Ce qu’on ne dit jamais : certains Autochtones ont grandement apprécié leur pensionnat
Élèves autochtones au pensionnat d'Assiniboia, Winnipeg, Manitoba.
Par LifeSiteNews — Traduction de Richard Décarie — Photo : BiblioArchives/Flickr
Noëlville, Ontario 28 juin 2021 (LifeSiteNews) — Alors que les églises catholiques du Canada sont vandalisées ou incendiées, il est bon de se rappeler que deux éminents autochtones ont attribué à leurs pensionnats le mérite de leur réussite dans la vie. Il s’agit du dramaturge cri de renommée mondiale Tomson Highway et de la défunte chef de bande dénée d’Inuvik, Cece Hodgson-McCauley. En outre, un certain nombre de personnes ont écrit des récits à la sénatrice Lynn Beyak, aujourd’hui à la retraite, témoignant avoir eu des expériences positives ou avoir entendu des récits de première main de bonnes expériences dans les pensionnats. En 2015, Tomson Highway a déclaré au désormais défunt Huffington Post Canada qu’il avait passé neuf des « années les plus heureuses » de sa vie dans un pensionnat. L’école, appelée le pensionnat Guy Hill, était gérée par les Missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Né dans le nord du Manitoba, Highway a été envoyé au pensionnat à l’âge de six ans et y est resté jusqu’à l’âge de 15 ans, rentrant chez lui pour les deux mois de vacances d’été. Il a ensuite été mis en pension dans des familles d’origine européenne tout en terminant ses études secondaires à Winnipeg. « Tout ce qu’on entend, ce sont les choses négatives ; personne ne s’intéresse au positif, à la joie dans cette école », a déclaré Highway au journaliste Joshua Ostroff à propos de Guy Hill. « Neuf des années les plus heureuses de ma vie, je les ai passées... dans cette école », a-t-il poursuivi. « J’ai appris votre langue, pour l’amour de Dieu. Avez-vous appris ma langue ? Non, alors qui est le privilégié et qui est le défavorisé. »
M. Highway a laissé entendre qu’il y avait autant d’histoires « positives » sur les pensionnats que d’histoires « négatives » entendues par l’enquête « Vérité et réconciliation du Canada » sur le système de pensionnat qui a vu des dizaines de milliers d’enfants des communautés nordiques emmenés loin de leurs familles pour leur éducation. Il a également attribué à son école sa réussite, et aux autres pensionnats la réussite d’autres anciens élèves. « Vous avez peut-être entendu des histoires négatives de la part de 7 000 témoins dans le processus », a déclaré le dramaturge primé. « Mais ce que vous n’avez pas entendu, ce sont les 7 000 rapports qui étaient des histoires positives. Il y a aujourd’hui beaucoup de gens qui ont réussi dans ces écoles, qui ont des carrières brillantes et qui sont des gens très fonctionnels, très heureux, comme moi. J’ai une carrière internationale florissante, et cela ne serait pas arrivé sans cette école ».
