale, et par conséquent ses actes.
Son programme inclut également la reconstruction économique du Canada, mise à mal par le confinement mis en place contre le coronavirus, projette de proposer plusieurs lois pour réduire le crime, comme l’obstruction des voies ferrées, rétablirait le Bureau de la liberté de religion* (aboli par Trudeau), laisserait la gestion de la (stupide) taxe carbone aux provinces, et favoriserait enfin la construction de pipelines dans le pays.
Il veut aussi faire le ménage dans le processus d’adoption canadien, en allant « contre une tendance effrayante des autorités canadiennes à refuser de plus en plus l’adoption aux parents qui n’affirment pas toutes les orientations sexuelles », souligne Dagobert.
Autre point positif, il veut défendre les droits des médecins à ne pas participer à une euthanasie. Il a voté contre la loi C-14 sur l’euthanasie. Il a voté pour le projet de « “Loi de Molly” — [qui] criminalise toute violence contre les femmes si elle porte préjudice au bébé avant sa naissance, en plus de la violence contre la femme même », rapporte Dagobert.
Mais, il manque des aspects importants de la politique canadienne au programme de M. O’Toole : la protection des droits parentaux en général, l’abrogation de la loi C-16, la contestation de l’extension de l’euthanasie auprès de la Cour suprême, ou la lutte contre à l’avortement, dont la pratique est si laxiste qu’il est pratiqué « au Canada pour se débarrasser d’un bébé fille ou pour toute autre raison, jusqu’au jour avant la naissance (cela contre notre obligation de protéger les enfants avant et après la naissance, selon la Convention sur les droits de l’enfant, ratifiée par le Canada en 1991 », explique Dagobert.
Lire la suiteLeslyn Lewis : vous pouvez manifester, mais non aller dans une église, « cette incohérence est exaspérante »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le 7 juin, Leslyn Lewis, candidate à la direction du Parti conservateur du Canada, dénonçait dans une lettre aux membres du parti l’incohérence manifeste des divers paliers de gouvernements en ce qui concerne la gestion du coronavirus dans deux domaines : les lieux de cultes et les manifestations. Nous assistons visiblement à un flagrant deux poids, deux mesures :
Ce matin [7 juin], des centaines de milliers de Canadiens se sont rassemblés par le biais de leur ordinateur afin de participer* à des services religieux, à cause des restrictions sanitaires relatives au COVID-19.
Dans l’ensemble, les Canadiens ont suivi nos dirigeants politiques et nos responsables de la santé tout au long de cette crise et de ses ravages sur notre économie.
Quiconque enfreignait les directives a été rapidement et publiquement couvert de honte, sinon condamné à une amende ou menacé de poursuites judiciaires.
La semaine dernière, nous avons vu les mêmes responsables de la santé et les mêmes dirigeants politiques qui refusaient que les membres d’églises se réunissent chacun dans son véhicule respectif, exprimer l’idée que les rassemblements de masse et les manifestations ne devraient pas seulement être autorisés, mais aussi encouragés.
Le Premier ministre lui-même a ignoré les directives de distanciation sociale pour planter un genoux en terre lors d’une manifestation à Ottawa, entouré de milliers de manifestants.
Le fait de voir les responsables de la santé et les politiciens faire si rapidement marche arrière cette semaine nous amène à conclure :
Soit leurs recommandations et lignes directrices étaient autoritaires et inutiles, soit ils étaient si désireux de gagner l’approbation d’un large bloc électoral d’électeurs, dont beaucoup sont des personnes de couleur, qu’ils ont été malhonnêtes avec eux au sujet des risques sanitaires que comprennent les manifestations.
En fait, l’administratrice en chef de l’Agence de la santé publique du Canada, le Dr Theresa Tam, au lieu de mettre en garde contre les manifestations considérables, a simplement suggéré aux manifestants d’envisager de porter des masques et de réduire leurs cris, car « crier et postillonner vigoureusement peut potentiellement augmenter le risque ».
Ces messages s’alignent exactement sur les plans que les églises avaient déjà présentés à divers gouvernements comme lignes directrices pour leur réouverture.
Pourtant, non seulement aucun plan de réouverture n’a été accordé aux églises et autres rassemblements religieux, mais les élus eux-mêmes n’ont même pas suivi leurs propres règles lorsqu’ils se sont joints aux manifestations.
Cette incohérence est exaspérante.
Je soutiens le droit des Canadiens à protester. Je soutiens le droit de chaque Canadien de se mettre à genoux.
Mais si les gens sont autorisés à se rassembler à genoux pour demander justice, alors nous devons permettre aux gens de se rassembler à genoux pour prier.
Si ces protestations ne constituent pas un danger pour la santé publique et les participants, nos fonctionnaires doivent présenter des excuses non seulement aux croyants à qui il est toujours interdit de se rassembler de manière significative, mais aussi à chaque Canadien qui a été tenu à l’écart du chevet d’un être cher mourant.
Les Canadiens sont raisonnables et nous sommes prêts à sacrifier nos libertés** pour le bien commun. Mais nos dirigeants doivent être responsables et transparents, et s’ils ont restreint nos libertés sans raison, ils doivent en répondre.