« La vérité les ronge parce qu’ils ont peur de parler du bon côté du pensionnat »
Cece Hodgson-McCauley a été la première femme chef parmi les 23 chefs de bande des Territoires du Nord-Ouest du Canada. Chroniqueuse de longue date pour le Northern News Service, Mme Hodgson-McCauley a écrit en 2012 une description de ce qu’elle a appelé « L’autre côté du pensionnat ». Lorsque sa mère est morte, la future chef avait six ans et son frère deux ans et demi. Son père était trappeur et n’avait donc « pas d’autre choix » que d’envoyer ses enfants au pensionnat de Fort Providence, administré par des religieuses, pour qu’ils soient pris en charge pendant l’année scolaire. « J’ai passé 10 ans là-bas, rentrant chaque été pour les vacances sur le bateau de la mission », écrit Hodgson-McCauley. « Les nonnes nous ont appris tellement de choses. Je me souviens seulement d’une nonne qui était très stricte et d’une autre qui nous faisait trop prier. Dans chaque société, il y a des gens qui ont des personnalités qui sont du mauvais côté », a-t-elle poursuivi. « Mais je peux jurer sur la Bible que mon séjour au couvent a été bon. Nous mangions trois repas par jour, pas fantaisistes mais nourrissants, beaucoup de loisirs, chaque hiver ils nous construisaient un grand toboggan et nous nous amusions à glisser et nous faisions beaucoup de pique-niques en été et en hiver nous faisions des promenades en foin, en traîneau tiré par des bœufs. » « On posait des collets à lapins et on mangeait du lapin. Ils avaient du pemmican, c’est de la viande pilée que les indigènes apprécient grandement. Ils nous ont appris à tricoter des bas pour nous-mêmes, à faire des perles fantaisie pour les mocassins et à faire du travail à la plume, de deux à douze plumes. Nous avons appris à faire nos propres robes, ils nous ont appris à cuisiner et à faire le ménage. » « Les garçons avaient le hockey et le baseball. Les garçons autochtones essayaient toujours de battre les garçons métis, c’était très amusant. » Hodgson-McCauley décrit ses années à l’école comme les meilleures de sa vie. « Ma famille dit la même chose, ma sœur ne jure que par elle », a-t-elle déclaré à un intervieweur. « Nous avons été traités merveilleusement bien ».
Lire la suiteTrudeau confirme que le gouvernement canadien travaille à une « certification nationale du statut vaccinal »
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Ottawa, Ontario, 18 juin 2021 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Justin Trudeau a confirmé aujourd’hui que son gouvernement travaille sur « deux solutions » pour prouver le statut vaccinal d’une personne, et qu’à l’automne, il mettra en place un système de « certification nationale du statut vaccinal » que les voyageurs pourront utiliser pour prouver qu’ils ont reçu les deux doses « complètes » du vaccin COVID-19.
« Nous travaillons sur deux solutions en ce qui concerne la preuve de vaccination pour les Canadiens qui souhaitent voyager », a déclaré M. Trudeau aujourd’hui lors d’une conférence de presse. « Tout d’abord, dans la phase initiale, nous allons travailler avec l’application ArriveCAN de manière à ce que les gens puissent télécharger une image de leur preuve de vaccination sur papier ou en ligne, afin que les agents frontaliers puissent vérifier, à leur retour au Canada, qu’ils sont bien vaccinés. »
M. Trudeau a déclaré que son gouvernement mettrait quelque chose « en place dans les semaines à venir » pour la saison de voyage de cet été.
M. Trudeau a récemment annoncé que son gouvernement travaillait « en ce moment même » avec ses alliés à l’élaboration de « certificats de vaccination » pour les voyages, affirmant qu’on pouvait « s’attendre » à ce qu’ils soient bientôt disponibles.
Aujourd’hui, M. Trudeau a confirmé les rapports antérieurs selon lesquels un « large consensus » a été atteint parmi les premiers ministres du pays pour travailler à la création d’un système de « preuve de vaccination » pour les voyages.
Il a déclaré qu’ils travaillent avec les provinces sur un type de « certification nationale du statut vaccinal » qui sera « facilement » accepté dans le monde entier.
Selon un reportage de la CBC sur l’utilisation de l’application ArriveCAN par le gouvernement fédéral, une source a déclaré : « L’application permettra aux voyageurs de prendre une photo ou de télécharger un instantané de leurs documents de vaccination dans l’application avant de passer la douane. »
Lire la suiteAprès l’ouragan
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Walters Art Museum/Wikimedia Commons
Désolation et renouveau
Il y a une dizaine d’années, l’ouragan Juan frappa la ville de Halifax de plein fouet causant des dommages importants. J’étais, à l’époque, un résident de Halifax et j’ai vu, sur place, ce déchaînement de la nature (c’est une autre météo quand des deux par quatre volent dans les airs !).
Quelques jours plus tard, j’ai visité un terrain boisé des environs. C’était une scène de désolation. Presque tous les arbres avaient été déracinés par la tempête. Quelques îlots d’arbres tassés restaient encore debout. On devinait qu’ils avaient résisté parce qu’ils étaient ensemble, leurs branches entremêlées les avaient mutuellement renforcis. Un peu plus loin, un petit carré boisé semblait presqu’intouchée. Sa masse compacte et homogène l’avait probablement épargné. Ici et là, enfin, on voyait des arbres isolés qui avaient tenu. Ils se dressaient là, amochés et un peu décharnés mais toujours enracinés, alors que les autres, autour d’eux avaient été couchés.
Ce qui restait de ce bois était l’image même de la désolation. Un cataclysme soudain avait fauché une population saine ne laissant derrière lui que quelques îlots épars et des individus, isolés mais encore debout parmi les décombres.
En mars 2020, un cataclysme a frappé nos sociétés libres, paisibles et prospères. Ce cataclysme n’est pas cette épidémie virale plus virulente que les autres qui nous préoccupe tant. C’est l’agression mondiale fasciste, orchestrée par une poignée de milliardaires et de bureaucrates, qui a instrumentalisé cet événement sanitaire pour s’emparer des démocraties occidentales et asservir leurs populations. Il s’agit d’un putsch, planifié de longue date, qui se déploie avec la collaboration honteuse de gouvernants, de médias et d’églises qui font semblant de nous représenter tout en servant les intérêts d’un cartel mafieux.
Lire la suiteLe Charnier de Kamloops
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
L’autre douleur
Les croyants discourent parfois sur l’impuissance de Dieu. Ils concluent généralement que cette impuissance apparente résulte de la conformité du Tout-puissant avec sa Nature qui est Amour.
On réfléchit peu, cependant, aux limites de Satan. Lui aussi, pourtant, a des limites même si celles-ci ne sont pas dictées par sa nature mais plutôt par son appétit. En effet, le Malin ne cherche pas le pouvoir temporel, c’est la perversion des âmes qui l’attire. Ce qu’il désire par-dessus tout, c’est le consentement lucide de l’âme au mal. Pour lui, la mort du juste est une défaite, c’est sa chute qu’il recherche. Pareillement, il ne veut pas nous faire croire à ses mensonges, il veut nous y faire adhérer. Ainsi, plus son pouvoir s’accroît, plus il se révèle car ceux qu’il trompe entièrement demeurent des innocents. C’est pourquoi, plus les âmes se soumettent à ses agendas, plus il fait de bavures car c’est en percevant le mal et le mensonge qu’elles y consentent davantage. La Bête exige des rituels pour la même raison car ceux-ci demandent des consentements prémédités.
Ainsi, quand une communauté fait preuve d’une grande obéissance devant un danger vraiment grave, c’est sans intérêt pour le Malin puisque ce comportement est conforme à la droiture. Par contre, quand on se soumet beaucoup devant une menace légère, alors la Bête frétille car une telle servilité est remplie de lâchetés, de calculs, de compromis et d’abdications.
Pareillement, quand un mensonge est trop parfait, il devient inutile puisqu’il ne compromet personne. Ce que la Bête recherche, c’est une tromperie cousue de fil blanc qui suscite une grande indignation. Dans ce cas, en effet, ceux qui s’indignent (ou se taisent) devinent l’imposture et participent donc à la manipulation. Quand leur agitation débouche sur un rituel de soumission alors la Bête est au comble du plaisir.