*Participer virtuellement n’est pas vraiment participer. — A. H.
**Il existe des libertés qui peuvent être sacrifiées et d’autres qui ne le peuvent pas. — A. H.
Le gouvernement Trudeau commande des millions de seringues en vue du vaccin COVID-19
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
On voit que le gouvernement Trudeau ne démord pas de l’idée d’un vaccin contre le coronavirus, malgré le fait qu’il s’agisse d’un virus qui mute rapidement. Comme si ce n’était pas assez, le Canada avait annoncé il y a quelques semaines le projet de faire tester au Canada un vaccin fabriqué en Chine, cultivé sur une lignée de cellules de bébé avorté.
37 millions de seringues, selon LifeSiteNews :
Le gouvernement canadien a commandé 37 millions de seringues pour l’administration d’un éventuel d’un vaccin contre le COVID-19 à chaque Canadien, annonçait mardi le ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand.
« Nous continuons également à travailler pour nous procurer les autres fournitures nécessaires à d’éventuelles vaccinations de masse systématiques », déclarait Anand, rapporte CTV. « Nous nous assurons que lorsqu’un vaccin viable sera découvert, le Canada sera prêt à l’administrer ».
Aucun calendrier n’a été fixé pour la livraison des seringues, qui sont produites par Becton Dickinson Canada. La quantité serait presque suffisante pour toute la population du pays.
« Nous tenons compte du nombre maximum de Canadiens qui pourraient souhaiter être vaccinés », affirmait le Dr Theresa Tam, administratrice en chef de l’Agence de la santé publique du Canada.
Mais 40 % de la population ne veut pas d’un vaccin obligatoire, le gouvernement devrait donc plutôt baisser la quantité de sa commande d’environ autant, si ses intentions sont vraiment de ne piquer que les gens volontaires. Car justement, il est à craindre que l’admirateur de la dictature communiste chinoise, Justin Trudeau, veuille en venir là, laissant dans le vague cette question :
La nouvelle fait craindre que l’éventuel vaccin ne soit obligatoire, d’autant plus que le Premier ministre Justin Trudeau refusa à plusieurs reprises d’exclure cette possibilité. « En ce qui concerne les types de protocoles de vaccination qui seront mis en place, nous avons encore pas mal de temps pour y réfléchir afin de bien faire les choses », déclara-t-il en avril.
Les vaccins ne sont pas obligatoires pour la plupart des gens au Canada, ce qui, selon les experts, est pour le mieux, à la fois en termes de praticabilité (en particulier s’il n’y a pas une quantité suffisante pour chaque citoyen) et de mise en vigueur. Le ministre de l’Éducation du Nouveau-Brunswick, Dominic Cardy, fait pression afin qu’un projet de loi, mettant fin aux exemptions pour raisons philosophiques, religieuses et autres exemptions non médicales à la vaccination des écoliers, soit adopté.
Ceci est assez curieux quand on pense que le Nouveau-Brunswick n’a eu pratiquement aucune mort attribuée au coronavirus.
Justin Trudeau promeut l’avortement de concert avec 38 autres premiers ministres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Justin Trudeau, notre pitoyable premier ministre, a participé à une déclaration endossée par 38 autres premiers ministres, dont ceux d’Allemagne, Angela Merkel, du Royaume-Uni, Boris Johnson, de France, Édouard Philippe, et d’Italie, Giuseppe Conte, trente-neuf en tout, pour soutenir ce qu’ils appellent les « services de santé sexuelle et reproductive pour toutes les femmes et les filles » (avortement, contraception) durant ce qu’ils considèrent comme étant une « pandémie » de coronavirus, et ce, au nom de 59 nations. Ils craignent que des restrictions n’empêchent cette abominable pratique de se poursuivre comme d’habitude. Selon LifeSiteNews :
Le gouvernement libéral du premier ministre canadien Justin Trudeau a publié mercredi une déclaration commune au nom de 59 nations, préconisant l’accès mondial aux « besoins en matière de santé sexuelle et reproductive » en réaction à la pandémie de coronavirus.
« Nous en appelons aux gouvernements du monde entier à garantir un accès complet et sans entrave à tous les services de santé sexuelle et reproductive pour toutes les femmes et les filles », indique la déclaration publiée le 6 mai par Affaires mondiales Canada.
Le gouvernement Trudeau est bien connu pour sa promotion agressive de l’avortement sur la scène internationale. Il s’est engagé à verser 7,1 milliards de dollars d’ici 2030 pour financer et promouvoir l’avortement dans le cadre de son aide internationale, et a décrit l’accès mondial à l’avortement et les « droits sexuels et reproductifs » comme étant « au cœur » de sa politique étrangère.
La « Déclaration sur la protection de la santé et des droits sexuels et reproductifs et la promotion de l’égalité des genres pendant la crise de la COVID-19 » publiée sur Affaires mondiales Canada l’a été également sur l’ordre des ministres de 38 nations différentes « au nom des peuples et des gouvernements de 59 pays ».