Cette dernière réflexion m’amène au sujet de cet article : le « Charnier de Kamloops ». Il y a quelques jours (début juin 2021) on a découvert les ossements de deux cent quinze enfants sur le site d’une école résidentielle à Kamloops, en Colombie-Britannique. Aussitôt, les médias ont mentionné les mots « hécatombe », « charnier ». Peut-être pas tout à fait un charnier, a-t-on vite corrigé, mais quelque chose de semblable… Quoi donc, précisément, personne ne l’a spécifié. À mot couvert, on suggère une fosse commune, des enfants jetés là, n’importe comment, en cachette, la nuit. Il y avait deux cent quinze petits squelettes, on les a comptés, travail de rigueur ! Certains « survivants » ont mentionné des funérailles nocturnes (rituels inquiétants), mémoire tribale ! On aurait donc découvert, au Canada, un charnier de petites victimes assassinées comme ceux qu’on trouve en Syrie et ailleurs. Quelle horreur !
Lire la suiteLa découverte de tombes d’enfants à Kamloops demande une enquête rigoureuse et non une attaque sournoise et non fondée contre l’Église
Pensionnat de Kamloops.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Kamloops, Colombie-Britannique, 9 juin 2021 (LifeSiteNews) — La triste découverte de 215 tombes d’enfants non marquées au pensionnat indien de Kamloops a suscité beaucoup de chagrin et d’indignation, ainsi que des attaques virulentes contre l’Église catholique.
Malgré cette réaction rapide, de nombreuses questions subsistent sur cette affaire. L’auteur canadien Michael O’Brien, lui-même ancien élève de l’un de ces pensionnats, a mis en garde contre le danger d’accuser l’Église de meurtre avant d’avoir obtenu des informations réelles sur les tombes récemment découvertes, y compris sur le contexte de la période des pensionnats.
Rosanne Casimir, chef de la Première nation Tk'emlups te Secwépemc, a révélé le 28 mai que les corps de 215 écoliers, dont certains n’avaient que trois ans, avaient été découverts sous terre grâce à un radar à pénétration de sol. Casimir a mentionné que c’était un « fait connu dans notre communauté », ce qui a mené à la recherche et à la découverte des corps.
Casimir a également noté que « ces enfants disparus sont des décès non documentés », ajoutant que de nombreuses questions restaient sans réponse, et laissant entendre qu’il était possible de trouver d’autres corps en attendant une enquête plus approfondie. Elle l’a décrit comme une « perte inconcevable, dont on parlait, mais qui n’avait jamais été documentée au pensionnat indien de Kamloops ».
Mme Casimir a noté que l’enquête était en cours depuis le début des années 2000, précisant que les récits d’anciens élèves avaient alimenté le désir de rechercher les tombes.
À la suite de cette découverte, des attaques virulentes ont été lancées contre l’Église catholique, qui dirigeait le pensionnat alors que l’État le finançait, et le sentiment anticatholique dans les médias grand public est à son comble.
Le système des pensionnats
Le pensionnat de Kamloops, situé dans le sud de la Colombie-Britannique, a été géré par l’Église catholique de 1890 à 1969, date à laquelle le gouvernement fédéral a pris en charge la gestion de l’établissement et l’a transformé en externat jusqu’à sa fermeture en 1978. À son apogée, Kamloops comptait plus de 500 enfants inscrits dans les années 1950 et était autrefois la plus grande école du réseau de pensionnats.
L’école a été confiée à la direction des Oblats de Marie Immaculée en 1893, sur ordre du gouvernement. Cependant, en 1910, le directeur a signalé que le gouvernement ne fournissait pas suffisamment de fonds pour nourrir correctement les enfants. Un rapport similaire a été fait dans les années 1920.
En 1924, le bâtiment a été partiellement détruit par un incendie.
L’école faisait partie du système national des pensionnats du Canada, dans le cadre duquel des enfants autochtones étaient injustement retirés de leur famille¹ et emmenés dans ces écoles dans le but supposé de les éduquer et de les assimiler à la culture non autochtone. Ces écoles étaient en grande partie gérées par l’Église catholique, bien qu’elles ne fussent en aucun cas exclusivement sous la responsabilité de l’Église catholique, puisque d’autres confessions chrétiennes géraient également certaines de ces écoles.
Lire la suiteL’autorité et la légitimité
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : zeno.org/Wikimedia Commons
Le débordement des compétences
Le putsch planétaire, en cours depuis mars 2020, vise l’imposition d’un Nouvel Ordre Mondial défini par les 17 Objectifs de Développement Durable de l’ONU via la mise en place d’une dictature sanitaire mondiale. Cette agression est orchestrée par les partenaires du Forum Économique Mondial, le FMI et la bureaucratie de l’ONU. À la suite d’un long processus de corruption, en cours depuis des décennies, presque toutes les élites de la planète, politiques, médiatiques, religieuses et scientifiques y contribuent. En particulier, le gouvernement canadien, sous Justin Trudeau, s’est engagé officiellement à nous soumettre aux agendas de l’empire mondialiste. Ce Nouvel Ordre Mondial serait l’aboutissement d’une démarche moderniste de rejet radical des valeurs traditionnelles et de la Loi naturelle. Les mesures sanitaires qu’on nous impose aujourd’hui anticipent déjà cette tyrannie.
Dans un premier temps, cette démarche de rejet des valeurs récompensait les individus libertaires en accordant une plus grande licence (surtout sexuelle) à ceux qui se « libéraient ». Cette licence, se répandant au cours des années, a sapé nos institutions. Les fondements mêmes des sociétés chrétiennes ont été lentement érodés sans que rien n’y paraisse. Cette sape aboutit à l’effondrement soudain, au moindre choc, des structures traditionnelles. C’est ce qui est arrivé en 2020. Un virus relativement bénin a suffi pour terrasser des institutions sociales qui avaient survécu à deux guerres mondiales et à des crises beaucoup plus graves au siècle précédent. Une tyrannie planétaire déshumanisée et dénuée de sagesse menace maintenant de combler ce vide.
Cette nouvelle tyrannie ne constituerait pas une nouvelle autorité civile dans le sens conventionnel du terme. En effet l’idéologie moderniste a une dimension spirituelle marquée qui est centrée sur le rejet, non seulement de la doctrine chrétienne mais des sagesses humaines traditionnelles et même de la Loi naturelle. Ceci mène à des régimes politiques qui débordent gravement de leurs compétences en tant qu’autorités civiles. Dans la tyrannie moderniste, l’état redéfinit la nature humaine et impose sa propre religion.
Par conséquent, si le putsch planétaire en cours parvient à imposer ce Nouvel Ordre Mondial, le chrétien se retrouvera devant une autorité civile qui n’émane pas de la volonté de Dieu mais provient plutôt d’une démarche satanique. Il s’agira, dans ce cas, d’un régime fondamentalement immoral dont les édits pourront être légitimement rejetés, même par la voie de l’insurrection, si les circonstances le justifient. D’ailleurs, personne ne conteste que les tyrannies modernistes précédentes, le nazisme et le stalinisme, pouvaient être légitimement combattues.
Lire la suiteLe Great Reset – Sommaire
Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : World Economic Forum/Flickr
Un bref résumé
Le « Great Reset », annoncé par le Forum Économique Mondial, n’est pas un délire de complotiste. C’est un agenda de transformation sociale précis et explicitement documenté. Cependant, cet agenda est si énorme, si radical, si englobant que, à moins d’avoir attentivement examiné la documentation, on peine à y croire. On dirait plutôt un scénario de science-fiction.
Le « Great Reset » ou Grande remise à zéro vise l’implantation accélérée de l’agenda d’ingénierie sociale radical parrainé par l’ONU (l’Agenda 2030) en 17 objectifs de développement durables (ODD) sur une période de dix ans (2020 à 2030). Celui-ci est mis en application par le grand capital à travers les partenaires du Forum Économique Mondial (FEM). Il est endossé par presque toutes les élites de la planète, politiques, académiques, religieuses et médiatiques. Ses objectifs et son échéance coïncident exactement avec ceux de l’ONU, du Club de Rome et du FMI. Il est endossé par presque tous les chefs d’états. Justin Trudeau et François Legault, en particulier le soutiennent activement. Horacio Arruda est le représentant de facto de ce Nouvel Ordre Mondial, sur place à Québec. Ce macaron des ODD qu’il porte en tous temps signale subtilement à la population et aux dirigeants du FEM que le gouvernement du Québec est entièrement soumis à l’empire mondialiste.