Pour éviter la mortalité infantile ! :
« Le financement de la santé et des droits sexuels et reproductifs doit rester une priorité pour éviter une augmentation de la mortalité maternelle et infantile, répondre au besoin accru de méthodes contraceptives et éviter la hausse d’avortements à risque et d’infections sexuellement transmissibles », y déclare-t-on.
Alors c’est en tuant un enfant à naître qu’on le sauver d’une possible mort plus tard ? Quel est donc ce raisonnement débilement tordu ? Si vous tuez un enfant dans le sein de sa mère, vous ne réduirez pas la mortalité infantile !
Il est temps de repousser cinquante ans de libéralisme : avortement, euthanasie, idéologie du genre, etc.
Photo : Pickpik
Voici un message de Richard Décarie, ex-candidat à la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada, en soutien à Derek Sloan candidat à la même course :
Il y a plus de cinquante ans, en 1968, Pierre Elliott Trudeau a présenté une loi pour légaliser l’avortement avec certaines limites.
En 1988, la Cour suprême du Canada a aboli toute limite à l’avortement, légalisant l’avortement sur demande.
Il y a trois ans, en 2017, le gouvernement de Justin Trudeau a légalisé l’utilisation de Mifegymiso pour provoquer des avortements par voie chimique et a présenté le projet de loi C-16 « en vue des expériences des personnes transgenres ».
En mars, le gouvernement de Justin Trudeau a annoncé une loi criminalisant la soi-disant « thérapie de conversion » au Canada.
Les élites libérales des médias et soi-disant « progressistes » de notre Parti souhaitent que des gens comme vous et moi restent silencieux et absents du débat public.
Pour eux, les conservateurs sociaux provie et profamille ne doivent être ni vus ni entendus.
Je pense qu’il est temps que le chef de notre Parti prenne une position ferme en déclarant clairement que « C’est assez ! »
Sans équivoque et sans se dérober.
C’est la raison pour laquelle Derek Sloan se présente comme chef du Parti conservateur du Canada.
Lire la suiteJustin Trudeau répète les propos de Bill Gates au sujet des vaccins et du coronavirus
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Justin Trudeau s’est tout récemment fait l’écho de Bill Gates en matière de coronavirus et de vaccin, la vie ne reviendra pas à ce qu’elle était avant, à moins que l’on ne fabrique un vaccin et que la population ne soit massivement vaccinée, ce qui ne serait possiblement faisable que dans les 12 à 18 mois… L’idée est plutôt douteuse, on peut suspecter les intentions des promoteurs de vaccins, qui pourraient bien être stérilisants (ou faire autre chose) comme un certain vaccin antitétanique qui a largement été employé dans plusieurs pays. D’après LifeSiteNews :
Le premier ministre canadien a déclaré le 9 avril que son pays ne reviendrait pas à la normale tant qu’un vaccin contre le coronavirus n’aura pas été trouvé, ce qui « pourrait prendre 12 à 18 mois ».
« Nous ne reviendrons pas à notre ancienne situation normale ; nous ne pouvons pas le faire avant d’avoir préparé un vaccin et cela pourrait prendre 12 à 18 mois », a déclaré le premier ministre Justin Trudeau aux journalistes jeudi, rapporte le National Post.
« Nous ne savons pas exactement combien de temps — nous espérons que ce sera plus tôt que plus tard ».
[...] « ... Le Canada devra maintenir un niveau élevé de mesures d’éloignement physique pendant un certain temps », a-t-il ajouté.
Comme Bill Gates :
Les déclarations de Trudeau font écho à celles d’un certain nombre de personnalités libérales, notamment Bill Gates, fondateur de Microsoft et de la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a déclaré à CBS en début de semaine que la vie après le coronavirus ne serait plus la même « pendant un certain temps », ou du moins jusqu’à ce que la population soit « largement vaccinée ».
La crainte des gens face aux grands rassemblements publics serait moindre et plus proche de la normale « une fois que nous aurons le vaccin », ce qui pourrait être prêt dans les 18 mois, affirma-t-il.
Et la vaccination massive pourrait bien s’accompagner d’un contrôle sanitaire dictatorial. Selon LifeSiteNews :
La Fondation Bill & Melinda Gates a déclaré : « La référence aux “certificats numériques” se rapporte aux efforts visant à créer une plate-forme numérique à source ouverte dans le but d’élargir l’accès à des tests sûrs à domicile ».
Cependant, comme le souligne un article de Scientific American de décembre 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé une recherche du Massachusetts Institute of Technology qui suggérait d’incorporer les données de vaccination « directement dans la peau » des enfants : « En même temps que le vaccin, un enfant se verrait injecter un peu de colorant invisible à l’œil nu, mais facilement visible grâce à un filtre spécial pour téléphone portable, combiné à une application qui diffuse une lumière proche de l’infrarouge sur la peau. Le colorant devrait durer jusqu’à cinq ans, selon des tests effectués sur des peaux de porc et de rat et sur des peaux humaines sur plateau ».
Par l’intermédiaire de sa fondation, M. Gates a investi des milliards de dollars dans les vaccins.
Pourquoi mettre une marque sur l’enfant vacciné si ce n’est pour contrôler ceux qui ne l’ont pas été ?