Ce programme, l’Agenda 2030, est en élaboration depuis plusieurs années. Il s’étend à tous les aspects de la société, des grands investissements énergétiques jusqu’aux cours d’école primaire. Il nous dit comment nous comporter, qui et quoi croire, comment élever nos enfants, quoi valoriser, quoi tolérer et quoi rejeter. Ses porte-paroles, y compris nos propres gouvernants, ont explicitement annoncé qu’ils entendaient profiter de « l’opportunité » conférée par l’urgence sanitaire pour l’implanter de façon accélérée.
Derrière sa façade souriante, cet agenda n’est que déception et mensonge. C’est un cartel capitaliste déguisé en socialisme ; un endoctrinement planétaire présenté comme une célébration de la diversité ; un système de contrôle maquillé en liberté. Ses prétentions semblent universalistes mais leur application concrète vise l’extermination de la civilisation chrétienne d’occident. Par rapport aux valeurs évangéliques, cet agenda nie la primauté du Christ, atrophie les âmes et pervertit les enfants. L’Agenda 2030 de l’ONU est un blasphème planétaire et une abomination.
L’article que vous lisez fait partie d’une série. Vous pouvez trouver les autres articles de cette série ici.
Erin O’Toole : sourd aux conservateurs sociaux, il fait les yeux doux au Québec et se comporte en tyran
Erin O'Toole.
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Erin O'Toole/Flickr
Un de nos correspondants est délégué au congrès du parti conservateur du Canada (PCC). Voici son rapport.
La deuxième journée du congrès du PCC qui rassemble en ligne quelque 3500 délégués s’est terminée par un discours d’Erin O’Toole [...].
Erin O’Toole a déclaré que le Parti conservateur du Canada qu’il dirige depuis août 2020 doit « changer » s’il désire remporter les prochaines élections parce que le Canada a changé. C’est une vieille ficelle rhétorique, les circonstances changent toujours. Elle peut servir à justifier n’importe quelle politique : accompagner ce changement et donc abandonner ses anciennes valeurs ou lutter contre ce changement et revenir à une position plus ferme, plus conservatrice dans ce cas-ci. Pour le Parti conservateur du Canada, il s’agit toujours de courir après les libéraux et d’être moins conservateurs.
Dans un discours à ses militants, vendredi soir, M. O’Toole a déclaré que son parti peut battre les libéraux de Justin Trudeau […] aux prochaines élections, mais uniquement s’il change ses façons de faire et présente de nouvelles idées pour rallier les Canadiens.
O’Toole a déclaré que le parti doit faire plus que changer ses positions politiques — il doit également faire tout ce qui est en son pouvoir pour accueillir les Canadiens de toutes les origines raciales et ethniques et les membres de la communauté LGBTQ.
Manque de courage et de pédagogie
Le manque de courage d’Erin O’Toole était frappant, il semble se résigner à accompagner le mouvement que la gauche impose à la société. Il ne cherche pas à convaincre les Canadiens de la justesse des politiques conservatrices, à faire preuve de pédagogie, il n’envisage aucune mesure ambitieuse pour renverser la situation et promouvoir des valeurs conservatrices dans la société. Aucune ambition de déplacer un tant soit peu la fenêtre d’Overton vers la droite conservatrice sur n’importe quel sujet sociétal. Rien.
Lire la suiteTexte d’opinion : le non-sens des mesures « sanitaires » promues par l’OMS
Par Charles Danten ― Photo : Freepik
Voici un texte d’opinion qui a été envoyé à Campagne Québec-Vie par Charles Danten au sujet de la « pandémie » et des mesures « sanitaires » censées la combattre. ― A. H.
*
Bonjour,
Disons d’emblée que je ne parle pas sans connaissance de cause, j’ai un B.Sc. en agronomie et un doctorat de premier cycle en médecine vétérinaire. J’ai de plus une maîtrise en traduction orientée vers les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Je connais bien les principes de la médecine pour les avoir appliqués sur le terrain pendant 18 ans, dont dix à mon propre compte dans ma clinique vétérinaire située en banlieue de Montréal. Pour en avoir traduit bon nombre à titre professionnel, je connais également relativement bien les études cliniques, comment elles sont conçues et comment juger de leur validité. En d’autres mots, je suis suffisamment compétent pour faire la part des choses et donner un avis éclairé sur ce crime contre l’humanité dont nous sommes victimes depuis maintenant un an et dont les responsables vont bientôt devoir rendre des comptes.
Christian Drosten : l’heure des comptes ?
Je vous écris, donc, car je ne sais pas trop à qui je pourrais m’adresser, personne ne vous écoute, les médias ne publient aucune opinion contraire au dogme, le débat est clos, on vous tourne le dos dès que vous contestez le moindrement la gestion sanitaire de la Covid calquée en tout point sur les recommandations mensongères de l’OMS. On vous ostracise, on vous prend pour un désaxé, un conspirationniste, voire un fasciste si vous avez le malheur de vous opposer au consensus sur :
― les mesures sanitaires inutiles, voire contre-productives faisant bien plus de mal que de bien au niveau économique, sociale et psychologique en plus d’être incapables d’arrêter le moindre virus.
Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses
— l’escroquerie du test PCR qui n’est pas un test de dépistage du Covid-19 et qui peut donner jusqu’à 90 % de faux +. Selon le Dr Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, ce test est en effet « fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement ». Il est utilisé uniquement pour créer la peur et faire perdurer la fausse pandémie pour des raisons politiques et financières.
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays
Lire la suiteTucker Carlson corrobore Mgr Viganò au sujet du Great Reset : Trudeau voit une opportunité dans le confinement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Presidentia de la República Mexicana/Attribution 2.0 Generique (CC BY 2.0)-Wikimedia Commons
Tucker Carslon, dans son émission Tucker Carlson tonight sur Fox News le 16 novembre, soulignant le manque de fondements scientifiques pour la mise en place d’une nouvelle phase de confinement dur aux États-Unis, attire l’attention de ses auditeurs sur l’opinion que Mgr Carlo Maria Viganò exprimait dans une lettre adressée à Donald Trump, président des États-Unis : le confinement, instauré sous prétexte de « pandémie », est destiné à établir une dictature universelle. Tucker Carlson, citant Mgr Viganò, dit :
« Personne, jusqu’en février de cette année », écrit Viganò, « n’aurait jamais pu imaginer que dans toutes nos villes, les citoyens pourraient être arrêtés simplement parce qu’ils avaient envie de se promener, de respirer, de garder leur commerce ouvert, d’aller à la Messe le dimanche. Et pourtant, c’est ce qui se passe actuellement partout dans le monde… les droits fondamentaux des citoyens et des fidèles sont bafoués au nom d’une urgence sanitaire qui s’avère de plus en plus instrumentalisée dans le but d’ériger une tyrannie inhumaine et sans visage. »
L’un des moments cruciaux de l’établissement de cette tyrannie serait, d’après Mgr Viganò, le Great Reset promu par le Forum économique mondial, qui se tient chaque année à Davos en Suisse, réunissant les plus grosses légumes de la finance, des politiciens et des idéologues divers. Le Great Reset, dois-je expliquer, est un plan pour l’avenir du monde dans la perspective d’un effondrement économique sur fond de l’inévitable coronavirus. Entre autres, il s’agit de mettre en place un fonds mondial — ce qui répond aux souhait d’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU et ancien président de l’International socialiste, qui voudrait qu’un tel fonds s’élevât à 10 % du PIB planétaire — ainsi que la mise en place d’un revenu de base universel, utopie à saveur communiste.
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